Pages

7 juin 2025

Eric Vial
6/6/2025

Cher Boualem Sansal, écrivain franco-algérien,

Tu viens de passer ta 200ème nuit en détention arbitraire parce que tes écrits, tes paroles dérangent : tu défends la liberté d’expression et le droit de critiquer les puissants qui oppriment leur peuple.
Tu as été arrêté par l’Algérie, et condamné à 5 cinq de prison pour avoir eu des opinions.
Ceux qui t’aiment, qui reconnaissent en toi le génie littéraire et la force de ton esprit, ne t’oublient pas. Ils réclament ta libération immédiate et sans condition.
Des deux cotés de la Méditerranée, les autres, les pleutres, ne disent rien face à cette injustice. Mais peut-on leur reprocher leur faiblesse, ce ne sont que des hommes après tout ?
Tiens le coup. Nous sommes avec toi.