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9 février 2024

Stéphane Jordan

Liberté - Égalité - Fraternité !!! Vraiment ??

Aujourd'hui j'ai encore eu affaire à une situation plutôt cocasse...
Je me dirige pour chercher une petite à l'école quand je tombe nez à nez avec une voiture en train de s'installer sur la piste cyclable (flèche rouge). Je lui fais signe de la main de s'enlever de la piste, le chauffeur me fait le même signe. Je descends de mon vélo pour lui expliquer que c'est une piste cyclable, et là, oh surprise, il allume un petit gyrophare sur son tableau de bord ! Je lui dis que j'espère qu'il ne va pas rester longtemps sur la piste cyclable, il me répond « vous ne savez pour quelle raison j'interviens ! ».
Je vais donc me positionner à la sortie de l'école et quelle ne fut pas ma surprise de voir qu'en fait cette personne venait chercher un enfant à l'école...
Finalement, après discussion avec plusieurs personnes, j'apprends qu'il s'agit du chauffeur du préfet de police du Haut-Rhin. J'en conclus donc que les lois ne sont pas les mêmes pour tous et qu'on s'octroie le droit de mettre nos enfants en danger pour chercher ceux du préfet !
Quant à la voiture (flèche bleue) il s'agit d'un habitué du fait, j'ai donc eu droit à tout un tas de menaces comme toujours...
J'ai eu une discussion avec le directeur de l'école qui regrette autant que moi cette situation qui se reproduit régulièrement ! Il faut que cela cesse, il faut que les automobilistes respectent les cyclistes, il faut que les lois soient respectées par tous, il faut que nous nous mobilisions, nous les cyclistes, pour agir. Je suis d'ailleurs à la recherche de tous les cyclistes disponibles pour organiser des opérations de sécurisation, contactez-moi si vous souhaitez vous faire entendre.

7 décembre 2023

EMBÛCHES DE NOËL

Fabien Nierengarten

J'sais pas vous, mais moi, j’ai comme une impression bizarre : plus les années passent, et plus Noël perd sa douceur acidulée aux essences de mandarine, pour prendre le goût un peu amer d’une écorce d’orange dans laquelle on croque. Est-ce la faute des anniversaires qui s’égrènent comme un compte à rebours qui fout les boules ? Ou celle du silence des absents qui couvre parfois les rires des enfants ? Qu'importe.
 
Alors, pour avoir le smile autour du sapin, je vous propose un petit jeu. Un parcours ludique à travers les préparatifs et tous ces moments que l’on apprécie plus ou moins. En mode "Koh-Lanta au pays de Noël". Vous me suivez ?

Mission 1 : Accéder au monde enchanté

Faire ses courses à quelques jours de Noël, c’est un peu comme s’attaquer à Winterfell, le château de "Game of Thrones" : c’est long, épuisant et dangereux. Heureusement que dans les longs cortèges de voitures qui mènent à nos villes transformées en forteresses imprenables, on peut admirer de beaux paysages, aussi merveilleusement enneigés... que ceux des Antilles à la même époque. Une fois arrivé au centre-ville, il ne reste plus qu’à trouver un endroit pour se garer. Et se faire très vite enguirlander par des automobilistes dans un langage qui traduit leur esprit de paix et de fraternité : "tu crois au Père Noël, abruti ?" ou encore "si tu te mets là, je te fous mon moufle dans la tronche !". Atmosphère, atmosphère…

Mission 2 : Affronter des hordes sauvages

Sur place, il faut alors traverser un lieu hautement stratégique, celui de l'inévitable "marché de Noël" qu'on trouve désormais dans tous les patelins, et qui concentre des foules de toutes les couleurs et de toutes les langues. Une vraie cour des miracles qui grouille de personnages meuglant et beuglant, mugissant et rugissant. Certains d'entre eux sortent tout droit de la série "Vikings" avec leurs casques clignotants qui les font paraître si brillants. D'autres viennent de quitter leur appartement loués chez Herbie Henbee. Les voilà partis pour déguster cette potion tragique qu'on sert souvent en guise de vin chaud.
 
Mission 3 : Survivre en terre hostile

Après le centre-ville, un petit passage en zone commerciale s'impose. Le samedi après-midi, ça vaut son pesant de bredalas. Effervescence assurée. Effluves d'essence aussi. Y a pas à dire, on prend vraiment son pied en roulant au pas ! Quand enfin on pousse les portes d'une grande surface, c'est pour entrer sur l'air de "vive le vent" diffusé en rythme et en volume boîte de nuit. À quand le Père Noël au milieu des Village People ? C'est sûr, avant de partir, il faudra bien le couvrir.
 
Mission 4 : Se nourrir de produits locaux
 
Après ce voyage en terre incongrue, l'estomac se mettra sans doute à crier famine. Pour poursuivre l'aventure, on ira alors dîner dans l'un de ces restaurants qui attirent les touristes comme des pigeons. Là où l'on réussit à faire rimer "authentique" avec "exotique", et où l'on propose des plats traditionnels cuisinés façon Hon'séou par Hon'séki. Mais on peut aussi se restaurer devant cette jolie petite cabane du marché de Noël, là où ces mêmes plats seront consommés en mode mange-debout... puis tombe-par terre au moment de payer. On appelle ça sans doute "avoir l'embarras de choir".
 
Mission 5 : Décrocher le totem d'immunité

Un privilège spécial sera accordé à celui ou à celle qui aura réalisé un fait retentissant durant ces jours qui précèdent Noël. En vrac, voici quelques exploits qui susciteront l'admiration de tous : penser aux piles pour le jouet électronique du petit dernier, faire enfin sourire le grand premier, choisir un cadeau utile pour la belle-mère, décorer le sapin en famille et dans la bonne humeur, faire ses derniers achats alimentaires sans avoir des envies de meurtre, ne pas faire tomber le soufflé, supporter le beau-père quand il parle politique, etc...

Mission 6 : Profiter du réveillon

Sans doute la plus agréable et la plus belle mission de toutes. Pas forcément la plus simple, compte tenu de toutes les embûches de Noël. Mais on y croit. Et surtout, je nous le souhaite. Car par les temps qui courent, les moments de bonheur ne se ramassent pas à la pelle.
 
"Chroniques du monde d'avant" - 25 novembre 2018

21 décembre 2022

Tout se perd

Même l'exemplarité du Maire.
Ce mardi 20 décembre, il est 11h30, rue des Clefs, zone interdite aux deux-roues, donc aux vélos (panneaux bien visibles).
Deux cyclistes zigzaguent allègrement parmi la foule dense des piétons.
En tête de l'échappée, Monsieur le Maire Eric Straumann !
J'ai un profond respect pour la fonction de premier magistrat, mais là, celle-ci a pris un sérieux coup de canif...
Quelle que soit la motivation de ce déplacement prohibé, Monsieur Straumann ne peut oublier l'exemplarité attendue dans sa fonction.
Den's - 21/12/2022

30 août 2022

Gérald d'Orbe

⬦ Quand on lit dans la PQR que les producteurs alsaciens croulent sous les tomates dont la production est exceptionnelle et qu'on voit au supermarché des montagnes de cartons de tomates de Bretagne, quand on sait qu'on produit dans notre région de la patate douce et qu'on voit dans le même supermarché ce légume importé des USA, on est un peu en droit de se dire que quelque chose ne tourne plus rond dans notre société !

⬦ Depuis ce matin très tôt, j'ai entendu à de multiples reprises des "journalistes" (les guillemets s'imposent) évoquer le manque d'eau dans la commune de "veine tronc" dans les Vosges. Comme je n'ai jamais entendu parler de ce village, je cherche... et je trouve seulement une commune du nom de Ventron.
De deux choses l'une, soit il existe une autre commune dont le nom se prononcerait ainsi, soit les Parisiens qui devraient informer, voire instruire leurs auditeurs, n'ont qu'une connaissance des plus médiocres de la géographie de notre pays...

⬦ Échange de messages via FB avec la station de radio :
- Vos pseudo-journalistes pourraient-ils arrêter de nous parler du village de "veine-tronc" dans les Vosges et prononcer tout simplement Ventron comme ça s'écrit : "vent tronc", phonétiquement !
- Bonjour, merci de nous avoir fait part de cette erreur. Nous retransmettons à la Rédaction. À bientôt sur RTL !
C'est à longueur de journée qu'il faudrait les reprendre, ça use !

⬦ Du pur génie !
Le Maire demande aux employeurs d'augmenter les salaires pour diminuer les effets de l'inflation. Il est fortiche le mec !
Il croit VRAIMENT que l'employeur va augmenter ses coûts de production sans augmenter d'autant son prix de vente ?
P... j'aurais mieux fait de faire une grande école, moi !

⬦ J'arrive plus à suivre…
La Russie agresse (peut-être) un pays voisin et envahit (peut-être) un territoire sur lequel elle n'a (peut-être) aucun droit. La Russie est l'un de nos fournisseurs en gaz, pétrole et milliardaires installés sur la French Riviera. Il faut sanctionner, quitte à priver la population de quelques fournitures nécessaires au business et aux calories... C'est politiquement très correct nous dit-on.
L'Arabie Saoudite agresse (peut-être) un pays voisin et envahit (peut-être) un territoire sur lequel elle n'a (peut-être) aucun droit. L'Arabie Saoudite est l'un de nos fournisseurs en pétrole et milliardaires installés sur la French Riviera. Il ne faut pas sanctionner, pour ne pas priver la population de quelques fournitures nécessaires au business et aux calories... C'est politiquement très correct nous dit-on.
Heureusement qu'on a inventé l'ENA, un cerveau ordinaire ne serait certainement pas en mesure de tenir un raisonnement aussi... affûté ? Ou tordu, j'sais plus...

⬦ Y'a des choses qui m'échappent... est-ce que je ne sais plus réfléchir ?
Une nouvelle Assemblée nationale s'est installée il y a peu. La précédente était composée en majorité de viandards ayant prêté serment d'allégeance à Jupiter himself, ce n'est plus le cas maintenant et aucune formation ne comporte la moitié +1 des élus.
Ce qui n'empêche pas les journalistes autoproclamés de parler régulièrement de la "majorité" en parlant des survivants des viandards précédents.
Ces gens sont aujourd'hui totalement dépourvus du moindre sens de l'éthique de leur métier, la seule chose à mon avis qui constitue l'honneur de la profession de journaliste ; informer et non bidonner, donner un éclairage, pas une opinion, faire réfléchir pas faire plaisir aux édiles...

18 juin 2022

SCHMITT Christine (médecin)
Médecin anesthésiste
Présidente de l'association Urgence Solidarité Soignants Sacrifiés Colmar

Bonjour Monsieur Hemedinger,

Je me présente, je suis la présidente de l'association Urgence Solidarité Soignants Sacrifiés Colmar.
Je suis au plus près de ce que vivent les soignants suspendus pour refus d'une injection expérimentale qui n'a pas vraiment montré son efficacité, vu le nombre de clusters à l'hôpital chez les soignants injectés. Par contre, ses effets indésirables, je peux vous en parler, en ayant vu personnellement à l'hôpital, et surtout venant de perdre mon frère à qui on a fait le chantage de la vaccination, sans quoi il aurait dû parcourir 200 km pour dialyser, et ce 3 fois par semaine. Sans oublier qu'il a fait le covid après la 3ème dose !

Ma fille, médecin tout comme moi, a été suspendue sans salaire pendant un arrêt maladie, comme beaucoup d'autres. Est-ce à dire, qu'après 10 ans de sacrifices à étudier, après avoir régulé au Samu durant la 1ère vague, elle mérite de "crever" parce qu'elle ne veut pas mettre sa vie en danger pour une maladie qu'elle a contractée deux fois et qui ne l'a bizarrement pas fait mourir ? Vous me répondrez peut-être qu'elle se devait de protéger les autres ! Mais les protéger de quoi puisque cette injection n'empêche pas la transmission ?

En tant que député, je pense que vous ne devriez pas avoir le droit de botter en touche et de vous abstenir. Si vous êtes élu, je vous propose donc de faire abroger l'abstention pour les députés.
Et je vous invite à visiter notre site www.urgencesolidarite.fr

Je vous soutiendrai car je vous laisse le bénéfice du doute. J'espère que ma famille de soignants suspendus pourra compter sur vous pour retrouver sa place dans un hôpital qui a grand besoin de personnes humaines dont la vocation est intacte malgré toutes les blessures qu'on leur inflige depuis plus de 9 mois déjà. 18/6/2022

8 avril 2022

Les soignants de l'hôpital Pasteur de Colmar estiment ne pas avoir été entendus

Texte lu lors de la définitivement dernière manifestation des soignants de l'hôpital Pasteur de Colmar, demandant depuis quatre mois un changement radical pour éviter la "mort de l'hôpital public".

« La santé est la deuxième préoccupation des Français et l’hôpital public est le garant d’un accès aux soins pour tous. Malgré plus de deux ans de grève, la démission de 1000 chefs de service, la saisine du conseil économique, social et environnemental, une demande de référendum d’initiative partagée déposé par plus de 180 signataires parlementaires de tous bords au conseil constitutionnel, une récente lettre de la Haute autorité de la santé (HAS) et le rapport sénatorial dénonçant l’effondrement du service public hospitalier, la gestion de l’hôpital de l’après Covid reste la même, toujours aussi anormale. »

6 avril 2022

Gérald d'Orbe

In petto... j'me d'mande...

De mes quelques faibles connaissances en la matière, j'en retiens une : nous sommes, paraît-il, dans un État de droit. De fait tout ce qui n'est pas interdit est autorisé. Jusque-là c'est simple...
Dans certaines circonstances et jusqu'à aujourd'hui, il était obligatoire, sous peine d'amende, de porter un chiffon sur le nez. En contradiction avec le droit habituel interdisant de se masquer le visage, tolérance – je crois – pour les festivités carnavalesques.
Depuis aujourd'hui, cette obligation étant levée, nous revenons, je pense, à la situation normale, celle où la loi dit qu'il est interdit de sa cacher le visage.
Voyant le nombre de personnes convaincues d'agir pour "le bien de tous" qui sont aujourd'hui en violation de la loi, j'attends avec impatience de voir se faire verbaliser ceux qui se masquent.
J'attends.

3 avril 2022

EHPAD : Après ORPEA qui plume nos vieux, le groupe BRIDGE s’y met aussi à Colmar

Jeanne Fischer - HEBDI

Le “Canard enchaîné” gâche encore une fois le silence médiatique local.

Le palmipède dénonce dans l’édition de ce 31 mars d’autres pratiques douteuses dans la prise en charge de nos anciens. ORPEA, tout le monde connaît malheureusement. Retenez dorénavant aussi le groupe Bridge fondé en 2017 et très présent dans le Grand Est. Par exemple à Colmar avec Les Fontaines.

Un objectif : du pognon, du pognon, du pognon.

Les Fontaines est un regroupement de trois EHPAD racheté mi-décembre 2021. Très vite des dérives sont constatées, le nouveau propriétaire voulant limiter les dépenses. Peu importe les conséquences pour les résident pris en charge. « Dès les premiers jours Bridge demande à la directrice en place de se séparer de huit temps pleins. La directrice rechigne. Le 14 janvier suivant elle est licenciée pour "insubordination". Son successeur tiendra six semaines. »

Dans cette ambiance délétère les démissions de professionnels y travaillant se multiplient. Une dizaine en quelques semaines selon le Canard. En conséquence, dans « la nuit du 27 février à Horbourg-Wihr, faute de personnel, la direction a appelé une femme de ménage et une aide-soignante pour surveiller les 84 résidents ». Mises devant le fait accompli, les familles s’inquiètent. Certaines réagissent. Osent dénoncer un management "industriel" et une maltraitance des résidents par manque d’effectifs ».

Heureusement, le Canard enchaîné nous alerte !

Légitime et immédiate question : que font les tutelles ? L’ARS et la Collectivité Européenne d’Alsace ? L’article du Canard et le relais Heb’di permettront peut-être de les réveiller enfin. La direction de l’autonomie de la CEA qui entretenait historiquement une relation très étroite avec le précédent propriétaire des Fontaines semble oublier aujourd’hui ces établissements pourtant bichonnés pendant des décennies avec l’argent public. Au président Frédéric Bierry de secouer les services pour défendre nos anciens et de s’intéresser à ces pratiques scandaleuses et irrespectueuses qui visiblement existent donc aussi en Alsace, dans le coin de Colmar. Mais pas que...

ANTI PASS COLMAR - Témoignage

Chers tous, chère famille du Samedi,

Je voulais m'excuser de ne pouvoir être des vôtres ce samedi et samedi prochain ; infirmier suspendu d'un hôpital de la région, je peux à nouveau exercer provisoirement pendant quelque temps, à la faveur d'un pass de rétablissement puisque j'ai eu le covid, sans gravité, en février ; un planning soutenu m'impose de travailler ces 2 samedis ... le comble, c'est que je remplace des collègues vaccinés mais contaminés actuellement par le covid !

À défaut de pouvoir être à vos côtés, comme pour les précédentes manifs, je suis de tout cœur avec vous en pensée ; un énorme merci à tous les organisateurs et tous les manifestants, notre courage et notre persévérance vont payer, à très bientôt pour tous nos futurs RdV du Samedi, pour le Liberté, pour la Vérité !


(Je pense que ce petit message peut être lu au micro si vous le souhaitez, sans donner le prénom SVP ; il me semble important de faire savoir que de nombreux absents préfèreraient être place Rapp plutôt qu'ailleurs ! Grosses bises !)

11 mars 2022

ANTI PASS COLMAR 68

Julie Varadero

Discours du samedi 5 mars 2022 (extraits)

Même si le pass vaccinal est supprimé ou suspendu, le combat n'est pas terminé. Il faut comprendre la différence entre suspension et abrogation.
Suspendre le pass vaccinal, ça veut dire l'interrompre pour quelque temps.
Abroger le pass vaccinal, ça veut dire l'annuler.
Il faut exiger l'abrogation du pass vaccinal et pas seulement sa suspension.

Les soignants sont toujours dans la même situation.
C'est une honte !
Nous n'allons pas les lâcher.
Que veut dire la suspension du contrat de travail d'un salarié ? Plus aucune rémunération depuis le 15 septembre 2021 (pour le personnel soignant).
Aucun congé payé ne pourra être généré durant la période de suspension. C'est-à-dire que toute la période de suspension ne comptera pas non plus pour la retraite ?
Les conséquences sont les mêmes pour un salarié en CDD ou CDI, un intérim ou un apprenti.
Arrêt maladie : les agents de l'assurance maladie ont été missionnés pour convoquer les personnes suspendues et en arrêt de travail. Certaines personnes, malgré une dépression avérée, se sont vues suspendre leur arrêt maladie du jour au lendemain.


Banderole

Depuis le 17 juillet 2021, il y a eu des hauts et des bas. Bienvenue dans le haut. Cela n'est jamais arrivé à Colmar dans toutes les formes de luttes confondues. Aujourd'hui nous avons le plaisir de vous annoncer que dès samedi prochain, nous aurons une nouvelle banderole. Une banderole commune à tous, une banderole symbole de l'unité et d'un combat commun. Une banderole qui signifie un nouveau départ et un pas en avant. Car il n'y a qu'en travaillant main dans la main, que nous réussirons, pour ce combat comme pour les combats futurs. Car nous n'en avons pas fini avec ce gouvernement. Le prochain sera peut être pire, qui sait ? Nous finirons peut-être l'année avec du pain dur et de l'eau, mais nous la finirons ENSEMBLE.

Le Covid a disparu

Parfois il faut souffler sur la poussière pour trouver la vérité en dessous. Depuis des années maintenant, les médias français appartiennent à des milliardaires. C'est à dire que les médias français n'ont plus aucun intérêt à diffuser la vérité mais plutôt à diffuser ce qui arrangent leurs patrons. Et le pire média, ce sont bien ces chaînes d'informations qui diffusent 24h sur 24h, exactement la même chose, c'est-à-dire ce qu'on leur impose. À aucun moment, elles ne diffusent un contenu joyeux, qui pourrait redonner le moral aux téléspectateurs. Car oui, il y a des choses formidables qui se passent tous les jours, mais cela on n'en parle pas. Il ne s'agit que de contenus anxiogènes. Même si vous allumez la télé, juste pour avoir un fond sonore, votre cerveau enregistre les informations sans que vous vous en rendiez compte. Cela contribue au stress, à l'angoisse, à l'anxiété. Les Français sont les champions des antidépresseurs. Et si on veut aller plus loin dans la réflexion, le stress engendre des souffrances physiques et psychologiques, qui engendrent elles-mêmes selon la personne de la colère et de la tristesse. Colère que la personne portera et lâchera sur un inconnu pour X raison. La moindre situation conflictuelle peut prendre une ampleur phénoménale. On parle d'une montée de la violence en France. Tout ce stress et cette anxiété véhiculés par le gouvernement et les médias, la vie quotidienne, familiale et professionnelle, tout est devenu sujet au stress. Je me souviens quand j'étais enfant, on se souriait dans la rue, on se disait "bonjour". Aujourd'hui les visages tristes et fermés remplacent les sourires, et les regards méprisants remplacent les bonjours.

Trouvez et gardez la paix et le calme dans vos cœurs

Restez totalement neutres et pacifiques. Maîtrisez vos pensées pour ne rien alimenter par la peur. La peur est l'inverse de l'amour. Oui, il se passe des choses, tel un grand pavé jeté dans la mare, pavé qui effraye les oligarques. Pavé qui va faire resurgir des mensonges et tromperies, certains parlent juste pour parler sans même savoir de quoi ils parlent véritablement. La seule chose qui les intéresse est leur pouvoir et leur argent. Notre président a affirmé que notre liberté est en péril, alors que lui-même nous prive de liberté depuis deux ans. Ignorez ses propos, cherchez la vérité au plus profond de vous et restons unis dans la paix, l'amour, la lumière et la joie. Merci à chacun de vous, pour votre courage, pour votre exemple et votre détermination.

Autres idées / suggestions :

Les gens qui en ont marre des manifestations : « T'avais qu'à te faire vacciner. »
J'entends certaines personnes dire qu'elles en ont marre des manifestations. Mais nous aussi, nous en avons marre. Nous aussi, nous aimerions être avec nos proches, profiter du beau temps, rire et nous amuser. Mais nous ne pouvons pas. Car nous sommes suspendus depuis le 15 septembre 2021. Nos collègues nous ont lâchés, notre famille est divisée. Tout cela parce qu'on refuse de se faire vacciner de force. Nous n'avons plus aucun revenu. Alors dites-moi, vous qui en avez marre des manifestations, qu'est-ce qui vous pose réellement problème ? Le bruit ? Cela ne vous dérange pas durant la foire aux vins. Le blocage de la circulation ? Certains axes sont bouchés aux heures de pointe. Nos revendications ? Notre seule revendication c'est de retourner TRAVAILLER !

Poème de Kery James (extrait), janvier 2022

Moi, je veux pouvoir regarder l'injuste dans les yeux et lui dire "injuste tu as été".
Car passer sous silence une injustice que l'on peut dénoncer, c'est être un diable muet.
Alors comprenez que je ne puisse mettre sur le même pied d'égalité,
Et traiter avec la même dureté ou bonté,
L'oppresseur et l'opprimé,
Le gouvernant et le gouverné,
Le gilet jaune et le banquier.
(...)

Il faut être "pour" quelque chose et cesser d'être "contre"

Je ne suis pas contre le vaccin, je suis pour la liberté de choisir.
Je ne suis pas contre les forces de l'ordre, je suis pour les gardiens de la paix.
Je ne suis pas contre Macron, je suis pour la démocratie.
Je ne suis pas contre la guerre, je suis pour la paix.

10 février 2022

Kelly Scott

Coup de g... du jour
 
J’entends parler dans les médias du « convoi de la honte » expression sortie de la bouche méprisante de ministres, alors que le convoi démarre et n’est même pas encore arrivé à Paris.
Que de malhonnêteté intellectuelle.
Oui, il y a des chauffeurs routiers (sur le modèle du convoi canadien) mais pas que, il y a aussi des familles avec leurs enfants, des retraités, des soignants licenciés sans salaires, des soignants vaccinés mais solidaires, des personnes vaccinées ou pas, des anti pass, des anti vaxcovid, des petits chefs d’entreprise, des indépendants, des artisans, les GJ des ronds-points, des gens qui se sentent exclus ou dépossédés, les laissés-pour-compte qui manifestent (un droit garanti par la Constitution).
Évidemment que les revendications sont multiples, le déclic étant le pass vaccinal qui n’a plus aucune raison d’être (ce n’est pas moi qui le dit, ce sont les médecins et les scientifiques intègres).
Ce convoi réunit les Français qui en ont marre ! Marre qu’on leur confisque la parole et leurs libertés.
Car plus ça va et plus la France ressemble à une technocrature orwellienne.
Les policiers scannent des QR code et verbalisent à tout va, pendant que les violences et les atteintes à la personne explosent.
Autre chose mais qui est révoltant et inacceptable en France en 2022, j’écoutais hier le témoignage d’un boulanger de Nice à qui une pauvre retraitée a demandé (très très gênée) « s’il pouvait lui faire crédit de quelques jours pour sa baguette quotidienne, sa petite retraite n’arrivant que début du mois suivant ».
Elle n’osait pas en parler à ses enfants elle a honte...
Et le brave artisan boulanger de confirmer à l’antenne qu’ils sont de plus en plus nombreux, les retraités qui n’arrivent plus à se nourrir ou à boucler leurs fins du mois, comme beaucoup d’étudiants, de mères de famille, de travailleurs pauvres ou de jeunes issus de milieux défavorisés.
Alors quand j’entends dans les médias parler de convoi de la honte, de complotistes, d’extrémistes et de gens « illuminés ou allumés » oui ça me met en colère.
Soutien à cette France !
Cette France des jambon-beurre et des oubliés de la mondialisation et merde aux bobos et bien-pensants déconnectés des grandes villes (comme Raphaël Enthoven  et tant d’autres) qui font les soldes le samedi avant d’aller manger leur salade au quinoa en exhibant fièrement leur QR code.
Ils ne veulent surtout pas être dérangés par ces citoyens de seconde zone qu’ils méprisent mais sans qui...
Ils ne seraient RIEN.
Bonne journée

26 janvier 2022

Cette société est en train de crever de sa propre inhumanité

Fabien Nierengarten

Raphaël G. prend tranquillement son petit déjeuner. C'est mercredi et tout le monde dort encore chez lui. Dans une heure, ce jeune cadre prendra la direction de son bureau parisien, via ce train de banlieue qu'il a déjà emprunté dans le sens inverse, très tardivement hier soir. Il se souvient avec fierté, de cette conversation qu'il a eue en rentrant avec son gamin de 10 ans, au sujet de la "fraternité" qui foutait le camp et de la "solidarité" dont il se dit le fervent défenseur. Comme lui, son fils deviendra, sans aucun doute, un citoyen modèle.
Chloé B. en est à son troisième café. Le réveil a été difficile. Sa sortie resto avec les copines s'est terminée la veille, bien plus tard que prévu. Elle appréhende déjà le retour au boulot, et surtout ce long trajet dans les couloirs du métro, puis dans ces ruelles sombres et désertiques, où régnaient encore il y a quelques heures, une douce effervescence. Elle rêve d'un Paris débarrassé de cette misère qui se voit jusque dans la rue et de cette insécurité qui la poursuit presque jusqu'à chez elle, dans son paisible appartement du 3ème arrondissement.
Raphaël et Chloé vont reprendre ce matin, le petit train-train de leur petite vie. En ne se souvenant plus qu'hier soir, sur leur parcours vers le confort ou le réconfort, ils ont enjambé le corps d'un homme qui était en train de perdre la sienne. Et qui a finalement été découvert par un SDF, mort de froid, plus de 9 heures après avoir malencontreusement chuté sur le trottoir de cette rue pourtant si animée en soirée. Preuve que, même lorsqu'on est un photographe mondialement reconnu, comme l'était René Robert, on ne peut pas grand chose contre l'indécence de l'indifférence.
Cette société dont nous sommes tous, trop souvent, des acteurs pressés et obsédés par nos petits besoins du quotidien, est en train de crever de sa propre inhumanité. Cela commence par des éclats de rire sur les réseaux sociaux face au nombre de morts provoqués par une épidémie, puis ça se poursuit par des menaces de mort lancées anonymement contre ceux que nous n'aimons pas, et ça s'arrêtera... là où l'Histoire nous mènera. Celle dont on dit qu'elle ne se répète jamais, mais qui a pourtant, une fâcheuse tendance à bégayer dès que les rapports sociaux se tendent. Nous en sommes sans doute, tous responsables. En attendant d'en être coupables ? Le proche avenir nous le dira.

21 décembre 2021

L’accès au parking Montagne-Verte, source de bouchons sur la rocade

Nicolas PINOT – DNA

Un bouchon long comme un jour sans pain de la rue Turenne à la rue Schwendi à Colmar. À l’approche de Noël, il faudra sans doute s’y faire.

Photo Nicolas PINOT – DNA

lire l'article

Il y a deux ans, Benoît Nicolas dénonçait déjà cette situation :

« Le cadeau de Noël du père Gilbert !
Des bouchons rue Schwendi / entrée parking Montagne verte.
Je suis le seul à constater cela ?
Perso, je trouve l'entrée dans ce parking complètement improvisée et dangereuse !
On a vraiment un problème sur ce sujet à Colmar ! »

24 novembre 2021

Fabien Nierengarten

Tiens, il paraît qu'un prof de droit de l'Université de Bretagne fait actuellement l'objet d'une procédure disciplinaire parce qu'il aurait qualifié ses étudiants de "chouette auditoriat de quasi-débiles (...) qui ne savent même pas comprendre le sens d’un texte simple". Oh, les pauvres petits ! Pour ma part, je me sens assez solidaire de ce "lanceur d'alerte" qui ne fait que souligner une évidence : certains quasi-illettrés du secondaire ont finalement réussi à se faufiler jusqu'aux études supérieures.
Ah bon, vous nous trouvez trop violents, trop durs, trop intolérants à l'égard de ces jeunes qui seront peut-être nos futurs juges, avocats, notaires, conseillers fiscaux ou chefs d'entreprise, et qui ignorent la portée d'un mot bien choisi et d'une phrase bien construite ??? Allez, admettons. Mais alors, n'oubliez pas dans votre grande bienveillance, que les étudiants déficients d'aujourd'hui, seront peut-être les patrons et les gouvernants que vous traiterez d'incompétents demain...

18 novembre 2021

Fabien Nierengarten

Scoop de ce matin : on apprend qu'il est désormais possible de désigner par "iel", la personne qui ne se sent ni "il", ni "elle". En clair, la langue française est sur le point d'accepter l'usage d'un pronom personnel neutre, comme c'est d'ailleurs déjà le cas en anglais ("it") ou en allemand ("das").
Au-delà de la question du bien-fondé de cette innovation linguistique (qui risque juste de compliquer encore davantage la compréhension de ce que certain(e)s veulent dire), il est marrant de constater que Petit Robert a pris de l'avance sur LaRousse. Faut-il en déduire que les hommes sont plus ouverts que les femmes sur la question du 3ème sexe ? Le débat est ouvert...

29 août 2021

Colmar, une ville où on ne respire plus

Isabelle Kieffer

QU’EST-CE QU’IL RESTERA

d’une vie quotidienne plaisante à Colmar, pour les Colmariens ?

Coup de fil éploré de l’amie Jeanine, 90 ans. Elle ne conduit plus, elle n’a ni portable ni internet. Mais bon pied (avec une canne, certes) bon œil et tête solide.

Son plaisir c’était d’aller entre la place de la Cathédrale et Grand-Rue où elle pouvait se rendre à pied. Les trottoirs envahis par les pauvres limonadiers c’est déjà pas simple, le pressing laissant la place à un glacier de plus ça va lui faire bien loin pour déposer ses vêtements et son linge, et maintenant la FNAC : atterrée.

Elle aimait y flâner, feuilleter les livres, en acheter un, regarder les portants de cartes, choisir un DVD, elle y donnait ses photos à développer, savait pouvoir y trouver un cadeau, un objet du quotidien.

Oui le magasin avait besoin d’un coup de neuf, oui la moquette était bien moche et bosselée mais voilà c’était là à portée de mains, de regard. Et en sortant elle se reposait dans un salon de thé sous les arcades.

« Je vais y aller comment à Houssen, et puis c’est moche Houssen. Si mon téléphone, mon téléviseur, ma radio clabotent avant moi je fais quoi ? »

Et à la place ? Un truc à vêtements pour ados, à gadgets comme les trois quarts de la rue des Clefs, un temple du nougat, du chocolat, du bredele ?

Colmar ville musée ? Laissez-moi rire (jaune) : un musée ça vit, ça vibre, ça donne à penser, ça apporte du bonheur, ça nourrit l’âme et le cœur, on va, on vient, on retourne sur ses pas.

Les Colmariens n’ont plus de cinéma d’art et d’essai, n’ont plus la librairie Hartmann, les quelques boutiques dites de proximité disparaissent peu à peu et maintenant la FNAC : « une ville où il fait bon vivre », une ville de culture vraiment ? Une ville où on ne respire plus.

18 juin 2021

« Un vrai tourisme »

Isabelle Kieffer

« Un vrai tourisme » : expression un peu absconse lue je ne sais plus où à propos de Colmar depuis que bars et restaurants sont ouverts, à l’extérieur comme à l’intérieur.

Envahissant d’ailleurs l’espace public du centre-ville. Si la politique municipale à venir est d’interdire ce centre aux voitures pour le consacrer aux piétons (pourquoi pas ?) qui zigzagueront entre les tables, il conviendra de réduire fortement le coût des parkings qui donnent accès à ce centre : ceux de la mairie, de la Montagne verte, Saint-Josse.

À défaut, on continuera à entendre « le centre je n’y vais plus depuis longtemps » et à faire prospérer les centres commerciaux.

Pour ma part j’aurais préféré que la place du marché aux fruits redevienne une place avec des bancs à l’ombre des arbres, une jolie fontaine, où le piéton, le touriste puissent se poser et se reposer sans avoir à consommer.

8 mai 2021

Aide aux étudiants

Isabelle Kieffer

Une belle initiative pour les étudiants

que « Flames » pourrait peut-être reprendre, même si l’année scolaire et universitaire se termine bientôt. Beaucoup d’étudiants de l’IUT et des lycéens ont souffert de la crise liée au COVID : pas de petits jobs ni en cours d’année ni pendant les vacances, des parents eux aussi en difficulté pour aider leurs enfants.

À Vence opération de soutien « remplis une box » : dans une boîte des produits alimentaires non périssables, des produits d’hygiène, du matériel « scolaire » (stylos, feutres, ramette…), des douceurs pour le moral, un mot d’encouragement et tout ce qui paraît utile ou réconfortant...

Les étudiants s’inscrivent via une adresse-mail puis se rendent au lieu de collecte ouvert trois fois par semaine.

29 avril 2021

Mobilité, accessibilité et terrasses

Isabelle Kieffer

- 29/4/2021 - Toujours au ras du bitume mais le nez en l’air, je remercie la municipalité de sa campagne par grands panneaux d’affichage pour la propreté de la ville, pour la sécurité des « espaces partagés ».

Ces incitations sont nécessaires, elles resteront lettre morte si l’effort demandé n’est pas encouragé par l’installation de nouvelles poubelles publiques (à vider régulièrement), ça ne doit pas être tellement plus cher que les débauches de fleurissement et décorations de l’ère Meyer. Le 20 km/h et la priorité aux piétons concernant certaines rues, anciens chemins ruraux sans trottoirs, ne seront respectés qu’avec un marquage au sol répété. Le conducteur pressé ne voit pas le panneau placé en hauteur mais il est supposé regarder la chaussée devant lui. Ce marquage ne doit pas être bien cher non plus à effectuer.

Une journée pour la mobilité, l’accessibilité c’est bien, une réflexion et des décisions pour les années à venir c’est mieux. Quitte à déplaire à certains.

On a bien compris qu’à la fin du confinement cela allait être la fête des terrasses des bars et restaurants de l’hyper-centre : mais aux jours meilleurs la municipalité va-t-elle continuer à tolérer une extension ad libitum desdites terrasses avec leurs parasols bariolés et parfois, joie pour les riverains, une musique à fond les basses jusqu’à une heure avancée ?

Place de l’Ancienne Douane, de la Cathédrale, Grand-Rue et autres... le piéton, alerte ou pas, encombré ou pas, avec des enfants, un parent ou un ami âgés, une poussette, un fauteuil roulant se demande par où passer, se glisse comme il peut entre les tables.

Les boutiques à peluches-cigogne et petits cœurs made in China en mal de clients depuis plus d’un an vont-elles continuer à pouvoir étaler leurs tourniquets ?

Quelle ville veut-on et pour qui ?

20 avril 2021

Colmar ville propre

Isabelle Kieffer
20/4/2021

Je ne demande pas que Colmar devienne une « ville verte » : à l’impossible nul n’est tenu, on peut grignoter de ci de là, attendre que la végétation pousse au-dessus du parking Montagne verte, couvrir les pavés de bacs à fleurs, entretenir et valoriser les quelques parcs et promenades, essayer de rendre la minérale place Rapp plus fleurie et arborée ainsi que l’espace désert devant les Unterlinden (comme l’avait promis feu M. Meyer)… faut pas rêver, on n’aura jamais Hyde Park ni Central Park.

Moi, je souhaiterais juste que Colmar devienne une ville propre, enfin plus propre. Je sais, je me répète. Les containers pleins parce que pas assez souvent vidés, leurs abords dégoûtants jamais nettoyés, les poubelles qui vomissent les détritus pendant des jours et des jours et ça s’entasse, les crottes de chien parce qu’il n’y a pas de distributeurs de sacs et que bon, aller en chercher à la mairie, la barbe, les bouts d’herbe autour des arbres, les parterres y’a pas intérêt à y mettre un pied ou une patte…

Appels répétés, hebdomadaires, au service « déchets » de la mairie qui répond - aimablement - quand il peut, pas souvent. Des interventions ponctuelles, insuffisantes pour vider ce qui peut l’être. Un employé a eu cette phrase magnifique : « Mais enfin, pourquoi c’est plein tout le temps ? ».