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31 décembre 2020

Tourisme de masse : remettre les pendules à l'heure

Edouard Dabrowski

Un des effets collatéraux du Covid a été de stopper net le tourisme de masse. Un désastre pour certains, une bouffée d'oxygène pour d'autres, un bien pour l'écologie, un répit pour la planète, sûrement. Une opportunité, en tout cas, dont devraient se saisir les municipalités victimes de ce fléau ; elles ont désormais tout loisir de réfléchir à l'après Covid pour trouver des solutions alternatives.

Les municipalités qui ont encouragé le développement de cette forme de tourisme jusqu'à la surdose, s'abritant toujours derrière les mêmes poncifs pour défendre leur parti pris, devront s'adapter à la nouvelle donne : privilégier l'optimum, au lieu de courir après le maximum.

Et donc procéder à une réduction drastique du nombre de visiteurs qui se précipitent en même temps en un même lieu, ce qui semble être une évidence première à prendre en compte.

Très vite il faudra donner des gages aux habitants qui non seulement ne profitent pas du système mais en subissent toutes les nuisances. Ils sont quelques centaines de mécontents, à avoir pris la peine de donner leur avis, ici, à colmarinfo.com. Il serait judicieux, pour les responsables municipaux, de les consulter et d'en tenir compte.

Les plus réticents au changement ont déjà commencé à donner de la voix, il se situent, on s'en doute, dans le camp de ceux qui tirent profit du tourisme de masse et n'espèrent qu'une chose : revenir le plus rapidement possible à la situation d'avant. Certains sont dans l'entourage très proche du maire. Bon courage pour satisfaire les uns et les autres. À notre avis cela relève de la mission impossible. Nous ne devrions pas tarder à voir de quel côté penchera la balance, nous ne baisserons pas la garde.


Le manque de culture nuit gravement à la santé

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https://www.youtube.com/watch?v=amESLP7Fyj4



30 décembre 2020

Fabien Nierengarten

Question du jour : Peut-on se lever un matin avec une gueule de bois carabinée, sans avoir bu la moindre goutte d'alcool la veille ? Réponse du jour : Eh oui, tout est possible en 2020 ! Par exemple, quand tu apprends avant de t'endormir que, malgré toutes les précautions que tu prends, toutes les concessions que tu fais, tous les sacrifices que tu t'imposes depuis des semaines, tu vas devoir t'enfermer chez toi dès 18h au lieu de 20h.
Donc, colère du jour : Y en a marre, y en a ras-le-bol, y en a ras-le-Q du confinement, du couvre-feu, du couvre-tout et n'importe quoi !!!
Mais la faute à quoi , la faute à qui ??? A ceux qui prennent ces mesures de protection parfois incohérentes et souvent difficiles à supporter, surtout pour certains professionnels ? Ou à ceux qui continuent à vivre comme si rien ne s'était passé depuis un an, qui en veulent à mort au virus, mais qui continuent à refuser de le combattre, et qui font systématiquement passer leur confort perso avant la sécurité de tous ?
Pour ma part, j'ai ma petite idée. Mais comme il ne s'agit pas d'une certitude, et encore moins d'une connaissance scientifiquement démontrée, je me garderai bien de la partager ici. Que chacun continue à faire ses choix en son âme et conscience. Notamment en ce qui concerne le vaccin. On fera les comptes dans quelques mois. Mais que personne ne vienne râler ensuite...



27 décembre 2020

Le Général et le Député

Bernard Friedrich

"Que Dieu lui pardonne... pour nous ce sera plus dur !"
Je croyais vraiment en avoir fini avec lui. Jusqu'à aujourd'hui où une presse bien informée nous relate les engagements et exploits tous azimuts de notre nouveau député au palais Bourbon, exploits devant lesquels ses collègues pourtant plus expérimentés restent bouche bée. Enfin on avance !
Comment le grand timonier d'hier a-t-il pu nous priver de telles compétences ? Et pourquoi aura-t-il, lui, ce prétendu grand connaisseur des hommes, voulu affubler ce serviteur si dévoué d'un costume trop grand nous privant d'un chef de très haute volée ? Incompréhensible. L'âge, la jalousie, la crainte que l'élève ne dépasse le maître, la maladie ? Difficile de trancher. Il nous aura tous, à son habitude, roulés dans la farine. Non que les débuts du nouveau locataire de la rue des Clefs ne soient pas des plus prometteurs, ne serait-ce que par une ambiance plus détendue et la poursuite des grands projets adaptés aux circonstances et vues nouvelles, non que son prédécesseur à PARIS tant dénigré par le passé n'ait pas fait le "job". Mais quel inacceptable gâchis d'avoir privé les Colmariens d'une telle pointure !
Vous je ne sais pas ; moi je ne peux ni oublier ni pardonner.

UN CADEAU DE NOËL POUR NOS AÎNÉS

[Colmar] On aurait voulu les dissuader d'aller chercher leur cadeau que l'on ne s'y serait pas pris différemment.
Quelle mesquinerie, quel mépris que de demander aux personnes de 72 ans et plus de se rendre au Parc Expo, à l'extérieur de la ville, munies de leur carte d'identité et d'un justificatif de domicile pour récupérer... une bouteille de vin. En remplacement du repas et du colis de Noël offert chaque année par l'ancienne municipalité.




Villeurbanne :


Mousse au saumon, foie gras, financiers à l’orange, papillotes… Une vingtaine de produits de qualité, salés et sucrés, composait chacun des 1045 colis livrés aux personnes âgées. Plusieurs adjointes et adjoints au maire ont accompagné les agents du CCAS au cours de leur distribution.


Nogent-le-Rotrou

Dans le contexte du coronavirus, les élus et les agents du Centre communal d’action sociale (CCAS) ont opté pour le portage à domicile des colis de Noël aux 1.251 anciens de la commune. La distribution aux Nogentais et Nogentaises, de 70 ans et plus, a débuté mercredi 2 décembre.
En raison des contraintes sanitaires liées à l’épidémie de Covid-19, la distribution des colis de Noël aux anciens de la commune de Nogent-le-Rotrou se déroule cette année en porte-à-porte. Un soulagement pour les Nogentais et Nogentaises âgées de 70 ans et plus qui hésitent à sortir en cette période de déconfinement progressif et d’incertitudes.

La distribution des colis sur rendez-vous, dans une salle municipale et par petits groupes avait été étudiée dans un premier temps par les élus, mais le dispositif était trop lourd, trop contraignant à mettre en place et à encadrer. La solution la plus simple et la plus sécurisante a été d’utiliser les circuits bien rodés du portage à domicile des repas pour acheminer les colis chez les anciens.

Le CCAS mobilisé pour venir en aide aux personnes âgées

La préparation des colis a été lancée en début de semaine. Elle a mobilisé des élus et du personnel municipal. Les tournées ont commencé, mercredi matin, à travers la ville. Elles sont menées par trois groupes de trois “livreurs” constitués d’élus et d’agents communaux qui ont en charge les différents quartiers.

Béatrice Liziard, conseillère municipale, déléguée aux affaires sociales, explique :

« Les personnes âgées apprécient beaucoup de ne pas avoir à se déplacer. Nous sommes vraiment contents d’aller à leur rencontre et eux, sont visiblement ravis de notre visite. En cette période difficile, certaines personnes ont tendance à s’isoler. Ce portage, c’est aussi pour nous une façon de retisser des liens, d’échanger avec nos anciens, de demander de leurs nouvelles, de s’enquérir de leur santé »

Mercredi, son groupe a effectué le portage des colis dans le centre-ville. « L’opération se déroule en toute sécurité dans le respect des gestes barrières », précise l’élue.

26 décembre 2020

Il y a un an : Colmar, une ville vieillissante

Vincent Eisenmann

Le choix fait par l’équipe municipale est d’exclure les familles de la ville, la politique du tout pour le tourisme et le matraquage constant des Colmariens sur le stationnement en sont les plus belles preuves ! Les Colmariens n’ont plus rien à faire en ville, place au tourisme ! ... Mais en agissant ainsi, vous vous coupez la possibilité de voir s’implanter toute une frange de commerces dits de proximité qui serviraient les besoins des Colmariens et qui créeraient du dynamisme économique. Colmar est une ville vieillissante, c’est évident, une ville musée, dans laquelle les jeunes couples ne sont manifestement pas, plus, les bienvenus, les jeunes n’ont plus accès à la propriété, dans une ville où Airbnb et le tourisme seront bientôt le premier fournisseur d’emploi ; la faiblesse de l’offre universitaire en est encore une preuve. Je ne dirais pas que GM n’est pas un bon gestionnaire, il n’est justement que gestionnaire et pas assez visionnaire à mon avis, je dirais qu’il ne perçoit pas ou mal les évolutions de la société, l’évolution des besoins d’une ville ; il parle principalement, je trouve, à sa base électorale, plutôt vieillissante aussi, mais qui est majoritaire puisqu’il enchaîne les mandats, une base qui a l’argent et donc le pouvoir. Pendant ce temps le train passe et on s’enlise dans le passé avec des musées, des bibliothèques, des lumières sur nos façades, des parkings pour alimenter le parc d’attraction à coup de millions d’euros, dont on se fout royalement, nous, habitants de Colmar... on aimerait voir arriver moins de Chinois (je n’ai rien contre les Chinois) et davantage de pépinières d’entreprises, de startups, que l’on favorise l’innovation et l’entreprise, des hautes écoles, des universités, des jeunes familles avec leurs enfants, des garderies, des parkings gratuits etc... et surtout une ville qui regarde vers l’avenir et moins vers le passé... les villes qui se placent haut dans le classement misent sur la jeunesse, la natalité, les familles, bref sur l’avenir !
12/12/2019

Scandale du Covid-19 : Maître Di Vizio, avocat du professeur Raoult, dit tout

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https://www.youtube.com/watch?v=rttGo_Cn_GA



Christmas blues

Fabien Nierengarten

Il y a un an, je décrivais dans "Christmas blues", le chemin de croix du Père Noël, devenu travailleur précaire. Avec un brin d'humour quand même. En 2020, rien ne s'est vraiment arrangé ni pour lui, ni pour nous. Mais c'est avec un optimisme à toute épreuve que je partage à nouveau ce petit texte qu'on peut retrouver (joliment mis en page) dans les "Chroniques du monde d'avant". Avec le dessin de Phil, évidemment. Et quelques rimes en prime... 

La planète Terre dans un futur proche. Nos grands dirigeants sont restés de glace face au réchauffement climatique. Le cercle polaire est devenu le nouvel eldorado des capitalistes sauvages, et ses ressources naturelles, la cible de quelques bandits pas manchots, prêts à jouer l'avenir du monde à la roulette.
Le Père Noël, privé de ce paradis blanc où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps, a été viré de l'arène des neiges où il profitait d'un emploi à vie. Désormais libéré, délivré de son traîneau, le voilà obligé de trouver un nouveau boulot. Mais avant de partir, il devra bien se couvrir. Car dehors, il va faire un peu froid. Allez, mon gars, enfile ta parka !
La descente est raide quand on passe du Pole Nord à Pôle Emploi. Surtout quand dès le premier rendez-vous, on s'enguirlande avec son conseiller. "Un poste à Rennes ? Quelle drôle idée !" De quoi le couper direct dans son élan. Car il bout, à présent. De colère, évidemment.
Dès le lendemain, cependant, son destin bascule. On lui présente un type plein de tunes dont le slogan explique la fortune : "Ton temps, c'est mon argent", voilà le rêve qu'il vend. On dit qu'il a inventé un tout nouveau système d'exploitation. Comme quoi, ce n'est pas que dans l'informatique qu'on peut gagner des millions.
Ce type, tout le monde l'appelle Hubert. Il est vraiment super. Car voilà notre Père Noël tout cafardeux, transformé en travailleur précaire tout heureux. L'année à venir s'annonce vachement chargée. Et les enfants vont forcément adorer.
Premier boulot, premier fardeau. Jouer au Père Noël de pacotille, ce n'est vraiment pas rigolo. Surtout quand il faut faire le joyeux drille dans les rayons du Casino, pour ameuter les petits garçons et petites filles, en chantant très fort dans un micro. "Jingle bell, jingle bell" reprend-il de plus belle. Elle est où, la tendresse, bordel ?
Mais il jette un bonnet pudique sur ses convictions. Il faut bien bouffer, c'est ça, sa seule motivation. Dès le lendemain de Noël, il bossera pour une plate-forme qui permet d'échanger les cadeaux. Une hotte-line pour parents névrosés qui pourrissent leurs marmots.
Voilà déjà le printemps. La nature s'éveille peu à peu partout sur la terre. Et notre Père Noël ouvre doucement les yeux sur son calvaire. Embauché pour faire la promo d'une marque qui se la joue écolo, le voici déguisé en lièvre de Pâques pour une chasse aux œufs garantis bio.
Mais qu'importe. Ce qui est sympa avec les enfants vegan des bobos, c'est que pour eux, un lapin, ça ne termine jamais en gigot. C'est vrai qu'il vaut toujours mieux être ridicule en bête à poil, que de finir sa vie au fond d'une poêle. On se console comme on peut. La vie ne sourit pas qu'aux courageux.
Tiens, un job dating pour un boulot estival à la Grande-Motte. Là, c'est sûr, il y va, ça le botte. Mais pour être vendeur de plage, notre papa Noël n'a pas le bon style : une bedaine saillante et un torse à pelage, ça vous gâche un profil. Dommage pour son slip de bain rouge à pompons blancs qui aurait plu aux gamins...et surtout à leurs mamans.
Finalement, c'est chez Pizza Hotte que son look de hipster a fait sensation. Y a pas mieux qu'une barbe de bûcheron pour vendre de la "quat'saisons". Le voilà donc chevauchant son engin en anorak couleur tomato, avec sa devise "scoot toujours" fièrement tatouée sur la peau.
L'automne est déjà bien entamé. Idem pour le moral de notre travailleur saisonnier. Il est convaincu qu'en n'étant pas minorité visible, il fait désormais partie de la majorité inaudible. On lui soutient pourtant qu'il est privilégié, puisqu'il n'est ni femme, ni jeune, ni "basané". Mais en lui, il ne croit plus. Le Père Noël n'existe plus.
Vivement que son année se termine. Ce sera sous un déguisement d'Halloween. Encadrant un groupe d'enfants en quête de bonbons, Papa Noël avoue qu'il se sent un peu con. L'an prochain, c'est promis, il ne se nourrira plus d'illusions. Il maudira le sinistre Hubert et tous ses compagnons. Ce qu'ils méritent, c'est rien de moins que l'enfer. Car avec eux, la vie rimera toujours avec galère.


25 décembre 2020

Noël 2020 vu par Phil




Fabien Nierengarten et Phil : un duo à l’humour piquant qui réveille l’actualité

Par M.F. L'ALSACE du 24/12/2020

Fabien Nierengarten et le dessinateur Phil Umbdenstock étaient faits pour se rencontrer. Aux écrits de l’un répondent comme un écho les dessins de l’autre. Ces Chroniques du monde d’avant décortiquent l’actualité avec une causticité mêlée de tendresse.

Il considère « l’écriture comme un cri qui vient de l’intérieur. » Fabien Nierengarten aime « jouer avec les lettres ». Depuis février 2018, il signe des chroniques parues dans le magazine Raddar. Le Ribeauvillois Fabien Becker, responsable de la publication, a décidé de compiler ces textes pour qui il a eu « de très bons retours ».

« Un jour, j’ai rencontré Phil au conseil départemental, raconte Fabien Nierengarten. J’admire ce qu’il fait depuis 30 ans. Je lui ai parlé du livre, il a accepté immédiatement. » Les futurs coauteurs se connaissaient. Ils sont amis sur Facebook. « Je likais ses chroniques et lui likait mes dessins… » Phil Umbdenstock a carte blanche. Peindre l’actualité avec un œil aiguisé et artiste, ça le connaît.

Rédiger des articles ne dépassant pas 800 ou 900 mots oblige à être percutant. L’actualité, qui file jusqu’en juin 2020, est passée au crible de l’humour doux-amer des deux auteurs. Le livre, qui vient de sortir, renferme vingt-trois chroniques, illustrées de vingt-quatre dessins.

« La colère braque, l’humour fait réfléchir »

Fabien Nierengarten évoque les « embûches de Noël », épingle la « smartfaune », brocarde la célébration de la Saint-Valentin au travers des « vestiges de l’amour », mais rend un hommage à l’Italie, contrée chérie. Il dissèque les thèmes de société : l’écologie, les réseaux sociaux, laisse remonter à lui des souvenirs d’école et de parties de foot.

Il porte sur le monde le regard amusé d’un Gaspard Proust, aujourd’hui, des Inconnus, hier. « La colère braque, l’humour fait réfléchir », érige-t-il en principe.

Chargé de mission auprès du président du conseil départemental, Fabien Nierengarten a l’habitude d’écrire, mais pas avec ses mots à lui. Il rédige des discours où il se fond dans la peau des orateurs. « Écrire sans ma signature permet de me libérer. »

Chroniques du monde d’avant – Prix : 9, 90 € - Éditions Vecteur Communication, Ribeauvillé – 06 84 00 75 05 - vecteurcommunication@free.fr



Fabien Nierengarten (à gauche) a demandé à Phil Umbdenstock d’illustrer ses chroniques. Photo L’Alsace Hervé KIELWASSER

24 décembre 2020

Covid : vers un passeport vaccinal ?

Christophe Barbier : « Il est tout à fait normal, logique et juste que les vaccinés puissent prendre l’avion, le train ou aller au restaurant. Ceux qui ne sont pas vaccinés n’auront pas le droit d’aller dans ces endroits collectifs. »

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C O M M E N T A I R E S


Petite réflexion sur cette "épineuse" question…
Les scientifiques et, je crois, les représentants des labos disent qu'on n'est pas sûr que ça protège, pas plus que ça n'empêche d'être contaminant.
Donc, je ne me fais pas vacciner, ça cause du tort à qui d'autre que moi ? Au pire je ne pourrais contaminer que quelqu'un comme moi ayant fait ce même choix… si le vaccin fonctionne. S'il fonctionne partiellement, les gens vaccinés seront alors, pour certains, aussi vulnérables que moi… Et s'il ne fonctionne pas…?
Dans tous les cas de figure je ne fais courir de risque à personne d'autre que moi, que ça soit efficace ou non.
Partant de là, toute forme d'obligation est clairement une atteinte INTOLÉRABLE à MA LIBERTÉ, et est de ce simple fait totalement illégale. Sans même qu'il soit besoin d'évoquer le Code de Nuremberg.
Gérald d'Orbe - 24/12/2020 18:28

Victorine Valentin

2020, une année à oublier ? Et si c'était le contraire ?

Nous avons appris de la crise sanitaire que l'humanité est fragile, sur la planète toute entière. Nous sommes des roseaux tremblants, mais aussi des roseaux pensants.
Cette crise devrait donc nous inviter à plus d'humilité. Nous ne sommes pas maîtres de notre destin. Nous devons accepter notre interdépendance, et renouer une relation apaisée avec notre environnement et de respect envers la nature.
C'est dans cette pleine conscience que nous pourrons tracer ensemble un chemin de paix et de sérénité, pour que 2021 soit une année d'équilibre et d'épanouissement.


Photo Victorine Valentin