Translate

12 avril 2021

Coronahumour













Méli-mélo


⬦ [Citation] Quand le peuple ne croit plus à rien on peut lui faire croire n'importe quoi.
Yvan Audouard


⬦ D.M. : Tiens ! Nous avons un député ?
B.F. : Oui ! Un mec qui s'occupe de tout, même de ce qui ne le concerne pas.


⬦ Faisons preuve de citoyenneté et dénonçons donc les citoyens qui dénoncent !
C.S.


⬦ Les bars fermés : du coup, on ne pourra plus faire leur fermeture.


⬦ Olivier VERAN :
« Les personnes vaccinées sont aussi celles qui sont les plus exposées aux formes graves et aux décès en cas d’inefficacité initiale du vaccin ou de réinfection post-vaccinale ou de la virulence d’un variant. »
« Le vaccin n’empêche pas de transmettre le virus aux tiers. L’impact de la vaccination sur la propagation du virus n’est pas encore connu. »
https://www.sudouest.fr/sante/coronavirus/vaccin/covid-19-un-octogenaire-vaccine-demande-au-conseil-d-etat-de-ne-plus-etre-confine-1859560.php


⬦ Il n’y a pas loin, du syncrétisme au saint crétinisme.
B.R.


⬦ [Dîners clandestins] De Rugy, c'est toi déguisé en Polnareff ?


⬦ [Gestion de la pandémie] Le doute est entre volonté assumée de disposer de la vie des citoyens ou incompétence des gouvernants et perte de contrôle de la situation qui poussent à une gestion erratique : les flots d'argents distribués sans discernement pour maintenir "la paix sociale" me font penser à une forme de panique au sommet de l'État, accentuée par la disparition de toute procédure démocratique dans les prises de décision. Une partie de la population ne croit plus aux bobards gouvernementaux, mais une autre, aussi nombreuse, voit en Macron l'archange de la passion et de la guérison/rédemption...
D.L. 12/4/2021


⬦ [Vaccin] Les médecins vous diront qu’avec le vaccin vous aurez la grippe mais en moins fort ! Comment peuvent-ils connaître le degré plus ou moins fort d’une grippe ? C'est selon les personnes ! Le pire c’est que les gens croient les médecins sur parole.
C.M.


⬦ L'ASTRAZENECA s'appelle désormais VAXZEVRIA. Ça change tout !

Fabien Nierengarten

Il paraît que chacun de nous a son "tic de langage" :
- Il y a bien-sûr le classique "euh" qui finit par transformer chaque prise de parole en un récital de meuglements,
- Il y a également le retentissant "donc" qui, au fil de la conversation, finit par rendre complètement cloche,
- Il y a enfin, le fameux "quoi" qui vient ponctuer chaque phrase, genre interview d'un sportif : "J'ai pris la balle, quoi. Puis j'ai tiré, quoi. Et puis, j'ai marqué le but, quoi. Et puis voilà, quoi."
Mais depuis peu, un nouveau mot est venu enrichir le vocabulaire de nos bafouilleurs préférés, en l'occurrence l'adverbe "effectivement". Vous n'avez pas encore remarqué ? Certains le prononcent effectivement plusieurs fois dans la même phrase. Un peu comme si en son absence, on ne serait effectivement pas assez persuasif. Oh merde, me voilà aussi contaminé. Effectivement.

Concordat en Alsace-Moselle : faut-il le supprimer ?

Public Sénat
Par François Vignal - Publié le 10/4/2021

C’est l’objet d’un amendement des sénateurs communistes, qui sera examiné lundi dans le cadre du projet de loi sur le séparatisme, alors qu’un sondage montre que l’idée de l’abrogation gagne du terrain en Alsace-Moselle. Mais à droite, comme à gauche, beaucoup d’élus s’opposent à la suppression du Concordat, héritage napoléonien.

Une polémique et un sondage qui relancent le débat sur le Concordat. Le principe d’une subvention de 2,5 millions d’euros accordée par la mairie de Strasbourg à une mosquée, portée par l’association Milli Görüs, proche du régime d’Ankara, a déclenché la polémique que l’on sait. Et quelques confusions. « Ce n’est pas le Concordat, mais la non-application en Alsace-Moselle de la loi de séparation des Eglises et de l’Etat de 1905, qui permet aux collectivités de financer les cultes » précise Pierre Ouzoulias, sénateur PCF, archéologue et chercheur au CNRS.

Puis un sondage Ifop, commandé par le Grand Orient de France, principale organisation franc-maçonne du pays et chantre de la laïcité, a jeté le trouble chez les partisans du Concordat. Selon ce sondage, 78 % des personnes interrogées dans tout le pays seraient favorables à l’abrogation du Concordat. Mais surtout, 52 % des personnes habitants l’Alsace-Moselle (échantillon de 801 personnes) se déclarent pour l’abrogation.

Le fruit d’une histoire tumultueuse

Il n’en fallait pas moins pour interroger le sens du Concordat. Un peu d’histoire d’abord. En 1801, Napoléon signe avec le Pape Pie VII le Concordat pour organiser le culte en France. « Une forme de mise sous tutelle de la religion catholique qui permet de nommer les évêques, les ministres des cultes et de les rémunérer. La religion catholique devient une forme de service public » explique Pierre Ouzoulias. Abrogé en 1905 par la loi de séparation des Eglises et de l’Etat, le Concordat subsiste en Alsace-Moselle. Le fruit d’une histoire tumultueuse, qui a vu ces territoires annexés par l’Allemagne en 1870. De retour en France en 1918, puis de nouveau en 1945, après la Grande guerre et la Seconde guerre mondiale, l’Alsace et la Moselle conserveront le régime concordataire tout comme le droit local. Le Concordat s’est entre-temps élargi aux deux cultes protestants (luthérien et calviniste) et au culte israélite. Et c’est tout. L’islam n’est pas concerné par le Concordat.

Outre la rémunération des ministres des cultes par l’Etat, c’est-à-dire les prêtres, les évêques, les pasteurs et les rabbins, le Concordat permet aussi l’enseignement religieux à l’école ou des cursus de théologie protestant et catholique aux universités de Metz et Strasbourg.

« Le sondage montre que les choses ont énormément évolué »

C’est dans ce contexte que le Sénat examine depuis deux semaines le projet de loi sur le séparatisme. Les sénateurs du groupe communiste (CRCE) vont en profiter pour défendre lundi un amendement qui vise tout bonnement à abroger le Concordat. « Les vrais séparatistes, c’est nous ! » lance Pierre Ouzoulias, qui précise : « Séparatistes dans le sens d’Aristide Briand et de Jean Jaurès, qui défendaient la séparation des Eglises et de l’Etat en 1905. On souhaite que ce soit réel sur tout le territoire : Alsace, Moselle, mais aussi Guyane, Mayotte, Wallis et Futuna, Saint-Pierre-et-Miquelon ». Le communiste ne comprend pas l’opposition à la fin du Concordat :

« On sent l’hypocrisie. Si la laïcité est un pilier de la République, il faudra m’expliquer pourquoi elle ne peut pas s’appliquer sur tout le territoire national… »

Le sondage tombe à point nommé pour les opposants au Concordat. « Ça fait des années que les élus des départements concernés disent que la population y est très attachée. Mais le sondage montre que les choses ont énormément évolué. Il y a un rejet du dispositif, qui est aussi une forme de rejet de l’expression religieuse dans la sphère publique » estime le sénateur PCF, « ça fait 20 ans que la question religieuse est rabâchée dans la sphère publique, il y a une saturation ».

« Il faut que la loi de 1905 s’applique partout et sans exception »

Alors que la droite sénatoriale multiplie les amendements qui visent l’islam radical, mais aussi parfois presque l’islam dans son ensemble, au regard de la tournure des débats, Pierre Ouzoulias pense que « la majorité sénatoriale joue les pompiers incendiaires avec ce texte et devrait faire attention ». « Ils veulent montrer qu’ils sont forts par rapport à l’islam politique. Mais ils ont conscience qu’en faisant ça, ils restreignent la liberté d’exercice des cultes. Les évêques leur ont dit. Mais ils ne veulent pas l’entendre car ils estiment que ce sont des dommages collatéraux. On est à front renversé. C’est mon groupe qui dit que ça va trop loin », ajoute le sénateur PCF des Hauts-de-Seine, qui qualifie même le texte de « loi néo-concordataire. C’est une extension du Concordat à la totalité du territoire national. Car la modification de la loi de 1905 soumet les associations cultuelles à une nécessité beaucoup plus sévère de contrôle ».

« Il faut que la loi de 1905 s’applique partout et sans exception », insiste Pierre Ouzoulias, « mais on sera très seuls dans l’hémicycle. Le RDSE est avec nous. Mais les écologistes n’y sont pas favorables, le PS est divisé et la droite est contre. En face c’est la ligne Maginot ».

« La population alsacienne est attachée au Concordat, quoi que dise ce sondage »

En effet. Pour le sénateur LR du Bas-Rhin, André Reichardt, pas question de toucher au Concordat. « La population alsacienne est attachée au Concordat, quoi que dise ce sondage réalisé par le Grand Orient de France. Les questions sont orientées », souligne l’élu du Bas-Rhin. Il est vrai que la manière de poser les questions d’un sondage est tout sauf anodine. Ici, les questions posées par l’Ifop tournent autour du coût, notamment celle-ci, qui donne les 52 % du sondage : « Personnellement, seriez-vous favorable ou opposé à l’abrogation du Concordat en Alsace-Moselle afin d’y faire cesser le financement public des salaires des ministres des cultes catholique, luthérien, réformé et israélite ? ». « Je m’étonne même qu’il n’y ait pas plus de personnes qui ne veulent pas payer », ironise André Reichardt. Il prévient :

« Il n’est même pas question une seconde que nous laissions faire une abrogation éventuelle. Je note d’ailleurs que le gouvernement ne le souhaite pas lui-même. »

Mais qu’est ce qui justifie aujourd’hui encore de financer les prêtres ou les pasteurs ? « On pourrait se dire que cet accord, après 220 ans, pourrait être modifié, mais il est inscrit chez nous dans un droit local qui, pour nous, forme un tout indivisible » soutient André Reichardt. « Le droit local, c’est bien plus que le droit des cultes. Il porte sur l’administration communale, la chasse, l’artisanat, la sécurité sociale, plein de points. Si on touche un pan du droit local, qui constitut un tout solidaire, à terme, c’est la fin du droit local », craint l’élu alsacien.

« Le Concordat n’est pas du tout une atteinte à la laïcité, c’est complémentaire »

Même défense du Concordat de la part de Laurence Muller-Bronn, sénatrice LR, qui était en numéro 2 sur la liste « Les voix de l’Alsace au Sénat » d’André Reichardt. « Le Concordat fait autant sens que les autres lois napoléoniennes en France, qui sont tout aussi vieilles. Ce n’est pas démodé » soutient la sénatrice. Quant au sondage, « on peut leur faire dire ce qu’on veut. C’est le Grand Orient qui l’a commandé ».

Pour Laurence Muller-Bronn, « le Concordat n’est pas du tout une atteinte à la laïcité, c’est complémentaire. Ce qui se passe en Alsace, c’est une richesse supplémentaire. On a la possibilité d’acquérir des connaissances sur les croyances, ça donne un regard beaucoup plus ouvert sur le monde ».

« Pour beaucoup de gens, le Concordat, c’est financer des mosquées. Or ce n’est pas ça. Il y a une confusion »

Il n’y a pas qu’à droite que le Concordat est défendu. A gauche aussi. Si le groupe écologiste va s’abstenir sur l’amendement des communistes, Jacques Fernique, sénateur EELV du Bas-Rhin, va s’y opposer. « Il me semble nécessaire de maintenir le statut local » dit le sénateur, qui avance ses arguments : « C’est d’abord une question de compensation » en raison « d’une rupture historique liée à notre histoire tourmentée » ; « Il y a ensuite l’argument européen. Du point de vue d’autres pays, comme l’Allemagne ou l’Italie, la reconnaissance des cultes est tout à fait classique » ; « Sur le plan constitutionnel, une décision de 2013 tranche et dit clairement que le droit des religions en Alsace-Moselle est compatible avec le principe de laïcité et est conforme à la Constitution » ; « C’est aussi une question de concorde, ça participe au mieux vivre ensemble sociétal ».

Même s’il s’étonne du résultat du sondage, Jacques Fernique reconnaît cependant qu’« il est clair qu’il y a quelque chose qui a chamboulé l’opinion publique, c’est conjoncturel. C’est l’ambiance de cette loi étrange sur le séparatisme et la polémique, surjouée par les services du ministère de l’Intérieur, sur la mosquée de Strasbourg. Pour beaucoup de gens, le Concordat, c’est financer des mosquées. Or ce n’est pas ça. Il y a une confusion ».

Jacques Fernique (EELV) veut élargir le Concordat à l’islam

Le sénateur écologiste souhaite malgré tout une évolution du Concordat… mais pour aller plus loin. Au nom « du principe d’égalité entre les cultes », « il faut réfléchir – c’est ce que la commission Stasi proposait – d’élargir le club des quatre cultes statutaires à la religion largement présente en Alsace-Moselle, c’est-à-dire l’islam, pour mieux l’intégrer ». « Ce n’est pas simple », reconnaît le sénateur EELV, « mais on pourrait déjà avoir par exemple une formation, dans le cadre universitaire, des ministres du culte musulman ».

Idée que ne rejette pas Laurence Muller-Bronn. « Je ne sais si c’est possible légalement, mais si ça l’était, pourquoi pas. Je n’ai rien contre. Il vaut mieux parler de la foi des gens que de la laisser vivoter. À ce moment-là, il y a des règles et elles s’appliquent à tout le monde ». De quoi nourrir les débats en séance, lundi au Sénat, à partir de 17 heures.

https://www.publicsenat.fr/article/parlementaire/concordat-en-alsace-moselle-faut-il-le-supprimer-188539?fbclid=IwAR10EDY5lMGslhs49SgulT79VhldVtMJDn8OmtQvsKoQhRF8UgBcIOrCuHc

11 avril 2021

Mouvement Radical

Clément Gorsy

Je souhaite aujourd’hui vous annoncer ma candidature à la présidence de la fédération haut-rhinoise du Mouvement Radical.
Après une période un tant soit peu compliquée pour notre fédération, je souhaite me consacrer pleinement à sa reconstruction.
Je pense que les valeurs du radicalisme coulent dans les veines de notre territoire alsacien, cette terre imprégnée d’humanisme, d’Europe et qui a toujours su grandir en défendant ses valeurs, valeurs qui sont également celles de notre bien le plus cher, la République.
Cette reconstruction, je la souhaite dans l’écoute et la co-construction, tel un manager, j’estime que le rôle d’un président de fédération se joue dans l’écoute des adhérents, des élus, des citoyens à parts égales.
Chaque avis doit être entendu sans jugement.
Au-delà de l’écoute, le travail de reconstruction lui aussi devra se faire de chaque pierre et en bon manager il m’incombera de veiller à la stabilité de l’édifice.
Je souhaite également redonner sa place dans le débat à notre formation politique et nous mènerons ensemble des discussions ouvertes et cordiales avec les autres formations politiques de notre territoire.
L’engagement est pour moi un mot que je considère comme l’une des clés de voûte quand on souhaite occuper une place dans une formation politique.
Mon engagement à débuté à l’âge de 16 ans où j’ai pour la première fois adhéré à une formation politique.
Technicien agroalimentaire de formation, mon ADN est empreint de la volonté du travail bien fait en respectant des principes élémentaires de qualité, cela m’a conduit dans divers secteurs ou j’ai occupé des postes de manager, dans lesquels j’ai toujours mis l’humain au centre.
Mettre l’humain au centre du débat et non plus à la marge, voici un des grands défis de la société de demain, en se posant la question de savoir ce que nous souhaitons laisser en héritage à nos enfants, ceci en intégrant directement les jeunes au projet d’avenir.
Ceux qui me connaissent, savent que j’utilise souvent cette expression : « Je ne souhaite pas être le ventriloque de la jeunesse mais le catalyseur afin de porter leurs paroles et ressentis et mener le combat avec eux. »
Aujourd’hui, nous voyons les changements sur notre territoire, la CEA est l’exemple de ce changement avec de beau enjeux à la clé si, et seulement si chaque citoyen peut s’exprimer et être représenté correctement dans les instances politiques ; c’est pour ces raisons que je ne briguerai aucun mandat durant les 3 années de présidence afin de pouvoir soutenir des femmes et des hommes de notre mouvement qui souhaitent défendre les valeurs du radicalisme dans nos organes politiques locaux.
Je terminerai en remerciant Patrice VEZINE et Jean-Daniel REBER qui on accepté de s’engager à mes côtés pour former un nouveau bureau fédéral.
J’adresse également une attention toute particulière à mon amie Laurine Roux, candidate à la présidence de la fédération bas-rhinoise du mouvement radical avec qui j’aurais, je l’espère, la chance de travailler et créer des projets et une dynamique sur tout le territoire alsacien.
Je conclus par les mots de cette dernière qui feront sans doute le ciment de nos deux fédérations :
« Si le radicalisme était un sport il serait sans nul doute un triathlon : rigueur, détermination, engagement sincère dans la durée, abnégation, adaptation au terrain et aux épreuves, territoires variés, diversité, respect de l'autre, débats parfois tonitruants mais à la fin toujours un bon repas convivial, humain et fraternel pour reprendre des forces ! »



Bernard Friedrich

« Période d'essai pour futur député » solution d'avenir ?

Le spectacle brouillon et vibrionnaire d'un certain élu de fraîche date à la faveur de circonstances très exceptionnelles est particulièrement instructif : menacé de devoir échanger les ors de la municipalité contre un abonnement aux restos du cœur, selon ses déclarations pleurnichardes, car n'étant ni retraité ni fonctionnaire et visiblement sans compétences particulières, le voici miraculeusement installé dans un TGV pour rejoindre un banc du Palais Bourbon. Et le voici tempêtant sur l'importance des langues régionales « Vous nous avez pris nos régions, laissez-nous nos langues » (à peu près). Que n'eût-il manifesté la même fermeté sur son strapontin de premier adjoint pour ce référendum coûteux qui - sans les propos mensongers et l'ego surdimensionné de son maître - aurait pu éviter à l'Alsace les événements de ces dernières années ? Il est sur tous les fronts, de tous les combats ; car il a bien retenu l'essentiel de son passé local : l'important c'est qu'on parle de vous, peu importe le sujet. ET CELA FONCTIONNE !

Et ne voilà-t-il pas qu'oubliant son rôle et les limites de ses « compétences de député », il vient faire la leçon à la patronne de la police nationale, au préfet... ET au maire ! Uniquement pour que l'on cite son action « peu réglementaire » et surtout sans effets. Que n'eût-il déployé la même fougue quand, responsable de la sécurité à la mairie, il n'osait appeler respectueusement l'attention de son mentor sur les risques inhérents à ses largesses sans contrepartie, notamment en période préélectorale, lorsque dans certains quartiers les cadeaux tombaient à flot. Peut-être n'en serions-nous pas là si par le passé il avait fait preuve d'un peu plus de courage ! Il dénonce l'inaction de l'actuelle gouvernance, oubliant les caméras installées, leur exploitation et les vertus de la discrétion dans ce type d'opération à gros risques. La période d'essai arrive à son terme ; son suppléant l'a déjà lâché... triste résultat dans un tandem ! Tirons-en les conséquences... Je ne connais pas bien le statut « financier » des députés mais crois savoir qu'il existe des dispositifs limitant pendant un certain temps les risques de pointer au chômage !

Phil