Translate

Affichage des articles dont le libellé est Dabrowski Edouard. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Dabrowski Edouard. Afficher tous les articles

8 décembre 2025

Concert de Noël à Saint-Matthieu par le Mosaïc Orchestra, sous la direction de Pascal Ferraro.
En partenariat avec l’ASMEO et la Paroisse Protestante de Colmar.
Photos Edouard Dabrowski


















23 novembre 2025

36e Festival du livre de Colmar
Photos Edouard Dabrowski









4 novembre 2025

Edouard Dabrowski

Inauguration de l'exposition "La photographie alternative... le champ des possibles"

La photographie alternative regroupe différents procédés permettant d'obtenir des tirages par contact, donc sans appareil photo. Ainsi, la photo Lumen est une technique de création de photogrammes, tirant parti des interactions entre la lumière et un papier photo argentique noir & blanc. Quant au cyanotype, autre technique d'impression monochrome, mise au point en 1842 par le scientifique anglais John Frederick William Herschel, il permet d'obtenir des impressions en blanc sur fond bleu de Prusse.
Les empreintes ainsi créées sont uniques, il n'est pas question de reproductibilité. Une activité passionnante et enrichissante que Xavier Gaschy, professeur d'arts plastiques, a su faire découvrir à ses élèves avec le concours de l'artiste photographe Capucine Vandebrouck.
L'exposition très intéressante et instructive, ouverte au public, se tiendra au collège Molière de Colmar jusqu'au 26 janvier 2026.








1 novembre 2025

6 octobre 2025

Edouard Dabrowski

Ah le tourisme ! En fait, c'est le tourisme de masse qui pose problème. Sous les mandats de Gilbert Meyer il a pris des proportions allant jusqu'à la surdose. Et Éric Straumann ne s'est jamais caché de vouloir continuer la politique de son prédécesseur. Tout au plus avait-il envisagé de supprimer les portants qui encombrent l'espace public devant les boutiques pour touristes, c'était une promesse de campagne. Résultat : il y en a toujours autant que sous l'ère Meyer. Les "décorations" kitchissimes qui dénaturent les façades historiques, transformant le centre-ville en disneyland, ne sont toujours pas enlevées, malgré la loi les interdisant, les commerçants concernés préférant payer l'amende infligée par l'architecte des bâtiments de France plutôt que de se conformer à la loi. Mais peut-être y a-t-il prescription ? On pourrait imaginer dans ce cas des mesures coercitives pour mettre les récalcitrants au pas.
La liste serait bien longue à faire, de toutes les nuisances qui empoisonnent la vie des Colmariens vivant dans le centre-ville. Malgré des aménagements à la marge, notoirement insuffisants et les hochets destinés à calmer les résidents exaspérés, aucune mesure sérieuse n'a été prise pour enrayer l'invasion touristique. Jusqu'à ces derniers temps, le maximum a toujours primé sur l'optimum, on se souvient de l'espèce d'hystérie collective qui s'était emparée de l'office de tourisme, de la municipalité et évidemment des commerçants flairant la poule aux œufs d'or, dans la course aux labels divers et variés, tout était bon à prendre pour faire "rayonner" Colmar dans le monde entier. Aujourd'hui, ceux qui sont à l'origine de cette débâcle, récoltant ce qu'ils ont semé, préfèrent faire profil bas, c'est pas moi M'sieur, c'est la faute à Instagram ou à la Région, et puis c'est partout pareil et même pire, d'ailleurs vous ne pouvez que vous taire puisque vous faites aussi du tourisme et patati et patata.
Comme toujours, à l'approche des municipales, les politiques de tous bords vont soudain (re)découvrir qu'une ville c'est aussi ses habitants. Ils vont entonner leur refrain habituel de la manne touristique indispensable à la prospérité de la ville – et comment donc faisait Colmar avant ? – mais que bien sûr on n'oublie pas les résidents. Hypocrisie et enfumage.
Colmar est foutue.