Translate

Affichage des articles dont le libellé est POLITIQUE LOCALE. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est POLITIQUE LOCALE. Afficher tous les articles

25 août 2025

Eric Straumann

-25/8/2025- Je ne suis pas un partisan de François Bayrou. Mais force est de constater qu’il est aujourd’hui victime de la dérive budgétaire née notamment du « quoi qu’il en coûte ».
Un signal désastreux a été envoyé : celui que la dépense publique pouvait être sans limite.
• La crise du Covid aura coûté 280 milliards d’euros.
• En comparaison, la suppression de deux jours fériés ne rapporterait que 4 milliards.
Ces débats sont totalement déconnectés de l’ampleur des enjeux.
Nous sommes à la veille de restrictions budgétaires que personne ne veut assumer.
À Colmar, j’ai toujours défendu une gestion rigoureuse, dans la lignée de Gilbert Meyer. Depuis le début du mandat, nous avons réduit la dette de la Ville de 70 à 50 millions d’euros, soit 20 millions de moins.
La responsabilité budgétaire n’est pas un choix, c’est une nécessité.
Yves Hemedinger
25/8/2025

« Il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre. »
Albert Einstein

Voilà ce que m’inspire la conférence de presse de Bayrou…
Monsieur le Premier Ministre, c’est honteux de laisser entendre que les Français ne seraient pas conscients de la situation dans laquelle vous et vos amis avez laissé la France.
• Ceux qui sont victimes d’insécurité,
• Ceux qui, de plus en plus tôt dans le mois, ont du mal à ne pas finir dans le rouge, même en travaillant,
• Ceux qui constatent que la parole de la France ne vaut plus grand-chose,
• Ceux qui voient que l’accès aux soins devient de plus en plus difficile,
• Ceux qui observent que les services publics sont de moins en moins efficaces faute de moyens…
Eux savent très bien dans quelle situation nous sommes !
Il faut être bien déconnecté et méprisant pour oser prétendre le contraire.
Et dire que ses amis macronistes dirigent la mairie de Colmar…!

23 août 2025

Yves Hemedinger
23/8/2025

Aujourd’hui dans L’Alsace/DNA, le maire me « tacle »… en sachant que je ne peux pas lui répondre comme le souligne le journaliste.
Pas très démocratique et révélateur de son mépris (sa crainte ?) pour le débat.
Drôle aussi de recevoir une leçon sur le kiosque, de celui qui communique depuis plusieurs semaines sur les cadenas de la Petite Venise, alors que Colmar a des sujets bien plus urgents : pollution du cours d’eau, qualité de vie des habitants…
Fier d’avoir défendu, avec beaucoup de Colmariens amoureux de leur ville et de son patrimoine, le maintien du kiosque !
Modernisé, il aurait pu être un vrai lieu de rencontre et d’attractivité pour nous, les habitants alors qu'aujourd’hui la place est devenue un simple lieu de passage.
Mais croyez-moi, on n’a pas fini d’en parler…

16 août 2025

Phil

-16/8/2025- Les Républicains colmariens : Je t'aime, moi non plus... (DNA Colmar)

10 août 2025

Eric Straumann
10/8/2025

Le Premier ministre envisagerait de remettre en cause les jours fériés spécifiques au régime local d’Alsace-Moselle.
Ces jours ne sont pas des « privilèges » : ils sont le fruit de notre histoire, de notre identité et d’un équilibre social qui fait partie intégrante de notre droit local.
Regardons les chiffres. Quel est en Alsace le taux de productivité, le taux d’absentéisme, le taux d’arrêts maladie, le nombre d’heures réellement travaillées rapportés à la population active ?
Je suis pleinement conscient de la situation dramatique de nos finances publiques. Les 35 heures y ont probablement contribué. Mais si nous voulons agir efficacement, c’est sur le temps global de travail qu’il faut intervenir, et non en supprimant des jours fériés.
C’est pourquoi je propose que la question du temps de travail fasse l’objet d’une négociation avec les partenaires sociaux. Une augmentation de 30 minutes hebdomadaire serait une solution équilibrée, de nature à clore ce mauvais débat et à recentrer les efforts sur l’essentiel.

3 août 2025

Yves HEMEDINGER
3/8/2025

Clarification nécessaire

Vous êtes nombreux à m’exprimer votre incompréhension face à l’investiture accordée par Les Républicains (à Paris) au maire sortant pour les prochaines élections municipales.
Et je vous comprends.
Tout le monde sait que le maire de Colmar a, ces dernières années, affiché un soutien constant à la Macronie, en cautionnant ouvertement des politiques souvent contraires aux valeurs de notre famille politique.
On se souvient aussi qu’il a pris ses distances avec Les Républicains, allant jusqu’à soutenir activement la députée macroniste Brigitte Klinkert lors des législatives de 2022. Résultat : ma défaite, avec seulement 100 voix d’écart… grâce à son appui. Ce comportement avait d’ailleurs provoqué des réactions très hostiles de la part des responsables LR à l’époque (voir les articles de presse).
À ceux qui me demandent pourquoi je ne suis pas investi : je ne suis tout simplement pas encore candidat déclaré. Mon nom n’a donc logiquement pas été soumis à la commission d’investiture.
Ce qui me surprend en revanche, c’est que le très macroniste Éric Straumann accepte sans sourciller une investiture LR. Une position incohérente, révélatrice d’un opportunisme politique… peu ragoûtant mais récurrent chez lui.
Si je n’ai pas encore annoncé ma décision, c’est parce que chaque jour, à votre contact, je vois bien que vos priorités ne sont pas les élections dans 8 mois, mais vos préoccupations du quotidien.
Les élections municipales n’auront lieu que dans 7 mois, nous aurons largement le temps d’en parler car
d’ici là, bien des choses peuvent encore évoluer localement, nationalement, et internationalement.
Contrairement à d’autres, je ne suis pas en quête d’un mandat pour le principe ou par calcul personnel. Je ne serai candidat que si c’est pour porter un vrai projet, avec une équipe solide, au service de Colmar et des Colmariens.
L’intérêt général, et rien d’autre.
Je laisse la politique politicienne à ceux qui ne sont intéressés que par leur seul nombril et qui ne se sentent bien que dans le paraître et la superficialité.
NB : Une chose est certaine, je n’ai jamais été et je ne serai jamais Macroniste.

Eric Straumann

J’ai ouvert une chaîne publique WhatsApp, pour vous permettre de suivre mon actualité, notamment dans la perspective des élections municipales de 2026 de Colmar.

Pour vous abonner :
- Cliquez ici : https://whatsapp.com/channel/0029Vb6RcPBAInPg3YZ9Dm1Y
- Appuyez sur « Suivre »
- Activez la cloche en haut à droite pour recevoir les mises à jour en temps réel.
C’est gratuit, sans publicité, et vos abonnements restent confidentiels.
À très bientôt sur WhatsApp !

31 juillet 2025

Eric Straumann
31/7/2025

Une mesure mise en œuvre dans les Alpes-Maritimes, soutenue par mon ami et collègue David Lisnard, qui devrait être étendue par voie législatives à l'ensemble du pays.

Suppression des aides sociales pour les trafiquants de drogue.

L’argent issu du trafic est désormais intégré dans le calcul des prestations sociales. Résultat ? Les dealers qui touchaient des aides les verront supprimées, et devront même rembourser ce qu’ils ont perçu à tort.
Il est temps d’en finir avec l’absurdité qui consiste à subventionner ceux qui empoisonnent notre jeunesse.

Recevoir une aide ou un logement social est un droit, mais aussi une responsabilité. On ne peut pas en bénéficier tout en piétinant les règles de la société.

Je salue cette proposition qui défend les contribuables et ceux qui cotisent et respectent la loi.
Dans le même esprit, donnons aussi aux maires le pouvoir d’expulser les dealers des logements sociaux. Il est temps de libérer ces logements pour celles et ceux qui en ont vraiment besoin.

26 juillet 2025

Joseph Rey nous a quittés il y a 35 ans

Florian Brunner

Maire de Colmar de 1947 à 1977, résistant, député, bâtisseur, artisan de la réconciliation franco-allemande.
Sous ses mandats, la population est passée de 46 000 à 62 000 habitants. Il a fait de l’insalubrité un combat, soutenu la création d’une zone industrielle, accompagné l’arrivée de Timken, la mise en place d’un port rhénan, et soutenu la préservation du centre historique. 4 000 emplois ont été créés. Colmar s’est transformée.
Trente années à la tête de Colmar. Des actes, des transformations, une vision. Logement, emploi, réconciliation, proximité.
Aujourd’hui encore, sa mémoire pourrait inspirer celles et ceux qui dirigent la ville. Gouverner, ce n’est pas gérer l’héritage, c’est bâtir pour ceux qui n’ont rien. Joseph Rey l’avait compris. Il n’était pas dans le calcul, il était dans l’engagement.
Colmar lui doit beaucoup. Non seulement ses toits préservés, ses logements construits, ses emplois créés, mais plus encore ce souffle invisible d’une ville qui croit en elle-même, qui ne renonce ni à sa mémoire, ni à sa dignité.
Une page est en ligne pour porter le projet d’une Fondation Joseph Rey : josephrey.fr

18 juillet 2025

Brigitte Klinkert

-14/7/2025- Depuis plusieurs semaines, nous demandons aux autorités allemandes un assouplissement –pour les habitants des régions frontalières – des contrôles renforcés mis en place entre l’Allemagne et la France, par le ministre de l’Intérieur allemand.
La liberté de circulation est un acquis majeur de la construction européenne il convient de maintenir des frontières ouvertes. Évidemment, des contrôles renforcés peuvent être mis en place temporairement pour des questions de sécurité et pour réguler les flux migratoires.
Nous demandons un assouplissement des contrôles : avec des contrôles plus ciblés, des facilitations pour les frontaliers (voies dédiées spécifiques, vignette sur le pare-brise) des patrouilles mixtes franco-allemandes.
Malgré les engagements pris – encore mercredi – à l’occasion de la séance plénière de l’Assemblée parlementaire franco-allemande, pour l’instant, nous ne voyons pas de changement.
À Kehl, aujourd’hui, une heure de bouchons avec aussi des contrôles des piétons et des cyclistes.
Demain, au Comité de coopération transfrontalière qui se réunit à Mayence, je ne manquerai pas de pointer cette situation et de demander que soient enfin prises en compte nos demandes !

14 juillet 2025

Yves Hemedinger
14/7/2025

Que ce soit très clair : je suis totalement opposé au projet du maire de Colmar (je souhaite sincèrement qu’il y renonce) visant à créer une aire de grand passage.
C’est un engagement politique que je réaffirmerai dans quelques mois, car j’ai d’autres solutions à vous proposer.
Elles figurent d’ailleurs dans les publications précédentes :
Stop projet aire des gens du voyage - Semm

• 2 millions d’euros
• Un site naturel précieux sacrifié
• Aucune obligation pour les gens du voyage d’utiliser cette aire

Voilà, en trois lignes, le résumé d’un projet d’aire de grand passage que l’on veut imposer sur notre territoire.
Nous ne sommes pas contre l’accueil. Nous sommes contre l’incohérence, contre le gâchis et contre une politique publique qui oublie le bon sens.
⇨ Ce projet, estimé à 2 millions d’euros, coûtera ensuite 90 000 € par an en fonctionnement.
⇨ Il serait implanté en pleine nature, dans le Neuland, un espace écologiquement remarquable, très apprécié des promeneurs, joggeurs, familles et riverains.
Pour quel résultat ? Aucun.
Car rien, absolument rien, n’oblige les gens du voyage à s’y installer, même si l’aire est prête, fonctionnelle et vide.
On veut construire un équipement lourd, dans un site sensible, sans aucune garantie d’utilisation, alors même que d’autres sites, moins coûteux et moins destructeurs, pourraient être envisagés.
Assez d’imposer des projets inefficaces, injustes et écologiquement absurdes.
Assez de dépenser des fortunes publiques sans contreparties ni résultats.
Ce combat n’est pas une polémique.
C’est une exigence de responsabilité vis à vis de nos concitoyens.

9 juillet 2025

Laurence Muller-Bronn
8/7/2025

Merci à Bruno Retailleau, ministre de l'Intérieur, et aux services préfectoraux du Bas-Rhin pour l'intervention rigoureuse et rapide dans mon canton d'Erstein. Les propriétaires des 350 caravanes installées illicitement à Huttenheim et à Sermersheim ont été contraints de respecter la loi.
Yves Hemedinger
9/7/2025

Assez des élus qui baissent les bras dès qu’on frappe à leur porte !
« Je ne peux rien faire », « C’est pas moi », « Envoyez-moi un mail »…
Ces réponses, vous êtes nombreux à me dire les avoir entendues. Trop souvent.
Alors oui, un maire ne peut pas tout.
Mais il peut et doit tout faire pour essayer. C’est ça, la responsabilité d’un élu : ne pas fuir l’obstacle à la moindre contrainte.
Moi ? Quand la porte est fermée, je tente la fenêtre… et s’il le faut, je passe par la cheminée !

Et vous feriez quoi de plus ?
– J’ai eu l’occasion d’agir concrètement quand j’étais en charge de ces dossiers avant 2020.
Ce que je faisais ? J’y allais plusieurs fois par jour avec la police municipale, et parfois nationale, pour mettre la pression et verbaliser le stationnement illicite.
Au bout d’un moment, ils finissaient par partir, lassés par la persévérance.
Alors oui, ça ne marchait pas toujours.
Mais jamais il ne me serait venu à l’idée de répondre par l’impuissance.
Encore un exemple ?
J’ai fait mettre des rochers pour empêcher les intrusions au stade de la Mittelharth, où ils s’installaient régulièrement. Depuis ? Ils ne peuvent plus y accéder.
Etc.
Mais mon commentaire ne concernait pas que ce sujet et évoquait ce que de nombreux Colmariens ont comme réponses à leurs questions.

8 juillet 2025

Eric Straumann

Facebook Live du 7/7/2025

Cliquer sur l'image ↴
Yves Hemedinger

-8/7/2025- En route pour Strasbourg (en train) à l’invitation de BFMTV, pour débattre avec le député LFI du Bas-Rhin sur la proposition de Mathilde Panot : désarmer les polices municipales et retirer les caméras de surveillance des villes.

Vous imaginez bien ma position…
Quand j’étais élu à Colmar en charge de la sécurité, j’ai justement contribué à :
• renforcer l’équipement de la Police Municipale ;
• déployer un vaste réseau de vidéoprotection : j’ai en effet fait installer les premières caméras à Colmar.
Parce que je le crois profondément : la sécurité est la première des libertés. Et elle n’est pas négociable.

7 juillet 2025

Les élus alsaciens donnent de la voix… enfin !

Riche séquence politique pour l’Alsace depuis un mois. Rappelons cette suite d’évènements que nous vous détaillons par ailleurs dans les articles listés dans cette newsletter. Début juin, publication d’un sondage Ifop commandé par les associations alsaciennes MPA, CPA et ICA, et dans lequel 72% des Alsaciennes et Alsaciens déclarent voter pour le retour d’une région Alsace en cas de référendum sur le sujet.

L’économiste Jean-Philippe Atzenhoffer démontre à l’appui que, si la Collectivité européenne d’Alsace devenait également région, on économiserait 100 millions d’euros par an rien qu’en supprimant les doublons, sans porter atteinte aux services publics.

La première réaction de Franck Leroy, président du Grand Est, a été comme d’habitude méprisante et insultante pour la volonté du peuple alsacien. Il a balayé le résultat du sondage car, selon ses dires, personne n’évoque jamais le sujet devant lui lors de ses visites sur le terrain depuis deux ans et demi, et qu’il y a d’autres sujets bien plus importants. En bref, si ses affidés subventionnés ne lui en parlent pas, c’est que ça n’existe pas. Bonjour la démocratie…

Conscient que cet argument ne suffisait plus, Franck Leroy a publié fin juin son propre sondage où 83% des « grandestiens » se déclarent satisfaits de l’action de la région Grand Est. Apparemment, nous sommes le seul média à relever que ce sondage a été effectué en rémunérant les sondés, ce qui en relativise le résultat (euphémisme).

Et, pour une fois, nos élus alsaciens ont saisi la balle au bond. Les 3 anciens ministres alsaciens Olivier Becht, Patrick Hetzel et Brigitte Klinkert ont publié le 3 juillet une tribune intitulée « Il est temps de faire de l’Alsace une région à part entière » dans le journal Le Figaro, en demandant expressément au gouvernement de déposer un projet de loi en ce sens. On vous en conseille la lecture, ce texte est à la fois clair et complet. Juste avant, Frédéric Bierry et 12 parlementaires alsaciens centristes ont signé et envoyé fin juin au Président de la République une lettre exprimant la même demande.

So what ? diront les sceptiques, le gouvernement et le Parlement, empêtrés dans leurs impuissances respectives, vont-ils agir ? Même s’ils restent inertes, cette séquence aura produit deux résultats positifs. D’abord, prouver que la question alsacienne reste d’actualité, n’en déplaise à Franck Leroy et aux partisans du Grand Est. Ensuite et surtout, des élus alsaciens se sont mobilisés – enfin - pour interpeler à voix haute les Pouvoirs publics à Paris. Se faire entendre jusqu’à Paris, c’est la clé d’un futur succès.

Benoît Kuhn

Éditeur

PS : les députés de la majorité n’ayant pas signé la lettre de Frédéric Bierry : Françoise Buffet, Louise Morel, Vincent Thiébaut dans le Bas-Rhin, Didier Lemaire dans le Haut-Rhin. Gardons-les en mémoire pour les prochaines élections.

6 juillet 2025

Eric Straumann
6/7/2025

Les caméras ne gênent que ceux qui ont quelque chose à se reprocher

La gauche annonce vouloir supprimer les caméras de surveillance si elle prend le pouvoir dans les municipalités.
Depuis mon élection, nous avons doublé le nombre de caméras et renforcé les effectifs du Centre de Supervision Urbaine.
Ces dispositifs ont largement démontré leur efficacité : de nombreuses interpellations en flagrant délit, notamment après l’agression récente d’une personne âgée, ont été rendues possibles grâce à elles.
Si vous me renouvelez votre confiance en 2026, je poursuivrai et renforcerai cet engagement :
• Objectif : 400 caméras déployées dans tous les quartiers
• Caméras de dernière génération : vision nocturne, haute définition, zoom longue portée
• Renforcement des effectifs pour une surveillance en temps réel
Une caméra sans agent pour la surveiller ne sert à rien.
Un dispositif moderne pour protéger les citoyens.

5 juillet 2025

Loïc Jaegert-Huber


-5/7/2025- Depuis plusieurs mois, j’ai pris le temps d’écouter, d’échanger, de consulter. Je suis profondément attaché à Colmar, et convaincu que notre ville mérite une ambition renouvelée, une gestion rigoureuse, et un cap clair.
Celles et ceux qui me connaissent savent que j’avais une forte envie d’y aller. J’y ai beaucoup réfléchi.
Mais une chose est évidente : cela ne s’improvise pas. Être Maire, c’est comprendre en profondeur les attentes de nos concitoyens, s’ancrer durablement sur le terrain, et bâtir un projet solide sur le long terme.
Je vais donc en décevoir certains (et sans doute en soulager d’autres), mais je ne serai pas candidat en 2026.
Cela ne m’a pas empêché de contribuer activement au débat public local. Depuis plusieurs mois, j’ai partagé des idées, porté des propositions et ouvert des pistes concrètes autour de nombreux sujets essentiels pour l’avenir de Colmar : économie & attractivité, transition écologique, urbanisme, culture, sport, éducation, initiatives citoyennes, commerce de proximité, sécurité, cadre de vie, solidarité, espaces publics, innovation, digital, …
J’espère que cette dynamique aura nourri une réflexion collective, chez les Colmariens comme au sein de la majorité actuelle. Non, tout n’est pas rose. Oui, il y a d’énormes marges de progrès, notamment en matière de vision à long terme et de leadership.
Les alternatives existent, et je suis convaincu que l’expérience et les compétences de certains talents d’ores et déjà engagés dans notre ville pourraient être précieuses dans les échéances à venir.
Une élection, cela se prépare, cela s’anticipe, cela se gagne sur le terrain, le terrain, et encore le terrain. Je passe donc mon tour cette fois-ci.
La vérité, c’est qu’une telle décision ne se prend pas seul. Il faut aussi savoir entendre ses proches, mesurer ses équilibres personnels et professionnels, et être lucide sur ce que demande un tel engagement. Être Maire, c’est un sacerdoce, un rôle qui ne se conjugue pas à moitié. C’est un engagement de chaque instant, un job à temps plein et bien au-delà, qui demande une présence constante sur le terrain, une disponibilité totale et une énergie de chaque instant au service des habitantes et habitants.
Je sais aujourd’hui que ce n’est pas le bon moment. Mais je ne regrette rien de cette démarche, qui m’a permis de poser des mots, de proposer des idées, et surtout d’ouvrir le dialogue (en bougeant un peu les lignes par la même occasion).
Merci pour vos innombrables messages, vos encouragements, vos conseils. Ce n’est que partie remise.
Et qui sait… rendez-vous en 2032 pour refaire le Point… Colmarien !

1 juillet 2025

Yves Hemedinger
1/7/2025

Vous avez des idées, des suggestions, des propositions pour le Colmar des prochaines années ?
Vous avez envie de vous engager ?
Venez partager un moment d’échanges
 
Jeudi 3 juillet 2025 à 18h30

Étang des Truites, route de Bâle à Colmar

• Il n’est pas nécessaire de vous inscrire

• Je suis membre des Républicains, c’est ma famille politique depuis toujours.
Mais pour Colmar, je veux rassembler au-delà des partis.
Je souhaite m’entourer de femmes et d’hommes qui ont un seul engagement : celui des Colmariens.
Parce qu’une élection municipale, ce n’est pas une affaire de partis, c’est une affaire de ville, de terrain, et surtout d’avenir partagé.

30 juin 2025

Yves Hemedinger
30/6/2025

Canicule : agissons pour nos aînés

Je reçois de nombreux messages concernant ma proposition d’ouvrir la patinoire aux personnes âgées, souvent seules et fragilisées par la chaleur dans leurs logements.
L’idée (rappel) est de profiter de la fraîcheur qui règne dans ce bâtiment pour en faire bénéficier les personnes qui ont chaud chez elles.
C’est une proposition que j’ai soumise au maire il y a trois semaines, et je n’ai toujours aucun retour de sa part.
Ce silence est un manque de respect consternant non pas pour moi, je m’en fiche mais pour le sujet, qui est grave et concerne la santé et le bien-être de nos anciens.
J’ai aussi proposé de mieux communiquer sur la médiathèque, qui est climatisée et pourrait offrir un lieu de fraîcheur et de lien social.
Face à la canicule, il faut agir vite.
Je trouve que la mairie n’est pas assez réactive. Il est temps de prendre des mesures concrètes pour protéger les plus vulnérables.