Michel Spitz

Le Bauhaus de Dessau. Plus qu’un bâtiment, le Bauhaus est devenu le symbole du Mouvement moderne. Construit en 1925 à Dessau près de Berlin, le Bauhaus est une école qui a pour projet pédagogique une formation réconciliant l’art, l’artisanat et l’industrie. Une équipe d’artistes, d’architectes et d’artisans y enseigne les arts et les techniques réunis : peinture, sculpture, architecture, création textile, typographie, théâtre, danse, menuiserie, métallerie, dessin industriel. Conçues par l’agence de Walter Gropius, cet édifice de béton, de métal et de verre exprime la modernité et célèbre la nouvelle architecture. ©Photos_Michel_Spitz

Michel Spitz

Le nouveau Centre Albert Schweitzer « dans les pas du prix Nobel de la paix » a ouvert ses portes à Kaysersberg Vignoble. Sa maison natale a été entièrement réhabilitée.

Le projet s’inscrit dans la maison où Albert Schweitzer a vécu enfant, à proximité de sa maison natale. Il est axé sur l’œuvre de paix d’Albert Schweitzer et sur la thématique de la Paix dans son universalité : les moments phares de la vie et l’action d’Albert Schweitzer dédiées à la paix, avec une présentation plus générale et universelle des faits et œuvres de paix dans le monde aux 20e et 21e siècles.

Au travers d’un parcours muséographique, le centre vise à « éveiller les consciences, à porter les valeurs de liberté, de tolérance et de respect mutuel » insufflées par le prix Nobel de la paix. Lors de sa formation, Albert Schweitzer ouvre ses champs d’actions, ses centres d’intérêts, et étudie parallèlement la théologie, la philosophie, la musique, puis la médecine, des disciplines qu’il décloisonne !

Par la valorisation d’actions concrètes, menées depuis l’enfance jusqu’à la mort, il nous montre que la paix est l’affaire de tous. « Il était l’une de ces rares âmes généreuses de l’Histoire qui se consacrent au bien des autres. » extrait de l’hommage de Martin Luther King lors de sa mort en 1965.

A l’heure où les démons de la guerre continuent de gronder à nos portes, sans doute est-il temps de se souvenir de l’enseignement d’Albert Schweitzer concernant l’étonnante modernité de son éthique et le respect de la vie. Puisse son action inspirer nos propres vies !

Equipe de conception :

MSA ARCHITECTES, Architecte mandataire & Programmation

RICHARD KLEIN ARCHITECTE, Scénographie & Muséographie

MIREILLE KINTZ, Scénographie & Muséographie

« Tous les êtres humains naissent libres et égaux en dignité et en droits. Ils sont doués de raison et de conscience et doivent agir les uns envers les autres dans un esprit de fraternité » Article 1er de la DUDH

©Photos_Michel_Spitz

Michel Spitz

Le Colmar Symphonic Mob© a rassemblé 450 musiciens et chanteurs amateurs qui se sont joints à l’Orchestre de la Radio de Francfort dirigé par Alain Altinoglu dans le Parc du Champ-de-Mars pour interpréter six œuvres célèbres du répertoire. L’enthousiasme de tous et le plaisir de jouer ensemble a brisé tous les préjugés et ouvert le grand répertoire au plus large public. (Photos Michel Spitz)

Michel Spitz

« L'amour… Comme je veux ! »

Retour en images sur la merveilleuse production du Conservatoire à Rayonnement Départemental de Colmar. Un grand merci à tous les participants, tellement nombreux… plus particulièrement aux élèves des classes de Chant Lyrique, direction Chantal Studer, aux élèves des classes de de Théâtre, direction Blanche Giraud-Beauregardt, à l’Orchestre Symphonique du Conservatoire, direction Dominique Froehly et à Olivier Caro qui a assuré la direction générale de l’ensemble pour nous offrir les représentations de l’opéra de jeunesse de Wolfgang Amadeus Mozart « La Finta Semplice » (La fausse ingénue).

Un grand merci à M. Daniel Kunegel et toute l’entreprise LK Tours pour son très sympathique accueil.

Photos : Jérome Birling

Michel Spitz

« L'amour… Comme je veux ! » Dernières répétitions…

Réunir au Conservatoire à Rayonnement Départemental de Colmar les élèves des classes de Chant Lyrique (Chantal Studer), de Théâtre (Blanche Giraud-Beauregardt) et l’Orchestre Symphonique du Conservatoire (Dominique Froehly) dirigé par Olivier Caro pour coconstruire un opéra, constitue un incroyable défi ! Une ambitieuse expérience transversale porte chacun des "acteurs" de la formation à la richesse de la construction d'un opéra, choisi pour être accessible à tous, conclusion d'un très enthousiasmant projet pédagogique.

Réalisé à partir de l’opéra de jeunesse de Wolfgang Amadeus Mozart « La Finta Semplice » (La fausse ingénue), une adaptation réécrite et écourtée, en harmonie avec l’effectif des musiciens est nommée : « L'amour… Comme je veux ! » Une musique enjouée et espiègle, des mélodies brillantes et ingénues, une partition qui manifeste une grande inventivité, reflet de l’enthousiasme créatif d’un génial enfant de 12 ans… Masques, séductions, situations burlesques, couples aventureux qui se font et se défont : tous les ingrédients de la commedia dell’arte s’unissent dans une œuvre légère mais dont l’apparente simplicité porte déjà la marque d’un génie mûrissant.

Alors, n’hésitez-pas à pousser la porte et venez découvrir cette production, samedi à 20h aux Catherinettes et dimanche à 15h dans l’espace de l’entreprise LK Tours Lucien Kunegel, rue des Jardins.

(Photos Michel Spitz)

Michel Spitz

« L'amour… Comme je veux » !

Inspiré par le second opéra écrit à 12 ans par Mozart, "La Finta Semplice", dirigé par Olivier Caro, sera donné les 20 et 21 mai à Colmar. Conclusion d'un très enthousiasmant projet pédagogique, porté par le Conservatoire à Rayonnement Départemental de Colmar et les élèves de la classe de Chant Lyrique (Chantal Studer), la classe de Théâtre (Blanche Giraud-Beauregardt), l’Orchestre Symphonique du Conservatoire (Dominique Froehly).

Les magnifiques espaces de l'ancienne usines Berglas-Kiener, aujourd'hui occupés par LK KUUNEGEL serviront de décor à la représentation du 21 mai.

Voir l'article de L'ALSACE

Photo Nicolas PINOT - L'ALSACE

Michel Spitz

Enivrant chef-d'œuvre que « Le Couronnement de Poppée » de Claudio Monteverdi confié au grand chef Raphaël Pichon et à l'ensemble Pygmalion, dans une mise en scène d'Evgeny Titov servie par la fine fleur du chant baroque. Quelle chance d’accueillir à Colmar, dans un théâtre à la dimension idéale, cette production de l’Opéra National du Rhin qui fera date !

Follement épris de l'irrésistible Poppée, l'empereur Néron envisage de répudier sa femme Octavie pour faire monter sa maîtresse sur le trône, malgré les avertissements du philosophe Sénèque et les menaces de complots ou chantages fomentés par leurs rivaux et d'anciens amants éconduits…