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13 octobre 2025

Yves Hemedinger

-12/10/2025- Comme je l’ai écrit il y a deux semaines, je n’ai plus aucune appartenance partisane et l’évolution des derniers jours me conforte dans cette décision.
Cela ne veut pas dire que je renie mes convictions gaullistes, elles restent, depuis mes 16 ans et mes premiers engagements, le fil conducteur de mes prises de position.
J’étais RPR et je le reste !
Comme je ne suis ni une girouette ni un opportuniste (j’ai beaucoup d’autres défauts) je n’ai pas l’intention de rejoindre un autre mouvement.
Désormais, ma seule et unique étiquette, c’est Colmar.
Et ma boussole, c’est le bien commun des Colmariens.

11 octobre 2025

Yves HEMEDINGER
11/10/2025

Discours de la méthode

Gouverner, ce n’est pas imposer, c’est écouter, comprendre et agir.
La bienveillance sans manipulation plutôt que le machiavélisme sans constance !
Pour moi, la gouvernance, c’est d’abord l’écoute.
Lorsque j’étais à la mairie (et depuis) j’ai privilégié une méthode fondée sur la proximité et le dialogue : être présent sur le terrain, réellement, pour comprendre les attentes de chacun, les noter. Et non pas seulement pour faire des photos.
À cela s’ajoutaient des outils d’échange et de réflexion que j’avais mis en place à l’époque : le Conseil municipal des enfants, le Conseil des sages, le Conseil économique, social et environnemental, ou encore les Conseils de quartier, auxquels vous avez été nombreux à participer.
Ensuite vient le temps de la décision, une décision réfléchie et expliquée en toute transparence.
Mais il existe une étape trop souvent oubliée : celle de l’évaluation. Car une décision, si elle ne produit pas les résultats escomptés ou si la situation évolue, doit pouvoir être adaptée.
C’est cette manière de faire humaine, sincère et responsable qui continue de guider ma vision de l’action publique.
DNA Colmar - Guebwiller
11/10/2025

Cette semaine, Yves Hemedinger expliquait dans nos colonnes sa stratégie pour recueillir les avis des Colmariens : en allant à leur contact. « Le matin je prends des cafés dans trois bars différents, le soir je fais pareil, mais avec des bières. » Cela s’appelle une diététique. Est-elle idéale pour garder « Les idées claires », nom de son association ? Et a-t-il ce même régime en se rendant dans trois restaurants tous les jours ? Si c’est le cas, on espère qu’il ne prend pas une choucroute à chaque fois.

9 octobre 2025

Yves Hemedinger

-9/10/2025- On est chez les fous ! Personnellement, cela ne fait qu’accélérer mon écœurement de cette politique-là et des partis politiques.
Pendant le débat sur la réforme des retraites, la France a connu plusieurs centaines de milliers de manifestants dans les rues.
Des dégradations, des policiers blessés, des semaines de tensions et de désordre.
Les macronistes, arc-boutés sur la seule « grande » réforme du quinquennat, affirmaient alors que c’était « cette réforme ou la fin des retraites », « la seule façon de réaliser des économies indispensables pour éviter la faillite du pays ».
Plutôt que d’écouter le peuple, ils ont choisi le passage en force.
Le 49.3 est venu clore le débat, balayant toute opposition.
Et aujourd’hui, les mêmes oui, les mêmes envisagent de suspendre cette loi.
Non pas parce qu’ils auraient changé d’avis, mais parce que leurs postes sont en jeu.
Consternant. Tout simplement.
Des grands malades !

8 octobre 2025

Yves Hemedinger
8/10/2025

Je n’ai jamais cru en Emmanuel Macron. Je l’ai toujours combattu, et j’ai hâte qu’il cesse de faire du mal à la France.
Mais entendre aujourd’hui Édouard Philippe et Gabriel Attal lâcher opportunément Emmanuel Macron – celui à qui ils doivent politiquement tout, m’écœure profondément.
Parions que nous observerons le même phénomène localement.
Il y a des moments, dans la vie politique, qui révèlent les tempéraments et les convictions profondes.
La période actuelle en est un parfait exemple : certains, dans la tourmente, choisissent de se désolidariser de celui à qui ils doivent leur ascension, espérant ainsi sauver leur avenir personnel.
C’est une posture classique, mais profondément cynique. En réalité, c’est une manière de « tuer le père » – un geste symbolique qui en dit long sur leur conception du pouvoir et de la loyauté.
Pour ma part, j’ai toujours refusé cette logique.
En 2020, lors des élections municipales, j’aurais pu me présenter contre Gilbert Meyer, dont j’étais le bras droit depuis de nombreuses années. Les circonstances me l’auraient permis, certains même m’y encourageaient.
Mais je ne l’ai pas fait. Non par faiblesse, mais par conviction.
Parce que je devais beaucoup à l’homme, au maire, au mentor.
Parce que la loyauté, la reconnaissance et le respect ne sont pas des valeurs accessoires : elles définissent la manière dont on conçoit l’engagement public.
Contrairement à ceux qui estiment que la fin justifie les moyens, je crois que la manière compte autant que le résultat.
En politique, comme dans la vie, la fiabilité, la cohérence et la fidélité à ses principes sont les véritables marques de solidité.
Je ne cherche ni à me démarquer pour exister, ni à trahir pour progresser.
Je préfère construire dans la durée, avec sérénité, constance et sens des responsabilités.
C’est cela, à mes yeux, la véritable valeur ajoutée en politique : être un repère stable dans un monde où beaucoup changent de cap au gré des vents.

Nous aurons le même phénomène ici, à Colmar, où notre députée fera tout pour faire oublier son indéfectible soutien à Macron. Il en ira de même pour notre maire, sans oublier son soutien total à Bruno Le Maire, qu’il avait fait venir à Colmar (voir photo) pour le présenter, comme un « futur président de la République ».



5 octobre 2025

Yves Hemedinger
5/10/2025

Mon modeste résumé de la situation gouvernementale actuelle :
- d’un côté, certains parlent de « rupture »… avec l’aide des socialistes (qui ont été élus avec LFI il y a un an à peine) ;
- de l’autre, certains veulent faire la « rupture » avec les LR (dont beaucoup ont été élus grâce aux macronistes et même à l’extrême gauche).
Soyons sérieux. Tout cela n’a rien d’une rupture.
C’est la continuité d’un système qui se recycle sans jamais se remettre en cause.
Pour moi, il est temps de rompre vraiment.
Rompre avec ces pratiques, ces arrangements, ces compromissions.
C’est la seule rupture acceptable, souhaitable et nécessaire.
Je ne défends plus aucun parti.
J’ai trop donné, et je suis écœuré par la politique telle qu’elle est devenue.
Je suis libre. Libre de penser, de parler, et de défendre mes convictions sans attaches partisanes mais pour défendre ma vision du bien commun et de mes concitoyens.
C’est dit. Définitivement.
Yves Hemedinger

On veut des actes monsieur le Maire !

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30 septembre 2025

Yves Hemedinger

-29/9/2025- J’ai retrouvé ce devoir de philosophie politique dans un cours de droit auquel j’avais participé il y’a quelques années :

Le rôle de la critique dans une démocratie

La critique occupe une place essentielle dans une démocratie, car elle permet de faire vivre le débat public et de préserver la liberté d’expression. Elle constitue un moyen pour les citoyens de questionner les décisions politiques, de dénoncer les abus de pouvoir et de proposer des alternatives. Sans critique, les institutions risquent de dériver vers l’autoritarisme, faute de contre-pouvoirs.
La critique favorise aussi la participation citoyenne : en exprimant leurs désaccords ou leurs inquiétudes, les individus prennent part à la construction collective des choix communs. Elle encourage le pluralisme, en donnant une voix aux sensibilités diverses qui composent la société.
Enfin, la critique a une valeur constructive : elle ne se limite pas à l’opposition, mais peut aussi suggérer des améliorations et nourrir l’innovation démocratique. Une démocratie véritable n’a donc pas peur de la critique ; au contraire, elle s’en nourrit pour se corriger et progresser.

27 septembre 2025

Yves Hemedinger
27/9/2025

Ne laissons pas les juges prendre le pouvoir !

Vous connaissez mes convictions et je n’ai pas l’habitude de citer François Mitterrand, que j’ai d’ailleurs combattu politiquement. Pourtant, il avait eu cette formule :
« Méfiez-vous des juges : ils ont tué la monarchie et ils feront tomber la République. »
Je ne me prononce pas ici sur le fond de la décision de justice qui conduit à l’incarcération d’un ancien président de la République.
Juriste de formation, je n’ai pas étudié le dossier en profondeur et ne me sens pas en mesure de produire une analyse argumentée et personnelle.
Ce n’est d’ailleurs pas mon rôle.
Je relève cependant un paradoxe : il paraît plus aisé de condamner sévèrement un ancien président de la République que certains délinquants de droit commun, qu’il s’agisse de trafiquants, de multirécidivistes ou d’agresseurs de policiers etc. …. Beaucoup de citoyens aimeraient voir une fermeté comparable dans l’ensemble des affaires judiciaires, et pas uniquement à l’égard de quelques figures publiques.
Par ailleurs, l’idée selon laquelle les responsables politiques seraient systématiquement protégés par les institutions est aujourd’hui clairement démentie par les faits.
C’est plutôt une bonne nouvelle et c’est absolument logique, du moins lorsque la décision est irréprochable !
Il convient néanmoins de rester vigilants. Dans un contexte marqué par un président de la République affaibli, une Assemblée nationale fragilisée et une vie politique instable, les juges apparaissent aujourd’hui comme les seuls à exercer un pouvoir fort, parfois perçu comme excessif.
Or, rappelons-le : la justice est une autorité, non un pouvoir, conformément à l’esprit des lois de Montesquieu. La tendance actuelle à ériger l’autorité judiciaire en troisième pouvoir, au même rang que l’exécutif et le législatif, fait peser un risque sur l’équilibre de nos institutions.
Enfin, il serait souhaitable que les médias, je vise ici Mediapart dont le rôle est essentiel dans une démocratie, respectent pleinement les exigences de rigueur et de responsabilité. Lorsque des titres comme Mediapart font du sensationnalisme ou ont des approches purement militantes au détriment des faits, c’est l’ensemble de la confiance citoyenne dans nos institutions qui se trouve affaiblie.
Mediapart a été totalement désavoué à l’audience : il serait légitime que des sanctions s’appliquent également à ce type de dérives.

22 septembre 2025

Yves Hemedinger
21/9/2025

Gilbert Meyer nous a quittés il y a 5 ans, le 21 septembre 2020.
J’ai aujourd’hui une pensée particulière pour lui, pour le travail accompli, pour ces années d’équipe et de formation. Il aura consacré près de 40 ans de sa vie au service public, dont 25 années au service des Colmariens.
Homme peu enclin aux compromis, il aimait exercer le pouvoir. Nul ne peut nier qu’il a profondément transformé Colmar, sur tous les plans. Les Colmariens l’ont d’ailleurs réélu à plusieurs reprises pour cette raison.
Il avait une ligne directrice claire, une vision et une stratégie. À une époque où la politique manque souvent de sens, de caractère et de convictions, il incarnait une empreinte et un chemin.
Il a laissé une ville disposant d’importantes marges de manœuvre financières, avec une dette et des taux d’imposition parmi les plus faibles du pays, alors que tant de collectivités connaissent de grandes difficultés. Les inaugurations des cinq dernières années et même celles à venir avaient déjà été finalisées et financées avant 2020.
Il aurait particulièrement aimé voir la transformation de la place de la Cathédrale que nous avions préparée, ainsi que le chantier de la Cathédrale elle-même que nous avions lancé et financé.
Les derniers mois de notre relation me laissent toujours un goût amer, une forme d’incompréhension. Mais cela ne m’empêche pas d’être très heureux et fier d’avoir participé, pendant 25 ans dont 12 années comme son bras droit à la transformation de notre Ville.

21 septembre 2025

Yves Hemedinger

-21/9/2025- Désolé, mon texte est long mais je serais heureux que vous puissiez le lire entièrement, merci.
À ceux qui pensent que je critique trop souvent le maire, je souhaite expliquer le fond de ma démarche.
D’abord, je vous invite à lire ou écouter mes interventions sans a priori. Faites le compte : sur un mois, mes publications Facebook où je m’oppose sont en réalité très minoritaires. Par ailleurs, je ne me contente pas de critiquer : j’assortis systématiquement mes remarques de propositions, ou bien de rappels concrets sur ce que j’ai fait ou ce que je fais.
Sans doute n’êtes-vous pas habitués à avoir des élus qui disent les choses sans filtre, sans faire semblant. Je m’efforce toujours d’avoir au moins cette valeur ajoutée, car c’est pour moi le minimum de respect que je vous dois. Oui, je parle franchement et c’est un gage de sincérité. Être connecté au terrain, c’est aussi entendre vos colères, souvent légitimes, et les relayer. Ne pas le faire serait manquer à mon devoir d’élu.
Ce que vous ne voyez pas et c’est normal, car il s’agit de correspondances privées, c’est le nombre de courriers et de mails que j’ai adressés au maire pour lui transmettre vos préoccupations, recueillies sur le terrain et lors de mes permanences mensuelles. Résultat : aucune réponse. Ce silence n’est pas un affront personnel, je m’en moque, mais un mépris pour la population que je représente. Et vous êtes nombreux à vivre ce même mépris, que je déplore profondément.
En démocratie, la règle est claire : la majorité agit, l’opposition s’oppose et propose une alternative au moment du débat électoral. Ce débat viendra.
N’en doutez pas le moment viendra ou les nombreux carnets jaunes, remplis grâce à vos témoignages, me permettront de faire des propositions concrètes, quartier par quartier, pour toutes les populations. Personne ne sera oublié.
Enfin, je reste cohérent : cela ne me gêne pas de dire (vous voyez, je peux aussi être positif avec lui) que le bilan du maire est globalement positif, car 97 % de son action était déjà préparée avant son arrivée, et j’y ai moi-même contribué.
Mais je dénonce oui, je critique ses méthodes, son mépris et sa fausse proximité avec la population.
Un maire n’est pas un influenceur sur les réseaux sociaux. Son rôle n’est pas de poser pour des photos (même si j’utilise aussi les réseaux pour rendre des comptes de mon action et mettre en valeur vos nombreuses initiatives), mais d’être réellement présent sur le terrain, d’écouter, de noter les idées et les questions, de chercher des solutions ou de savoir dire non quand c’est nécessaire, en l’expliquant.
Je crois en la force de la volonté politique. Mon intervention réussie sur le parking du Stadium, occupé par les nomades, le démontre : quand on veut, on peut. Et il ne faut jamais rien lâcher.

17 septembre 2025

Yves Hemedinger
17/9/2025

Les Colmariens attendent d’un maire des actions, pas des selfies.
Il faut cesser de jouer les influenceurs sur les réseaux et se mettre sérieusement et sincèrement au travail !
Faites en sorte qu’ils soient partis [les gens du voyage] avant le prochain match de vendredi soir et mettez en place les mesures pour qu’ils ne reviennent plus à cet endroit !
Stop aux mises en scène, jour après jour, week-end après week-end, sur Facebook lors des différentes agapes et réceptions. Pas de bla-bla, mais des actes précis, svp.

Vidéo ↴

16 septembre 2025

Yves Hemedinger
16/9/2025

À la fin du mois, nous saurons si les frais de justice intégralement payés par le contribuable colmarien, lui permettront d’obtenir gain de cause lors de son procès en appel.

15 septembre 2025

Yves Hemedinger
14/9/2025

Questions locales à notre députée, Madame Klinkert (liste non exhaustive et locale car elle est aussi comptable de l’échec macroniste au plan national).
J’y associe volontiers son binôme de la CEA tout aussi macroniste.
• Vous aviez promis la sortie de l’Alsace du Grand Est : où en sommes-nous ?
• Vous aviez promis, pour 2027 au plus tard, la liaison ferroviaire Colmar-Freiburg : où en sommes-nous ?
• Vous aviez annoncé, pour 2026, la rénovation tant attendue de la gendarmerie de Neuf-Brisach : où en sommes-nous ?
De même, nous attendons toujours les compensations fiscales et économiques promises après la funeste décision de François Hollande – mais appliquée avec zèle par vos amis M. Macron et M. Lecornu – de fermer Fessenheim.
Je pose ces questions avec respect, car beaucoup de concitoyens expriment leur découragement face au non-respect des promesses politiques.
Cette situation me navre, me peine et m’inquiète pour l’avenir de notre démocratie. Trop d’électeurs en viennent à mettre tous les responsables politiques « dans le même sac » ce qui me nuit aussi, personnellement, dans mon engagement
Nous avons tous le droit d’échouer… mais pas celui de faire comme si de rien n’était.

12 septembre 2025

Yves Hemedinger
11/9/2025

Qui nous a dit que tout allait bien à Colmar sur le plan de la délinquance ?

Le rôle du politique n’est pas de minimiser, ni a fortiori d’ignorer la réalité, mais de la constater avec humilité afin de la traiter efficacement, avec fermeté et en profondeur, pas seulement dans des publications sur Facebook qui tronquent opportunément la réalité.
La sécurité de nos concitoyens c’est sérieux, c’est la première des libertés.
Les policiers accomplissent leur mission, mais ils manquent cruellement d’effectifs à Colmar.
Il faut augmenter le nombre de policiers sur le terrain, c’est indispensable !
Je souhaite aussi que les caméras que j’ai été le premier à faire installer à Colmar lorsque j'étais en charge de la sécurité à la mairie, servent exclusivement à lutter contre la délinquance et pas à la verbalisation des véhicules mal stationnés.
Enfin il faut relancer la politique de prévention.
Elle est aujourd’hui notoirement insuffisante à Colmar.

9 septembre 2025

Yves Hemedinger
9/9/2025

En Alsace, on garde un mauvais souvenir de notre nouveau Premier ministre venu à la préfecture du Haut-Rhin en 2018.
Souvenir funeste pour notre territoire mais aussi pour notre indépendance énergétique et le coût de l’électricité qui fait tellement souffrir nos entreprises et plombe notre pouvoir d’achat.

8 septembre 2025

Yves Hemedinger
8/9/2025

Je choisis l’indépendance et la clarté des idées.
Je n’accepte plus aucune compromission avec les macronistes.
J’apprécie beaucoup les discours et les propos de Bruno Retailleau en tant que ministre, même si j’aimerais davantage de cohérence entre les paroles et les actes, tout en sachant qu’il fait ce qu’il peut dans le cadre politique et institutionnel actuel.
En revanche, j’apprécie beaucoup moins le fait qu’il ait refusé de consulter les militants LR au sujet du vote de confiance qui aura lieu cet après-midi.
De même, je regrette qu’il ait demandé aux députés LR de voter en faveur de la confiance au Premier ministre, alors que le président du groupe LR à l’Assemblée a laissé à ses collègues la liberté de voter ou non cette confiance.
Cela me déçoit énormément, car cela entretient un flou qui donne l’impression aux électeurs que les intérêts personnels passent avant l’intérêt général et les convictions.

Mes questions :

• Comment LR peut-il envisager d’accorder sa confiance à un Premier ministre qui a insulté les personnes âgées en les accusant d’avoir profité de la France, alors qu’elles ont travaillé toute leur vie – et souvent bien plus que 35 heures par semaine ?

• Comment LR peut-il accorder sa confiance à un Premier ministre qui, depuis 2017, a été le plus proche du président de la République, lequel a gravement amplifié depuis huit ans la crise économique, le déferlement migratoire, l’insécurité et l’affaiblissement de la parole de la France ?
La droite doit choisir : défendre ses convictions ou se perdre dans l’ambiguïté.
Moi j’ai choisi.

7 septembre 2025

Yves Hemedinger
7/9/2025

Il faudra mettre fin à l’opportunisme qui fait tant de mal à la politique et à la démocratie.
Photo prise devant le Koïfhus à Colmar.
Elle fait froid dans le dos : la preuve des connivences macronistes que certains n’assument plus aujourd’hui, uniquement parce que ça sent le roussi pour eux.
N’oublions pas :
Bruno Le Maire, plus de 8 ans ministre de l’Économie de Macron :
⇒ +1 300 milliards de dettes en plus sous sa responsabilité.
Voilà ce qui fait vraiment peur.

4 septembre 2025

Yves Hemedinger
3/9/2025

Dernier post sur le sujet
 
Chaque jour, je lis et j’entends beaucoup d’agitation à Colmar et ailleurs au sujet des prochaines élections municipales, qui auront lieu dans seulement sept mois.
Sur le terrain, je perçois aussi vos attentes : beaucoup reprochent, à juste titre, aux responsables politiques de penser davantage à leur carrière qu’à l’intérêt général.
Dans un pays où la situation évolue chaque jour, certains d’entre vous comptent chaque euro à partir du 15 du mois et vivent presque au jour le jour. Je croise notamment de nombreuses personnes âgées qui se sont senties honteusement stigmatisées par les propos du Premier ministre, alors qu’elles ont travaillé toute leur vie et méritent de pouvoir la terminer dans la dignité.
Dans une conjoncture internationale toujours plus incertaine, vous me partagez vos inquiétudes.
À cette agitation prématurée (selon moi, mais chacun fait comme il veut), j’oppose le calme et la détermination de celui qui aime sa ville et sa population.
Beaucoup d’entre vous m’encouragent à être candidat, et je vous en remercie sincèrement : cela me touche et m’encourage énormément.
Etre candidat n’est pas une décision que l’on prend pour flatter son ego. C’est un engagement sérieux, qui exige un projet solide et une équipe prête, représentative de la population que l’on souhaite défendre. Des femmes et des hommes décidés à servir la ville de manière pragmatique, respectueuse et humble.
À sept mois de l’échéance, il est encore beaucoup trop tôt pour en parler.

1 septembre 2025

Yves Hemedinger
1/9/2025

Le conducteur d’un petit train touristique a été placé en garde à vue à la suite d’un accident survenu au centre historique de Colmar, dimanche 31 août, dans l’après-midi. Un bébé a été blessé. DNA du 1/9/2025

Votre avis m'intéresse !
Les trains verts et blancs : atout touristique ou galère quotidienne ?
Ils roulent lentement, bloquent la circulation, s’arrêtent souvent… et parfois la ville devient invivable.
Selon vous, on fait quoi ?
On garde tel quel, c’est sympa pour les touristes.
On change les règles, ça gêne trop.
Mitigé, il faudrait un compromis et lequel ?