Fabien Nierengarten On ne parle plus que de lui. Il sera la star absolue du début de la fin du confinement. On le demande, on le réclame, on le revendique, on le veut, on l'exige, on se l'arrache. Dans quelques heures, le fameux "masque" sera élevé au rang de précieux sésame, de passeport obligatoire pour un peu plus de liberté, celle de se déplacer et celle de travailler. Autant de droits fondamentaux devenus presque exceptionnels par la faute d'une merde microscopique qui nous empoisonne la vie depuis plusieurs semaines. Le masque, justement, parlons-en. On en voit partout depuis quelques jours. De toutes les couleurs, de toutes les matières, de tous les motifs, de toutes les formes, portés de toutes les façons par toutes les générations. Comme un marathonien qui teste ses chaussures de course avant les JO, beaucoup ont décidé de tester ce "machin" avant l'heure, et même d'en faire un nouvel accessoire de mode. Version "Hey chéri, t