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30 novembre 2021

Phil

Nicolas Roquejoffre
DNA/Alsace

Marchés de Noël de Colmar : pour l’instant, tout va bien !

Les marchés de Noël de Colmar ont été inaugurés en fanfare ce vendredi 26 novembre, les touristes sont là et les commerçants sont contents. Mais tous croisent les doigts pour que le nombre de contaminations au Covid ne flambe pas dans les jours prochains.
Pour ce premier jour d’ouverture des marchés de Noël, il y a du monde, beaucoup de monde. Des Espagnols, des Italiens, des Suisses, des Allemands. « Dès 10 h, ça a bien attaqué », s’exclame Francis, ravi de reprendre du service place des Six-Montagnes-noires, après une année d’absence. Celui qui tient le manège de chevaux croise les doigts pour que la pandémie ne sonne le glas de cette édition 2021. « Je positive », lâche Paula, depuis plus de dix ans sur Colmar avec ses bouillottes remplies de graines de blé et de fleur de lavande. « Rendez-vous compte le manque à gagner pour les exposants en Allemagne ! », lâche celle qui fait référence à la fermeture des marchés de l’autre côté de la frontière.
Justement, la virulence du Covid outre-Rhin a poussé le député Yves Hemedinger à interpeller le préfet pour que les services de l’État renforcent les contrôles du pass sanitaire à la frontière. « Il ne faut pas que les Allemands se ruent dans nos marchés, au risque de faire monter le taux d’incidence ! », souligne le parlementaire. Le préfet Laugier, à la gauche d’Eric Straumann pour l’inauguration des marchés et le lancement des illuminations de la Ville, n’a pas abordé le sujet du pass sanitaire, qui n’est pas obligatoire à Colmar, hormis au marché gourmand.

Covid : je veux (peut-être) de l’omicron

L’omicron affole le monde, fait fermer les frontières, chuter les bourses, paniquer les gouvernements. Et pourtant, les informations actuelles penchent vers le plus gentil de tous les variants. Ils sont devenus fous, on le sait, mais cela semble s’aggraver. Jusqu’où cette panique avant toute réflexion ? Pour gouverner correctement, il faudrait commencer par garder la tête froide. Quels sont les faits, à la date d’aujourd’hui ? 

Le premier omicron a été déclaré par l’Institut national sud-africain des maladies transmissibles (NICD) le 24 novembre à partir d’échantillons prélevés dans un laboratoire du 14 au 16 novembre. Il présente un nombre très important de mutations, ce qui affole certains, ignorant que quantité ne veut pas dire qualité. On ne sait pas encore ce que valent ces mutations cliniquement, mais ce que l’on sait aujourd’hui, n’a pas de quoi affoler comme on le fait, loin de là. Certes il faut rester prudent, observer avant de conclure trop rapidement, mais aujourd’hui certains sont dans l’excès.

Ce que l’on sait de mieux et de plus fiable, après quelques jours, vient des médecins de terrain, ceux qui ont vu et traité les patients atteints par l’omicron. Il est vrai que depuis le début de cette crise, ce sont ceux que l’on écoute le moins, au profit de ceux qui ne voient pas les patients et ne les traitent pas. 

Le Dr Angélique Coetzee (interview à Newsroom Afrika), est médecin généraliste (une tare pour les « spécialistes »), membre du Conseil d’Administration de l’Association médicale sud-africaine. Alors qu’elle ne voyait plus de cas de covid depuis deux mois, elle voit un patient qui se plaint de fatigue extrême et de douleurs musculaires. Devant ces troubles d’origine virale, elle le fait tester. Les résultats reviennent positifs, de même que pour le reste de la famille, quatre personnes. Dans le même temps arrivent 7 autres patients, présentant tous les mêmes troubles, le tout orientant vers une contagion importante.  C’est à ce moment-là qu’elle a réalisé qu’il se passait “quelque chose d’autre”, et qu’elle le signale au NCID. En dix jours, elle arrive maintenant à une trentaine de patients, présentant tous à peu près les mêmes troubles, différents de ceux du delta, se rapprochant du beta. Essentiellement fatigue importante, 2 jours, avec courbatures et douleurs musculaires et quelques maux de tête. Parfois une toux sèche. Tous bénins, pas de problème avec la saturation d’oxygène.

Un point la trouble également : aucun de ces patients n’a de problème de goût ou d’odorat. C’est intéressant, signifiant sans doute que le gonflement de l’épithélium olfactif ne se produit pas (du moins chez les patients qu’elle a vus jusqu’à présent), et que les éventuels effets neurologiques et l’éventualité d’une longue maladie peuvent être moins fréquents. Elle signale également le fait que cela atteint une population plutôt jeune, moins de 40 ans, dont un enfant de 6 ans (avec fièvre et pouls rapide). Chez ses patients, moitié de vaccinés, moitié non vaccinés, et c’est une grande majorité d’hommes. Pour les 4 premiers du Botswana, 4 vaccinés, tous cas bénins. A ce stade, on ne sait pas ce que cela donne chez les personnes âgées.

Si ce médecin et les autorités Sud-africaines insistent sur le caractère bénin de la maladie sur tous les sujets traités, l’OMS et les pays occidentaux sont plus sur une dramatisation, l’information ne circulant pas bien. Avant d’affoler tout le monde, il faut rapidement vérifier cet aspect bénin sur les 100 premiers cas, et si cela se confirme, il faut vite faire le contraire de ce qu’ils vont probablement faire, mais cela, on en a l’habitude.

En effet, au lieu de fermer les frontières (on a vu avec les autres variants, et déjà avec celui-là, cette mesure totalement illusoire, il est déjà partout), il faut les ouvrir largement. Au lieu de renforcer les pass de tous ordres et les mesures barrières, il faut faire sauter tout cela, afin que le virus bénin se développe et que nous allions enfin vers une immunité collective plus efficace et surtout plus durable que celle du vaccin. Les Amish l’ont fait avec le delta, ils sont maintenant tous immunisés, sans traitement ni vaccin, et n’ont plus de soucis. Profitons de ce virus bénin si cela se confirme.

Voilà pour la situation, à ce jour, concernant l’omicron. Nos autorités, notre presse, ne veulent pas évoquer cette possible innocuité du variant, préférant insister sur la contagiosité, qui en soit n’est pas un problème plus grave que celle de la grippe saisonnière ou des gastro-entérites. Ces informations ne sont pas reprises, et pourtant diffusées par de grandes agences comme Reuters, et diffusée dans d’autres pays. Si l’ivermectine mettrait à mal l’industrie pharmaceutique, est-ce que l’omicron mettrait à mal le pass ? Cet omicron va-t-il mettre fin, ou un début de fin, à l’épidémie actuelle ? 

Depuis des mois, nous signalons ici que toutes ces grandes épidémies virales, depuis des siècles, se tarissent spontanément en 2-3 ans, nous y arrivons, cela se fera avec des variants de moins en moins virulents. Autre sujet intéressant : omicron va-t-il supplanter delta ? Rappelons le remarquable exposé de Jacques Fantini sur ces variants et sa dernière mise au point), les paris sont ouverts. Rappelons que lorsque delta arrive dans un pays, il a mis en général un mois et demi pour passer de moins de 5% à plus de 90% des cas. A suivre. Omicron annonce-t-il le début de la fin ? Nous attendons tous avec impatience ce messie. Est-ce le bon ?

https://www.covid-factuel.fr/2021/11/30/covid-je-veux-peut-etre-de-lomicron/

29 novembre 2021

Le conseil municipal du 29/11/2021

⇒ https://www.facebook.com/villecolmar/videos/332131294992542

Vaccination : et si Hanouna avait raison ?



Kelly Scott

Indécence et racolage

Vous avez certainement tous déjà vu cette publicité (ou plutôt propagande) qui passe régulièrement à la télé.
Un vieil homme se fait beau devant sa glace, il arrange les pointes de sa moustache et lisse ses sourcils.
Quelque part ailleurs, une dame âgée se prépare devant un miroir, met un joli foulard autour du cou puis éteint les lumières du couloir et sort.
La musique italienne, Amore mio de Franck Sarkissian pour l’ambiance romantique d’un premier rendez-vous amoureux.
Tous deux sortent dans la nuit, se dépêchent, marchent dans le noir, sur les pavés détrempés, se croisent même… On attend qu’ils se rencontrent, qu’ils s’embrassent ou se retrouvent dans un café, sur une place à côté d’une fontaine.
L’homme jette un œil sur sa montre et regarde la vitrine d’un commerce.
Et là… La chute, chacun se retrouve sous le néon vert et cru de l’enseigne d’une pharmacie, à attendre son tour pour la dose de rappel…
« Parce qu’il y a des rendez-vous à ne pas manquer » dixit le ministère de la santé…

28 novembre 2021





Notre mini marché de Noël est ouvert !
Au 6 rue de la Grenouillère à Colmar

Tous les jours y compris le dimanche
de 14h à 18h


Venez nous y rendre visite !
Tous nos produits créés ou offerts par des bénévoles sont en vente au profit de nos actions de solidarité.


Photo L’Alsace / Christelle Didierjean




Marché de Noël à Colmar

On allait voir ce qu'on allait voir ! La municipalité a communiqué sur la réduction du nombre de cabanes qui, selon elle, permettrait de désengorger le centre-ville et d'assurer une circulation fluide aux 500.000 visiteurs attendus cette année, soit moitié moins que les années précédentes - estimation faite au doigt mouillé. Le changement ne nous a pas sauté aux yeux. On retrouve peu ou prou les mêmes exposants, proposant les mêmes produits aux mêmes endroits. Des cabanes ont même été rajoutées rue des Tanneurs, jusque-là épargnée.
Quant à la "fluidité" de la circulation, c'était plutôt raté, ce premier samedi d'ouverture. Des marées humaines tentaient de se frayer un passage vers les différents marchés. Les habitants du centre-ville se sont retrouvés plongés comme aux pires heures de l'ère Meyer dans un enfer qui durera cinq semaines. Colmar, une ville "apaisée" selon le souhait d'Eric Straumann ? Il est permis d'en douter.
E.D.

Bernard Friedrich

« D'r Hans im Schnokeloch » n'est pas mort...

... car il hante encore !
Dernière manifestation en date, ce sondage révèlent que plus de 60% d'Alsaciens souhaitent sortir du Grand Est pour constituer, à l'instar de la Bretagne, une entité territoriale spécifique avec sa langue, sa culture, son histoire etc.
Mais que n'ont-ils donc exprimé clairement ce désir - au fond légitime - lors du référendum sur la Communauté Territoriale d'Alsace en 2013, essentiellement mis en échec par l'hubris de quelques élus haut-rhinois plus préoccupés de l'avenir de leur petit pré-carré que du destin d'une Alsace unifiée... dont le poids aurait incontestablement joué lors de la création des grandes régions. Que n'a-t-on à l'époque entendu s'élever la voix de celles et ceux qui, aujourd'hui, veulent légiférer sur l'instruction de notre culture dès le primaire et/ou font grand bruit aux relents parfois communautaristes en jouant de nos particularismes !
Autre exemple de cette tendance à tergiverser, les commentaires après la parution du livre de l'ex-directeur de cabinet de feu notre « bon maire colmarien» qui narre la triste histoire de la « candidature de trop » d'un homme fatigué et diminué. Ils étaient nombreux à savoir et à tenter de le convaincre de renoncer et de s'en tenir à sa promesse passée de passer le relais. Peine perdue avec une lamentable fin de règne aux déplorables effets collatéraux.
N'était-il donc entouré que de trop fidèles moutons conscients d'aller à un suicide collectif ? Pas une personnalité pour dire « Stop on se lance SANS vous » ?

25 novembre 2021

Les boucs émissaires de la covid

Après le pangolin, les chauve-souris, les moutons, les cobayes, les hamsters dorés, la ménagerie covid s’agrandit. Voici venir les boucs, on va bientôt pouvoir ouvrir un zoo. 

Mesures barrières, restrictions, 2 confinements, vaccins, pass sanitaire, etc, rien n’y fait. Nous sommes repartis pour une énième vague. Après deux ans, rien n’a changé, nous avons l’impression d’en être au même point, peut-être pire. En effet chacune des vagues précédentes était due à un nouveau variant, permettant de penser chaque fois à de nouvelles épidémies, cette fois il n’y a pas eu de nouveau variant. Pour la première fois, c’est cette fois une rechute de la vague précédente, ce qui n’était pas le cas pour les autres. Pire : une récidive malgré 70% de français totalement vaccinés, 10% triplement vaccinés. Signalons que ces pourcentages sont supérieurs si on ne considère que les adultes et personnes à risques.

Devant un échec, quand on n’y arrive pas, il faut toujours trouver un coupable, un responsable de la situation : un bouc émissaire. Les autorités l’ont trouvé. C’est celui qui veut que les choses soient faites correctement, comme elles l’ont toujours été jusqu’à il y a un an. C’est celui qui veut bien se faire vacciner, mais qui demande que toutes les études soient terminées avant ; celui qui demande que le principe de précaution, appliqué depuis toujours en médecine et abandonné depuis 1 an, soit respecté ; celui qui préfère le traitement médical au vaccin, seule option non essayée depuis 2 ans.

Le bouc émissaire, le coupable désigné par les autorités, c’est le non vacciné. Et pourtant ! IL N’EST POUR RIEN DANS LA VAGUE ACTUELLE ! En effet, soumis au pass régulier, il ne peut contaminer les autres, contrairement aux vaccinés, non soumis à ces contrôles pendant 7 mois, alors que l’on sait qu’ils peuvent être autant porteurs et autant contaminants. Cluster au dernier congrès des maires, or tous les non vaccinés étaient testés négatifs, ne pouvant contaminer les autres, seuls les vaccinés ont pu contaminer. Il en est ainsi partout. Si vous êtes contaminé au restaurant, dans le train, au cinéma, au travail, ce sera toujours par un vacciné, pas par un non vaccinés testé négatif. Ce sont les vaccinés non testés, les premiers responsables de l’expansion de la vague actuelle, pas les négatifs !

Au lieu de se pencher sur ce problème et de le régler, les dernières mesures annoncées ce jour ne feront que faire perdurer le problème : les contamineurs non testés pourront continuer à transmettre sans le savoir le virus, en toute impunité, le délai pour la troisième dose étant même repoussé du 15 décembre au 15 janvier, alors que dans le même temps on considère qu’il faut le faire après 5 mois au lieu de 6 mois ! On allonge ce qu’on devrait raccourcir et inversement. Allez comprendre quelque chose !

Quant aux tests à faire toutes les 24 heures, cette mesure ne repose sur aucune base scientifique, mais politique. Un jour 48 heures, le lendemain 72 heures, 3 mois plus tard 24 heures, ce n’est pas lié à une quelconque étude médicale. C’est simplement fait pour pourrir la vie des plus prudents, une obligation déguisée, mais qui n’est pas prononcée, pour des raisons juridiques et pour échapper à certaines responsabilités. Le vacciné reste responsable, avec son « consentement éclairé d’office», il ne peut s’en prendre qu’à lui-même s’il arrive quelque chose, il n’était pas obligé.

En ne s’occupant pas du problème de ceux qui contaminent, pour ne s’occuper quasiment que de ceux qui ne contaminent pas, la vague va continuer sur sa lancée, et s’arrêtera d’elle même, comme toutes les autres, quand elle le décidera. Quand elle sera finie, certains diront que c’est grâce à leurs mesures, ce qui sera un mensonge. Le virus fera comme il a toujours fait, avec ou sans traitement, c’est le propre des vagues virales, et ce jusqu’à la suivante, tant qu’on appliquera des mesures qui n’ont pas marché. Pour l’efficacité des mesures et des vaccins, demandez à Renaud Muselier, Jean Castex, Michel Cymes ou Roselyne Bachelot, tous double-vaccinés, ce qu’ils en pensent, et surtout combien de personnes ils ont chacun contaminés ? C’est plus que les 1,4 du R effectif, Muselier en a avoué 12, Castex, c’est certainement plus !

Un petit bémol quand même : moins de formes graves. Le vaccin ? Peut-être, mais ce n’est pas ce que l’on apprend dans d’autres pays. Chez nous, les politiques disent que les hospitalisés sont majoritairement non-vaccinés, les médecins hospitaliers qui les soignent disent l’inverse. Qui croire ? N’oublions pas non plus que les 120 000 plus fragiles (âgés + comorbidités) ne peuvent décéder deux fois, et que l’évolution naturelle de toutes les grandes épidémies virales depuis des siècles, va vers l’épuisement de la virulence après 2 ans, même sans traitements efficaces.

Pour terminer en ce qui concerne les causes de cette explosion récente de cas, deux courbes qui se passent de commentaire. Alors que cela semblait aller mieux, qu’est-ce qui a pu provoquer une reprise de la même épidémie ?On a déjà vu cela pour Israël et nombre d’autres pays. Là encore on ne se penche pas sur le problème. Troublant, non ?



En Alsace, l'obligation du pass sanitaire sur les marchés de Noël crée la confusion
[L'ALSACE du 25/11/2021]

L'accès aux marchés de Noël sera soumis à la présentation d'un pass sanitaire dans toute la France, a annoncé le ministre de la Santé ce jeudi lors de sa conférence de presse. En Alsace, où la saison démarre, cette annonce a créé une certaine perplexité. Tour d'horizon.

Les préfets du Bas-Rhin et du Haut-Rhin l'avaient déjà annoncé : en Alsace, les visiteurs des marchés de Noël devront porter le masque. On sait dorénavant qu'ils devront aussi être titulaires d'un pass sanitaire en cours de validité. Le ministre de la Santé Olivier Véran l'a annoncé ce jeudi 25 novembre, à l'occasion de la présentation d'une série de mesures destinées à endiguer la cinquième vague de Covid-19 en France.

À Strasbourg, on ne change pas le dispositif

Le discours du ministre se traduit toujours dans les faits en arrêtés préfectoraux, concrets, souligne l’adjoint au maire de Strasbourg Guillaume Libsig, notamment en charge des marchés de Noël. Et il est très vite ressorti du contact rapide établi entre la Ville et les services de la préfecture que le dispositif prévu dès l’ouverture ce vendredi était « suffisant ».

Rappelons donc qu’à Strasbourg, la présentation du pass sanitaire sera obligatoire dans des « zones alimentaires dédiées », c’est-à-dire en cas de consommation d’un vin chaud, d’une baguette flambée etc. Car dans un centre-ville dense, où le port du masque est déjà obligatoire, le risque de transmission du virus existe dès lors qu’on retire ce masque pour manger ou boire.

"De toute façon, il n'était pas question de revenir à un système de checkpoints aux différentes entrées du marché de Noël, checkpoints sanitaires cette fois-ci, ajoute l'adjoint. Cela aurait entraîné des files d'attente et une concentration de population propice à la propagation du virus".

Si, à Kaysersberg, comme dans d'autre marchés de taille plus petite, le choix a été fait de concentrer le marché de Noël dans un espace bien délimité, ce qui permet l’application aisée du pass sanitaire, à Strasbourg en revanche, il a été décidé d’étaler le marché, de le dédensifier, afin d’éviter ces effets de concentration de foule. Avec le respect des gestes barrières, avec le port du masque, l’organisation du marché de Noël de Strasbourg rentre donc dans le cadre fixé par le gouvernement et dans les arrêtés préfectoraux.

À Colmar, Eric Straumann demande 80 000€ à l’État

Dans un centre-ville où vivent de nombreuses personnes, peut-on réellement exiger le pass sanitaire ? Cela signifierait que les habitants devraient présenter leur sésame à chaque fois qu’ils rentrent ou sortent de chez eux. C’est difficilement applicable. C’est ce que dit Eric Straumann, le maire de Colmar, qui voit là l’un des nombreux écueils au pass sanitaire sur le périmètre du marché de Noël de sa ville. Mais il n’y a pas que cet écueil… « C’est difficile à mettre en place, il faut trouver du personnel auprès des sociétés de gardiennage ! », pointe le maire, Eric Straumann, qui a été l'un des premiers à réagir à l'annonce du ministre de la Santé, soulevant sur Twitter un problème d'ordre financier.

« Si on a 500 000 visiteurs, je suis un peu dubitatif sur la mise en place d’une telle mesure… insiste le maire de Colmar. Y aura-t-il pass obligatoire sans contrôles systématiques ? Dois-je faire appel à la réserve citoyenne, que nous avons mise en place ? Mais on ne peut pas mobiliser les gens pendant un mois… »

À moins que, comme à Strasbourg, les services préfectoraux se satisfassent de l’organisation telle qu’elle est prévue, avec un pass sanitaire exigible en cas de consommation alimentaire. Et un masque obligatoire dans tout le centre-ville.

Statu quo à Mulhouse

À Mulhouse, où le protocole initial prévoyait déjà de séparer les activités de restauration, avec contrôle du pass sanitaire sur les mange-debout, et les autres cabanons, les annonces ministérielles ne changent rien non plus, a indiqué la Ville après consultation de la sous-préfecture.

Annulations en Allemagne et en Suisse

En Allemagne et en Suisse, la saison des marchés de Noël est chamboulée par la nouvelle vague qui frappe l'Europe.

À Bâle, les festivités d'inauguration, prévues ce 25 novembre, ont été annulées, et pour accéder aux deux zones où le marché est implanté, il faudra présenter un pass sanitaire et une pièce d’identité. Dans le Land allemand du Bade-Wurtemberg, particulièrement touché, ces jours derniers ont même été marqués par une série d'annulations pures et simples.

JORDAN Stéphane Vélo-taxi

!!! COUP DE GUEULE !!!

Bonjour à tous, c'est le grand retour du "coup de gueule" et ce n'est pas de gaieté de cœur que je le fais !! Hier, en l'espace de 5 minutes, en emmenant une petite cliente à l'école nous sommes tombés sur 2 voitures stationnées sur la piste cyclable.
Comme toujours, je prends une photo, et j'entame la discussion quand c'est possible, pour expliquer aux gens qu'un adulte sera capable dans la majorité des cas de les éviter en sécurité mais un enfant qui arrive sur la piste, va se déporter sur la route sans forcément faire attention et c'est là que se trouve le risque. Certains sont sensibles à cet argument, d'autres s'en contrefichent, d'autres m'insultent, d'autres font la sourde oreille...
J'aimerais m'adresser particulièrement aux professionnels, pour leur dire qu'ils ne bénéficient d'aucun passe-droit sous prétexte qu'ils sont en intervention, en livraison, ou quoi que ce soit. D'autant plus qu'ils donnent une très mauvaise image de leur société.
Dans quelques jours, je suis convié par la municipalité à un "atelier de travail sur la cyclabilité des villes moyennes". J'espère pouvoir parler de ces problèmes du quotidien qui pour moi ne pourront se résoudre que par encore plus de répression et surtout des aménagements cyclables cohérents.
C'est pourtant si simple de faire preuve d'auto-discipline, demandez-vous simplement, quand vous vous arrêtez ou stationnez, si vous ne gênez personne.
Merci pour les piétons, pour les cyclistes et surtout pour les enfants.









24 novembre 2021

Fabien Nierengarten

Tiens, il paraît qu'un prof de droit de l'Université de Bretagne fait actuellement l'objet d'une procédure disciplinaire parce qu'il aurait qualifié ses étudiants de "chouette auditoriat de quasi-débiles (...) qui ne savent même pas comprendre le sens d’un texte simple". Oh, les pauvres petits ! Pour ma part, je me sens assez solidaire de ce "lanceur d'alerte" qui ne fait que souligner une évidence : certains quasi-illettrés du secondaire ont finalement réussi à se faufiler jusqu'aux études supérieures.
Ah bon, vous nous trouvez trop violents, trop durs, trop intolérants à l'égard de ces jeunes qui seront peut-être nos futurs juges, avocats, notaires, conseillers fiscaux ou chefs d'entreprise, et qui ignorent la portée d'un mot bien choisi et d'une phrase bien construite ??? Allez, admettons. Mais alors, n'oubliez pas dans votre grande bienveillance, que les étudiants déficients d'aujourd'hui, seront peut-être les patrons et les gouvernants que vous traiterez d'incompétents demain...

23 novembre 2021

Le coin des libres-penseurs

☐ Source Sciensano :
75% de la population entièrement vaccinée pour toute la Belgique
80% pour la Flandre
57% pour Bruxelles
Taux de contamination par région pour 100.000 habitants :
Bruxelles : 902
Flandre orientale : 1473
Flandre occidentale : 2603
Anvers : 1435
Constat
La région la moins vaccinée du pays : Bruxelles
Région la moins contaminée du pays : Bruxelles.
C'est gênant pour le narratif politique mais nettement moins pour la thèse de la vaccination qui induit une reprise de l'épidémie.



☐ Martin Blachier Comedy Club : 3ème dose, vaccination, rapport ATIH et confinement







⬦ Les Allemands seront "vaccinés, guéris ou morts" à la fin de l’hiver.
Jens Spahn, ministre de la Santé outre-Rhin – 22/11/2021


⬦ Les antivax sont souvent bornés et idiots mais avec les provax intégristes ils ont trouvé des adversaires à leur mesure...
JFH


⬦ La 1ère a foiré, la 2ème également, et la 3ème serait la bonne ??? Mdr !
JFP


⬦ Principe Shadok de base :
« Plus ça rate, plus ça a de chances de réussir. »


⬦ Le Pfizer sonne toujours trois fois !


⬦ 2ème, 3ème, 4ème, mais c'est de l'acupuncture ça !


⬦ Un glissement s'est opéré dans la rhétorique. Maintenant on appelle cela "un rappel".


⬦ Avec Manu, ça fait Pfiz !


⬦ Il n’y a pas plus aveugle que celui qui renonce à voir et le coma est souvent plus confortable qu’un réveil avec une gueule de bois !


⬦ Je suis bio sans OGM et vierge de la narine !


⬦ Comme disait Téléphone, je rêvais d’un autre monde...


⬦ Simple calcul, pour les plus de 65 ans
A partir du 15 décembre, les personnes de plus de 65 ans qui ne sont pas encore vaccinées et qui voudraient le faire, vont devoir prendre rendez-vous pour la première dose. Attendre six semaines, aller à la seconde dose. Attendre six mois, aller à la troisième dose et attendre encore quinze jours pour avoir leur passe sanitaire. Mais comme cette période va durer approximativement neuf mois, d’ici là, la quatrième dose sera de mise et ces personnes aujourd’hui, encore non-vaccinées, n’auront guère de chance d’obtenir leur passe-sanitaire avant un an…
Pierre Duriot – 17/11/2021




Fabien Nierengarten

Quand la science vient au secours de l'art... On a appris hier que des algorithmes avaient permis de redonner vie à trois œuvres de Gustav Klimt, détruites lors d'un incendie en 1945, et dont il ne restait que des esquisses, ainsi que quelques photos en noir et blanc. Cet exploit technologique a été réalisé par le département "Arts" de Google, en collaboration avec le musée du Belvédère de Vienne.
En 1894, le ministère de l’Éducation autrichien commande à Klimt, trois panneaux monumentaux symbolisant la Médecine, la Philosophie et le Droit, afin de décorer le plafond de la grande salle des fêtes de l’Université de Vienne. Mais lorsqu’il livre ses tableaux, le peintre a évolué et a pris la tête d'un mouvement d’avant-garde. Loin de glorifier la victoire de la science, de la sagesse et de la justice sur les ténèbres de l’ignorance, les immenses panneaux reproduisent une vision toute personnelle et tourmentée de ces facultés. Ils sont donc rendus à l'artiste. On lui demande même de rembourser les avances qui lui ont été versées.
Les œuvres sont alors acquises par des mécènes autrichiens, mais saisies par l'occupant nazi lors de l'Anschluss en 1938. Entreposées au château d’Immendorf, elles disparaissent lors de l'incendie volontairement provoqué par les SS, le 8 mai 1945, peu avant l’arrivée de l’Armée rouge. Leur reconstitution est donc une belle revanche de l'avenir sur le passé. Un peu d'optimisme dans ce monde au bord de la crise de nerf.

Michel Spitz

À l’occasion de la publication par Pierre Barrat de son autobiographie, la ville de Colmar a invité ses amis pour lui témoigner sa plus vive reconnaissance. Comédien, metteur en scène et directeur de théâtre, il tient dans l’histoire culturelle de notre cité, une place centrale. Il a fondé et assuré la direction de l’Atelier lyrique du Rhin de 1974, date de sa création, à 1998, soit un quart de siècle. Nous lui devons la création en 1990 du théâtre de la Manufacture, aujourd’hui, Centre dramatique national porté par la Comédie de Colmar. Les mémoires qu’il vient de publier nous apprennent beaucoup sur les ressorts et les convictions d’une carrière qui couvre plus d’un demi-siècle de travail et sur un parcours d’une richesse et d’une exigence rares. Ses productions nombreuses ont marqué les mémoires du public du théâtre et de toutes les scènes où il a été l’ambassadeur de Colmar.

Professeur Schmeerwurscht – HEB'DI – 22/11/2021

Par derrière
L’infectiologue Benjamin Davido déclare : « Lorsque vous faites la bise, vous faites un aérosol, il vaut mieux faire une accolade, car on a la tête l’un derrière l’autre et on peut garder le masque ». Si c’est pour avoir « la tête l’un derrière l’autre », j’ai une meilleure idée…

LFI ou La France Idiote
La « réconciliation avec les terroristes et ceux qui sont poursuivis ». Avec les mélenchonistes, on n’est jamais sûr du pire. ça fait penser à la réplique d’OSS 117 : « Pourquoi ne pas espérer, un jour, une réconciliation entre juifs et nazis ? » Mais OSS 117, lui, est drôle.

Prix de l’humour
Le Figaro se pose la question : « Baisse du nombre d’enseignants : faut-il revaloriser les salaires ? »
Il fallait oser poser la question !

Foutage de…
En 2020, la France a versé 140 millions d’euros à un pays pour l’aider à se développer. Quel est ce pays ? Le Mali ? Le Bangladesh ? La Bulgarie ? Non, c’est la Chine !
Cette somme la place à la neuvième place parmi les 30 principaux bénéficiaires de l’Aide Publique au Développement versée par la France. Cette aide représente un total de 12,4 milliards d’euros. Parmi les bénéficiaires on trouve notamment : la Somalie (343 millions d’euros), le Maroc (312 millions) et l’Inde (230 millions). (Rappelons que cette dernière a des ronds pour aller dans l’espace et pour fabriquer des bombes nucléaires, mais pas pour nourrir sa population !)
On se fout de qui déjà ? Ah oui : de nous !

Vent du soir
Le président américain a décidément le vent en poupe. À l’occasion d’un pince-fesses (pas assez pincées), en présence de nombreuses personnalités dont la compagne du Prince Charles, Camilla Parker Bowles, Joe Biden a lâché un pet.
« C’était long, bruyant et impossible à ignorer », a dit Camilla, un peu pète-sec. Peu ou prou(t), il est à fond la caisse, Joe !

Covid couilles
À Genève, un night-club offre une pipe (fellation) à tous ceux qui viennent se faire vacciner.
Rien n’est précisé pour "celles" qui viennent se faire vacciner…
Elles peuvent toujours écrire au journal, on verra bien…

Certains l’aiment slow
À Paris, dans 660 secteurs, la vitesse des trottinettes sera limitée à 10 km/h.
Du coup, elles se feront renverser par les joggeurs.

22 novembre 2021

Phil

Dans la prochaine revue d'Espoir : Vivre avec la peste au temps des humanistes : "...Puis il faut plumer l’arrière-train d’un jeune coq, le saupoudrer de sel, puis frotter les bubons jusqu’à ce que le coq meure..."

Mattea Battaglia – Le Monde 22/11/2021

Les démissions d’enseignants augmentent et l’éducation nationale n’arrive pas à répondre à ce malaise


Dans une salle de classe de Bischwiller (Bas-Rhin), en novembre 2020. PATRICK HERTZOG / AFP


Il aurait dû faire sa première rentrée des classes en tant que titulaire il y a un an. Mais Baptiste (il souhaite rester anonyme, comme les autres personnes citées par leurs prénoms), 25 ans, a choisi de « s’échapper » avant. Quatre mois à enseigner la musique comme professeur stagiaire dans un collège de Douai (Nord) lui ont suffi à prendre sa décision : en janvier 2020, il a posté sa lettre de démission.

« Il n’y a pas eu d’événement déclencheur, rapporte-t-il, ça se passait bien avec mes élèves, et même très bien lors des inspections, mais je ne me sentais pas à l’aise… Le fonctionnement, la vie de l’établissement : tout cela me semblait très éloigné de ma passion pour la musique. » Le jeune homme a « tenu l’année ». « Tu es fou : pourquoi faire ça après cinq ans d’études, un concours en poche [le Capes], et la sécurité de l’emploi ? », lui ont dit ses proches. Mais son choix était arrêté : en septembre, il n’a pas repris le chemin du collège, « sans temps perdu et sans regrets ». Il met désormais « toute son énergie » dans l’entreprise agricole familiale pour, espère-t-il, la « faire évoluer ».

Combien sont-ils ceux qui, comme Baptiste, claquent la porte de leur classe avant même d’y avoir pris leurs marques ? « De plus en plus nombreux », concède-t-on rue de Grenelle, sans livrer le détail de ces démissions précoces (de stagiaires), pour l’année écoulée. Elles représentaient, déjà, la moitié du total il y a trois ans. Celles émanant de professeurs titulaires sont, en revanche, bien documentées : le ministère de l’éducation en a comptabilisé 1 554 en 2019-2020 et même 1 648 en 2020-2021, selon des chiffres communiqués par Jean-Michel Blanquer lors d’une audition au Sénat le 3 novembre. (...)

20 novembre 2021

« Les sondages, c’est comme la minijupe, ça fait rêver mais ça cache l’essentiel ! »

Michel Naudo

(Sondage IFOP de novembre 2021 sur l’Avenir de l’Alsace)

En 2019, les Alsaciens étaient 68% à vouloir sortir du Grand Est, aujourd’hui ils sont encore 64% soit 4 points de moins ou si vous préférez, presque 6% d’entre eux ont changé d’avis. 9% des sondés ne se prononcent pas, ils étaient seulement 1% en 2019…
Que s’est-il passé depuis 2019 ? De quoi cette chute est-elle le signal ?
La Collectivité européenne d’Alsace (CEA) a vu le jour le 1er janvier 2021 et des élections régionales et départementales ont eu lieu en juin dernier.
Les Alsaciens ont-ils, depuis, constaté un changement quelconque dans leur vie de tous les jours ?
Le fait qu’ils se trouvent depuis 2015, intégrés dans le Grand Est, a-t-il eu un impact sur eux ?
La fusion des deux Départements alsaciens en une seule collectivité a-t-elle amélioré quelque chose dans la vie quotidienne des Alsaciens ?
Je fais le pari que si ces trois questions étaient posées aux Alsaciens, les trois réponses seraient « non ».
De mon point de vue, l’explication de cette chute de 4 points et des 8% en plus qui ne se prononcent pas est là.
Il est inutile de sonder les Alsaciens avec des questions aussi générales sur un sujet institutionnel qu’ils ne maîtrisent pas.
Pour la plupart des gens, l’organisation administrative de la France et de l’Alsace en particulier, c’est de l’hébreu. Le Grand Est et la CEA leur passent par-dessus la tête. Si de plus, ces changements institutionnels intervenus en 2015 et 2021 n’ont pas été perçus dans leur quotidien, les Alsaciens ne sont-ils pas en droit de commencer à se demander « mais pourquoi diable veulent-ils changer quelque chose ? ».
Nous n’avons pas encore tiré les enseignements de l’échec cuisant et du gâchis infligés aux Alsaciens par les hommes politiques lors du référendum d’avril 2013 !
Encore une fois, faute de leur expliquer correctement quelle sera la plus-value pour eux d’une sortie du Grand Est, nous irons de désillusions en déceptions et les mêmes causes produiront les mêmes effets.
Ce n’est pas un tour d’Alsace en 80 jours qui va changer quoi que ce soit aux connaissances des Alsaciens sur un sujet aussi complexe…
Tout ce qui n’a pas été fait lors de la campagne de 2013 sur le Conseil d’Alsace reste à faire : implication sur le terrain des élus locaux tels que les maires et les Conseillers d’Alsace. Organisation de tables rondes, d’ateliers thématiques et de groupes de travail avec les citoyens. Maitrise et organisation des réunions avec des animateurs formés disposant de fiches thématiques explicatives. C’est un sacré travail ! C’est long, mais c’est le prix à payer pour faire fonctionner correctement la démocratie participative.
Il s’agit avant tout de convaincre les Alsaciens avec une démarche pédagogique qui est aux antipodes d’une campagne électorale classique faite de réunions publiques, d’affiches, tracts et autres slogans. Distribuer et faire remplir des questionnaires à la population est tout aussi inefficace…
Un autre point dans ce sondage ne laisse pas d’interroger : comment se fait-il qu’aujourd’hui 79% des électeurs RN alsaciens, se prononceraient plutôt pour un candidat à l’élection présidentielle qui se déclarerait favorable au retour à une Région Alsace à part entière alors que nous avons tous en mémoire que le Front National avait fait une campagne vent debout contre le Conseil d’Alsace en 2013 ?
Méfions-nous des sondages qui ne posent pas les bonnes questions et rappelons-nous également qu’à la veille du référendum de 2013, 75% des Alsaciens interrogés, déclaraient vouloir voter « oui » (sondage CSA du 25 février au 1er mars 2013).
On peut aussi constater un certain décalage entre les résultats des sondages et ceux des urnes puisqu’un seul régionaliste siège parmi les 80 Conseillers d’Alsace de la CEA et que Jean Rottner est arrivé en tête aux deux tours de scrutin en Alsace lors des élections régionales de juin dernier…
Pour finir un point de détail mais qui a pu entraîner une certaine confusion chez les Alsaciens sondés : la principale question posée est "Pensez-vous que la nouvelle collectivité européenne d’Alsace (CeA), née le 1er janvier 2020 de la fusion des conseils départementaux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, doit sortir de la Région Grand Est pour redevenir une région Alsace à part entière ?"
On peut souligner ici le professionnalisme des sondeurs qui ignorent jusqu’à la date de création de la CEA et la légèreté des commanditaires qui visiblement n’ont pas vérifié le texte avant de donner leur feu vert…
https://alsace-malgre-elle.fr/mefions-nous-des-sondages/



Phil

Disparu il y a plus d'un an, le maire de Colmar, au sens de l'humour "légendaire" fait encore parler de lui...
DNA Colmar

19 novembre 2021

Événement LÉZARD

MARDI 30 NOVEMBRE 2021 À 20:00

Ciné-débat : Paris Stalingrad

CGR Colmar

Documentaire de Hind Meddeb et Thim Naccache - France - 2021 - 1h28
Soirée-débat organisée dans le cadre du festival Migrant'scène, en partenariat avec La Cimade, qui lutte pour la défense de la dignité et des droits des personnes réfugiées et migrantes.

Eté 2016, Paris, des personnes réfu­giées campent quartier Stalingrad dans l’attente de régulariser leur situation. Hind Meddeb et Thim Naccache sont là, comme de nombreuses personnes, en soutiens, en voisins, et dessinent le quotidien et la géographie de Stalingrad, espace - frontière au cœur de Paris. Un labyrinthe physique se mêle au laby­rinthe administratif déjà en place, la ville refoule. Contrôles, nasses, évacuations, grillages. Comment faire lieu, faire collectif, comment habiter un espace qui empêche d’exister ?
Le film cartographie le calvaire : points d’eau, coins d’ombres, parcs isolés, tables de pingpong pour cuisiner. Aux abords des terrains de tennis, les réfugiés se reposent tout près des joueurs qui continuent de s’exercer et se réveillent avec les joggeurs qui s’étirent. Les corps s’in­tègrent difficilement mais un collectif naît et une coexistence s’ins­talle. Du groupe, s’élève la voix de Souleymane, jeune exilé du Darfour dont les poèmes viennent cohabiter avec la voix off de la cinéaste. Souley­mane circule, erre, se perd, resurgit et raconte.

Retrouvez plus d'informations sur le festival Migrant'scène sur le site de La Cimade : https://www.lacimade.org/



Michel Naudo

J-8
Parc des expositions de Colmar

Samedi 27 novembre 9h-19h
Dimanche 28 novembre 9h-18h

Entrée gratuite.

Environ 70 000 ouvrages exposés.
* 200 stands
* 80 maisons d’édition
* 7 librairies
* 8 bouquinistes
* 29 associations
* 400 artistes-auteurs

J’y serai non stop pour échanger et dédicacer mon livre « L’Alsace malgré elle ».
https://alsace-malgre-elle.fr/



18 novembre 2021

23ème édition des Petits Formats à Soultzmatt (du 3 au 19 décembre, les vendredis, samedis et dimanches uniquement)



Participation de la galerie Murmure à St'Art 2021

Galerie Murmure

Chers amis, clients et amateurs d'art,

En novembre 2018, un projet, un rêve, se concrétisait avec l'ouverture de la galerie Murmure à Colmar, pour une exposition dédiée à Antoni Tàpies.

Pour son troisième anniversaire la galerie Murmure a le bonheur de participer à son premier salon: St'Art 2021 !


Nous aurons le plaisir de pouvoir vous accueillir sur le stand 1C19 et vous présenter des œuvres de David Daoud, Rose-Marie Crespin, Rainer Gross, Yolaine Wuest, Antoni Tàpies, Sophie Patry, Frédéric Klein et Louis Stettner.

Vernissage : Jeudi 25 Novembre 2021 de 15h à 22h

Vendredi, samedi et dimanche de 11h à 20h

Vous pourrez rencontrer Yolaine Wuest et Frédéric Klein lors du vernissage jeudi 26 novembre.

Et voici le plan d'accès pour faciliter votre éventuelle visite :

https://www.st-art.com/visiteurs/infos-pratiques/

Au plaisir de vous accueillir et de poursuivre avec vous cette belle aventure artistique et humaine !

Amicalement,

Audrey
Fabien Nierengarten

Scoop de ce matin : on apprend qu'il est désormais possible de désigner par "iel", la personne qui ne se sent ni "il", ni "elle". En clair, la langue française est sur le point d'accepter l'usage d'un pronom personnel neutre, comme c'est d'ailleurs déjà le cas en anglais ("it") ou en allemand ("das").
Au-delà de la question du bien-fondé de cette innovation linguistique (qui risque juste de compliquer encore davantage la compréhension de ce que certain(e)s veulent dire), il est marrant de constater que Petit Robert a pris de l'avance sur LaRousse. Faut-il en déduire que les hommes sont plus ouverts que les femmes sur la question du 3ème sexe ? Le débat est ouvert...

17 novembre 2021

Phil

Masque obligatoire sur les marchés de Noël à Colmar... Dessin prémonitoire réalisé en 1987...

[Concerne les habitants du centre-ville]



Festival du livre de Colmar

AMELIE NOTHOMB OUVRE LE BAL DES RENCONTRES LITTERAIRES

Le 26 novembre de 14h à 17h30 : rencontre et dédicace au THÉÂTRE MUNICIPAL

Amélie Nothomb sera au Théâtre municipal pour dédicacer son 30e roman Premier sang et s’entretenir avec son public (Librairie RUC sur place). Entrée gratuite, sur invitation à retirer aux heures d’ouverture du Théâtre municipal.
Romancière belge née au Japon, ses livres font partie des romans les plus appréciés du public francophone et autres puisqu’ils ont tous fait l’objet de moults traductions. Ce succès est en partie dû à son attachement à la culture nippone, retranscrit dans plusieurs de ses romans, et à son style d'écriture excentrique. Elle a reçu une vaste panoplie de prix littéraires au cours de sa carrière, notamment le Grand Prix de l’Académie française pour Stupeurs et Tremblements. Sa nouveauté de la rentrée, Premier sang, est parue chez Albin Michel.


Covid : pays plus vaccinés versus pays moins vaccinés

TrialSiteNews vient de sortir un article, intitulé « Enquête sur les tendances Covid-19 dans les 10 pays les plus vaccinés et les 10 pays les moins vaccinés ».

Deux tableaux résument bien la situation, et se passent de commentaires, sinon celui-là : « On peut discuter de tout sauf des chiffres ».

Certains chipoteront sur les pays sélectionnés, il y a peut-être des erreurs, un oublié ou un en trop. C’est ce que j’ai pensé en me disant qu’ils avaient omis l’Islande. Eh bien non, sur Our World in Data, l’Islande est « fully vaccined” à 75%, donc inférieur au Cambodge, dernier de la liste. Le Portugal m’étonnait, je le croyais au niveau de la France, non, la liste semble donc juste (et vérifiable toujours sur OWD).

On peut confirmer en ce qui concerne les plus et les moins vaccinés :

Pour les courbes de cas, c’est moins évident, mais une remarque : TrialSite ne parle pas de niveau de contamination, mais de l’évolution, soit épidémie en cours de développement, ou d’amélioration. Seule critique recevable : le niveau de fiabilité des relevés, mais comme déjà expliqué plusieurs fois ici, si des pays ont des statistiques peu fiables, l’évolution des courbes est fiable, car au début, au pic et en fin de vague, les conditions de recueil sont les mêmes, les erreurs ou insuffisances, les mêmes. Augmentation ou baisse, c’est juste, par contre le niveau, peut être discuté.

D’autres on fait le même constat il y a quelques jours. Autres courbes, autre présentation, même résultat.

« La vaccination ne réduira pas l’épidémie » était en début d’année un discours de complotistes. Aujourd’hui, c’est plus clair et non complotiste, admis par tous : « La vaccination ne réduit pas l’épidémie ». Même le premier financier et premier défenseur de la vaccination, Bill Gates, le reconnaît.

Le discours est maintenant différent : « la vaccination réduit les formes graves ». Sans doute, en espérant qu’on n’apprendra pas un jour que c’est la même histoire que le nuage de Tchernobyl qui s’est arrêté à la frontière. Des pays, des études, nous disent que la majorité des hospitalisés sont vaccinés, d’autres comme le nôtre, nous disent que la majorité des hospitalisés ne sont pas vaccinés. Qui croire alors que, depuis des mois, tout ce qu’on nous affirme s’inverse avec le temps ? Quant aux risques, circulez, il n’y a rien à voir, et le rapport bénéfice/risque appartient au passé de la médecine, même si cela a prévalu depuis plus de 100 ans.

Forts de ce constat, les esprits intelligents en déduiront que ce n’est pas en vaccinant plus, que ce n’est pas en mettant en prison les non-vaccinés, que l’on mettra fin à l’épidémie. Nos dirigeants ne voient pas que le virus se joue de notre campagne de vaccination et de notre pass avec notre 5e vague, que l’on ne peut même pas attribuer à un nouveau variant !

L’Inde s’est joué du même virus, du même variant, en deux mois. Sans vaccin (3% à l’époque), et avec traitement. De plus, cela leur a conféré une immunité supérieure, plus durable et collective (67%). Résultat, depuis 7 mois, rien, pas de nouvelle vague en vue. 

L’exemple antillais est aussi spectaculaire et devrait faire réfléchir et se poser la question de savoir si on prend les bonnes mesures. Comme pour l’Inde en début de vague, ils ont fait la une de tous les journaux, mais on n’en parle pIus. Pourquoi ? Parce que, comme en Inde, sans vaccin, en recherchant par tous les moyens d’autres traitements, entraînant des ruptures de stocks, ils ont vaincu la covid. En 1 mois, le nombre de cas a été divisé par 40 en Guadeloupe et par 20 en Martinique. Ils ont résisté, ils ont gagné, contre le virus et contre l’Etat qui a cédé. Comme l’Inde, ils ont démontré que la vague cède peut être plus vite sans vaccination. (Vous pouvez vérifier en tapant sur Google « chiffres covid Guadeloupe » ou Martinique).

Quant aux cas moins graves avec la vaccination, ceux qui justement sont susceptibles de présenter ces formes graves, sont parfaitement ciblés depuis 18 mois. Pourquoi ne pas réserver cette « vaccination » à cette seule population, celle qui en aurait besoin, au lieu de contraindre ceux qui n’en ont pas besoin, les obligeant à prendre un risque pouvant être supérieur à la maladie.

16 novembre 2021

Guillaume Meurice

NE PERDEZ PAS DE TEMPS À LIRE CECI

Vous perdez votre temps. Vous nous faites perdre le nôtre. Vous parlez d’une France qui n’a jamais existé ailleurs que dans votre tête. Vous rêvez de pureté. Vous haïssez le multiculturalisme avec des Nike aux pieds, en mangeant une pizza, votre Samsung à la main. Vous avez déjà perdu. Personne ne démélangera les cultures. Personne ne cessera de voyager, de fuir la misère, de tomber amoureux, de se métisser. Vous vous épuisez pour rien. Les dominants vous ont fait croire que le danger, c’était le réfugié sans le sou plutôt que le milliardaire qui vous pique du pognon tous les jours, échappant à l’impôt, imposant sa politique. Vous y avez cru. Ils ont gagné. Ils ont « grand-remplacé » les raisons de votre colère. Mais vous valez mieux que ça. Mieux que vos angoisses. Mieux que vos névroses, qui ne sont définitivement pas un programme politique. Posez ce « seum » délicatement sur le sol. Les plus virulents d’entre vous jouent au mâle dominant mais attaquent toujours à plusieurs, masqués, dans le dos, chouinent dès qu’un pseudo-gauchiste fait une demi-blague, se planquent derrière le culte de la virilité, des armes. Exactement comme des djihadistes. Allez, passons à autre chose. Passez à autre chose. L’humanité va crever sous le réchauffement planétaire, des milliers d’espèces disparaissent chaque semaine, la pauvreté explose et on débat de la bonté du maréchal Pétain ou des prénoms des gosses. Stop. On a assez perdu de temps.


☐ Juan Branco - "J'espère que les fourches seront de sortie"



☐ LA LIBERTÉ D’INFORMER EST EN DANGER DE MORT






☐ LE VRAI VISAGE DE MACRON





Confinement des non-vaccinés : ils sont devenus fous ! (15/11/2021)






☐ François Boulo - "Il y aura une révolution en France !"