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15 décembre 2025

Michael Gonzalez



21/11/2025


Un abonnement à 20 € par mois pour les Colmariens permettra d’accéder à l’ensemble des parkings et des places de stationnement sur tout le territoire de Colmar.
Ce dispositif offrira simplicité, équité et économie pour tous les usagers, qu’ils soient résidents, commerçants ou salariés.
De plus, la construction de nouveaux parkings, dont des parkings souterrains, sera engagée afin de répondre à la croissance de la ville et aux besoins accrus de stationnement.
Ces infrastructures seront équipées de bornes de recharge pour véhicules électriques, afin d’accompagner la transition écologique et de moderniser durablement l’offre de stationnement à Colmar.
À Colmar, je veux engager une politique globale et cohérente du stationnement, fondée sur trois objectifs : faciliter la vie quotidienne des habitants, soutenir l’activité économique locale et moderniser durablement nos infrastructures urbaines.

Un abonnement de stationnement accessible pour les Colmariens et les commerçants

Je proposerai un abonnement mensuel unique de 20 €, réservé aux Colmariens et aux commerçants, afin de simplifier l’accès au stationnement et de réduire les coûts pour les usagers réguliers.
Cet abonnement permettra de fluidifier la circulation, de limiter le stationnement aléatoire et d’encourager une organisation plus rationnelle, favorable au dynamisme du centre-ville.

Des conditions de livraison adaptées aux besoins des commerces

Les commerçants doivent pouvoir livrer et décharger leurs marchandises sans obstacles inutiles.
Je mettrai en place un dispositif offrant des horaires plus souples et adaptés, ainsi qu’une réglementation allégée pour les entreprises intervenant dans les commerces, les restaurants et les services.
L’objectif est simple : ne plus sanctionner ceux qui travaillent, mais leur permettre d’exercer leurs missions dans des conditions réalistes, sans stress et sans perte de temps.

Un plan de construction de parkings (souterrains également, vu la cartographie de la ville) adaptés à la croissance de la ville

• Parking Saint-Joseph
Un parking souterrain sera aménagé sous le parking existant, face au lycée Blaise-Pascal.
Il sera réservé en priorité :
– aux Colmariens, et notamment aux riverains du quartier Saint-Joseph ;
– aux habitants du Ried et du vignoble.

• Route d’Ingersheim
En concertation avec la Région, nous transformerons la zone enherbée en un espace de stationnement paysager, avec un arbre planté entre chaque place, afin de préserver un cadre agréable et écologique.

• Parkings souterrains de proximité dans les quartiers en tension
Dans les quartiers où le stationnement est particulièrement difficile, comme le quartier Sainte-Marie, je lancerai la construction de parkings souterrains réservés aux riverains, accessibles avec un tarif symbolique et équipés de bornes de recharge pour véhicules électriques.
Ces réalisations seront progressivement étendues à tous les secteurs où la demande est forte, afin de réduire les nuisances, la pollution liée à la recherche de places et l’usure des véhicules.

Un projet structurant : un parking souterrain sous le Tribunal judiciaire et l’ancienne prison, rue des Augustins

Je proposerai la construction d’un grand parking souterrain sous le Tribunal judiciaire et l’ancienne maison d’arrêt, aujourd’hui désaffectée.
Ce projet est techniquement réalisable, comme l’ont démontré la construction du parking de la Montagne Verte ou de la place Rapp. Avec une étude géotechnique appropriée, cette infrastructure pourra être menée à bien sans compromettre les bâtiments environnants.
Ce parking jouera un rôle majeur dans l’organisation du stationnement à Colmar :
– il sera réservé en grande partie aux Colmariens, notamment aux habitants du Ried, du vignoble et à ceux qui viennent travailler quotidiennement en centre-ville ;
– il facilitera le quotidien des habitants du centre, qui manquent de places sécurisées et accessibles.
Environ un quart des places (à affiner selon la capacité finale) sera dédié aux usagers extérieurs venant ponctuellement en centre-ville, notamment les touristes, afin de préserver l’équilibre entre vie locale et attractivité.
L’objectif est clair : permettre aux Colmariens de se réapproprier leur ville, de retrouver un centre-ville apaisé et accessible, sans être en concurrence permanente avec les flux touristiques.

Extension du parking de la Mairie : un espace enfin dédié aux Colmariens

Je proposerai également l’agrandissement du parking de la Mairie, avec une zone exclusivement réservée aux habitants de Colmar.
Ce nouvel espace renforcera l’offre de stationnement de proximité, indispensable pour soutenir la vie quotidienne, les commerces et l’activité culturelle du cœur de ville.
Avec cette stratégie globale, Colmar adoptera une politique moderne, équitable et ambitieuse du stationnement, pensée pour les Colmariens, utile aux commerçants et adaptée aux défis de demain.
Ces parkings intégreront, si possible, de la végétalisation, des toitures vertes ou des zones perméables. Ils seront conçus dans une logique environnementale moderne, afin de permettre un véritable gain écologique.
À noter que les parkings souterrains seront livrés entre 30 et 42 mois après le lancement du projet.
Les parkings de surface végétalisés seront opérationnels en moins de 14 mois, et les parkings réservés aux riverains pourront être mis en service en quelques mois seulement.

FICHE TECHNIQUE
 
Impact écologique des projets de stationnement à Colmar
1. Objectif général

Réduire la pollution et améliorer la qualité de vie en réorganisant le stationnement à Colmar grâce à des infrastructures adaptées, modernisées et écologiquement responsables.
2. Impacts écologiques attendus
2.1. Diminution des émissions polluantes
– Réduction du temps de recherche de stationnement dans les quartiers saturés (Sainte-Marie, Saint-Joseph, centre-ville).
– Baisse des émissions de CO₂, NOx et particules fines grâce à la diminution des trajets inutiles.
– Moins d'embouteillages locaux et de nuisances sonores.
2.2. Réduction de la surconsommation et de l’usure des véhicules
– Moins d’arrêts/redémarrages, qui augmentent la consommation de carburant.
– Optimisation des déplacements quotidiens → baisse des émissions et de l'usure mécanique.
2.3. Création de parkings végétalisés
– Installation d’arbres entre chaque place (ex : route d’Ingersheim).
– Diminution des îlots de chaleur urbains.
– Augmentation de la perméabilité des sols grâce à des parkings drainants.
– Contribution à la biodiversité et absorption naturelle du CO₂.
2.4. Généralisation des parkings souterrains
– Limitation de l’impact visuel et optimisation du foncier.
– Libération d’espaces en surface pouvant être réaffectés à des espaces verts, zones piétonnes ou pistes cyclables.
– Réduction du stationnement anarchique, améliorant la fluidité de la voirie.
2.5. Déploiement de bornes de recharge électrique
– Installation systématique dans les parkings réservés aux riverains.
– Encouragement au passage vers des véhicules à faibles émissions.
– Soutien à la transition énergétique locale.
3. Cohérence avec les objectifs environnementaux
Ces projets s’inscrivent dans :
– les orientations du Plan Climat-Air-Énergie Territorial (PCAET),
– les normes environnementales nationales (loi Climat et Résilience),
– une vision de mobilité durable visant à réduire les émissions urbaines et à moderniser les infrastructures tout en préservant la vitalité économique de la ville.
4. Bénéfices écologiques globaux pour Colmar
– Amélioration de la qualité de l’air.
– Réduction du trafic de surface et des nuisances.
– Mise en cohérence entre modernisation urbaine et préservation environnementale.
– Renforcement de l’attractivité d’une ville plus propre, plus fluide, plus végétalisée.


17/11/2025


Pourrait-on nous indiquer quel candidat porte également un projet de tramway ?
Avant que nous présentions publiquement la nécessité du tram à Colmar et ses avantages, nous souhaitons éviter qu’on vienne ensuite prétendre que cette idée figurait déjà dans d’autres programmes.
Au plus tard mercredi, si aucun candidat ne se manifeste sachant que mon compte politique est consulté par les autres candidats ou leurs soutiens proches, cela signifiera qu’aucun d’eux n’a ce projet, ou que, s’ils l’adoptent, j’aimerais comprendre dans quelle mesure cette idée leur est venue et comment ils envisagent de la financer.



15/11/2025

Ce qui a été mis en place jusqu’à présent comme ce qui est mentionné dans cet article , c’est un peu comme « pisser dans un violon » : le flux touristique restera intense, avec toutes les conséquences que cela implique sur la circulation en centre-ville, et le stationnement demeurera un véritable cauchemar. Aucune mesure directe ne profite réellement aux Colmariens.
Avec Michaël Gonzalez, l’approche serait différente : extension du marché de Noël vers la rue Vauban et le quartier Saint-Joseph, accompagnée de parkings supplémentaires, afin de rendre le marché plus fluide et agréable.
Il propose également la mise en place d’une carte de stationnement, non pas limitée à une heure gratuite, mais permettant aux Colmariens de se garer où ils le souhaitent dans la ville pour environ 20 € par mois (tarif à définir). Certaines zones de stationnement, voire des parkings entiers, seraient réservés exclusivement aux résidents.
Bien sûr, les infractions continueraient d’être verbalisées, mais sans pénaliser les Colmariens, qui ne sont pas des touristes de passage mais des habitants à plein temps. Ils bénéficieraient ainsi soit des mêmes facilités de stationnement toute l’année, indépendamment du flux touristique, soit d’une certaine indulgence en cas de contravention.
Michaël Gonzalez prévoit en effet de demander aux policiers municipaux de verbaliser uniquement en cas de graves infractions au code de la route ou de stationnement très gênant, notamment pendant la période de Noël.


15/11/2025

À savoir que le parking ne sera pas construit sous la place Saint-Joseph ; il faut faire preuve d’un minimum de bon sens, car cela serait impossible. Le parking souterrain sera réalisé sous le parking situé en face du lycée Blaise-Pascal.


10/11/2025

La rénovation des Cinq Châteaux à Husseren-les-Châteaux, c’est une fierté pour notre territoire !
Un projet qui valorise à la fois notre vignoble, notre patrimoine et tout le bassin colmarien.
Ce que l’on fait pour le vignoble, on le fait aussi pour Colmar.
Un projet comme la reconstruction et valorisation des cinq châteaux de Husseren-les-Châteaux peut significativement booster le vignoble colmarien, et voici pourquoi :
1. Attraction touristique renforcée
Les châteaux deviennent une destination touristique emblématique, attirant visiteurs locaux et internationaux.
Les touristes visitant le château vont souvent chercher à découvrir la région viticole environnante, donc le vignoble bénéficie d’un flux accru.
2. Synergie avec le vin et le terroir
Possibilité d’organiser dégustations de vins alsaciens dans le château ou dans les parcours touristiques.
Partenariats avec les producteurs locaux pour proposer pack visites château + vignoble + dégustation.
Création d’événements œnotouristiques (fêtes médiévales avec accord vins et gastronomie, festivals de vendanges...
3. Augmentation de la notoriété internationale
Si le château-hôtel est promu à l’international (média, marketing ciblé pour investisseurs du Golfe), la région viticole gagne en visibilité mondiale.
Les touristes fortunés fréquentant l’hôtel seront des clients potentiels pour le vin local, augmentant les ventes directes et la renommée.
4. Développement économique local
Hôtels et activités touristiques génèrent un flux économique vers restaurants, caves, guides touristiques, artisans.
Les vignerons peuvent bénéficier d’un marché supplémentaire grâce à la fréquentation accrue de la région.
5. Effet “destination complète”
La combinaison château + hôtel + musée + vignoble crée une expérience unique :
- Séjour culturel + œnotourisme
- Possibilité de forfaits séjour combinés
- Augmentation de la durée moyenne des séjours et des dépenses touristiques
Ce projet ne se limite pas à la valorisation du patrimoine historique, il devient un catalyseur pour tout le vignoble colmarien, en renforçant l’attractivité touristique, la notoriété internationale et le chiffre d’affaires des producteurs locaux.

Impact Prévisionnel du Projet “Les Cinq Châteaux de Husseren-les-Châteaux”
Sur le vignoble colmarien et le bassin économique de Colmar (Alsace)
1. Hypothèse de base du projet
Investissement total : 15 à 35 millions € selon le scénario (voir plus haut).
Ouverture prévue : 4 à 5 ans après le lancement.
Capacité :
1 hôtel haut de gamme (15 à 20 chambres).
4 châteaux touristiques et muséaux.
Fréquentation visée : 150 000 visiteurs/an au total, dont 20 000 nuitées dans l’hôtel.
Positionnement : haut de gamme, culturel, œnotouristique et international.
2. Retombées économiques sur le vignoble colmarien
Indicateur - Estimation annuelle après ouverture - Effet économique
Augmentation du flux touristique dans le vignoble +15 à +25 %. Davantage de visiteurs dans les caves et domaines.
Ventes directes de vin +2 à +3 millions €/an Les visiteurs du château consomment ou achètent local.
Création de partenariats œnotouristiques 10 à 20 domaines partenaires Offres combinées : visite du château + dégustation.
Événements et festivals liés au vin 4 à 6/an Ex : “Vendanges du Château”, “Route des Vins & Histoire”.
Création d’emplois indirects 40 à 60 emplois : sommeliers, guides, chauffeurs, restaurateurs.
Conséquence directe :
Le projet crée une synergie entre patrimoine et viticulture, renforçant l’identité du vignoble colmarien comme pôle œnotouristique majeur d’Alsace.
3. Retombées sur le bassin économique colmarien
Secteur - Effet attendu - Estimation annuelle
Tourisme et hôtellerie +30 000 nuitées/an supplémentaires dans Colmar +3 à +5 M€ de retombées
Restauration et commerces : hausse de fréquentation touristique +2 à +4 M€
Artisanat et patrimoine, travaux de restauration, maintenance, souvenirs +1 à +2 M€
Création d’emplois directs : hôtel, musée, gestion du site 70 à 100 emplois
Création d’emplois indirects : transport, services, sous-traitance 100 à 150 emplois
Effet “halo” sur l’immobilier et les investissements : ugmentation de la valeur touristique de la région +5 à 10 % de valorisation à moyen terme.
Impact total estimé sur le bassin colmarien :
> +10 à 15 millions d’euros/an de retombées économiques locales dès la 3ᵉ année d’exploitation.
4. Bénéfices pour un investisseur émirati
1. Visibilité et prestige international : un projet culturel et touristique phare en Europe.
2. Rendement direct : revenus de l’hôtel, billetterie du musée, événements, partenariats.
3. Rendement indirect : notoriété du fonds dans le secteur du patrimoine et du tourisme de luxe.
4. Effet levier : ouverture vers d’autres investissements à Colmar (résidences hôtelières, spas, vignobles, gastronomie, green tourism).
5. Vision à long terme (10 ans)
Domaine Projection à 10 ans
Nombre annuel de visiteurs du site 250 000 à 300 000
Retombées annuelles totales (Colmar + vignoble) 15 à 20 M€
Création cumulée d’emplois 250 à 300
Augmentation du flux œnotouristique régional +30 à +40 %
Revenus hôteliers et événementiels cumulés 80 à 100 M€
Image de Colmar à l’international Renforcée comme “capitale du vin et du patrimoine alsacien”
6. Conclusion stratégique
Le projet des cinq châteaux devient :
Un moteur touristique et économique majeur pour Colmar et son vignoble.
Un projet emblématique capable d’attirer un investisseur du Golfe grâce à son prestige, sa rentabilité et son impact culturel.
Un levier durable pour renforcer la notoriété de Colmar à l’échelle internationale.



7/11/2025

Michael Gonzalez a annoncé qu’il ferait signer à l’ensemble de ses colistiers une charte d’engagement démocratique. Celle-ci prévoit que, si une pétition de contestation recueille plus de 20 % des voix de l’électorat, les élus concernés y compris lui-même, présenteront immédiatement leur démission, provoquant ainsi une nouvelle élection municipale.



3/11/2025

L’alsacien, une langue d’avenir pour une Alsace fière et unie !
Chers Alsaciens, chers amis de notre région,
L’Alsace, c’est bien plus qu’un territoire : c’est une culture, une histoire, et une langue qui nous rassemblent. Pourtant, aujourd’hui, trop de nos enfants y compris les miens grandissent sans maîtriser l’alsacien, malgré l’amour qu’ils portent à notre gastronomie, nos traditions et notre art de vivre. Cette langue, parlée avec passion par des générations avant nous, risque de s’effacer faute de transmission. Mais ensemble, nous pouvons changer cela.
Quelles que soient nos origines ou nos croyances, l’alsacien est un patrimoine commun, une richesse qui nous relie. J’ai rencontré des "Chibanis" qui le parlent avec une élégance et une chaleur qui prouvent que cette langue n’appartient à personne… et à tous à la fois. Elle est notre force.
C’est pourquoi je propose un plan ambitieux et concret pour redonner à l’alsacien la place qu’il mérite dans notre quotidien, et surtout dans l’éducation de nos enfants — parce que c’est là que tout commence.
Un projet pour transmettre, apprendre et valoriser l’alsacien
Notre objectif ? Faire de l’alsacien une langue vivante, reconnue et célébrée, tout en en faisant un atout pour l’avenir de nos enfants et de notre région.
Pourquoi ?
Préserver notre identité tout en nous ouvrant à l’Europe (l’alsacien est une passerelle vers l’allemand, le suisse-allemand, et bien plus).
Stimuler la réussite scolaire : le bilinguisme précoce développe les capacités cognitives et l’ouverture d’esprit.
Renforcer notre attractivité : une région fière de sa culture attire les talents, les entreprises et les touristes.
Créer du lien entre les générations et les communautés, pour une Alsace plus unie.
Comment ? Un plan éducatif ambitieux et progressif
Dès la petite enfance (0-6 ans) :
- Ateliers ludiques en crèche et maternelle (comptines, contes, jeux).
- Formation des éducateurs pour une immersion naturelle.
À l’école primaire (6-11 ans) :
- 2h d’alsacien par semaine, avec des activités joyeuses (chant, théâtre, rencontres avec des locuteurs natifs).
Au collège (11-15 ans) :
- Cours structurés, clubs linguistiques et échanges culturels.
- Option Langue Vivante C pour ceux qui veulent aller plus loin.
Au lycée (15-18 ans) :
- Reconnaissance de l’alsacien comme Langue Vivante B au baccalauréat, avec un coefficient valorisant.
- Parcours bilingues pour les lycéens motivés.
Pour les enseignants :
- Un plan de formation académique et une plateforme numérique avec ressources pédagogiques (cours, vidéos, jeux).
- Partenariats avec l'OLCA, les universités et nos voisins allemands et suisses.
Une langue qui nous projette vers l’avenir
L’Alsace est au cœur de l’Europe, dynamique et tournée vers l’innovation. Avec des projets comme le tram-fret colmarien (450M€ d’investissement), notre région se positionne comme un acteur économique majeur. L’alsacien n’est pas un retour en arrière, mais un tremplin pour demain :
- Un atout professionnel dans un espace transfrontalier en pleine expansion.
- Un marqueur d’identité qui renforce notre cohésion et notre fierté.
- Un levier culturel pour attirer et retenir les talents.
Des résultats concrets
Nous mesurerons notre succès ensemble :
+30 % d’enfants exposés à l’alsacien en 5 ans.
+50 % d’enseignants formés.
100 % de réussite pour les élèves choisissant l’option LV alsacien au bac.
Une démarche collective
Ce projet, nous le construirons main dans la main avec :
- Le Ministère de l’Éducation nationale et l’Académie de Strasbourg.
- La Collectivité Européenne d’Alsace et les associations culturelles.
- Les institutions frontalières (Allemagne, Suisse) pour des échanges enrichissants.
Rejoignez-nous !
L’alsacien n’est pas une langue du passé. C’est une langue d’avenir, moderne et vivante, qui mérite sa place dans les salles de classe, les rues de nos villes et les cœurs de nos enfants.
Ensemble, faisons de l’Alsace une région modèle, où tradition et modernité se rencontrent pour écrire une histoire commune — Une histoire dont nous serons tous fiers.



3/11/2025

Lettre ouverte sur l’équilibre à retrouver pour les terrasses de Colmar
Chers Colmariens, chers professionnels de la restauration,
Depuis 2020, les abonnements pour l’occupation des terrasses à Colmar ont connu une hausse significative, parfois plus que doublée. Cette augmentation, décidée par la mairie sans justification économique claire, pèse lourdement sur les épaules des cafetiers et restaurateurs. Plutôt que de stimuler l’économie locale, cette politique semble avant tout viser à accroître les recettes municipales — au risque d’asphyxier ceux qui font vivre notre ville au quotidien.
Il est vrai que Colmar attire de plus en plus de visiteurs. Pourtant, ce tourisme prend parfois la forme d’un surtourisme éphémère : des « touristes de carte postale » qui, après une photo devant nos maisons à colombages, repartent sans toujours contribuer à l’économie locale. Beaucoup se contentent de partager une tarte flambée avec une carafe d’eau, générant ainsi plus de travail pour les établissements, mais pas forcément plus de revenus. Dans ce contexte, la hausse des abonnements pour les terrasses réduit encore les marges déjà fragiles des professionnels, les plaçant dans une situation paradoxale : travailler davantage pour gagner moins.
Nous ne remettons pas en cause l’attractivité de Colmar, bien au contraire. Mais il est essentiel de trouver un équilibre : un tourisme qui profite à tous, des tarifs justes pour les professionnels, et une ville qui reste vivante sans écraser ceux qui en sont les artisans.
La question n’est pas seulement financière, mais aussi humaine et stratégique : comment préserver le charme et l’authenticité de Colmar, tout en permettant à ses commerçants de prospérer ? Comment faire en sorte que notre ville ne devienne pas un simple décor, mais reste un lieu où il fait bon vivre, travailler et entreprendre ?
C’est ce débat que je souhaite ouvrir avec vous, dans un esprit de concertation et de recherche de solutions communes. Parce que Colmar mérite une politique qui soutienne ses acteurs économiques, plutôt que de les fragiliser. Ensemble, construisons une vision où tourisme rime avec équilibre, et où chaque Colmarien qu’il soit restaurateur, commerçant ou habitant trouve sa place dans le développement de notre ville.
Avec toute ma considération,
Michael Gonzalez



1/11/2025

Projet tram train fret
Entreprise / Commerce
Projet : Tram-Train Fret Colmar – Neuf-Brisach
Résumé stratégique
Retombées estimées : 450 à 500 M€ sur 5 ans
Retour économique multiplié par x4 à x6
Modèle mixte : passagers + fret
Fonctionnement élargi :
– Nuit jusqu'à 2h, retour 4h30
– Intervalles fret : midi & nuit
Impact économique
Domaine Bénéfice
Mobilité & efficacité + productivité salariés, moins retards, meilleure accessibilité
Commerce & tourisme + fréquentation centre & établissements
Viticulture Soutien consommation locale & réseaux œnotourisme
Attractivité Talent retention & attractivité résidentielle
Logistique Réduction coûts transport fret
Impact sociétal
Cohésion sociale renforcée
Appui aux associations locales
Accès santé facilité
Mobilité inclusive seniors / PMR
Impact environnemental
Réduction trafic routier & CO₂
Transition écologique crédible
Mise en conformité stratégique européenne mobilité verte
Risque si projet non réalisé
Déclassement territorial
Fuite commerciale vers Strasbourg / Mulhouse
Fragilisation du vignoble & commerce
Augmentation congestion & pollution
Investir dans ce projet, c’est capitaliser sur une croissance durable, inclusive et rentable.



1/11/2025

Projet de marché de Noël place Saint-Joseph & solution de stationnement
À la suite de la proposition de Michael Gonzalez d’organiser un marché de Noël sur la place Saint-Joseph, des inquiétudes ont émergé concernant le stationnement dans le quartier. Afin d’y répondre, plusieurs mesures sont envisagées.
En premier lieu, une stratégie de stationnement temporaire accompagnerait l’événement. Si cela s’avérait insuffisant, un projet de parking souterrain pourrait être lancé sous le parking existant situé en face du lycée Blaise-Pascal.
Jusqu’ici, plusieurs parkings du centre-ville ont été construits principalement pour les visiteurs et les touristes ; il est proposé que ce nouvel équipement bénéficie en priorité aux habitants de Colmar. À noter que même en dehors de la période de Noël, le marché du samedi à Saint-Joseph rend déjà le stationnement difficile pour les riverains.
Commerçants du marché du samedi
Le nombre de commerçants présents le samedi diminue naturellement durant l’hiver. Ceux habituellement présents en décembre continueront d’exercer au marché de Noël.
Si certains commerces ne correspondent pas à l’image du marché de Noël, ils seraient indemnisés sur la base d’une estimation de leur bénéfice habituel de décembre.
Parking souterrain : fonctionnement
Riverains du quartier : accès prioritaire et gratuit, avec une capacité calculée selon les besoins actuels et renforcée.
Habitants de Colmar et de l’agglomération : accès à des tarifs préférentiels, inférieurs aux tarifs actuels des horodateurs.
Création de places supplémentaires pour améliorer la capacité globale du secteur.
Transport et financement
Dans le cadre de sa vision de mobilité, Michael Gonzalez prévoit également de mettre en place un tram-train mixte (voyageurs + fret) à Colmar, accompagné de l’abandon du projet de liaison ferroviaire Colmar-Fribourg (coùt 700 à 800 millions d'euros). Une concertation serait menée avec les autorités fribourgeoises afin de faciliter une liaison rapide entre Neuf-Brisach et Fribourg (par bus, train ou tram), afin de maintenir la connexion franco-allemande.
Le coût du tram-train est estimé entre 200 et 300 millions d’euros. Selon le projet présenté, il pourrait générer environ 450 à 500 millions d’euros de retombées économiques. Le financement serait réparti sur 5 à 10 ans et assuré de manière tripartite :
Communauté d’agglomération de Colmar
Union européenne (via les dispositifs régionaux)
État
Ce mécanisme permettrait, selon le projet, d’autofinancer le tram-train et de dégager des marges financières pour d’autres équipements publics, sans hausse de fiscalité locale. Michael Gonzalez indique qu’il s’agit pour lui d’un engagement ferme.



31/10/2025

Je déclare solennellement que, quelle que soit l’issue de cette campagne et quels que soient les événements ou les propositions qui pourraient survenir, je ne me détacherai pas de Monsieur Makmoul Hakim. Certains pensent que je ne ferai que l’utiliser et que je l’abandonnerai en chemin. Je tiens donc à affirmer avec force que cela n’arrivera pas. Je refuse de me rabaisser aux combines politiciennes auxquelles se livrent certains.
Que les choses soient claires : nous irons ensemble jusqu’aux élections. Il est mon conseiller, comme je l’ai exprimé lors de ma candidature devant la journaliste, et, de surcroît, mon binôme.



29/10/2025

Lors d’une discussion récente sur les contraventions, plusieurs Colmariens ont réagi avec force, estimant que le montant de 135 € est injuste et excessif. Je les comprends.
Je tiens cependant à rappeler que le maire ne peut pas réduire le montant des amendes. Toute infraction constatée sur la voie publique doit être signalée et verbalisée, conformément à la loi.
Beaucoup pensent aujourd’hui que les caméras installées à Colmar sous la mandature d’Yves Hemedinger ne servent pas uniquement à assurer la sécurité, mais aussi à remplir les caisses municipales en multipliant les contraventions. Les chiffres le montrent : depuis 2018, année de l’application de l’article L. 2334-24 du Code général des collectivités territoriales, le nombre de caméras — et donc de verbalisations — a fortement augmenté. Cet article permet aux communes de percevoir environ 42 % du produit des amendes liées à la circulation sur leur territoire.
Face à ce constat, et alors que le maire ne peux ni annuler les contraventions ni en modifier le tarif, j’ai annoncé mon intention de lancer une étude sur les caméras qui ne contribuent pas réellement à la sécurité. Mon objectif est clair : cesser d’ennuyer les Colmariens pour des motifs futiles. Je commencerai par retirer la caméra installée au niveau du Cobra, celle qui a déjà verbalisé de nombreux habitants, souvent des travailleurs venant simplement acheter un paquet de cigarettes avant d’aller travailler.
La municipalité a bien ajouté quelques places de stationnement minute — six ou sept pour six commerces — sous la pression des commerçants, mais c’est largement insuffisant. Pourtant, il serait tout à fait possible d’aménager davantage de places sur le gazon devant le lycée, en face des commerces, tout en y plantant un arbre par emplacement. Une solution pratique, écologique et bénéfique pour tous. Mais cela signifierait une perte de recettes pour la mairie, qui touche une part des amendes.
Je rappelle aussi que la route d’Ingersheim reste très embouteillée aux heures de pointe, ce qui aggrave la pollution. Planter des arbres à cet endroit serait une initiative positive pour l’environnement et la santé des riverains, car les arbres absorbent le CO₂ et rejettent de l’oxygène.
Alors que l’actuel maire envisage d’augmenter encore le nombre de caméras, je constate que cette politique est inefficace : l’insécurité à Colmar n’a cessé de croître, malgré des effets d’annonce qui relèvent davantage de la communication que de l’action concrète.
Si ce projet d’extension du réseau de caméras n’a pas encore été mis en œuvre, je m’engage à l’annuler. S’il a déjà été voté, je ferai délibérer mon conseil municipal pour l’abroger.
À la place, je choisirai d’investir dans l’humain : j’embaucherai du personnel municipal dédié à la sécurité et à la vie locale. Ces emplois créeront du dynamisme, soutiendront le pouvoir d’achat, stimuleront les commerces et offriront de réelles perspectives d’avenir aux Colmariens. C’est ainsi que nous renforcerons le lien social et le renouvellement des générations, pour une ville plus vivante et plus solidaire.



29/10/2025

Aujourd’hui à Colmar, se loger dans le privé ou construire une maison revient très cher. De nombreuses personnes de la classe moyenne devenues classes moyennes modestes voient la part du loyer devenir trop conséquente par rapport à leur budget, compte tenu de l’inflation, de la baisse de leur niveau de vie et de leur pouvoir d’achat.
Avec Michael Gonzalez, nous avons constitué un projet : nous mettrons en place la construction de logements accessibles à cette classe moyenne modeste, qui gagne souvent juste au-dessus de 2 000 € par mois, n’a pas droit aux APL (aides personnelles au logement) et gagne trop pour bénéficier d’un logement social.
Cependant, même avec un revenu de plus de 2 000 €, les prêts bancaires, le coût de la vie élevé et les loyers croissants placent ces ménages dans des situations financières difficiles. Lorsqu’un jeune entre sur le marché du travail aujourd’hui, il vise un salaire supérieur à 2 000 €, mais il a souvent du mal à se loger à Colmar car c’est trop cher. Conséquence : il envisage ou finit par quitter Colmar.
Cet exode qui tend à devenir inévitable à Colmar aura un impact sévère sur l’économie locale : sans jeunes, il n’y a pas de dynamisme, pas de renouvellement générationnel dans les activités professionnelles, et c’est l’ensemble de l’économie locale qui en pâtira, y compris le secteur touristique : sans restauration, sans jeunes pour travailler dans la restauration, les restaurants ferment, et le tourisme s’essouffle.
Nous souhaitons nous réunir avec les acteurs de l’immobilier, les agences immobilières, les banques, la Caisse des Dépôts et Consignations, et la mairie de Colmar pour :
Étudier s’il est possible de revoir les prix de l’immobilier et des loyers à Colmar.
Financer la construction de ce que l’on pourrait qualifier de logements « pseudo-sociaux » dans les communes alentours de Colmar, afin de servir comme bénéficiaires ceux qui :
1. Gagnent un peu plus de 2 000 €.
2. Ont trouvé un emploi à Colmar et ne peuvent pas se loger dans Colmar même à ce revenu
Ainsi, nous créons une situation « gagnant-gagnant-gagnant » :
Gagnant pour ces personnes de la classe moyenne modeste.
Gagnant pour l’activité économique de Colmar et alentours (car « quand le bâtiment va, tout va »).
Gagnant pour les agences immobilières, qui aujourd’hui réalisent des plus-values mais pourraient être confrontées à la diminution de l’attractivité locale si le phénomène de départ se généralise.
Faire partir les « faiseurs d’activité » économiques impactera inexorablement le tourisme : sans restauration, sans jeunes pour y travailler, les restaurants ferment, et c’est tout un pan de l’attractivité colmarienne qui se fragilise.
Quelques données chiffrées pour soutenir l’argumentaire
La population de Colmar est estimée à 66 155 habitants en 2025, contre 67 360 en 2022, ce qui traduit une baisse de l’ordre de -1 602 habitants (~-2,38 %) sur la période 2022-2025.
Un article de début 2024 indique que la ville perd environ 0,62 % de sa population chaque année depuis 2015.
En 2022, sur la commune, 89 % des logements sont des résidences principales, 17,1 % sont des maisons individuelles, 82,1 % des appartements.



29/10/2025

Des évolutions importantes sur le stationnement verront le jour sous l’impulsion de Michael Gonzalez.
Certains diront : « Mais comment faire sans augmenter les impôts locaux ? »
Il s’y engage clairement : aucune hausse des impôts locaux.
Ses projets sont conçus pour dynamiser Colmar, générer de nouvelles recettes et ainsi financer ses actions sans alourdir la fiscalité.
Déjà, le Marché de Noël à Saint-Joseph, avec l’essor du tourisme et la création de nouveaux commerces, apportera des revenus significatifs aux caisses de la ville.
Le Tram-Train et Fret, quant à lui, devrait générer environ 170 millions d’euros par an, selon les estimations économiques.
D’autres projets viendront encore renforcer le rayonnement de Colmar et apporter une manne économique considérable.
Michael Gonzalez a parfaitement compris la hauteur et le potentiel de notre ville.
Il la compare à une Ferrari : une voiture d’exception avec laquelle, depuis la fin des années 1980, nous roulons en deuxième ou troisième à 30 km/h.
Colmar possède de nombreux atouts et il s’est engagé à faire passer la vitesse supérieure, non pas jusqu’à 110 km/h, mais bien au-delà,
pour faire de Colmar un véritable modèle de dynamisme économique et de réussite locale en France.



29/10/2025

Mesdames et Messieurs,
Nous rencontrons aujourd’hui de nombreuses personnes qui ont eu affaire à la police municipale et qui, aujourd’hui, en gardent une certaine rancune. Il est essentiel de comprendre pourquoi. Sous le précédent mandat, la police municipale a été soumise à une pression considérable pour augmenter les verbalisations. Cette situation découle directement de la loi de 2018, qui permettait que 42 % des recettes des contraventions reviennent directement aux communes. Malheureusement, cette loi a été utilisée pour pousser nos agents de verbalisation à multiplier les contraventions, souvent au détriment de leur mission première.
Il faut être clair : les plaintes des habitants, qui se sont multipliées à partir de 2018, ne sont pas de la faute des policiers municipaux eux-mêmes. Ce sont les décisions politiques qui ont créé cette situation. La police municipale n’a pas pour rôle de percevoir l’argent des citoyens ni de les accabler. Son rôle est beaucoup plus noble : prévenir, protéger, sécuriser les biens et les personnes, et être proche des habitants.
Nous voulons rétablir cette véritable vocation. La police municipale doit être un lien de confiance avec la population, un rempart contre l’insécurité, un service pour tous, pas une machine à contraventions.
Nous allons renforcer nos effectifs, mais pas seulement pour la ville. Nous agirons à l’échelle de toute la communauté d’agglomération. Chaque commune contribuera à la rémunération de ses policiers municipaux, et la communauté d’agglomération assurera une revalorisation salariale juste et équitable. Car il est inacceptable que des policiers municipaux de Colmar gagnent autant, voire moins, que ceux des villages voisins.
Cette police municipale sera présente de jour comme de nuit, 365 jours sur 365, 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24, renforcée par des brigades de quartier et des agents de sécurité, dans le cadre d’un pôle sécurité moderne et efficace.
Ce pôle n’aura pas de fonctions régaliennes, car ces missions appartiennent à l’État et à la police nationale. Cependant, nos policiers municipaux pourront intervenir sur certaines contraventions, dans le cadre légal, et seulement si la situation l’exige, toujours pour protéger les habitants et leurs biens.
Notre politique sera claire : la prévention avant la répression. Nos policiers municipaux circuleront librement à toute heure dans toute la ville, visibles, rassurants, proches des citoyens.
Ils n’interviendront jamais sur les affaires liées aux stupéfiants. Même si la loi le permet, je leur interdirai cette mission, pour protéger leur vie, leur sécurité, et pour reconstruire un lien de confiance avec tous les Colmariens.
En résumé, nous construirons une police municipale renforcée, présente, reconnue et respectée, avec de meilleures conditions de travail, des salaires justes, et des effectifs adaptés. Une police municipale qui travaille dans le respect des citoyens, pour le service des citoyens, et qui fera de Colmar une ville sûre, humaine et solidaire.



28/10/2025



25/10/2025

Inscription en ligne sur la liste électorale :
https://www.service-public.gouv.fr/parti.../vosdroits/R16396
Inscription en ligne sur la liste électorale complémentaire :
https://www.service-public.gouv.fr/partic.../vosdroits/F1937
Votre voix compte !



24/10/2025

Certains pourraient penser que je vais trop vite en besogne quand j’affirme que je serai maire de Colmar. Pourtant, je ne vais pas vite, bien au contraire. J’avance avec prudence, mais aussi avec la conscience des urgences et de la colère que je vois chez les Colmariens chaque jour.
Je peux déjà me dire futur maire, car ce que je propose est unique. Je doute que d’autres aient une vision aussi ambitieuse pour notre ville.
Mon objectif ? Faire de Colmar une véritable ville de 70 000 habitants, et non plus un simple village. À force de brider un étalon, de l’empêcher de courir, quand viendra le moment où il devra sprinter — comme Colmar doit le faire aujourd’hui —, il sera trop tard. Je veux être ce vétérinaire qui redonne de l’élan à notre ville, qui la fait galoper avant qu’il ne soit trop tard.
Le monde évolue à une vitesse fulgurante. Ce qui prenait cinquante ans se réalise désormais en cinq. Pourtant, à Colmar, un conservatisme tenace freine notre avancée. Cela doit changer.
Si Colmar continue à se comporter comme un village, elle sera écrasée entre Mulhouse et Strasbourg, deux villes qui gagnent en influence et en attractivité. Le phénomène est déjà en marche : il y a 30 ans, les Mulhousiens et les Strasbourgeois venaient chez nous. Aujourd’hui, ce sont les Colmariens qui partent. Nous assistons à une « Mulhousianisation » de Colmar, et je refuse de laisser cela se produire.
C’est pour éviter ce déclin que j’agis maintenant. J’ai compris que le temps politique d’hier ne répond plus aux défis d’aujourd’hui. Il faut anticiper, décider et construire l’avenir sans attendre.
Mes adversaires, Yves Hemedinger et Éric Straumann, incarnent une politique classique, politisée, qui ne permettra pas à Colmar de se libérer de ses blocages. Moi, je ne suis ni de droite ni de gauche. Je suis à la fois de droite et de gauche, patriote et libre de toute idéologie partisane. Ma seule boussole, c’est le bon sens, l’amour de Colmar et la volonté de la rendre à ses habitants.
La droite et la gauche ne savent plus travailler ensemble. Le libéralisme est devenu ultralibéral, écrasant le social et affaiblissant nos protections. Moi, je veux réconcilier l’économique et le social, dans un équilibre respectueux de tous.
Mon programme reflète les attentes des Colmariens. Je veux rendre le centre-ville aux habitants, tout en préservant son attractivité touristique. Je compte fluidifier le marché de Noël, symbole de notre ville, pour qu’il profite autant aux Colmariens qu’aux visiteurs. J’envisage aussi de l’étendre vers Saint-Joseph et la rue Vauban, afin de dynamiser ces quartiers et d’offrir de nouvelles opportunités à nos commerçants. Cette extension ne sera pas une concurrence, mais une synergie pour répartir l’afflux de visiteurs et soutenir l’économie locale.
Je veux aussi simplifier le stationnement pour les habitants, sans les accabler d’amendes. Je rétablirai l’éclairage public, car l’écologie ne doit pas être punitive. Rappelons-le : ce que Colmar économise en un an d’extinction, l’Inde le compense en quinze minutes de pollution.
Mon ambition ? Une ville vivante, accueillante et sûre, pour les jeunes comme pour les aînés. Je relancerai la vie nocturne, essentielle pour notre économie, notre culture et un tourisme de qualité.
Ce n’est qu’un début. D’autres idées fortes viendront en temps voulu.
Je représente une nouvelle façon de faire de la politique : celle du bon sens, du rassemblement et de la fierté colmarienne. Ensemble, construisons l’avenir de Colmar.



19/10/2025

SCOOTER ET MOTO À COLMAR
Une grande réflexion et une réfection seront menées concernant les jeunes qui pratiquent la moto ou le scooter.
L’idée serait de créer un espace spécialement dédié, par exemple un terrain de cross, à l’image du circuit de motocross de Rixheim, mais comprenant également d’autres aménagements adaptés et sécurisés, au-delà du simple terrain de cross, afin que les jeunes puissent s'y retrouver, et que ces activités puissent autant profiter aussi filles (femmes ) qu'aux garçon (Hommes).

Ce projet répond au souhait exprimé par de nombreux jeunes, une promesse déjà formulée par la précédente équipe municipale mais jamais concrétisée, pour des raisons officieuses d’ordre politique et électoraliste. Certains responsables, élus et autres décisionnaires, ayant préféré miser sur les thèmes de la sécurité et des incivilités pour renforcer leur base électorale.

Il s’agit aussi de répondre aux plaintes croissantes des habitants, notamment à propos des motos et scooters qui circulent le soir et le dimanche matin, à un moment où la plupart des gens se reposent après une semaine de travail éprouvante et une soirée du samedi souvent tardive.
Ces nuisances sonores répétées provoquent agacement, stress et troubles du sommeil, pouvant à terme impacter la santé et le bien-être des riverains.

Enfin, cette initiative fait également écho aux remarques d’une habitante d’une commune proche de Colmar, dont le message a été perçu comme un véritable cri d’alarme sur plusieurs problématiques, afin que des alternatives soient créées pour les jeunes. Et donc pour qu’ils puissent vivre leur vie de jeunes sans être privés encore de liberté, et être cantonnés à avoir une vie, des activités, des week-ends, des soirées, comparables à celles de sexagénaires et plus.


26/9/2025

Relancer l’éclairage public nocturne à Colmar : pour notre sécurité, notre vie nocturne et notre bien-être collectif
Mesdames, Messieurs, Chères Colmariennes, Chers Colmariens,
Ces derniers mois, l’extinction de l’éclairage public la nuit dans plusieurs villes, dont parfois ici à Colmar, est devenue une mesure annoncée comme écologique ou économique.
Mais derrière les économies d’énergie, c’est notre vie quotidienne, notre sécurité, nos commerces, et notre sentiment de liberté qui sont impactés.
Les effets concrets de l’obscurité
On parle d’accidents, de chutes, de collisions évitées de justesse — je l’ai vécu moi-même : en revenant vers mon véhicule, dans une rue sombre, en présence d’un vélo et d’une voiture, un accident a presque eu lieu.
Le sentiment d’insécurité pour beaucoup est réel : peur du vol, des agressions, mais aussi simplement de ne pas pouvoir circuler à pied ou à vélo sans risquer de se blesser ou d’être surpris.
Enfin, cette obscurité décourage les sorties nocturnes : les habitants restent chez eux, allument plus longtemps leurs écrans, leurs lampes, leur chauffage ou leur climatisation.
Résultat : ce sont aussi des dépenses énergétiques supplémentaires et donc une perte écologique réelle, à l’inverse de l’objectif affiché.
Ce que disent les chiffres
En 2024, l’éclairage public représente 0,54 % de la consommation électrique nationale.
Près de 62 % des communes étudiées pratiquent une extinction totale en cœur de nuit.
40 % du parc de luminaires public français a plus de 25 ans, ce qui le rend énergivore et peu efficace.
L’éclairage public représente environ 37 % de la facture d’électricité de certaines collectivités.
Ces chiffres montrent bien qu’il est nécessaire de moderniser notre éclairage public, mais qu’éteindre toute une ville n’est ni la seule solution, ni la meilleure.
Pourquoi rallumer l’éclairage public la nuit est essentiel (et comment le faire mieux)
Sécurité réelle & ressentie
Un bon éclairage permet de mieux voir, de se déplacer sans crainte, d’éviter les chutes, collisions ou incidents. Il rassure aussi les citoyens et encourage les sorties nocturnes et la vie sociale.
Dynamisme économique & vie nocturne
En été surtout, quand les températures sont élevées, les Colmariens sortent plus en soirée. Les commerces profitent de cette activité. Une ville active la nuit, bien éclairée et animée, c’est une ville vivante.
Écologie intelligente, pas punitive
Éteindre partout la nuit n’est pas la seule réponse.
Nous investirons dans un éclairage moderne, avec lampes LED basse consommation, et même des détecteurs de présence dans certains lieux, afin que la lumière s’allume uniquement quand elle est nécessaire et s’éteigne aussitôt après.
Cela permettra de réduire fortement la consommation électrique, tout en maintenant la sécurité et la convivialité de nos rues.
Car l’écologie ne doit pas être punitive : une ville plongée dans le noir pousse les habitants à rester enfermés chez eux, ce qui génère au final d’autres dépenses d’énergie et une empreinte carbone encore plus lourde.
Mon engagement pour Colmar
En tant que candidat aux élections municipales de 2026, je m’engage à :
Rétablir progressivement un éclairage public sûr et efficace dans toutes les zones de Colmar.
Lancer une grande consultation citoyenne pour cibler les zones prioritaires.
Moderniser le parc d’éclairage avec des LED performantes, des éclairages directionnels et des capteurs intelligents, pour concilier économie d’énergie, préservation de l’environnement et sécurité.
Prévoir un plan pluriannuel d’investissement, afin que Colmar devienne une référence en matière d’éclairage moderne et durable.
Ceci est un projet clair de ma campagne qui sera mis en place dès que les Colmariens m’auront fait confiance.
Cependant, à l’instar de plusieurs villes qui commencent déjà à réallumer leurs rues, je demande au maire actuel d’agir immédiatement et de rétablir l’éclairage public dans tout Colmar.
C’est une forte attente de nombreux Colmariens et il ne faut pas attendre la campagne ou être à l’approche des élections pour répondre à une urgence aussi évidente.
Pourquoi je vous demande votre soutien
Parce que ce sujet dépasse les clivages politiques : il touche à notre vivre ensemble, à notre sécurité, à notre bien-être.
En soutenant ce projet, vous choisissez une ville :
Où l’on peut sortir le soir sans crainte,
Où les commerces et cafés nocturnes reprennent vie,
Où l’économie locale se développe grâce à une activité nocturne renforcée,
Où l’écologie est intelligente, efficace, et non punitive.
Chers Colmariens, je vous propose de rallumer les rues de Colmar – pas seulement pour voir, mais pour que chacun se sente vu, entendu, en sécurité.
Ensemble, rendons Colmar plus lumineuse la nuit, plus sûre, plus vivante.


26/9/2025

Colmar : Assez du matraquage des infirmières libérales !

Colmariens, prenons un instant pour réfléchir. Chaque jour, nos infirmières libérales parcourent la ville pour prodiguer des soins à domicile, souvent à des heures précises pour des patients vulnérables : personnes âgées, enfants, malades chroniques… Leur mission est essentielle, vitale, et pourtant elles se heurtent à un obstacle inattendu : le stationnement impossible dans notre ville.
La situation aujourd’hui :
Beaucoup d’infirmières doivent parfois “se garer à l’arrache” pour respecter leurs horaires. Et lorsqu’elles le font, elles reçoivent des amendes.
Il est important de souligner que la police municipale et les agents verbalisateurs ne sont pas en faute. Ils appliquent simplement les directives de leur hiérarchie et de la municipalité. C’est bien la politique de stationnement actuelle de la ville, et son application rigide, qui met nos soignants dans cette situation.
Mais aujourd’hui, ces agents n’ont plus de marge d’appréciation : directives strictes, tolérance zéro. Résultat : des infirmières qui doivent soigner, des livreurs qui doivent livrer, des dépanneurs qui doivent intervenir… se retrouvent sanctionnés comme des fraudeurs, alors qu’ils sont dans le cadre de leur travail.
Des places pour les urgences… et pour les soins à domicile
À Colmar, nous avons déjà des places réservées pour :
Les pompiers
Les ambulances
Les forces de police
Les services de sécurité et d’urgence
Ces places existent pour garantir l’efficacité des interventions vitales. Pourquoi ne pas prévoir des mesures similaires pour les infirmières et soignants à domicile, qui interviennent eux aussi en urgence et prodiguent des soins indispensables ?
Nous proposons un système simple de tolérance :
Si une place réservée aux soins à domicile est occupée, l’infirmière peut se garer temporairement ailleurs.
Elle laisse son numéro de téléphone associé à sa plaque d’immatriculation.
Si le véhicule gêne réellement la circulation ou représente un danger, la police pourra la contacter directement.
Seule une absence de réponse ou un danger immédiat justifierait l’intervention de la fourrière, toujours dans un souci de sécurité routière.
Ainsi, les soignants peuvent continuer leur travail sans risque injustifié d’amende, tout en garantissant la sécurité de tous, et également pour qu’elles soient concentrés sur les soins qu’elles prodiguent et non préoccupés par la peur de la contravention l’’amende.
Ce que nous proposons
Des places réservées aux soignants à domicile dans les zones les plus sollicitées.
Un dispositif de tolérance administrative et de contact direct pour les situations exceptionnelles.
Coordination et adaptation des règles de stationnement par la municipalité, pour que les amendes ne tombent pas sur celles et ceux qui soignent nos concitoyens.
Appel à la mairie
Monsieur le Maire, les Colmariens et les soignants demandent que nos règles de stationnement soient adaptées aux réalités du terrain, pour protéger ceux qui prennent soin de nous tous. Les règles sont nécessaires, mais elles ne doivent jamais pénaliser ceux qui sauvent des vies et prennent soin de nos enfants, de nos personnes âgées et de nos personnes vulnérables.
À partager
Si vous êtes Colmarien, si vous avez croisé une infirmière en difficulté pour se garer, partagez ce message. Ensemble, nous pouvons montrer que notre ville peut être humaine, juste et responsable.


Relancer l’éclairage public nocturne à Colmar : pour notre sécurité, notre vie nocturne et notre bien-être collectif

Mesdames, Messieurs, Chères Colmariennes, Chers Colmariens,
Ces derniers mois, l’extinction de l’éclairage public la nuit dans plusieurs villes, dont parfois ici à Colmar, est devenue une mesure annoncée comme écologique ou économique.
Mais derrière les économies d’énergie, c’est notre vie quotidienne, notre sécurité, nos commerces, et notre sentiment de liberté qui sont impactés.
Les effets concrets de l’obscurité
On parle d’accidents, de chutes, de collisions évitées de justesse — je l’ai vécu moi-même : en revenant vers mon véhicule, dans une rue sombre, en présence d’un vélo et d’une voiture, un accident a presque eu lieu.
Le sentiment d’insécurité pour beaucoup est réel : peur du vol, des agressions, mais aussi simplement de ne pas pouvoir circuler à pied ou à vélo sans risquer de se blesser ou d’être surpris.
Enfin, cette obscurité décourage les sorties nocturnes : les habitants restent chez eux, allument plus longtemps leurs écrans, leurs lampes, leur chauffage ou leur climatisation.
Résultat : ce sont aussi des dépenses énergétiques supplémentaires et donc une perte écologique réelle, à l’inverse de l’objectif affiché.
Ce que disent les chiffres
En 2024, l’éclairage public représente 0,54 % de la consommation électrique nationale.
Près de 62 % des communes étudiées pratiquent une extinction totale en cœur de nuit.
40 % du parc de luminaires public français a plus de 25 ans, ce qui le rend énergivore et peu efficace.
L’éclairage public représente environ 37 % de la facture d’électricité de certaines collectivités.
Ces chiffres montrent bien qu’il est nécessaire de moderniser notre éclairage public, mais qu’éteindre toute une ville n’est ni la seule solution, ni la meilleure.
Pourquoi rallumer l’éclairage public la nuit est essentiel (et comment le faire mieux)
Sécurité réelle & ressentie
Un bon éclairage permet de mieux voir, de se déplacer sans crainte, d’éviter les chutes, collisions ou incidents. Il rassure aussi les citoyens et encourage les sorties nocturnes et la vie sociale.
Dynamisme économique & vie nocturne
En été surtout, quand les températures sont élevées, les Colmariens sortent plus en soirée. Les commerces profitent de cette activité. Une ville active la nuit, bien éclairée et animée, c’est une ville vivante.
Écologie intelligente, pas punitive
Éteindre partout la nuit n’est pas la seule réponse.
Nous investirons dans un éclairage moderne, avec lampes LED basse consommation, et même des détecteurs de présence dans certains lieux, afin que la lumière s’allume uniquement quand elle est nécessaire et s’éteigne aussitôt après.
Cela permettra de réduire fortement la consommation électrique, tout en maintenant la sécurité et la convivialité de nos rues.
Car l’écologie ne doit pas être punitive : une ville plongée dans le noir pousse les habitants à rester enfermés chez eux, ce qui génère au final d’autres dépenses d’énergie et une empreinte carbone encore plus lourde.
Mon engagement pour Colmar
En tant que candidat aux élections municipales de 2026, je m’engage à :
Rétablir progressivement un éclairage public sûr et efficace dans toutes les zones de Colmar.
Lancer une grande consultation citoyenne pour cibler les zones prioritaires.
Moderniser le parc d’éclairage avec des LED performantes, des éclairages directionnels et des capteurs intelligents, pour concilier économie d’énergie, préservation de l’environnement et sécurité.
Prévoir un plan pluriannuel d’investissement, afin que Colmar devienne une référence en matière d’éclairage moderne et durable.
Ceci est un projet clair de ma campagne qui sera mis en place dès que les Colmariens m’auront fait confiance.
Cependant, à l’instar de plusieurs villes qui commencent déjà à réallumer leurs rues, je demande au maire actuel d’agir immédiatement et de rétablir l’éclairage public dans tout Colmar.
C’est une forte attente de nombreux Colmariens et il ne faut pas attendre la campagne ou être à l’approche des élections pour répondre à une urgence aussi évidente.
Pourquoi je vous demande votre soutien
Parce que ce sujet dépasse les clivages politiques : il touche à notre vivre ensemble, à notre sécurité, à notre bien-être.
En soutenant ce projet, vous choisissez une ville :
Où l’on peut sortir le soir sans crainte,
Où les commerces et cafés nocturnes reprennent vie,
Où l’économie locale se développe grâce à une activité nocturne renforcée,
Où l’écologie est intelligente, efficace, et non punitive.
Chers Colmariens, je vous propose de rallumer les rues de Colmar – pas seulement pour voir, mais pour que chacun se sente vu, entendu, en sécurité.
Ensemble, rendons Colmar plus lumineuse la nuit, plus sûre, plus vivante.


26/9/2025

Sécurité des Colmariens : un éclairage public à revoir d’urgence
Hier soir, à 00h32, alors que je sortais d’un afterwork et discutais devant le bar Les 3 Singes, j’ai été témoin de ce qui aurait pu être une collision dramatique entre un cycliste et une voiture. Seul le réflexe du conducteur a permis d’éviter l’accident. L’éclairage venait tout juste de s’éteindre dans le centre-ville de Colmar, plongeant la rue dans une obscurité totale.
Ce n’est pas un cas isolé. Depuis la mise en place de l’extinction nocturne de l’éclairage public dans plusieurs quartiers de Colmar, les habitants sont partagés. Si certains saluent les économies d’énergie et la lutte contre la pollution lumineuse, d’autres s’inquiètent — à juste titre — des risques pour la sécurité : accidents, cambriolages et sentiment d’insécurité.
Nous nous engageons à revoir cette politique. L’écologie ne doit jamais se faire au détriment de la sécurité. Il est possible de concilier les deux, avec des solutions modernes : éclairage intelligent, modulation selon les flux, zones sensibles maintenues éclairées…
Nous voulons une ville où l’on peut circuler en toute sécurité, à toute heure. Nous voulons une ville qui protège ses habitants, sans compromis.
Bien à vous.


18/9/2025

Certains souhaitaient avoir un aperçu de mon programme.
Je rappelle qu’une campagne électorale obéit à un calendrier et à une feuille de route : je ne peux donc pas encore en dévoiler l’intégralité.
Cependant, désireux d’être toujours davantage au service des Colmariens, je vais « couper la poire en deux » et partager avec vous un premier aperçu.

Projet de dynamisation du quartier Saint Joseph et de la rue Vauban par le Marché de Noël
Chères Colmariennes, chers Colmariens,
Notre équipe est convaincue de l’importance patrimoniale et historique du quartier Saint-Joseph.
C’est pourquoi nous proposons d’y organiser un nouveau marché de Noël, complémentaire à celui du centre-ville, afin d’offrir une expérience diversifiée aux habitants comme aux visiteurs.
Bien entendu, ce projet se fera en concertation avec les riverains et s’accompagnera d’une réfection du quartier.
Nous souhaitons également que la rue Vauban, situé au centre-ville de Colmar, accueille pour la première fois un marché de Noël dédié aux enfants, avec des animations adaptées et familiales.
Ces deux nouveaux espaces permettront de mieux répartir les visiteurs, d’offrir davantage de sécurité et d’améliorer la qualité du tourisme.
Aujourd’hui, de nombreux Colmariens comme de nombreux visiteurs se plaignent de la difficulté de stationner, de la foule et du sentiment d’être « serrés comme des sardines ».
Le résultat est clair : les touristes de qualité qui venaient autrefois à Colmar ne reviennent plus.
Plusieurs restaurateurs le disent : ils voient de plus en plus de visiteurs consommer très peu, par exemple une tarte flambée pour deux avec une carafe d’eau.
Cette évolution fragilise notre attractivité et nos commerces et a déjà commencé à impacter nos viticulteurs.
En créant un marché de Noël supplémentaire au quartier Saint-Joseph et un marché spécial enfants rue Vauban, nous répartirons mieux le flux des visiteurs, nous améliorerons la sécurité, et nous redonnerons à Colmar un tourisme de qualité. Un tourisme respectueux, agréable pour les visiteurs, bénéfique pour les commerçants et supportable pour les habitants de Colmar comme pour ceux du bassin colmarien et du vignoble.
Contrairement à la politique actuelle qui a réduit la période du marché de Noël, donc de fréquentation nous voulons allonger intelligemment la période touristique, en la rendant plus fluide, plus équilibrée et mieux répartie sur l’ensemble de la ville et donc à partir du 1er novembre au 15 janvier.
Nous améliorerons aussi l’accessibilité et la connexion entre le centre-ville et la place Saint-Joseph, notamment par l’agrandissement du passage souterrain de la rue Peyerimoff. Certaines bâtisses seront réhabilitées et la place Saint-Joseph embellie, avec la plantation de jeunes arbres et un aménagement paysager convivial.
Une attention particulière sera portée à la gestion des commerces présents sur ces nouveaux marchés de Noël. Colmar disposant déjà d’une offre importante de restaurants dans son centre historique, nous éviterons d’ajouter une concurrence inutile, afin de garantir une offre cohérente et qualitative.
Ce projet est le vôtre : nous espérons qu’il suscitera vos réactions constructives pour l’ajuster et l’enrichir ensemble, dans un véritable esprit de participation citoyenne.
Bien à vous,
Dr Michael Gonzalez
Votre candidat aux élections municipales de Colmar, mars 2026


16/9/2025

Suite à la création de ce groupe très récemment, je tiens d'abord a vous présenter mes plus sincères condoléances suite au tragique décès d’une piétonne de 76 ans, percutée par un poids lourd le 8 septembre dernier à l’angle de l’avenue Raymond-Poincaré et de la route de Rouffach à Colmar. Cet accident mortel, survenu en plein jour, a profondément choqué notre communauté..
En tant que candidat aux élections municipales de 2026, je tiens à exprimer ma solidarité envers la famille et les proches de la victime. Cet événement met en lumière la nécessité urgente de repenser la sécurité, notamment des personnes âgées, dans notre ville. Il est impératif que les autorités locales prennent des mesures concrètes pour sécuriser les carrefours, les routes jugés dangereux.
Je m'engage à travailler activement pour que de tels drames ne se reproduisent plus, en mettant en place des infrastructures adaptées.
Je vous prie d'agréer l’expression de mes salutations respectueuses.

5 décembre 2025

Michaël Gonzalez

-27/11/2025- Je souhaite préciser que Monsieur Makmoul Hakim est le coordinateur et directeur de ma campagne. Toutes les idées présentées sont le fruit de son travail. Sans lui, notre groupe n’existerait pas, car notre programme n’aurait jamais vu le jour. Ce programme est avant tout le résultat de son initiative, à laquelle j’ai contribué pour l’enrichir, mais il en demeure le principal concepteur. Il me semblait important de le rappeler afin qu’aucune ambiguïté ne subsiste.
Je tiens également à souligner, devant l’ensemble des acteurs politiques de Colmar, la réelle compétence de Monsieur Makmoul Hakim. À mon sens, notre programme est le seul à répondre véritablement aux attentes et aux problématiques que rencontrent les Colmariens depuis près de quinze ans.
Compte tenu de la situation actuelle de Colmar et des risques qui pèsent sur son dynamisme et son attractivité touristique, sa stratégie est, selon moi, la meilleure que l’on puisse envisager pour redonner à Colmar un élan économique, la faire revivre et lui rendre son identité fondée sur le vivre-ensemble. (Entre Colmariens, Entre Colmar et ses villages alentours, entre Colmariens et touristes, entre ...)