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14 février 2025

Musée Unterlinden

Le geste et la matière. La gravure dans les collections du Musée Unterlinden, 15e - 16e siècles

Cycle de conférences (tous publics)
Par Magali Haas, documentaliste scientifique et responsable du Cabinet d’arts graphiques

L’apparition de la gravure constitue un phénomène essentiel pour l’histoire et l’art en Occident. Apparue dans l’ère germanique au tournant du 14e et du 15e siècle, cette technique de reproduction rapide et peu onéreuse va permettre une large diffusion des images, et par conséquent des modèles artistiques, à travers toute l’Europe.
Par le biais de gravures de Martin Schongauer, Hans Baldung Grien, Albrecht Dürer ou encore Jacques Callot conservées dans les collections du Musée Unterlinden, les grandes étapes de l’évolution de l’estampe, sa mise en œuvre technique, ses usages et ses rapports avec les autres arts sont retracés.

Date : 27 février 2025
Horaire : 18h30
Tarif : gratuit (jauge limitée*)
Lieu : Piscine

Dates des prochaines conférences

27 mars 2025
Luxe et douceur. Le gothique international dans les collections du Musée Unterlinden

24 avril 2025
De la terre à la lumière. La renaissance du trésor des Trois-Épis

* Pour participer aux événements, nous vous invitons à réserver auprès du service réservations du lundi au vendredi au +33 (0)3 89 20 22 79reservations@musee-unterlinden.com / le week-end au +33 (0)3 89 20 15 58 ou billetterie@musee-unterlinden.com

Musée Unterlinden
Place Unterlinden
F-68000 Colmar
www.musee-unterlinden.com
Phil

Colmar à la Saint-Valentin
Photos Edouard Dabrowski







13 février 2025

Amis de la Bibliothèque de Colmar

Samedi 1er mars, Monsieur Arnaud Immélé, œnologue spécialisé en vins bio et sans sulfites, nous fournira les clés pour choisir entre "le vin bio, nature ou initiatique". Rendez-vous à 15 heures dans l'auditorium du Pôle Media-Culture Edmond Gerrer à Colmar.

Yves Hemedinger

- 12/2/2025 - Voilà pourquoi j’ai décidé de rester chez Les Républicains, à un moment où nous avons enfin une incarnation, une ligne politique forte et de la cohérence.
À un moment où la droite ressemble enfin à celle que j’ai toujours défendue et aimée depuis mon engagement au RPR de Jacques Chirac, de Philippe Séguin et de Charles Pasqua.
N’hésitez pas à nous rejoindre, nous allons refonder la droite ensemble.

Eric Vial

L’Europe a-t-elle perdu la guerre ?
 
- 13/2/2025 - La Russie et les États-Unis vont commencer « immédiatement » à négocier en vue de mettre fin au conflit, vient d’affirmer le président états-unien.
Donald Trump considère que c’est sa priorité : « mettre fin à la guerre ». Il s’est vanté d’une conversation « très productive » avec son homologue russe, Vladimir Poutine. Une rencontre bilatérale est prévue prochainement en Arabie Saoudite.
L’Ukraine se dit prête également à négocier.
Déjà, l’administration US distille ses premières orientations : pas d’adhésion à l’OTAN pour l’Ukraine qui ne retrouvera sans doute pas l’intégralité de ses territoires ; fin de l’hégémonie des USA sur la défense européenne ; nouvelles élections en Ukraine.
Pendant trois ans les politiciens français et européens nous ont raconté que « l’Ukraine pouvait gagner la guerre », que « la Russie était au bord du gouffre », « qu’il fallait envoyer des troupes et des armes pour sauver la démocratie », que « si on ne se battait pas la Russie envahirait toute l’Europe », que « la contre-offensive ukrainienne était efficace », que « Poutine allait bientôt mourir, qu’il avait le cancer », que « la Russie avait le PIB de l’Espagne et qu’on n'en ferait qu’une bouchée », « qu’on allait gagner c’est sûr puisque les Russes se battent avec des pelles », que « pour un Ukrainien tué c’est dix Russes qui tombent »…
Et donc après une estimation d’un million de morts, l’histoire de la guerre Russie-Ukraine s’arrête là ? Sur ce résultat là ? Sur un accord entre les USA et la Russie qui écarte les considérations européennes.
Que pouvons-nous conclure de cette période tragique : que l’Europe et ses représentants nous ont mentis sur les objectifs et les intentions de cette guerre ; que les Ukrainiens se sont battus par procuration pour des intérêts qui n’étaient pas les leurs ; que nous avons échoué dans notre ambition de faire tomber économiquement la Russie ?
Quant à l’immense majorité des responsables politiques français que dire, à part qu’ils auront été constants dans leur faiblesse. Une habitude que nous avons prise. La politique du « tout en même temps » aura été un immense gâchis qui aura fait reculer nos intérêts et notre honorabilité dans le monde.
Si les négociations de paix aboutissent avec de tels résultats, l’histoire retiendra que L’Europe aura perdu sa première guerre. Pourra-t-elle s’en relever, c’est l’avenir qui nous le dira.

Régis de Castelnau

Rubrique : anti-dépresseurs

Emmanuel Todd avait pointé que « Le job de Trump allait être de gérer la défaite américaine face aux Russes ».
C’est commencé. Et ça sent la fin de partie.
Dans une surenchère ruineuse pour ses propres intérêts, l’Union Européenne dirigée par l’agent américain belliciste von der Leyen s’était précipitée à la suite de l’administration démocrate pour déclarer la guerre à la Russie. À une Europe alignée sur l’hystérie des tarés qui dirigent les pays baltes, Trump vient de leur dire directement et indirectement : « vous avez servilement soutenu Biden, eh bien démerdez-vous, nous on se barre ». Et le spectacle des valets désormais sans maître que sont les dirigeants européens, Macron en tête, est une friandise.
Donald Trump : « Je viens d’avoir un appel téléphonique long et très productif avec le président russe Vladimir Poutine […] Nous avons chacun parlé des points forts de nos nations respectives et du grand avantage que nous tirerons un jour de notre collaboration. Mais d’abord, comme nous en sommes tous deux convenus, nous voulons mettre un terme aux millions de morts qui ont lieu dans la guerre avec la Russie et l’Ukraine. Le président Poutine a même utilisé ma devise de campagne très forte, « LE BON SENS ». Nous y croyons tous deux très fermement. Nous avons convenu de travailler ensemble, en étroite collaboration, notamment en visitant nos nations respectives. »
Ça c’est pour rappeler à l’Occident qui est le patron et que les questions se règlent entre grandes personnes. Pour les détails c’est Pete Hegseth le secrétaire d’État à la défense américain qui s’y est collé à la réunion des ministres de la Défense de l’OTAN : « Pas d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. C’est l’Europe, et non l’OTAN ou les États-Unis, qui doit prendre l’initiative d’assurer la sécurité de l’Ukraine. Tout déploiement de troupes européennes en Ukraine ne sera pas couvert par l’article 5 et ne sera pas considéré comme une opération de l’OTAN. Aucune troupe américaine sur le terrain. » Traduction : démerdez-vous, on se barre (bis).
On n’est pas plus aimable.
Macron, Starmer, Scholz, VDL, Rutte, Kalas, etc. etc. font rentrer des tonnes de Lexomil, de Temesta, Valium, Effexor, et autres Prozac. Gare aux ruptures de stocks.
Pour ceux qui avaient prévu cette issue depuis trois ans, attention aux excès de Schadenfreude. Cela peut conduire à l’indigestion de pop-corn.


[⇨ Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici : liberteresistance.fr]

12 février 2025

#festivaldufilmcolmar

Colmar déroule le tapis rouge pour la 28ᵉ édition du Festival du Film, du 8 au 15 mars. Projections gratuites, avant-premières, masterclasses et débats rythmeront cette semaine dédiée au 7ᵉ art.
À l’affiche : comédies familiales, films du patrimoine et pépites du cinéma indépendant. Cette année, la diversité est la star du festival, avec un focus sur les métiers du cinéma et les talents émergents.
Ateliers et rencontres permettront à tous – des écoliers aux cinéphiles – de découvrir la magie du grand écran.
Entrée gratuite !
Places disponibles dès le 24 février au cinéma CGR Colmar (4 max par personne et par séance). Aucune billetterie en ligne.
Groupes (associations, scolaires, entreprises) : contactez l’équipe à festivalfilm@colmar.fr.
Profitez du festival et vivez la magie du cinéma !
Programme complet sur : https://www.colmar.fr/film