Translate
13 mars 2025
12 mars 2025
Conseil municipal de Colmar du 10 mars 2025
Cliquer sur l'image ↴
1. Désignation du secrétaire de séance
2. Approbation du procès-verbal de la séance du 3 février 2025
3. Compte rendu des arrêtés pris par délégation du Conseil Municipal en application de l'article L.2122-22 du Code des Collectivités Territoriales durant la période du 1er janvier au 28 février 2025
4. Compte rendu des marchés conclus par délégation du Conseil Municipal en application de l'article L.2122-22 du Code Général des Collectivités Territoriales durant la période du 1er janvier au 28 février 2025
5. Approbation du compte de gestion de l'exercice 2024
6. Examen et vote du compte administratif de l'exercice 2024
7. Rapport d'information sur la dette
8. Taxes et produits irrécouvrables - admissions en non-valeurs et créances éteintes
9. Mutualisation entre la Ville de Colmar et Colmar Agglomération - mises à disposition partielles de services et création de services communs
10. Mise à jour du tableau des effectifs
11. Attribution d'avances sur subvention 2025 aux associations et établissements œuvrant dans le domaine de la Petite Enfance
12. Vente d'une maison par le consistoire protestant de Colmar
13. Attribution de subventions aux associations culturelles
14. Attribution d'une subvention à l'Office Municipal des Sports au titre de l'année 2025
15. Attribution d'avances sur subventions aux associations sportives
16. Inscription d'une servitude au Livre Foncier au profit de la Ville de Colmar - Rue Léon Blum 01:32:16
17. Adhésion de la Ville de Colmar au Club des Managers de Centre-Ville (CMCV)
18. Convention de concession de droit d'occupation de places de stationnement dans le parking Saint-Josse
19. Attribution d'une subvention à l'association Unité de Développement des Premiers Secours 68 (UDPS 68)
20. Attribution de bourses au permis voiture
21. Aide financière nominative de la Ville de Colmar pour l'achat à un vendeur professionnel d'un vélo neuf par foyer ou pour la transformation d'un vélo classique en vélo à assistance électrique
Laurence Muller-Bronn
11/3/2025
Mise en place de la Commission d'Enquête : cette initiative répond à une véritable préoccupation de nos Collectivités Territoriales et de nos entreprises.
Les auditions débutent aujourd'hui pour une présentation de nos conclusions au plus tard fin juin.
Nos travaux, sous la présidence de Simon Uzenat et dont le rapporteur sera Dany Wattebled, seront guidés par une logique de simplification des normes juridiques et procédurales ainsi que par une quête d’efficience et d’économie.
Les orientations données à la commission sont les suivantes :
1. Constater les écarts entre les coûts prévisionnels et les coûts effectifs des projets financés par la commande publique et lever les suspicions qui peuvent peser sur la commande publique ;
2. Faire un état des lieux du cadre juridique actuel et analyser les obstacles administratifs, techniques ou financiers freinant l’accès des entreprises, notamment des PME, aux marchés publics ;
3. Identifier les impacts économiques et sociaux directs et indirects de la commande publique, ses effets de levier, notamment en termes d’emplois, d’innovation et de compétitivité ;
4. Formuler des recommandations pour améliorer l’efficacité des procédures, limiter les coûts, simplifier l’accès aux marchés publics et maximiser les externalités positives sur l’économie française.
11/3/2025
Mise en place de la Commission d'Enquête : cette initiative répond à une véritable préoccupation de nos Collectivités Territoriales et de nos entreprises.
Les auditions débutent aujourd'hui pour une présentation de nos conclusions au plus tard fin juin.
Nos travaux, sous la présidence de Simon Uzenat et dont le rapporteur sera Dany Wattebled, seront guidés par une logique de simplification des normes juridiques et procédurales ainsi que par une quête d’efficience et d’économie.
Les orientations données à la commission sont les suivantes :
1. Constater les écarts entre les coûts prévisionnels et les coûts effectifs des projets financés par la commande publique et lever les suspicions qui peuvent peser sur la commande publique ;
2. Faire un état des lieux du cadre juridique actuel et analyser les obstacles administratifs, techniques ou financiers freinant l’accès des entreprises, notamment des PME, aux marchés publics ;
3. Identifier les impacts économiques et sociaux directs et indirects de la commande publique, ses effets de levier, notamment en termes d’emplois, d’innovation et de compétitivité ;
4. Formuler des recommandations pour améliorer l’efficacité des procédures, limiter les coûts, simplifier l’accès aux marchés publics et maximiser les externalités positives sur l’économie française.
11 mars 2025
Petit sondage : voulez-vous la démocratie ou la dictature ?
[POLITIQUE / SUJETS DE SOCÉTÉ]
[⇨ Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici : liberteresistance.fr]
Jean Mizrahi
- 11/3/2025 - Nous approchons à grands pas du moment où il nous faudra répondre à une question toute simple, mais redoutable : démocratie ou dictature ? Et pas dans les livres d’histoire, hélas, mais bien dans nos vies ordinaires.
Prenons le cas de M. Călin Georgescu, ancien candidat à la présidentielle roumaine. Je ne le connais pas, je n’ai pas lu son programme, et je ne saurais vous dire s’il préfère le bortsch ou la mămăliga. Ce que je sais en revanche, c’est qu’il a été interdit de se représenter à une élection après que la première a été annulée parce qu'il allait la gagner. Et ça, ça mérite réflexion.
Alors peut-être est-il un affreux jojo. Peut-être a-t-il des idées à faire frémir un dictionnaire, peut-être voue-t-il une passion suspecte pour Vladimir Poutine. C’est fort possible. Mais le problème n’est pas là. En démocratie, les électeurs ont le droit d’avoir mauvais goût, et les candidats, celui de défendre des idées idiotes ou même dangereuses – tant qu’ils respectent les règles du jeu. Et la règle la plus fondamentale est simple : tout pouvoir doit pouvoir être renversé pacifiquement par une élection suivante.
Or, dans cette affaire roumaine, on semble avoir oublié que la démocratie, ce n’est pas seulement le choix du menu, mais aussi le droit à la carte. Et qu’un candidat qui dérange, tant qu’il ne foule pas aux pieds la Constitution, doit pouvoir se présenter. Sinon, ce n’est plus une démocratie. C’est un casting truqué.
Bruxelles ferme les yeux... ou est à la manœuvre
Voilà des années que l’Union européenne aime à se poser en garante des bonnes mœurs démocratiques. Du haut de leurs tours de verre, nos commissaires traquent les entorses à la « liberté démocratique » de Varsovie à Budapest, tels des justiciers en cravate. Mais là, silence radio. Aucun commissaire européen pour s’émouvoir du sort de ce candidat roumain. Pourtant, il n'a pas été condamné pour quoi que ce soit. Mais il est persona non candidata, et ça passe comme une lettre à la poste (européenne).
On pourrait admettre une exclusion si l’homme avait été reconnu coupable de crimes graves, ou si son programme comprenait des réjouissances comme l’abolition des élections ou le retour du servage. Mais ce n’est pas le cas. Il est juste suspecté. Autant dire, un délit de sale gueule démocratique.
Quand les bornes sont franchies, il n'y a plus de limites.
Il est assez cocasse, et même un peu inquiétant, d’entendre Thierry Breton, cet ex-commissaire européen qui a tout raté, déclarer que si l’AfD prenait le pouvoir en Allemagne, l’UE s’en occuperait « comme en Roumanie ». Les amateurs de démocratie apprécieront le sous-entendu. On se dit que dans les bureaux de Bruxelles, certains sont déjà en train de repeindre la façade en gris-vert.
Certains s’émeuvent, souvent à l’extrême droite, de cette dérive. Ils y voient une dictature molle. Le terme est peut-être excessif – encore que – mais la tendance n’a rien d’anecdotique. Même Yanis Varoufakis, pas franchement connu pour ses accointances avec les nostalgiques du fascisme, s’en alarme. Quand un gauchiste grec et quelques souverainistes français s’accordent sur un point, c’est qu’il y a matière à discussion.
La grande muette des anciens partis
Plus inquiétant encore est le silence poli, voire approbateur, des partis traditionnels européens. Pas un mot. Pas un froncement de sourcil. Seuls quelques voix périphériques s’étranglent à l’idée qu’un candidat populaire puisse être sorti du jeu sans autre forme de procès. Mais ces voix sont noyées dans l’indifférence médiatique, quand elles ne sont pas moquées par des éditorialistes soulagés qu’on épargne à la démocratie un choix « désagréable ».
La tentation est grande, en somme, d’éliminer le gêneur quand il devient trop populaire. C’est plus rapide que de débattre. Et moins risqué que de perdre.
Le risque d'un retour du chef en treillis
Pendant ce temps, chez nous, un président français rejoue les grandes heures du treillis pour annoncer, entre deux photos en blouson Top Gun, que nous sommes en guerre. Ça avait déjà marché pour le Covid, pourquoi se priver ? Cela lui avait permis d’imposer des règles d’une inventivité kafkaïenne, dignes d’un concours Lépine de la bêtise administrative au point qu'un quotidien allemand avait renommé la France "l'Absurdistan".
Le voici donc en chef de guerre, prêt à monter au front (dans un hélico climatisé), expliquant que la situation exige des mesures exceptionnelles. Vieille recette éprouvée : rien de tel que la peur pour demander aux citoyens de se taire et de marcher droit. Et dans ce registre, Macron a de grandes tentations. Car il se verrait bien encore à l’Élysée dans vingt ans. Après tout, lui seul sait ce qui est bon pour la plèbe.
Mettre fin à la démocratie fast-food
Le drame de la démocratie contemporaine est que nous en avons fait un produit de consommation courante. Tous les cinq ans, on nous demande de choisir un chef dans une vitrine bien éclairée. Mais passé le moment de l’élection, le client est prié de se taire. On lui a vendu un rêve, il reçoit la facture.
J'aime tout particulièrement cette phrase de Rousseau dans "Du Contrat Social" : « Le peuple anglais pense être libre, il se trompe fort ; il ne l'est que durant l'élection des membres du parlement : sitôt qu'ils sont élus, il est esclave, il n'est rien. » Nous avons modernisé l’idée : nous pensons être libres entre deux matchs de foot et un achat Amazon.
Le référendum de 2005 ? Une farce cruelle : on a demandé leur avis aux Français, puis on a soigneusement piétiné leur réponse. Depuis, pourquoi s’étonner que le peuple préfère parler de tout sauf de politique ? Il décroche, il déserte la chose publique, et au bout du compte, il demande qu’on impose l’ordre, puisqu’il n’y croit plus.
Piège à démocratie
Voilà où nous en sommes. Nous avons bricolé une démocratie d’apparence, où l’on élit des représentants, mais où le peuple n’est qu’un figurant dans une pièce écrite par d’autres. Et encore, ça tient grâce à la liberté d’expression – quand elle n’est pas censurée pour raisons sanitaires, climatiques ou géopolitiques. Mais ne nous plaignons pas : on peut encore dire que Macron est un sale con (ce qui n'est peut-être pas si éloigné de la vérité) sans risquer le goulag. C’est bien, mais c’est insuffisant.
Le vrai danger, c’est la pente douce. Une démocratie qui ressemble de moins en moins à une démocratie. Une Roumanie qui interdit les candidats gênants. Une France qui rêve de museler certains opposants par des méthodes diverses en invoquant le « bien commun ». Jusqu’au jour où le peuple, lassé, passera la main à plus autoritaire.
Le choix est simple : redonner du pouvoir au peuple, ou glisser vers la dictature
Si nous voulons éviter ce glissement, il faut repenser la démocratie. Donner aux citoyens le pouvoir de décider, pas seulement de choisir parmi des slogans. Les Suisses votent tous les mois et s’en portent très bien. Leurs dirigeants sont sobres.
Si nous ne faisons rien, nous finirons dans une démocratie Potemkine, gouvernés par ceux qui disent une chose et en font une autre. Le peuple n’aura plus qu’à se taire et applaudir, ou espérer un miracle. Et les miracles, en politique, sont rares.
10 mars 2025
Galerie Murmure
Le vent de Chicago souffle sur Colmar , portant avec lui les couleurs, les textures et l'énergie urbaine véhiculée par les œuvres d' Isabelle Gougenheim.
Nous vous donnons rendez-vous :
Le vent de Chicago souffle sur Colmar , portant avec lui les couleurs, les textures et l'énergie urbaine véhiculée par les œuvres d' Isabelle Gougenheim.
Nous vous donnons rendez-vous :
vendredi 21 mars de 17h à 22h
pour le vernissage de l'exposition « Palimpseste urbain ».
Isabelle Gougenheim sera présente pour partager avec vous le fil invisible de son inspiration…






Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h - samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous
contact@galerie-murmure.fr
Tél. +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com
Instagram : galerie murmure
Isabelle Gougenheim sera présente pour partager avec vous le fil invisible de son inspiration…
Installée à Chicago, Isabelle Gougenheim peint la ville comme on capte une pulsation : entre frénésie et poésie, entre effervescence et éclats de lumière.
Ses toiles racontent le tumulte et la beauté des espaces urbains, un palimpseste de souvenirs, de couleurs et de mouvements.
Chaque toile est construite comme une succession de scènes, un enchevêtrement d'images et de sensations où se croisent la spontanéité du geste et la profondeur du regard.
Il ya dans son art la cadence du quotidien, ce rythme urbain qui pulse, qui superpose bruits et couleurs, comme dans une ville en perpétuelle effervescence.
Mais au cœur de cette vitalité surgissent aussi des instants de pause, des respirations où l'émotion affleure, où la matière raconte une histoire plus intime. C'est dans cette tension entre frénésie et contemplation qui réside toute la singularité de son univers.
Isabelle Gougenheim explore sans cesse de nouveaux territoires plastiques.
Peinture acrylique, pastel, aérosol, encres et feutres se superposent pour créer des effets de transparence et de matière.
Son travail est aussi marqué par une approche textile : des fils colorés cousus directement sur la toile viennent y inscrire un relief, une vibration, un écho aux souvenirs tissés du passé.
Isabelle Gougenheim privilégie une diversité d'outils : des pinceaux rapportés de Corée, des morceaux de bois glanés au gré des rues, des chiffons, des brosses... « Chaque outil apporte une gestuelle différente et participe à l'énergie brute et instinctive de mes œuvres. »
« Mon travail est nourri d'expériences, de rencontres, d'influences multiples. Peindre, coudre, assembler… chaque geste apporte une dimension différente à l'œuvre. Se limiter à un seul médium, c'est restreindre l'expression. En mélangeant les techniques, je laisse la liberté aux idées de prendre forme de la manière la plus juste. »
Son support de prédilection reste la toile brute, dont la texture naturelle évoque pour elle la peau, une surface vivante, prête à recevoir traces et cicatrices. Ce matériau lui permet d'accumuler les couches, de coudre, d'intégrer différents éléments et d'inscrire dans la matière une profondeur sensible.
Ce vernissage fait partie intégrante de l' Opening Night , un événement réunissant diverses initiatives artistiques dans différents lieux d'art de Colmar.
Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h - samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous
contact@galerie-murmure.fr
Tél. +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com
Instagram : galerie murmure
Aurore Reinbold
Notre concert de harpe, flûte et violoncelle s'est déroulé hier soir.
Les membres du Club Inner Wheel Colmar se sont mobilisés pour offrir cette 4ème magnifique édition au profit d'Endo Elsass.
Un beau lien entre la Journée des droits des Femmes et la Semaine européenne de l'endométriose.
Marie Noirjean, Yohanna Patry et Natalia Dauer nous ont offert un programme de haut niveau alternant duo et trio.
Sans tous les membres de notre club service, rien n'aurait pu avoir lieu ! Je suis une présidente fière d'elles.
Victorine Valentin
Quotidien matin - extrait
Quotidien matin - extrait
On ne va pas refaire l’Histoire… oh, bah en fait si. Le grand bûcher numérique continue à Washington. En croisade contre le wokisme, Trump a lancé un terrifiant autodafé des sites fédéraux pour éliminer toute référence à la diversité ou au changement climatique. Dernier délire en date : des photos historiques ont été rayées du site du Pentagone et des armées. Le cliché du colonel Paul Tibbets, posant fièrement devant l’Enola Gay, le bombardier qui a largué la bombe atomique sur Hiroshima, est parti à la poubelle. La raison ? Le mot "gay" est écrit sur le fuselage (oui, on en est là…). Autres photos tombées aux oubliettes : les armuriers des Tuskegee Airmen, les premiers pilotes noirs du pays, ou encore un équipage d’un avion C-17 entièrement féminin.
Malheur à ceux qui s’appellent Gay. Ce travail de sagouin a été mené dans la précipitation et la confusion, afin de répondre en urgence au décret signé par Trump devant éliminer les contenus et programmes DEI (Diversité, équité et inclusion). Au total, d’après Associated Press (AP) qui a mené l’enquête, cette purge numérique pourrait aboutir à la suppression de 26 000 images. Les employés du Pentagone avaient jusqu’au mercredi 5 mars pour effectuer cette mission et souvent dans des conditions de travail difficiles. "Dans le corps des Marines, un seul civil était disponible pour effectuer ce travail", rapporte AP qui a révélé plusieurs victimes collatérales, notamment les Marines portant… le nom de famille Gay.
Inscription à :
Articles (Atom)