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15 juin 2025

Les arts plastiques à l'honneur au collège Les Ménétriers de Ribeauvillé

-15/6/2025- Les portes ouvertes du collège furent l'occasion d'inaugurer la fresque récemment terminée dans le cadre d'un gros projet dont elle est l'aboutissement, impliquant les 21 classes de Marie-Eva Sivadier, professeur d'arts plastiques et de Jean Linnhoff, artiste dessinateur-illustrateur-graffeur dont la réputation n'est plus à faire.
Le médiéval et les manuscrits ont constitué le point de départ et le fil conducteur de ce travail d'ampleur qui aura permis à chaque niveau du collège d'étudier et de développer un thème, ainsi les herbiers d'Otto Brunfels pour les 3èmes, la figure du ménétrier médiéval élargie au contemporain pour les 4èmes, les créatures fantastiques articulées, mises en animation grâce au stop motion pour les 5èmes, l'enluminure et les lettrines pour les 6èmes. Le dispositif Ulis a également été mis à contribution en constituant un bestiaire avec des créatures réalisées sur tablettes et à la main, imprimées sur papier vieilli.
Grâce à tout ce travail en amont, il ne restait à Jean Linnhoff plus qu'à peaufiner son dessin préparatoire "en s'appuyant pleinement sur ce que les élèves ont imaginé".
Laissons à Marie-Eva Sivadier le soin de conclure : "L'investissement des élèves durant la semaine de réalisation était indéniable. Ils ont pu peindre par groupes avec l'artiste et l'assister. Les réactions au fil de l'évolution de la peinture étaient hyper positives, avec des déclarations d'élèves que nous gardons bien au chaud avec ma collègue d'ULIS qui a beaucoup participé à ce projet."
De nombreux collègues, élèves et parents ont assisté à l'inauguration, en plus de Laurent Prévost, principal du collège et Jean-Louis Christ, maire de Ribeauvillé.
E.D.









À L’HÔPITAL PASTEUR ON FAIT DES IRM SANS COMPTE-RENDU

La sclérose en plaques (SEP) a été diagnostiquée pour mon fils en 2023.

Pour mémoire c’est une maladie auto-immune chronique du système nerveux central.

Elle est incurable.

Les périodes de crise se caractérisent par des poussées. Celles-ci laissent invariablement
des traces : des lésions cérébrales.

Pour détecter ces lésions, il est impératif de passer une IRM après chaque poussée de SEP. L'urgence est de localiser très précisément l’emplacement de toute nouvelle lésion.

Chaque lésion non traitée peut entraîner une défaillance cérébrale et moteur. Donc accentuer le handicap.

Ce suivi de l’évolution de la SEP est donc primordial car il est la base du traitement mis en place et qui, au besoin, doit être réajusté.

Le 8 avril 2025, mon fils a passé une IRM cérébrale et médullaire avec produits de contraste, au service de radiologie et neuroradiologie de l'hôpital Pasteur.

À ce jour, soit 10 semaines plus tard, AUCUN COMPTE-RENDU ne lui a encore été fourni !

Et ce n’est pas faute d’avoir relancé à plusieurs reprise le service de radiologie, tout comme l’a également fait son médecin prescripteur.

La réponse a toujours été la même : "les radiologues n'ont pas encore analysé vos images et donc le compte-rendu n'est pas disponible car pas encore fait".

10 semaines ne suffisent pas ...

Malheureusement, une nouvelle poussée est intervenue depuis.

Son origine peut être éventuellement attribuée au non diagnostic du 8 avril.

Quelles en seront les conséquences ? Seule une nouvelle IRM pourra le déterminer.

Un RV vient d’être fixé, mais plus au service de radiologie et neuroradiologie de l'hôpital Pasteur !

Que se passe-t-il en neuroradiologie de Pasteur ? Il y a-t-il une prise en compte des pathologies ? Quelles sont les priorités du service ?

Ou plus simplement, à quoi servent les IRM qui y sont effectuées puisqu’il est impossible de les exploiter ? La seule certitude est que l’Assurance Maladie les finance.

DR – 14/6/2025

14 juin 2025

Loïc Jaegert-Huber

Colmar : une économie de proximité vibrante et résiliente

Le commerce de proximité et l’artisanat sont le poumon de notre ville. Ils incarnent notre identité alsacienne, génèrent de la convivialité, créent des emplois locaux et structurent nos quartiers. L’enjeu est donc clair : soutenir, renouveler et valoriser ce tissu vital, face à la concurrence des zones commerciales périphériques, du e-commerce et des incertitudes économiques.

1. Redynamiser le centre-ville historique

Le marché couvert, daté de 1865 et restauré en 2010, symbolise cette tradition : une vingtaine de stands d’artisans et producteurs y animent chaque jour le cœur de Colmar.

Nous proposons :

- la création d’un “bureau du commerce”, au cœur du centre-ville, inspiré du modèle du "town center management" : un guichet unique pour les commerçants, un lieu de coordination, d’écoute et d’appui à l’initiative locale ;

- l’organisation de boutiques éphémères (pop-up stores) dans les locaux vacants, pour tester de nouvelles offres, attirer les jeunes entrepreneurs et redynamiser l’image de certaines rues.

Mais nous devons aussi ramener les Colmariens au centre-ville. C’est pourquoi nous testerons un dispositif de circulation modulée, autorisant l’accès aux riverains et à tous les habitants de Colmar Agglomération jusqu’à midi et après 18h, par exemple pour récupérer une commande, faire ses courses, retirer une pizza... Une signalétique claire et un accès simplifié renforceront l’attractivité.

2. Faciliter la création et la reprise

Les dispositifs portés par la Ville, la CCI et la CMA (Chambre des Métiers) sont utiles, mais trop peu connus ou trop complexes.

Nous proposons :

- de lancer un concours d’émergence de projets artisanaux, avec une prise en charge du loyer la première année, un appui en communication, un accompagnement numérique et un mentorat commercial ;

- d'encadrer les loyers commerciaux dans les zones sensibles et accompagner les bailleurs volontaires dans la mise à disposition de leurs biens ;

- de développer la bourse aux locaux vacants et créer une cellule “reprise & coworking” pour soutenir ceux qui veulent se relancer à Colmar.

3. Valoriser nos marchés comme espaces de vie intergénérationnels

Nos marchés (Place des Dominicains, Saint-Joseph, Cathédrale, Europe…) sont des lieux d’ancrage et de lien. Mais ils doivent retrouver du souffle.

Nous proposons :

- d’améliorer les conditions logistiques des commerçants non-sédentaires (stationnement, branchements, accessibilité, ...) ;

- d’animer régulièrement le marché du centre-ville, en lien avec les associations locales, les maisons de quartier, les artistes de rue, les écoles ou les clubs seniors ;

- de renforcer les (mini-)marchés dans tous les quartiers, et pas uniquement dans l’hyper-centre.

4. Soutenir l’artisanat et les métiers d’excellence

Les échoppes du centre ancien ou certains ateliers du quartier Ouest méritent une attention renforcée.

Nous soutiendrons :

- la requalification énergétique et esthétique des locaux artisanaux, avec des aides ANRU ou "Action Cœur de Ville" ;

- l’organisation d’une Semaine de l’Artisanat et du Savoir-Faire dans les écoles, les commerces, les ateliers ;

- la création d’un “atelier-lab” à la frontière entre artisanat et innovation (ex : impression 3D, objets en matériaux biosourcés, artisanat d’art, ...).

5. Digitaliser les commerces de proximité

La digitalisation ne doit pas être un fardeau, mais un levier.

Nous proposerons :

- un “pack numérique solidaire” pour les petits commerces : site vitrine, prise de rendez-vous en ligne, système de click & collect, référencement local ;

- la création d’un pôle “Commerce & Numérique” au sein de la Maison des Projets, qui interviendra pendant les périodes creuses (janvier/février) avec des sessions de formation express.

6. Créer un label “Colmar Artisans”

Ce label reconnaîtra les artisans colmariens, leur ancrage local, leur engagement environnemental et leur transmission de savoir-faire.

Il leur offrira :

- une meilleure visibilité dans les réseaux touristiques, les événements de la ville et les guides patrimoniaux ;

- un accès privilégié à certains marchés, foires ou projets éducatifs ;

- une carte “Colmar Artisan partenaire”, valorisée dans les supports de l’Office de Tourisme et auprès des hébergeurs.

7. Marier tourisme et commerce local

Nous développerons des coupons de réduction touristiques en partenariat avec les hébergeurs colmariens. Chaque nuitée donnera accès à des offres spéciales dans les commerces partenaires (produits d’appel, menus-découverte, artisanat local, …).

Nous soutiendrons :

- les kits “Saveurs de Colmar”, distribués à l’Office de Tourisme, aux hôtels et gîtes (vins, confitures, chocolats, savon, etc.) ;

- des parcours marchands thématiques (ex : “Route des Vins”, “les 5 artisans à ne pas manquer”, “je fabrique mon souvenir local”, ...), en lien avec les commerçants volontaires.

8. Une gouvernance partagée et durable

La Ville ne fera pas cela seule. Nous mettrons en place :

- un Comité Commerce & Artisanat, réunissant chaque trimestre commerçants, artisans, chambres consulaires, élus et habitants ;

- une charte écoresponsable du commerce colmarien, encourageant les initiatives vertes, le recyclage, la lutte contre le gaspillage, les circuits courts. Ce label ouvrira droit à des aides ciblées et une promotion renforcée.

Colmar dispose d’un tissu commercial unique, fait de marchés, de boutiques indépendantes, de producteurs locaux et d’artisans fiers de leur savoir-faire. À nous de l’accompagner vers un modèle plus vivant, plus solidaire, plus durable, sans renier nos racines.

Ce que je propose, ce n’est pas une politique du commerce vitrine. C’est une politique du commerce de lien. Celui qui fait battre le cœur d’une ville, à taille humaine, tournée vers l’avenir.

Lézard

Fenêtres #8 : Restitution de courts-métrages
Mercredi 2 juillet 2025 à 18h

Une nouvelle fenêtre s’ouvre sur les actions culturelles menées tout au long de la saison par Lézard !
Venez découvrir le court-métrage co-construit avec les jeunes de l'IME-SESSAD Pays de Colmar - Site des Artisans !
Ce projet visait à réaliser un court-métrage en collaboration avec des élèves de l'IME Les Artisans. L'objectif était de favoriser l'expression créative des jeunes, de développer et renforcer leur confiance en eux à travers la création artistique. Pendant trois mois, les trois groupes choisis ont pris la caméra de Sarah-Myriam Poirson pour filmer des moments de vie : le but étant de partir d’eux, de leur quotidien. Les prises de vue mêlent vie d’atelier, visite de partenaires, interviews.

Rendez-vous le mercredi 2 juillet 2025 à 18h
Espace Lézard, 12 route d'Ingersheim à Colmar
Ouverture des portes à 17h45
Projection à 18h, suivi d'un verre de l'amitié

Fabien Nierengarten

-14/6/2025- Ils me font bien rire (sans doute pour ne pas en pleurer), celles et ceux qui essaient de nous faire croire qu'il serait tellement facile de mettre fin à toutes les formes de violence qui gangrènent notre société. Qu'il suffirait de plus poursuivre, de plus réprimer, de plus punir, pour que subitement, l'ordre se substitue au désordre. Et que chacun de nous pourrait enfin vivre en totale sécurité si les policiers étaient plus nombreux et si les juges étaient moins laxistes. Il faut alors qu'ils m'expliquent comment, de cette façon, on aurait pu, par exemple, empêcher le meurtre de la surveillante du collège de Nogent-sur-Marne par un gamin "bien né" de 14 ans.
Il est vrai que nous entrons progressivement dans l'une de ces périodes où, sur ce sujet sensible, les déclarations de bonnes intentions vont abondamment fleurir sur les réseaux sociaux, où les incantations stériles des uns se mêleront aux propositions débiles des autres... et où, au final, les promesses n'engageront que ceux qui auront la coupable naïveté d'y croire. Mais arrêtons de nous voiler la face : même si aujourd'hui, elle s'avère souvent indispensable pour éradiquer la violence qui fait la une des faits divers, la répression ne constituera jamais la seule réponse à tous nos maux. Elle n'en sera toujours que l'aboutissement le plus extrême.
En fait, la solution pour demain et après-demain est entre les mains de chacun d'entre nous. Entre les mains de chaque gouvernant qui doit se montrer exemplaire dans l'exercice de ses fonctions, de chaque utilisateur des réseaux sociaux qui doit y modérer ses propos, de chaque parent qui doit montrer une voie raisonnable et raisonnée à ses enfants, de chaque adulte qui doit se souvenir qu'il est amené à servir de modèle aux jeunes générations... jusqu'au simple usager de la route qui doit s'y comporter en citoyen civilisé et non en créature primaire, voire primitive. Car oui, la violence trouve souvent son origine dans notre comportement quotidien. Parfois même à l'insu de notre plein gré.
Bref, apportons tout notre soutien aux forces de l'ordre et faisons de nouveau confiance à la justice pour traiter les cas qui mettent gravement en danger la sécurité dans nos villes et villages. Et pour le reste, prenons tous notre part de responsabilité dans cette lutte quasi existentielle que nous devons mener contre cet ensauvagement progressif de notre société. Il en va de notre avenir et de celui de vos enfants.

À Colmar, « la récupération de l’eau de pluie… et de Paul Watson »

Communiqué de la liste « Colmar citoyenne, verte et solidaire » menée par Cécile Ney
L'ALSACE-12/6/2025

Cent récupérateurs d’eau de pluie ont été offerts par le Rotary Club de Colmar à l’association des jardins familiaux. À cette occasion, le maire Eric Straumann cite Paul Watson, de passage à Colmar : «Agir à notre échelle, c’est déjà changer les choses».

Dans un autre message, il se réclame encore du célèbre fondateur de Sea Shepherd en vantant les “actions concrètes” menées par lui “pour encourager le vélo, développer des réseaux de chaleur, favoriser l’eau du robinet”. Et, dans une envolée lyrique, il ajoute qu’il faut répondre au changement climatique avec détermination et lucidité, pour ne pas compromettre l’avenir des générations futures ! C’est beau, ce que tu dis là, Eric !

Paul Watson, lors de la foire Eco Bio, à Colmar le 30 mai 2025
Photo Roméo Boetzlé

« Colmar est à la traîne »

Il nous suffit cependant de regarder vers d’autres villes autour de nous pour constater que Colmar est à la traîne en matière de déplacements cyclistes et piétons, ou en matière d’utilisation d’énergies renouvelables. Et souvenons-nous qu’Eric Straumann appartient à une majorité régionale qui prône entre autres une “remise en navigation” du canal du Rhône-au-Rhin entre Friesenheim et Artzenheim (en fait : une coûteuse et absurde destruction du milieu naturel).

Au niveau national, il apporte son soutien à Bruno Retailleau. Il appartient à la formation politique à l’origine de la “loi Duplomb”, qui prévoit entre autres d’autoriser un pesticide qui “tue les pollinisateurs, est un perturbateur endocrinien, un neurotoxique du développement, et on peut le retrouver dans l’eau potable”, selon la ministre de la transition écologique Agnès Pannier-Runacher.

Paul Watson ? « Un effet de mode »

Rappelons qu’en novembre 2024, Flavien Ancely-Frey, conseiller municipal d’opposition et membre de notre liste Colmar citoyenne verte et solidaire, proposait d’afficher le portrait de Paul Watson sur la mairie, en réponse à l’appel de Sea Shepherd alors que le militant écologiste était détenu au Groenland. Eric Straumann avait refusé, parlant d’un “effet de mode”. Étrange retournement, quelques mois plus tard, de se réclamer publiquement de Watson – sans jamais avoir répondu à l’appel concret qui lui était adressé.

À force de grands discours et de petits reculs, on s’habitue à l’inaction. Pourtant, personne ne sauvera la planète – ni Colmar – à coups de publications Facebook bien choisies. L’écologie n’est pas affaire de symboles : elle exige cohérence, choix clairs et courage, ici et maintenant. »


Réponse d’Eric Straumann à Cécile Ney
13/6/2025

« Dans une récente tribune, Madame Cécile Ney évoque la venue de Paul Watson à Colmar comme si l’écologie appartenait à son seul camp politique. C’est une vieille recette : s’ériger en unique défenseur de la planète pour mieux imposer un discours idéologique d’extrême-gauche.

J’aurais aimé voir la même mobilisation de Madame Ney pour Cécile Kohler, retenue depuis plus de trois ans en Iran. Lors de la manifestation organisée à Colmar pour dénoncer cette détention inacceptable, nous avons affiché le portrait de Cécile Kohler et de son compagnon sur la façade de l’hôtel de ville. Madame Ney, elle, était absente.

Quant aux résultats, ils parlent d’eux-mêmes : qualité de l’air, développement des mobilités douces, végétalisation… Colmar n’a franchement pas à rougir. Nous faisons aussi bien, voire mieux, que notre grande voisine Strasbourg. Parce qu’à Colmar, l’écologie se traduit en actes, pas en postures idéologiques. »

12 juin 2025

Yves Hemedinger
12/6/2025

À la Préfecture avec Lucien Muller pour le Comité local pour l’emploi à Colmar

On le sait bien : l’un des freins majeurs à l’accès à l’emploi, c’est le problème de mobilité.
Aujourd’hui, de plus en plus de jeunes renoncent à passer leur permis de conduire. Certes, le coût peut être un obstacle même si de nombreux dispositifs d’aide existent, mais cette tendance s’explique aussi par un discours ambiant de plus en plus stigmatisant à l’égard de la voiture.
Ce frein à la mobilité risque donc de s’aggraver, avec des conséquences préoccupantes sur l’insertion professionnelle.
Attention aux discours et aux politiques bobos car cela a des conséquences !

Thikent

« On n’est pas des anges »

L’exposition de l’été qui va vous donner des ailes ! Une série de peintographies sur papier d’art à découvrir du 21 juin au 31 août à l’atelier Thikent à Colmar. Vernissage le vendredi 20 juin à partir de 18h. 

Thikent
14 rue Chauffour
68000 Colmar



Laurence Muller-Bronn
11/6/2025

Retrouvez mon intervention au Sénat sur la loi "Emploi des séniors ".
 
Le Sénat a voté le projet de loi relatif à l’emploi des "personnes expérimentées", laissé en suspens depuis la réforme des retraites adoptée en 2023. Un retard d'autant plus regrettable que le problème a été largement identifié, et ce depuis plusieurs années.
 
J'ai rappelé dans mon intervention que le taux d’emploi des seniors est de 58,4% pour les 55-64 ans, avec une chute vertigineuse à 33% seulement pour les 60-64 ans. Une discrimination qui est une grave erreur, et que nos voisins européens n’ont pas commise, car ils ont su dépasser les préjugés, adapter les dispositifs de retraite progressive, développer les temps partiels, etc.
 
Enfin, j'y évoque la problématique des carrières féminines trop incomplètes, les femmes assurant les solidarités familiales.

Issu d’un accord des partenaires sociaux ce projet de loi, permettra de rattraper au moins une partie du retard français, mais il faudra aussi revoir les dispositifs de formation/reconversion : trop peu efficaces et coûteux (18 milliards en 2022 !).

Un REPAIR-CAFE à Colmar
 
FLAMES (fraternité, liens d’amitié, mutualisation, entraide, solidarité) a ouvert le seul et unique lieu de ce genre à Colmar.
Tout un chacun peut y venir pour faire réparer un objet ou un appareil défectueux, gratuitement, par un groupe de techniciens bénévoles : appareils électroménagers, jouets, lampes, radios, vélos…
Durant le temps de la remise en état, d’autres bénévoles proposent sans bourse délier, thé, café, pâtisseries.
Le prochain RV est fixé au jeudi 19 Juin, de 14h à 17h, salle Lili BURGER , dans la cour du 6 rue de la Grenouillère, au centre-ville de Colmar.
Une cagnotte permet de recueillir les dons que chacune/chacun peut effectuer, en contrepartie et selon ses possibilités.