Translate

6 juillet 2025

Michel Spitz

-6/7/2025- Le Symphonic Mob© est devenu l’évènement très attendu du Festival International de Colmar et de tous les amoureux de la musique. Il s’agit de faire « ensemble » de la musique avec les musiciens d'un grand orchestre professionnel. Pour cette année, le chef d’orchestre Alain Altinoglu et l’Orchestre National de Mulhouse ont bravé la météo quelque peu incertaine et accueilli, dans la joie et la bonne humeur, les très nombreux instrumentistes et chanteurs de la région. À partir des airs les plus connus et les plus populaires du répertoire, pour que tout un chacun ait la possibilité de connaître cette joie de ne former qu’un grand tout avec l’orchestre et de jouer sous la baguette de son chef, l’expérience a été exceptionnelle, tant du côté des musiciens que des spectateurs !
Photographies ©Michel Spitz




























Abbaye de Marbach

Une création en ouverture


O'Piano'Bois
dimanche 20 juillet à 17h
Création de la Cie Le Vent en Poupe
­
O'Piano’Bois est un spectacle qui mêle musique, chant, théâtre et poésie.
Ce conte musical est né de la rencontre entre deux artistes-musiciennes :

Virginie Schelcher, la hautboïste/chanteuse-poétesse et Audrey Jean-Bart, la pianiste.

Depuis leur tendre enfance, elles se consacrent à leur passion qu’est la musique. Elles partagent avec le public, en toute simplicité, leurs émotions, leurs difficultés, le bonheur et cette soif de musique qui les anime. À l’aube de leur vie, heureuses d’avoir transmis cette passion, elles dressent un bilan de ce parcours si riche et précieux... Entre musiques originales et répertoire classique, sublimé par la création son et la création lumières du LEZARD, ce spectacle plein d’humour et d’émotions ravira petits et grands.
­
Je réserve



Maqmanolo Art Pop Linéal
du 20 juillet au 28 septembre 2025
­
L’artiste MAQMANOLO fait du « pop art linéal » : tout est basé sur la ligne. La ligne de base, qui n’a l’air de rien, la première chose que l’on trace lorsqu’on est enfant... Elle est simple mais devient complexe si elle est accolée à une autre, si elle se courbe, si elle s’interrompt.

Ce que fait quotidiennement l’artiste est la décoration d’encombrants laissés à l’abandon, afin de faire sourire les passants. On est là sur un travail brut et très rapide : il faut trouver une phrase d’accroche en lien avec l’objet, sa couleur ou sa situation, et réaliser un motif linéal.

En parallèle, un travail conséquent se fait sur des toiles, où la rigueur, la précision et le temps sont de mise car les réalisations vont habiller des intérieurs.

Si les sujets populaires sont fréquemment abordés (films, personnalités, événements historiques), un espace plus intime est aussi proposé (portraits, notamment). L'exposition sera visible lors des concerts.
­

Changement de date...


Quadra del Plata
vendedi 5 septembre à 20h30

Suite à l'indisponibilité de deux des musiciens du quatuor, le concert de tango de Quadra del Plata prévu à l'origine le samedi 30 août à 20h30 est reporté au vendredi 5 septembre à 20h30.

Au tournant du siècle, dans le Rio de la Plata, les danses de salon venues d'Europe, mazurka, scottish, valse... subissent l'influence des Noirs. Danses de Blancs, danses de Noirs, habaneras, s'influencent et s'imitent mutuellement. Parmi elles, Il y a la milonga, qui appartient à cette catégorie de termes au contenu incertain (le terme est aussi d'origine africaine), et qui est aussi à l'origine du tango et dont l'origine se confond avec celui-ci. (Beaucoup d'œuvres intitulées milongas seront rebaptisées plus tard tangos.)
­
Je réserve
­
infos / renseignements
Contacter Laurence 06 19 36 49 64
Email : culture@abbayedemarbach.org
http://abbayedemarbach.org
­
Nous soutenir

Abbaye de Marbach
lieudit Marbach
68420 Obermorschwihr
culture@abbayedemarbach.org


5 juillet 2025

Michel Spitz

-5/7/2025- Pierre et le Loup de Sergueï Prokofiev fait le plein d’enfants au Théâtre Municipal de Colmar. À l’invitation du Festival International de Colmar, l'Orchestre National de Mulhouse sous la direction de Katharina Morin, avec Julie Depardieu comme récitante.
Photos ©Michel Spitz

















Loïc Jaegert-Huber


-5/7/2025- Depuis plusieurs mois, j’ai pris le temps d’écouter, d’échanger, de consulter. Je suis profondément attaché à Colmar, et convaincu que notre ville mérite une ambition renouvelée, une gestion rigoureuse, et un cap clair.
Celles et ceux qui me connaissent savent que j’avais une forte envie d’y aller. J’y ai beaucoup réfléchi.
Mais une chose est évidente : cela ne s’improvise pas. Être Maire, c’est comprendre en profondeur les attentes de nos concitoyens, s’ancrer durablement sur le terrain, et bâtir un projet solide sur le long terme.
Je vais donc en décevoir certains (et sans doute en soulager d’autres), mais je ne serai pas candidat en 2026.
Cela ne m’a pas empêché de contribuer activement au débat public local. Depuis plusieurs mois, j’ai partagé des idées, porté des propositions et ouvert des pistes concrètes autour de nombreux sujets essentiels pour l’avenir de Colmar : économie & attractivité, transition écologique, urbanisme, culture, sport, éducation, initiatives citoyennes, commerce de proximité, sécurité, cadre de vie, solidarité, espaces publics, innovation, digital, …
J’espère que cette dynamique aura nourri une réflexion collective, chez les Colmariens comme au sein de la majorité actuelle. Non, tout n’est pas rose. Oui, il y a d’énormes marges de progrès, notamment en matière de vision à long terme et de leadership.
Les alternatives existent, et je suis convaincu que l’expérience et les compétences de certains talents d’ores et déjà engagés dans notre ville pourraient être précieuses dans les échéances à venir.
Une élection, cela se prépare, cela s’anticipe, cela se gagne sur le terrain, le terrain, et encore le terrain. Je passe donc mon tour cette fois-ci.
La vérité, c’est qu’une telle décision ne se prend pas seul. Il faut aussi savoir entendre ses proches, mesurer ses équilibres personnels et professionnels, et être lucide sur ce que demande un tel engagement. Être Maire, c’est un sacerdoce, un rôle qui ne se conjugue pas à moitié. C’est un engagement de chaque instant, un job à temps plein et bien au-delà, qui demande une présence constante sur le terrain, une disponibilité totale et une énergie de chaque instant au service des habitantes et habitants.
Je sais aujourd’hui que ce n’est pas le bon moment. Mais je ne regrette rien de cette démarche, qui m’a permis de poser des mots, de proposer des idées, et surtout d’ouvrir le dialogue (en bougeant un peu les lignes par la même occasion).
Merci pour vos innombrables messages, vos encouragements, vos conseils. Ce n’est que partie remise.
Et qui sait… rendez-vous en 2032 pour refaire le Point… Colmarien !