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| Photo Edouard Dabrowski |
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16 septembre 2025
Gérald d'Orbe
16/9/2025
Deux "T" à "piètre", c'est un de trop, non ?
16/9/2025
Deux "T" à "piètre", c'est un de trop, non ?
Votre diatribe haineuse n'a rien d'un éditorial, ma p'tite dame, elle n'est rien d'autre que le récit d'un perroquet amoureux de son Jean-Luc machin.
Je ne vais pas tarder à cesser mon abonnement à ce canard dans lequel, comme disait Coluche, « y'a un truc vrai : la date… » !
15 septembre 2025
Yves Hemedinger
14/9/2025
14/9/2025
Questions locales à notre députée, Madame Klinkert (liste non exhaustive et locale car elle est aussi comptable de l’échec macroniste au plan national).
J’y associe volontiers son binôme de la CEA tout aussi macroniste.
• Vous aviez promis la sortie de l’Alsace du Grand Est : où en sommes-nous ?
• Vous aviez promis, pour 2027 au plus tard, la liaison ferroviaire Colmar-Freiburg : où en sommes-nous ?
• Vous aviez annoncé, pour 2026, la rénovation tant attendue de la gendarmerie de Neuf-Brisach : où en sommes-nous ?
De même, nous attendons toujours les compensations fiscales et économiques promises après la funeste décision de François Hollande – mais appliquée avec zèle par vos amis M. Macron et M. Lecornu – de fermer Fessenheim.
Je pose ces questions avec respect, car beaucoup de concitoyens expriment leur découragement face au non-respect des promesses politiques.
Cette situation me navre, me peine et m’inquiète pour l’avenir de notre démocratie. Trop d’électeurs en viennent à mettre tous les responsables politiques « dans le même sac » ce qui me nuit aussi, personnellement, dans mon engagement
Nous avons tous le droit d’échouer… mais pas celui de faire comme si de rien n’était.
Laurence Muller-Bronn
14/9/2025
Il y a quelques semaines, je rencontrais avec des médecins Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, spécialiste des toxines animales au CNRS depuis 1989. Il se trouve au centre d’une controverse. Récemment démis de ses fonctions éditoriales dans plusieurs revues scientifiques, dont Coronaviruses, Infectious disorders-drug targets et Frontiers in Pharmacology, il est également ciblé par la cellule d’intégrité scientifique (MIS) du CNRS suite à un signalement anonyme.
Selon J-M Sabatier, le signalement émanerait d’un assistant-professeur qui l’accuse de désinformation scientifique concernant les "vaccins" ARN messager.
Sabatier conteste ces accusations, rappelant qu’il a publié une cinquantaine d’articles scientifiques sur la Covid-19 dans des revues à comité de lecture depuis mars. Il soutient que le SARS-CoV-2 résulte de recherches en «gain de fonction» et n’est pas d’origine naturelle. Il cite notamment la présence d’un site furine atypique, dont la séquence aurait été brevetée par Moderna en 2017. Il évoque le programme «Defuse», financé par les États-Unis à hauteur de 14,2 millions de dollars.
Sur le mécanisme d’action du virus
Dès mars 2020, il a décrit comment le virus dérègle le système rénine-angiotensine, un système hormonal et enzymatique contrôlant le fonctionnement cellulaire. Cette hypothèse l’a amené à préconiser très tôt la supplémentation en vitamine D comme protection.
Sur les "vaccins" à ARN messager
Le scientifique dénonce ces "vaccins" comme étant «de la pure folie», affirmant qu’ils déclenchent des réponses physiologiques délétères. Il critique particulièrement :
• le manque de contrôle sur la production d’antigènes
• la bio distribution incontrôlée dans l’organisme
• la production de protéines inconnues due aux modifications des ARN
• les effets des nanoparticules lipidiques.
Extension aux animaux et végétaux
Jean-Marc Sabatier alerte sur le développement de "vaccins" à ARN messager pour les animaux d’élevage, domestiques et les plantes, craignant une contamination par l’alimentation. Il évoque notamment la "vaccination" de plus de 62 millions de canards en France, dont la moitié avec des "vaccins" ARNm auto-amplifiants.
Face aux pressions institutionnelles, Sabatier maintient ses positions, qu’il présente comme relevant de la liberté d’expression scientifique. Il s’interroge sur l’existence d’un «Observatoire national de la désinformation en santé» dirigé par des personnes soupçonnées de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique.
Ses travaux sont compilés dans plusieurs ouvrages, notamment «Covid-19, le naufrage de la science» (Éditions Marco Pietteur).
14/9/2025
Il y a quelques semaines, je rencontrais avec des médecins Jean-Marc Sabatier, directeur de recherche au CNRS, docteur en biologie cellulaire et microbiologie, spécialiste des toxines animales au CNRS depuis 1989. Il se trouve au centre d’une controverse. Récemment démis de ses fonctions éditoriales dans plusieurs revues scientifiques, dont Coronaviruses, Infectious disorders-drug targets et Frontiers in Pharmacology, il est également ciblé par la cellule d’intégrité scientifique (MIS) du CNRS suite à un signalement anonyme.
Selon J-M Sabatier, le signalement émanerait d’un assistant-professeur qui l’accuse de désinformation scientifique concernant les "vaccins" ARN messager.
Sabatier conteste ces accusations, rappelant qu’il a publié une cinquantaine d’articles scientifiques sur la Covid-19 dans des revues à comité de lecture depuis mars. Il soutient que le SARS-CoV-2 résulte de recherches en «gain de fonction» et n’est pas d’origine naturelle. Il cite notamment la présence d’un site furine atypique, dont la séquence aurait été brevetée par Moderna en 2017. Il évoque le programme «Defuse», financé par les États-Unis à hauteur de 14,2 millions de dollars.
Sur le mécanisme d’action du virus
Dès mars 2020, il a décrit comment le virus dérègle le système rénine-angiotensine, un système hormonal et enzymatique contrôlant le fonctionnement cellulaire. Cette hypothèse l’a amené à préconiser très tôt la supplémentation en vitamine D comme protection.
Sur les "vaccins" à ARN messager
Le scientifique dénonce ces "vaccins" comme étant «de la pure folie», affirmant qu’ils déclenchent des réponses physiologiques délétères. Il critique particulièrement :
• le manque de contrôle sur la production d’antigènes
• la bio distribution incontrôlée dans l’organisme
• la production de protéines inconnues due aux modifications des ARN
• les effets des nanoparticules lipidiques.
Extension aux animaux et végétaux
Jean-Marc Sabatier alerte sur le développement de "vaccins" à ARN messager pour les animaux d’élevage, domestiques et les plantes, craignant une contamination par l’alimentation. Il évoque notamment la "vaccination" de plus de 62 millions de canards en France, dont la moitié avec des "vaccins" ARNm auto-amplifiants.
Face aux pressions institutionnelles, Sabatier maintient ses positions, qu’il présente comme relevant de la liberté d’expression scientifique. Il s’interroge sur l’existence d’un «Observatoire national de la désinformation en santé» dirigé par des personnes soupçonnées de conflits d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique.
Ses travaux sont compilés dans plusieurs ouvrages, notamment «Covid-19, le naufrage de la science» (Éditions Marco Pietteur).
14 septembre 2025
[POLITIQUE / SUJETS DE SOCIÉTÉ]
[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]
Yann Bizien
-14/9/2025- Je reviens un instant sur la nomination de Sébastien Lecornu à Matignon par Emmanuel Macron.
Le résultat des législatives issues de sa dissolution devait conduire à un quasi gouvernement de "co-habitation" avec un président défait et déchu sur les deux derniers grands scrutins de la nation.
Or nous avons aujourd'hui un parfait alignement politique et idéologique entre le palais de l'Élysée et l'hôtel de Matignon. Entre les deux centres de gravité du pouvoir exécutif, les états-majors, la vision, les méthodes et les objectifs sont les mêmes.
Une preuve ? Lors de sa prise de pouvoir, Sébastien Lecornu a déclaré qu'il voulait de la stabilité, mais aussi "une rupture, pas seulement sur la forme et sur la méthode, mais aussi sur le fond".
"Stabilité et rupture", les deux mots sont pourtant antinomiques. Ils nous renvoient à l'obsession du "en même temps" du chef de l'État. Il ne faut donc certainement pas voir cette rupture comme une distance entre l'Élysée et Matignon.
Bien au contraire.
En récompensant la fidélité d'un ministre, plutôt que de tenir compte du résultat des urnes, Emmanuel Macron a confisqué le pouvoir et repris en main toute la politique de l'exécutif dans un entre-soi inadmissible.
La nomination de Lecornu suinte le mépris de la volonté du peuple. Ce pouvoir autoritaire et exclusif n'est plus démocratique et bicéphale. Il est arrangé entre amis et certainement monocéphale. Politiquement, et sur le plan idéologique, Emmanuel Macron et Sébastien Lecornu ne font plus qu'un. Ce sont les mêmes.
Le Premier ministre est la "voix de son maître". S'il lui ordonne de cajoler le parti socialiste, il le fera.
Emmanuel Macron est un pervers narcissique qui a besoin de contrôler et de conserver son emprise. À l'international, ses homologues voient bien que la France est ingouvernable. Certains leaders bien élus se moquent même de lui. Et cela lui est insupportable. La nomination de Lecornu à Matignon lui permet donc de reprendre le contrôle sur l'action de l'exécutif.
Il ne faut pas le voir autrement.
Enfin, quand Lecornu prétend ne pas avoir d'ambitions pour la présidence de la République, rappelons-nous de cette citation de Georges Pompidou : "L'envie de l'Élysée naît à la seconde ou l'on gravit le perron de Matignon".
Dans une République démocratique qui considère, dans sa constitution, que le souverain c'est le peuple, le pouvoir est donc ici emprunté, détourné et confisqué. Grâce aux petites combines du régime des partis, ceux qui perdent les scrutins, et qui n'ont plus les faveurs de l'opinion, sont aux responsabilités.
Et ils entendent bien y rester.
C'est grave. Dans le combat politique, le machiavélisme n'a pas de limite, pourvu qu'il soit efficace.
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