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24 octobre 2025

Opéra national du Rhin


All Over Nymphéas
Emmanuel Eggermont

• Colmar, Comédie 13 & 14 novembre 2025
• Mulhouse, Filature 6 & 7 mars 2026 – Quinzaine de la danse
• Strasbourg, Maillon 10 - 12 mai 2026 – Parcours danse


Chères toutes, chers tous,

Emmanuel Eggermont développe depuis plus de dix ans un univers artistique chatoyant, intégrant de fortes références aux couleurs et aux arts plastiques. Avec la recréation d’All Over Nymphéas, il poursuit son aventure « chromato-chorégraphique » en explorant la filiation qui relie les dernières œuvres de Monet à l’expressionnisme abstrait américain.

Sur scène, chorégraphie, musique, scénographie, costumes et accessoires sont inextricablement liés pour composer un jardin fragmenté et graphique en perpétuelle métamorphose. Neuf interprètes donnent vie à des nymphéas invisibles dans un jeu de construction-déconstruction sensible et hypnotique, orchestré par un maître de cérémonie espiègle, lointain souvenir du chorégraphe Raimund Hoghe, dramaturge de Pina Bausch, à qui la pièce est dédiée.

Cette production est portée par un partenariat réunissant quatre structures culturelles alsaciennes, et entre dans la programmation du festival de la Quinzaine de la danse durant lequel Emmanuel Eggermont présentera aussi son solo About Love and Death.

À découvrir dès le 13 novembre à la Comédie de Colmar et en 2026 à la Filature de Mulhouse dans le cadre de la Quinzaine de la danse ainsi qu'au Maillon de Strasbourg en collaboration avec POLE-SUD.
[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

H16

Derrière la crise politique, une crise financière majeure ?

-24/10/2025- La situation française, vraiment pas brillante sur le plan politique, va probablement devenir catastrophique… sur le plan financier.

Il faut se résoudre à l’évidence : sans une destitution de l’actuel locataire de l’Élysée, le spectacle ridicule auquel on assiste actuellement peut continuer un petit moment.


Petit, parce que les marchés vont cependant siffler la fin de partie : ce genre de grotesqueries augmente inévitablement la volatilité des OAT françaises (les bons du trésor français, qui permettent d’emprunter sur les marchés ce qui permet à l’administration de payer ses dépenses courantes). Avec cette instabilité politique, les partenaires du pays – notamment en Europe – vont s’agacer. Les entreprises vont tousser.

S’il est difficile de comprendre à quoi joue Macron – il n’est pas exclu qu’il n’en sache rien lui-même et improvise ses âneries au fil de l’eau, peut-être peut-on imaginer qu’il cherche à avoir, après une dissolution dans les prochaines semaines, une cohabitation avec le Rassemblement National et ainsi garantir que ce dernier « gouvernera » (ou tentera de le faire) alors que toutes les planches seront savonnées, toutes les pentes seront raides et le gouffre s’ouvrira sous leurs pieds, et ce jusqu’aux prochaines présidentielles où Macron pourra espérer apparaître fédérateur en proposant un candidat/remplaçant à la Glucksmann ou équivalent.

Cependant, la question demeure : le pays tiendra-t-il tout ce temps ?

C’est de moins en moins certain et a contrario, la probabilité qu’un incident grave arrive augmente chaque jour. Et si cet incident arrive, cela se terminera par une explosion de la zone euro…

Oh, certes, il est audacieux de prédire la fin de l’euro. Ceux qui s’y sont risqués entre 2011 et 2012 se sont trompés : les petits pays d’Europe du Sud ne pouvaient pas parvenir à casser cette monnaie tant que les gros pays, Allemagne et France en tête, étaient prêts à tout pour la sauver, quitte à en imprimer comme jamais.

Cependant, cette fois-ci et au contraire de 2011, l’Allemagne et la France tirent dans des directions opposées.

Et les gros épargnants français savent ce qui se passe. Ce qu’ils indiquent, c’est que la France pourrait bien faire défaut sur ses obligations vis-à-vis du projet « monnaie unique ». Pour s’en convaincre, on pourra regarder l’intéressant graphique proposé par Arthur Hayes, fondateur de la bourse de cryptomonnaies Bitmex et fin analyste de l’économie mondiale.


Ce graphique, qu’il a publié dans un très intéressant papier consacré à la situation française, illustre l’évolution des soldes TARGET des banques centrales nationales auprès de la Banque centrale européenne (BCE) depuis janvier 2020 jusqu’à aujourd’hui. Si vous ne savez pas ce qu’est le système TARGET (le « Trans-European Automated Real-time Gross settlement Express Transfer »), disons qu’il s’agit d’une infrastructure de paiement européenne de règlement en temps réel des grosses transactions interbancaires (impliquant les différentes banques centrales nationales et la BCE) en euro.

Dans ce système (netting interbancaire), un solde positif signifie qu’une banque centrale nationale détient une créance sur la BCE, et un solde négatif qu’il y a eu des sorties de fonds supérieures au entrées, souvent en raison de flux de paiement sortants ou de fuites de capitaux. Chaque jour, tous les mouvements sont compensés les uns aux autres de telle façon à ne présenter qu’une seule position nette vis-à-vis de la BCE.

Du point de vue des épargnants, leur argent est plus en sécurité dans les pays qui affichent un solde positif ou, dit autrement, dont la monnaie nationale s’apprécierait si jamais le pays venait à quitter la zone euro. L’Allemagne est dans ce cas : son solde est toujours positif, et les Allemands sont confiants qu’en cas de départ de la zone euro, leurs nouveaux Marks ne s’effondreraient pas face à ce qui resterait de l’euro de cette zone amputée.

Pour le pays qui porte la belle ligne blanche sur le graphique ci-dessus, les choses sont moins optimistes, eh oui, il s’agit bien de la France : elle affiche le déficit TARGET le plus important de tous les pays de la zone euro. Et ce que veut dire cette ligne, c’est que les épargnants français sont de moins en moins convaincus que leurs euros sont en sécurité au sein du système bancaire français et trouvent donc des horizons plus prometteurs dans des pays comme l’Allemagne et le Luxembourg.

Si la deuxième économie de la zone euro – et la plus endettée – connaît une crise bancaire, la zone euro est en danger. En effet, la France est trop grosse pour faire faillite, mais elle est aussi trop grosse pour être renflouée. « Too big to fail, but to big to save »

Or, l’Amérique a, depuis le début de cette année, drastiquement changé de politique économique et, sous l’impulsion de l' »America First », force l’Allemagne et le Japon – principaux créanciers de la France, et traditionnellement vassaux exportateurs vers les États-Unis – à rapatrier leurs capitaux pour relancer leurs économies domestiques face à la concurrence chinoise et à prioriser désormais leur souveraineté économique : le « Made In Germany » ou le « Japan First » ne sont rien d’autre.

Bien évidemment, ceci prive la France de ces financements étrangers.

Alimenté par un État-providence généreux – on n’a toujours pas commencé à baisser les dépenses de l’État !!! – et, maintenant, les blocages politiques provoqués par un Président complètement incompétent et imbu de lui-même, le déficit budgétaire français s’aggrave sans recours, menaçant le pays d’un défaut technique. Il va sans dire que les autres politiciens français, en face de Macron, ne sont pas plus au courant de la catastrophe qui attend le pays, irrémédiablement : ça se chamaille assez violemment sur des bricolages sur les retraites ou le budget, mais les coupes massives, absolument indispensables, ne sont évoquées par personne.


Et lorsque (et non « si ») le défaut de paiement français aura lieu, les premier à trinquer seront les étrangers (les Allemands et les Japonais dans ce cas) qui devront donc imprimer de la monnaie comme jamais (de l’euro et du yen, donc). Cela ne suffisant pas, le « patriotisme » de l’épargnant français sera largement mis à contribution. Ne venez pas dire qu’on ne vous aura pas prévenu.

Voilà qui explique pourquoi les épargnants qui comprennent la situation, sentant le vent se lever, mettent leur capital hors de France. Ceux qui ne l’ont pas encore fait pourraient se sentir inspirés de le faire.

Pour les autres, l’or et le bitcoin peuvent constituer des alternatives de plus en plus crédibles.


[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]
Laurence Muller-Bronn
24/10/2025

Une mesure attendue par de nombreux auto-entrepreneurs

Le Sénat a définitivement adopté ce jeudi une proposition de loi fixant les seuils d'assujettissement des microentreprises à la TVA à leurs niveaux d'avant 2025.
Les petits entrepreneurs dont le chiffre d'affaires annuel dépasse 25.000 euros vont pouvoir souffler. Et quel que soit leur secteur d'activité. Le Sénat a validé définitivement ce jeudi la proposition de loi qui enterre les différents projets de réforme – successivement portés par les gouvernements Barnier, Bayrou et Lecornu – qui visaient à leur faire payer la TVA. On revient aux seuils précédemment en vigueur (85.000 pour la vente de biens, 37.500 euros pour les prestations de services et 50.000 euros pour les activités d'avocat, d'auteur ou d'artiste-interprète).

23 octobre 2025

[TÉMOIGNAGE]

Kuzmanovic Georges

-22/10/2025- En mission à Moscou pour couvrir la Semaine de l’Énergie et faire quelques interviews, tout ne s’est pas passé comme prévu...
Un banal accident s’est transformé en une galère monumentale.
Samu local, passage express par les urgences d’un hôpital public russe, plantage des reportages / vidéos.
Trois jours d’hospitalisation, une opération, et une plongée inattendue dans le système de santé d’un pays sous sanctions.
En direct au cœur de la Russie d’aujourd’hui par le biais de la santé et de ma petite expérience vécue sur place – certains vont avoir des surprises.
Et en plus c'était gratuit : les étrangers, quel que soit leur pays, même sans assurance, ont l'intégralité de leurs soins, analyses, opérations si nécessaire et hospitalisation complètement couvert par l'État russe dans les cas d'urgences médicales.
Sinon ça va, il faudra se soigner un mois mais le pire est évité. Prenez soin de vous !

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Eric Nieder
Colmar Grand-Rue
Benoît Kuhn

Maintenons la pression pour l’Alsace

On vit une époque fantastique ! Le microcosme administratif et politique parisien qui a conduit la France à la faillite et maintenant au chaos récuse ou retarde toute proposition de changement de gouvernance au prétexte qu’il y a d’autres priorités. Ils et elles « sont occupés à trouver des solutions pour le pays et à lui donner un budget, les préoccupations identitaires étriquées n’ont pas de place dans un moment aussi grave». Certains n’hésitent pas à froncer les sourcils, et foudroient du regard ces manants qui essaient de les distraire de leurs tâches. Un cas classique de pyromanes qui se prétendent pompiers.

Ne nous laissons pas intimider par des discours creux, rappelons trois évidences. Le gouvernement centralisé de la France est obèse et inefficace : il résout de moins en moins bien les problèmes concrets du pays, ne répond plus aux attentes de la population, et les Français en sont conscients comme l’indique un récent sondage (voir article ci-dessous). Politiquement, les Français sont partagés en trois camps à peu près de même taille et antagonistes, incapables de s’entendre entre eux : droite nationaliste et populiste, droite modérée et centre, gauche et extrême-gauche. Ajoutons les divisions et ambitions personnelles à l’intérieur de ces mêmes camps et nous arrivons à la situation d’impuissance actuelle où aucun travail de réflexion, aucune proposition n’émane des partis nationaux, et où les élus ne pensent qu’à une chose : se positionner pour la prochaine élection. Ne perdons pas de temps à les critiquer : on a la classe politique qu’on mérite dans ce pays tel qu’il est organisé.

Une dissolution ne changera rien, l’effondrement probable du centre ne suffira pas à garantir une majorité ni au RN ni à la gauche. Même l’élection présidentielle risque de nous donner un « Macron bis », un président centriste faible qui ne retrouvera pas de majorité au Parlement. Pour en sortir, il faut trancher le nœud gordien, c'est-à-dire réformer nos institutions en les clarifiant et les simplifiant. D’abord acter le retrait de l’État central de ce qui n’est pas régalien et transférer aux collectivités territoriales des responsabilités accrues d’adaptation et de mise en œuvre des politiques nationales : santé, éducation, aménagement du territoire. Ensuite faire de ces collectivités de vrais acteurs, pas des « machins bureaucratiques », en les reconnectant aux territoires (on pense évidemment aux grandes régions) et en leur donnant une autonomie de gestion avec des ressources fiscales identifiées (et pas juste des subventions de l’État central calculées selon des formules absconses et déresponsabilisant les intéressés).

On voit que le cas de l’Alsace n’est pas une distraction locale, il est juste emblématique de la situation nationale et des besoins du pays. Se battre pour une collectivité unique alsacienne avec des compétences accrues, c’est aussi se battre pour la France : continuons le combat !
Fernando Nuno Pereira Rainho

22 octobre 2025

Pause musicale
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Michel Spitz

Belle présentation de notre ouvrage ARCHITECTURE SACRÉE - ALSACE XXe dans les pages Région DNA du 21/10/2025 par Jean-Frédéric Tuefferd.
Une première séance de présentation & dédicace aura lieu à la librairie Feuilles d'encre à Colmar, vendredi 24 octobre à 19h

[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

H16

-22/10/2025- La seule surprise qu’on peut avoir en découvrant que le Louvre s’est fait cambrioler, c’est de constater qu’il aura fallu attendre autant de temps avant que ça arrive.


En effet, à voir l’état lamentable des boiseries des fenêtres et des portes de ce vieux musée, à voir la décontraction pour ne pas dire le laisser-aller moyen des personnels de surveillance, il était assez clair qu’au moins des tentatives seraient faites un jour, inévitablement.

C’était presque attendu : il y a quelques mois, quelques lignes dans une presse indigente retraçaient les déboires de pépites d’or du Muséum d’Histoire Naturelle, volées sans grande difficulté, ou de cette porcelaine rare de Limoges dérobée par quelques opportunistes bien informés…

Au moins ces vols ont-ils fait l’objet d’une petite indignation locale ou quelques froncements de sourcils dans l’une ou l’autre administration culturello-patrimoniale, pendant que des lieux de cultes dans tout le pays se font régulièrement piller ou incendier dans l’indifférence générale.

Le cambriolage du Louvre a sans doute permis de ramener quelques Français à la réalité catastrophique d’un pays en plein délitement.


Afin d’atténuer l’aspect ridicule – par sa simplicité – de l’opération, il a rapidement été rebaptisé en « braquage » par une presse toujours plus nulle, histoire de faire croire que des violences auraient été utiles, alors que le gruyère sécuritaire n’en nécessitait aucune.

Tout pointe sur des responsabilités écrasantes de la direction, qui connaissait les failles de sécurité, béantes. Des complicités en interne sont absolument évidentes, mais rassurez-vous, la presse ne l’évoquera qu’une fois poussée dans ses retranchements.

En réalité, ce qui s’est passé au Louvre n’est qu’une énième avanie qui nous est infligée depuis que Macron est arrivé au pouvoir, et la suite logique de la déliquescence complète du pays depuis plus d’un demi-siècle, avec une accélération massive ces vingt dernières années, l’épopée macronienne semblant marquer un véritable point d’orgue dans la désinvolture des autorités, des personnels et des Français eux-mêmes face aux événements.

Le délitement est partout, palpable, visible d’un bout à l’autre du pays. Il a même une odeur, mélange peu subtil d’urine chaude, de bière renversée et de chichon, de merguez syndicaliste grillée à point, de grenade lacrymogène, celle des pneus cramés dans des rodéos sauvages et celle de la poudre d’un mortier de feu d’artifice… Une odeur difficile à cacher.

Et dans ce délitement, tout est touché : administrations de plus en plus approximatives, agents qui n’ont plus ni le goût ni l’envie de servir un public qu’ils détestent, méprisent ou ignorent de plus en plus ouvertement, institutions autocentrées et bien décidées à lutter pour leur propre survie au détriment de tout bénéfice public, rien n’y échappe.

Le délitement du personnel politique est maintenant si profond que plus personne ne s’offusque de voir la réaction parfaitement décalée de la Ministre de la Culture, pourtant directement concernée, oscillant sans broncher entre qualifier le cambriolage de « nouvelle forme de criminalité » et la découverte niaiseuse que les musées puissent représenter des cibles.


Le délitement des institutions est tel que le niveau d’exigence pour les gardiens de ce musée leur permet de recevoir des louanges pour leur action efficace et déterminante : grâce à eux, les cambrioleurs n’ont pas paniqué ce qui aurait risqué de les faire tomber de leur échelle, et les accidents du travail ne sont pas couvert dans cette profession.

Gageons que ce délitement permettra avec la même décontraction à Dominique Buffin, la pointure à la tête de la sécurité du Musée, d’être aussi récompensée voire promue après un tel fait d’arme.

Délitement qu’on peut lire, ligne à ligne, dans le communiqué de presse relatif au drame, communiqué complètement approximatif dans sa typographie, son orthographe et sa syntaxe. La relecture ? C’est un truc du passé, pour des générations soigneuses, conscientes de l’importance d’un travail bien fait. Plus de ça chez nous, voyons !

C’est aussi le délitement qui permet à des institutions comme la Cour des Comptes à la fois de connaître parfaitement l’étendue des dégâts, pour avoir même fait un rapport circonstancié des failles de sécurité du Louvre, et à la fois de ne faire paraître ce rapport qu’une fois les faits accomplis : comme pour d’autres failles, comme pour d’autres déroutes, tout le monde savait, les documents étaient tous là, bien collationnés, mais ils n’auront servi à rien.


Le problème de ce délitement est qu’il touche maintenant à l’essentiel, au plus important : le culturel.

Une société qui se fout de ses racines, de sa culture, de son patrimoine, c’est une société qui a renoncé à exister.

La vente du tableau « Le Désespéré » de Courbet au Qatar illustre très bien cette tendance. L’appel au don, un classique pour certains hôpitaux, touche maintenant des châteaux aussi emblématiques que celui de Chambord qui se délite faute de soins.

Dans le même temps, les Français se saignent de 4 milliards d’euros pour supporter les médias d’État, les reportages bidonnés d’Elise Lucet, la propagande niaise de Léa Salamé ou « l’humour » insultant des chroniqueurs de France Inter. Chambord attendra ses réparations et le Louvre pourra oublier sa sécurité.

Dans le même temps, les députés se bousculent en débats parlementaires pour savoir par quel angle le fisc devra tabasser les contribuables, quelles nouvelles taxes inventer, quel impôt augmenter sans que soient jamais remis en cause le niveau pourrissime des services publics offerts en contrepartie.

Il faut se rendre à l’évidence : ce qui s’est passé au Louvre n’est pas un cambriolage. C’était un exercice artistique de démonstration par l’exemple du délitement complet d’un pays qui se tiers-mondise à grande vitesse, géré par des abrutis et des jeanfoutres.

Ce pays est foutu.


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