Translate

11 juin 2025

Abbaye de Marbach

Orchestre de Chambre d'Alsace
La Follia / Marc Kennel

Dimanche 29 juin 2025 à 17h


Avec la participation d'Ariane Wohlhuter, soprano

• Concerto BWV 1056 pour piano, J.S. Bach
• Motet de Vivaldi
• Suite Holberg de Grieg
• Danses roumaines de Bartok
• Les chemins de l'amour de Poulenc

Accueil à partir de 16h15


Présentation de l'orchestre de chambre
LA FOLLIA

Cliquer sur l'image ↴
Yves Hemedinger
11/6/2025

Voilà la réalité concernant deux sujets qui seront à l’ordre du jour de la visite ministérielle de ce jeudi, et qui sont dans les cartons depuis longtemps.
Et bien sûr, rien de plus normal qu’un maire inaugure ce que l’équipe précédente a lancé.
Mais ce qui est encore plus élégant, c’est de le faire comme si tout venait de soi, sans jamais citer les prédécesseurs.
Et sans les inviter…!
L’art de cueillir les lauriers… sans avoir planté la graine.


10 juin 2025

[POLITIQUE / SUJETS DE SOCIÉTÉ]

H16
9/6/2025

Surprise : le gouvernement entend faire – enfin ! – des économies ! La surprise est de taille mais rassurez-vous : lorsqu’on épluche la méthode employée, on comprend l’ampleur de la fumisterie.

Tout commence avec le constat de fraudes plus ou moins massives dans l’usage de MaPrimRénov’, cette magnifique usine à gaz bureaucratique mise en place par le gouvernement pour notamment permettre aux particuliers d’améliorer l’isolation de leur logement et, prétendument, d’économiser sur leur facture énergétique.

Des fraudes dans ce truc ?! La surprise est modérée.


Après étude, il s’avère que plus d’un dossier sur dix déposé pour bénéficier des aides gouvernementales à la rénovation de son logement est frauduleux : ainsi, en 2024, l’agence en charge de cette prime a découvert 44 000 dossiers frauduleux, avec des usurpations d’identités ou des devis outrageusement gonflés, pour un montant total de fraudes de l’ordre de 230 millions d’euros.

Devant ce montant de fraude et, plus sûrement, devant le montant total de l’aide accordée tous les ans (MaPrimeRénov’ coûte 3,6 milliards d’euros aux finances publiques en 2025), il n’a donc pas fallu longtemps aux fines lames de l’actuel gouvernement pour décider qu’il serait bon de la suspendre : mercredi dernier, Lombard, l’actuel factotum en charge des ruines économiques françaises, a ainsi confirmé la suspension du dispositif, expliquant qu’il y avait à la fois « un encombrement en ce moment et un excès des fraudes » tout en rassurant bien sûr les Français que cette suspension (et cette économie sur les finances exsangues du pays) était parfaitement temporaire, car « une fois que cela sera réglé, la gabegie le processus pourra continuer » probablement d’ici à la fin de l’année.


Décidément, dans ce pays, quand il ne s’agit pas de faire quelque chose d’utile et de pratique, tout est réglé comme du papier à musique et c’est donc sans surprise que cette suspension a immédiatement déclenché (entre autres) la grogne de la Fédération Française du Bâtiment : quoi, faire des économies, ne plus ponctionner le contribuable pour distribuer son argent afin d’arroser des particuliers spécifiques ?! Vous n’y pensez pas, « c’est totalement insupportable et incompréhensible » comme l’a exprimé avec virulence Olivier Salleron, président de la Fédération française du bâtiment.

Et si l’on peut comprendre un des aspects de son courroux (le fait que le dispositif d’aide, mis en place il y a cinq ans, change de formule tous les six mois, illustrant parfaitement l’insécurité juridique permanente dans laquelle évolue le Français moyen), on reste tout de même interdit devant cette levée de boucliers destinée à empêcher la moindre remise à plat d’un système qui provoque pourtant 12% de fraudes.

On ne s’étonnera pas, en revanche, de voir que les grognements du Salleron ont été assortis de menaces même pas voilées d’actions physiques à base de gros camions qui bloqueraient la capitale si, d’aventure, le robinet à pognon des autres n’était pas durablement rouvert.

Bien sûr, l’absence de surprise continue encore un peu puisque, devant cette grogne et les menaces accompagnantes, le ministricule de l’Économie s’est tout de même fendu d’une remarque destinée aux grogneurs : « Il ne s’agit pas de faire une économie en cachette comme ça, en bloquant le système » permettant d’assurer tout le monde que cette suspension est bien temporaire, foulala, ne vous énervez pas, rangez vos gros camions, du calme.


Avec ces menaces et ces grognements, l’illustration est parfaite de la corruption des esprits qu’entraîne immanquablement l’intervention de l’État dans un marché au départ libre : de réglementations en lois, de distorsions de marché en obligations et contraintes de plus en plus lourdes et asymétriques, petit à petit le marché immobilier est devenu un marais puant de magouilles, de chausse-trappes et de mauvaises décisions, dont la fluidité se réduit tant que ce marché ressemble à présent à une mélasse très épaisse.

Pire : on fait même tout pour inciter les gens à tenter d’accéder à la propriété avec une décontraction quasiment criminelle et ce même lorsque le parcours devient de plus en plus risqué, l’endettement de plus en plus élevé et la probabilité de perdre du temps et de l’argent (beaucoup) devient de plus en plus forte.

Au passage, faut-il rappeler que la démographie française est en effet défavorable à l’immobilier sur le moyen terme, le nombre de biens sur le marché devant mécaniquement augmenter à mesure que la génération la plus nombreuse (celle des boomers) arrive en fin de vie ?

Cet intéressant (et très peu surprenant) ballet entre ceux qui ponctionnent et distribuent d’un côté, ceux qui touchent les subventions et qui en vivent de l’autre, et l’absolue disparition de toute mention du contribuable (celui qui paie tout ce monde pendant ce temps) se déroule dans une chorégraphie bien connue, alors qu’il serait en réalité beaucoup plus simple de supprimer le DPE, premier facteur d’aggravation de l’ensemble du secteur immobilier, et raison pour laquelle les travaux de rénovations sont devenus subitement si importants dans le parc immobilier français.

Mais halte là, petit inconscient ! Il est hors de question d’admettre s’être trompé, il est hors de question d’admettre que les opposants au DPE avaient raison !


Certes, ils avaient pourtant amplement prévu que cette nouvelle réglementation ne pourrait qu’entraîner une hausse stratosphérique des retraits de biens à la location et à la vente, sans générer de croissance en face, ce qui se traduirait par un accroissement des tensions sur le marché de l’immobilier, un renchérissement des biens (tant à la vente qu’à la location) et favoriserait l’émergence de faux DPE, de petits arrangements et de grosses magouilles à la performance gonflée.

Mais peu importe : tout se déroule exactement comme prévu, c’est-à-dire fort mal et le gouvernement, mené par des ânes bâtés à l’ego insurmontable, refusera simplement de reconnaître l’énorme erreur que furent ses décisions dans le domaine depuis des années, à commencer par le DPE jusqu’aux primes de rénovations et autres dispositifs complexes pour compenser les contraintes débiles que ce DPE crée de toute pièce.

Comme l’expliquait un précédent billeton continuera donc sur la même lancée : personne ne veut voir les problèmes tant l’application d’une solution signifie remettre en cause une niche, une subvention, un avantage, une tubulure législative ou fiscale chromée reliant l’une des poches de Nicolas de la classe moyenne qui paye à tous les autres qui en profitent.

Tout le monde sait que le pays est en faillite, mais personne n’est prêt à faire l’effort d’une remise à plat des systèmes délirants de la bureaucratie française maintenant poussée dans sa folie la plus totale.

Ce pays est foutu.


[⇨ Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici : liberteresistance.fr]

9 juin 2025

Nathalie Aubert
7/6/2025

C’est avec une grande fierté, mais aussi avec un profond sens des responsabilités que je vous annonce ma candidature comme tête de liste aux élections municipales de Colmar.
Unis pour Colmar, avec mon équipe, nous avons un projet rassembleur qui remettra le Colmarien au centre de nos préoccupations.
Commerces, tourisme, sécurité, citoyenneté, environnement, sport et bien-être, nos aînés, ou encore le bien-être animal et bien d’autres thématiques, sont les dossiers que nous travaillons et sur lesquels nous ferons bientôt des propositions concrètes.
L’union des droites est devenue une réalité.
J’invite les Colmariens qui souhaitent nous rejoindre dans cette belle aventure, à nous contacter par mail à : circo1rn@gmail.com
Ensemble nous pourrons changer les choses, Colmar mérite une alternance, vous le méritez !

Guy Ritzenthaler

La girouette de la gare de Colmar

Eric Vial

-7/6/2025- Une nouvelle étoile sous la neutralité de l’actualité dans la France de juin 1942.
C’était hier. Tout avait l’air normal. Pas d’émotion. Pas de de condamnation.
La presse relatait les déclarations du gouvernement Laval sur « l’œuvre gigantesque qui s’accomplit en Europe », évoquait une bagarre fomentée devant un magasin d’alimentation et rappelait l’obligation de porter une étoile.
Se conformer à la règle, sans jamais collectivement s’indigner. Sommes-nous encore comme cela aujourd’hui ?

Michel Spitz

POUR UN COUP D’ESSAI, C’EST UN COUP DE MAÎTRE !

Les premières « Rencontres théâtrales de Colmar », organisées par la jeune troupe « Les Bredele & Co » présentent sur trois jours un riche programme de représentations portées par des ensembles amateurs. Aujourd’hui, une passionnante conférence « Désirs de théâtre » regroupant des témoignages d’artistes et de professionnels du théâtre, a ouvert la voie.
Puis, deux pièces, sont présentées :

« Ma ville à l’heure nazie » mise en scène et incarnée par Nicolas Schreiner, à partir du journal de Marie Joseph Bopp, pose son émouvant témoignage sur la vie dans la ville de Colmar annexée à partir de 1940.

« Le Prénom », pièce d’Alexandre de La Patelière et Matthieu Delaporte, sous la direction d’Emilie Wiest, une pièce piquante et pleine de rebondissements qui campe un diner rêvé d’empoignades…et donnée par la jeune et prometteuse troupe « Les Bredele & Co ».

Photographies ©Michel Spitz



8 juin 2025

Loïc Jaegert-Huber
7/6/2025

Colmar, ville sûre, apaisée et respectueuse

La sécurité et le cadre de vie sont les fondements d'une ville où il fait bon vivre. À Colmar, nous devons garantir à chaque habitant, dans chaque quartier, une tranquillité quotidienne, une propreté exemplaire et un environnement accueillant. Cela nécessite une approche équilibrée, alliant fermeté et humanité, prévention et répression, innovation et tradition.

1. Une présence renforcée sur le terrain

La sécurité commence par une présence visible et dissuasive. Nous augmenterons les effectifs de la police municipale, actuellement en charge de missions variées telles que la surveillance des marchés et la gestion des stationnements, et élargirons leurs horaires, notamment en soirée et les week-ends. La collaboration avec la police nationale sera intensifiée pour une action coordonnée et efficace.
Nous créerons également un poste de police municipale décentré dans le quartier Ouest, pour garantir une meilleure réactivité locale et renforcer la proximité dans les zones aujourd’hui moins couvertes.

2. Des outils modernes pour une sécurité accrue

Nous déploierons peu à peu un réseau de vidéoprotection intelligent, respectueux des libertés individuelles, pour prévenir les actes délictueux et faciliter les enquêtes. Nous testerons également, dans certains secteurs comme la Petite Venise ou la Place Jeanne d’Arc, des bornes d’alerte piétonnes, permettant de déclencher une alerte directe vers le CSU (Centre de Supervision Urbaine) en cas d’agression ou de malaise. Ce système sera complété par une application mobile citoyenne permettant de signaler incivilités ou dysfonctionnements en temps réel, avec suivi transparent des actions engagées.

3. Une médiation proactive pour désamorcer les tensions

La médiation est un outil précieux pour prévenir les conflits et restaurer le dialogue. Nous renforcerons les dispositifs existants, en partenariat avec des structures telles qu'Alsace Médiation, pour intervenir rapidement et efficacement dans les situations de tension. Ce travail de proximité, notamment dans les quartiers prioritaires, sera étendu à de nouveaux partenariats, incluant également des médiateurs formés issus des quartiers eux-mêmes.

4. Un cadre de vie propre et entretenu

La propreté urbaine est essentielle pour le bien-être des habitants. Le service propreté de la ville, en alerte dès 5h30 le matin, assure l'enlèvement des ordures ménagères deux fois par semaine. Nous expérimenterons des brigades de propreté de quartier, composées d’agents référents affectés à une zone, facilement identifiables, et en lien direct avec les habitants via les conseils de quartier. Chaque Colmarien saura « qui appeler » en cas de problème localisé.

5. Une ville accessible et inclusive

Chaque Colmarien doit pouvoir se déplacer librement et en sécurité. Nous poursuivrons l'aménagement des trottoirs, des passages piétons et des pistes cyclables, en veillant à leur accessibilité pour les personnes à mobilité réduite. Des projets tels que l’aménagement de la piste cyclable bidirectionnelle sur l’avenue de Colmar seront multipliés. Nous porterons également une attention particulière à l’usage abusif de certains trottoirs par des stationnements anarchiques qui bloquent le passage.

6. Des espaces publics conviviaux et sécurisés

Les places, parcs et jardins doivent être des lieux de vie agréables et sûrs. Nous améliorerons leur éclairage, leur aménagement et leur surveillance, pour qu'ils soient accueillants à toute heure. Nous transformerons certaines friches ou zones peu valorisées en espaces d’urbanisme temporaire : mini-terrains de sport, aires de détente modulables, œuvres artistiques collaboratives. Ce type de “micro-investissements rapides” redonne vie à des lieux délaissés et renforce le sentiment de sécurité.

7. Une attention particulière aux quartiers

Des initiatives telles que le Conseil d'initiative citoyenne, installé en 2021, contribuent déjà à l'amélioration du cadre de vie des habitants, mais chaque quartier a ses spécificités et ses besoins. Nous mettrons donc en place des conseils de quartier renforcés, avec un budget participatif fléché “cadre de vie et sécurité”, pour une écoute active et une réponse concrète. Les habitants y voteront des projets locaux (éclairage, mobilier urbain…). Les écoles du quartier y seront systématiquement associées.
Nous organiserons aussi, au-delà des traditionnelles Journées citoyennes, des Ateliers citoyens de quartier réguliers, permettant à chacun de contribuer activement à l’amélioration de son environnement.
Enfin, pour sortir d’une logique uniquement punitive, nous étudierons la création d’un “Indice de tranquillité” par quartier, publié chaque trimestre. Il mettra en lumière à la fois les incivilités constatées et les efforts positifs du quartier, pour valoriser les dynamiques vertueuses, et pas seulement pointer ce qui dysfonctionne.

8. Une prévention ciblée pour les jeunes

La jeunesse est une richesse pour notre ville. Nous développerons des programmes de prévention et d'accompagnement pour les jeunes en difficulté, en collaboration avec des structures telles que le Pôle Adolescence de l'association Résonance. Nous lancerons aussi un service municipal de parrainage éducatif : des bénévoles formés accompagneront individuellement des jeunes repérés comme “à la croisée des chemins”. Ce mentorat citoyen complétera le travail des éducateurs spécialisés et contribuera à prévenir les ruptures de parcours.

9. Une gestion rigoureuse des incivilités

Les incivilités nuisent au vivre-ensemble. Nous appliquerons une politique de tolérance zéro envers les comportements irrespectueux, avec des sanctions adaptées et une sensibilisation continue. Des dispositifs tels que la vidéo-verbalisation, en fonction depuis 2021, permettent déjà de sanctionner certaines infractions à distance. Nous testerons aussi l’idée d’une “école des incivilités”, destinée aux contrevenants récidivistes, avec obligation de suivre un atelier encadré par des médiateurs et des habitants victimes de ces incivilités.

10. Une transparence totale sur les actions menées

La confiance des citoyens passe par l'information. Nous publierons régulièrement des bilans lisibles et accessibles, rue par rue, sur les actions de sécurité et d’amélioration du cadre de vie. Un baromètre annuel de la tranquillité publique, participatif, permettra à chacun d’exprimer son ressenti et de guider les futures actions.

11. Une politique de la ville réinventée, au service de la cohésion

Colmar compte plusieurs quartiers relevant de la Politique de la Ville. Ils concentrent des fragilités mais aussi une formidable énergie citoyenne, associative, éducative. Trop souvent, les politiques publiques y sont cloisonnées, technocratiques ou mal articulées. Nous voulons changer cela.

Nous impulserons une nouvelle dynamique de “quartiers-pilotes”, co-construite avec les habitants, les associations de terrain, les établissements scolaires, les bailleurs sociaux et les acteurs économiques. L’objectif : faire de ces quartiers des lieux d’expérimentation sociale, culturelle et économique.

Concrètement :

- un contrat de quartier sera établi tous les 3 ans, avec des engagements mutuels clairs et évalués ;

- une maison de projet ouverte à tous sera installée dans chaque quartier prioritaire, pour concentrer les efforts (médiation, emploi, santé, logement, parentalité, culture, sport…) ;

- une attention particulière sera portée à la qualité de l’habitat, au cadre paysager et aux transitions énergétiques, notamment dans les rénovations ANRU ;

- enfin, nous soutiendrons activement les initiatives locales d’insertion (ateliers de réparation, jardins partagés, friperies solidaires…) pour faire émerger des talents et recréer du lien.

Colmar mérite une politique de sécurité et de cadre de vie ambitieuse, réaliste et respectueuse de chacun.
En combinant présence sur le terrain, innovation, écoute et fermeté, nous construirons ensemble une ville apaisée et fière d’elle-même, une ville sûre, une ville humaine, une ville qui respire.

Jean Linnhoff
7/6/2025

Super projet réalisé récemment au collège Les Ménétriers à Ribeauvillé lors d'un atelier fresque avec plusieurs groupes d'élèves... dont ma fille Alice ! Un grand merci à Marie-Eva Sivadier, prof d'arts plastiques, qui a fait un travail de dingue en amont de la fresque avec les élèves, à Noëlle Hirn et Nad Choppe pour l'organisation, la bonne humeur et l'investissement de la section Ulis dans cette aventure.




7 juin 2025

Michel Spitz

« Vous pouvez très bien vivre sans art, mais vous vivez beaucoup moins bien ! »
Jean D’ORMESSON

La traditionnelle exposition de fin d'année de l'École d’Arts Plastiques de la Ville de Colmar est l’occasion de fêter le 50e anniversaire de l’École.

Un grand merci artistes-enseignants, aux encadrants à la logistique, aux élèves, mais aussi, plus largement, à toutes et tous qui contribuez activement à l’expansion et au développement des pratiques et de la diffusion de l’art contemporain dans notre ville.

L’exposition apporte une vision du monde, à la fois sensible et stimulante. Son titre : « poursuite » met en avant un thème fort et évocateur de quête, de mouvement, de transformation. Elle réunit une pluralité de regards, de disciplines et d’expressions plastiques dans un dialogue ouvert avec les publics à travers différents types de productions : des peintures, des sculptures, des photos, des dessins, ou des vidéos…
 
Nous vous attendons tous à l'Espace d'Art Contemporain André Malraux, 4 rue Rapp à Colmar !

Photographies Edouard Dabrowski