Gilbert Meyer a l'habitude de mélanger allègrement information, communication et propagande. Suite à son autocongratulation à propos du parking de la Montagne verte, Tristan Denéchaud lui rappelle qu'en période préélectorale, la communication est encadrée afin d'éviter toute propagande électorale en faveur des élus sortants candidats.
https://www.amf.asso.fr/documents-la-communication-en-periode-preelectorale/39421?fbclid=IwAR1uJxsLBCEmkLRMtG1VZGvo-f3Mv1tppkVB2buHIs1HyGoHLKVK0MNTwH0
À bon entendeur...
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3 décembre 2019
27 novembre 2019
Edouard Dabrowski
LA MÉTHODE MEYER (SUITE)
LA MÉTHODE MEYER (SUITE)
La liste est longue de ceux qui se sont vus infliger un blâme par le maire, simplement parce qu'ils ont exprimé un désaccord. Qu'ils soient Gilets jaunes, commerçants, citoyens lambda ou maire de Caudebèc-les-Elbeuf et président de Rouen Tourisme en visite à Colmar. Ce dernier a reçu une lettre incendiaire signée Meyer parce qu'il a manifesté son étonnement de voir autant de voitures en centre-ville...
Mais envoyer une lettre de réprimande aux contestataires ne suffit pas à notre guide suprême ; il veut les humilier publiquement ; ainsi, pense-t-il, ils serviront d'exemples dissuasifs au bon peuple. Avis aux rebelles, ils n'auront pas le dernier mot ! Il a donc pris la détestable habitude de publier sur sa page Facebook les courriers - privés - envoyés aux uns et aux autres, en laissant apparents le nom et l'adresse des cloués au pilori. Il ne le fait plus. Ses conseillers ont dû le rendre attentif à ce qu'il risquait si quelqu'un s'avisait de porter plainte à la CNIL, déjà qu'un procès pour harcèlement moral lui pend au nez.
À présent il s'attaque, sans le nommer, au candidat à la succession d'Arlette Steyer à la tête de la Maîtrise de Garçons, Benoît Haller, qui a préféré décliner la proposition du maire, trop éloignée des termes de l'offre d'emploi publiée. Et s'en est expliqué. Ce qui n'a évidemment pas plu à notre autocrate qui du coup, dans la lettre envoyée au Comité de l'Association des Parents d'Élèves Maîtrisiens, le traite de « personne à l'ego surdimensionné (c'est l'hôpital qui se fout de la charité !), aux exigences démesurées, prête in fine, dans son seul intérêt personnel, à détruire la réputation d'un ensemble construit patiemment depuis 30 ans ». Bigre.
Une réunion avec les parents d'élèves devait avoir lieu lundi dernier au PMC. « Ce qu'on en attend, dit l'un deux, c'est qu'on y réponde à la question : quel est le budget annuel sous forme d'émoluments à la direction artistique que M. Meyer est prêt à consentir pour celui ou celle qui - comme nous l'assure Mme l'adjointe depuis le printemps - maintiendra l’excellence au sein d’une structure culturelle qui, quand les autres institutions colmariennes dépérissaient sous la direction Meyer, a voulu, et pu garder le cap et l’HONNEUR. »
Notre pharaon ne s'arrête pas en si bon chemin. Il s'en prend également à la journaliste qui couvre depuis le début l'affaire du Conservatoire et donc maintenant celle de la Maîtrise : « Chacun jugera également la qualité de la couverture médiatique donnée à notre Maîtrise par une journaliste dont j'avais déjà malheureusement déploré le peu d'objectivité. »
Sont-ce les méfaits de la vieillesse ? Gilbert Meyer semble confondre la presse quotidienne régionale avec la gazette municipale.
Bernard FRIEDRICH
"Le ROUGE à l'honneur pour le coup d'envoi des illuminations sur les Champs-Elysées". J'en connais un qui doit être "vert" de rage en voyant la capitale désavouer avec faste ses déclarations et colères passées, définissant pour le "bon peuple" les couleurs de Noël. Il s'agit de ce "bon maire" de Colmar... qui, par mesure de rétorsion, ne va pas manquer d'espacer, voire de supprimer en cette fin d'année ses séjours nostalgiques à Paris !
[Pour ceux qui auraient raté un épisode : les décors de Noël 2017 comprenaient des sapins peints en rouge. Gilbert Meyer les a fait retirer parce que selon lui cette couleur ne correspondrait pas "à l'esprit de Noël".]
"Le ROUGE à l'honneur pour le coup d'envoi des illuminations sur les Champs-Elysées". J'en connais un qui doit être "vert" de rage en voyant la capitale désavouer avec faste ses déclarations et colères passées, définissant pour le "bon peuple" les couleurs de Noël. Il s'agit de ce "bon maire" de Colmar... qui, par mesure de rétorsion, ne va pas manquer d'espacer, voire de supprimer en cette fin d'année ses séjours nostalgiques à Paris !
[Pour ceux qui auraient raté un épisode : les décors de Noël 2017 comprenaient des sapins peints en rouge. Gilbert Meyer les a fait retirer parce que selon lui cette couleur ne correspondrait pas "à l'esprit de Noël".]
26 novembre 2019
[Strasbourg] « Vivement que ça se termine ! », quand des locaux en ont déjà marre du marché de Noël
https://www.20minutes.fr/strasbourg/2659755-20191125-strasbourg-vivement-ca-termine-quand-locaux-deja-marre-marche-noel
| Contrôles à l'entrée du centre ville de Strasbourg, le 23 novembre 2019 G. Varela / 20 Minutes |
https://www.20minutes.fr/strasbourg/2659755-20191125-strasbourg-vivement-ca-termine-quand-locaux-deja-marre-marche-noel
25 novembre 2019
Stationnement
Isabelle Kieffer
Il y a de quoi s’énerver : une adjointe qui ne fait pas la différence entre stationnement occasionnel au hasard de déplacements en ville et stationnement résidentiel près du domicile.
Dispose-t-elle d’un garage privé en plus de la carte qui accorde deux heures gratuites, non fractionnables, aux habitants de l’hyper-centre ?
Peut-elle adapter ses horaires : 9h-17h pile-poil ? Pas le dimanche, c’est vrai.
Comme cette élue est loin du vécu de beaucoup de Colmariens, malgré ses smileys et avec son petit ton condescendant.
Qui est de mauvaise foi ?
Quelles alternatives vivables quotidiennement, financièrement, au parking ou au macaron ?
Pendant les années où j’ai résidé en plein centre (je payais fort cher une place au parking Saint-Josse) cette carte ne m’était guère utile : tout ou presque était accessible à pied.
Maintenant que j’habite plus loin et ai souvent besoin de la voiture, je jongle avec la demi-heure octroyée, ses prolongations possibles et la zone bleue.
Encore une fois, chaque Colmarien, où qu’il habite, devrait avoir droit au même temps gratuit et oui, mille fois oui, le prix de l’abonnement résident dans les parkings est exorbitant et scandaleux.
On s’en souviendra au moment de voter.
Et on attend les propositions des candidats à ce sujet.
Qualité de l'air à Colmar
Benoît LEGRAND
Alors que vient de se terminer la semaine européenne de réduction des déchets, un texte très instructif sur l'incinérateur de déchets de Colmar est paru dans Rue 89 :
Alors que vient de se terminer la semaine européenne de réduction des déchets, un texte très instructif sur l'incinérateur de déchets de Colmar est paru dans Rue 89 :
(https://www.rue89strasbourg.com/usines-incineration-masquer…).
Nous y apprenons, pour résumer rapidement, que :
1/ Des substances polluantes sont émises de temps en temps par la combustion de déchets non autorisés ;
2/ Le contrôle de ces émissions polluantes est réalisé par l'entreprise responsable elle-même, avec des outils imprécis ;
3/ Les résultats faussés de ces contrôles permettent d'éviter de devoir investir dans la mise aux normes des installations.
C'est inquiétant pour la qualité de l'air à Colmar, ça l'est aussi concernant l'orientation prise par la société depuis quelques décennies. La logique de consommation effrénée produit énormément de déchets sans que de bonnes solutions pour les traiter aient été trouvées.
D'autres événements ont marqué l'actualité récemment, la manifestation pour le déstockage des déchets à Stocamine, organisée par un collectif très large de personnes concernées, ainsi que l'intention du maire de Wintzenheim de dépolluer du lindane des sols de la commune. Afin d'éviter la pollution de la nappe phréatique.
Les déchets les moins polluants sont ceux qu'on ne produit pas !
[Illustration : Frank Ramspott]
Nous y apprenons, pour résumer rapidement, que :
1/ Des substances polluantes sont émises de temps en temps par la combustion de déchets non autorisés ;
2/ Le contrôle de ces émissions polluantes est réalisé par l'entreprise responsable elle-même, avec des outils imprécis ;
3/ Les résultats faussés de ces contrôles permettent d'éviter de devoir investir dans la mise aux normes des installations.
C'est inquiétant pour la qualité de l'air à Colmar, ça l'est aussi concernant l'orientation prise par la société depuis quelques décennies. La logique de consommation effrénée produit énormément de déchets sans que de bonnes solutions pour les traiter aient été trouvées.
D'autres événements ont marqué l'actualité récemment, la manifestation pour le déstockage des déchets à Stocamine, organisée par un collectif très large de personnes concernées, ainsi que l'intention du maire de Wintzenheim de dépolluer du lindane des sols de la commune. Afin d'éviter la pollution de la nappe phréatique.
Les déchets les moins polluants sont ceux qu'on ne produit pas !
[Illustration : Frank Ramspott]
24 novembre 2019
Stationnement résident
Dans la dernière publication de CI concernant les tarifs du parking de la Montagne Verte, il était question du coût de l'abonnement pour les RÉSIDENTS du centre-ville qui n'ont pas de garage.
Pour le stationnement dans ce parking, l'abonnement à l'année, 24/24, reviendra à :
- 1.053,60 € pour le résident colmarien ;
- 300 € pour le résident strasbourgeois
Pour le stationnement dans ce parking, l'abonnement à l'année, 24/24, reviendra à :
- 1.053,60 € pour le résident colmarien ;
- 300 € pour le résident strasbourgeois
https://www.strasbourg.eu/stationnement-residant
Concernant les autres tarifs, nous avons établi un comparatif des villes moyennes, documents à l'appui. Nous en ferons état le moment venu.
[Quand, dans sa réponse à LJH, Cécile Striebig écrit « l'écart entre les tarifs colmariens et strasbourgeois est énorme !! Ça saute aux yeux », il est question de tarifs de stationnement qui n'ont RIEN À VOIR avec le stationnement résidentiel, objet de notre post. Complètement hors sujet, donc.]
Isabelle Kieffer
Sic transit…
Esprit de Noël, es-tu encore là ?
Pas vraiment, si l’on en croit les images (et le son) de l’ouverture des marchés de Noël à Strasbourg.
État de siège, on comprend, on subit de plein ou mauvais gré.
Mais que vient faire là une chanteuse à voix de crécelle, « Lorraine à la base » (sic) certes, qui hurle « libérée, délivrée » ? Qu’est ce que ça à voir avec Noël ? Si les autorités souhaitaient éviter toute référence au religieux, « Mon beau sapin » chanté par une chorale aurait été approprié.
Esprit de Noël : mais non, show-business hélas.
22 novembre 2019
Parking de la Montagne Verte : stationnement résident
Le fdg de Gilbert Meyer continue. À Strasbourg, ville pourtant plus grande que Colmar, un résident de l'hypercentre peut garer sa voiture dans un parking couvert pour 300 euros par an. À Colmar, vous êtes assis ? il déboursera 1.053,60 euros par an, au parking de la Montagne Verte. Soit une différence de 753,60 euros.
Vraiment un excellent gestionnaire, ce Chwouldy.
https://www.strasbourg.eu/stationnement-residant
Parking de la Montagne Verte : stationnement résident
Le foutage de g... de Gilbert Meyer continue. À Strasbourg, ville pourtant plus grande que Colmar, un résident de l'hypercentre peut garer sa voiture dans un parking en ouvrage pour 300 euros par an. À Colmar, vous êtes assis ? il déboursera 1.053,60 euros par an, au parking de la Montagne Verte. Soit une différence de 753,60 euros.
Vraiment un excellent gestionnaire, ce Chwouldi.
https://www.strasbourg.eu/stationnement-residant

Crise à la Maîtrise de Garçons de Colmar
Edouard Dabrowski
Culture : Meyer continue à faire des siennes
Culture : Meyer continue à faire des siennes
La Culture n'a jamais été la tasse de thé de Gilbert Meyer, cela se confirme une fois de plus. Après la gestion calamiteuse de l'affaire du Conservatoire, le voilà qui déclenche une nouvelle crise, à la Maîtrise de Garçons de Colmar cette fois. Arlette Steyer, la flamboyante directrice et fondatrice de cette manécanterie qu'elle a portée au plus haut niveau, doit être désespérée. Partie à la retraite, elle avait été remplacée un temps par Luciano Bibiloni. Après le départ précipité de ce dernier, Benoît Haller, fondateur de la Chapelle Rhénane rassemblant des musiciens français et allemands, régulièrement invité à se produire sur scène dans des opéras en tant que chanteur, a été pressenti pour prendre la suite.
Mais voilà, il y a Meyer et Meyer préfère la culture des chiffres à la culture musicale. Oui, monsieur, la culture a un coût, quand on vise l'excellence, elle ne peut s’accommoder d'économies d'épicier. Notre "excellent gestionnaire" a trop pris l'habitude de raboter les crédits de façon arbitraire afin de présenter un bilan flatteur des finances de la ville, c'est tout ce qui l'intéresse.
Dans le cas qui nous occupe, Meyer n'a pas du tout respecté les termes de l'offre d'emploi publiée en juillet dernier, transformant un temps complet de 16 heures en temps partiel de 10 heures et remplaçant le poste de directeur artistique et pédagogique par celui d'enseignant artistique, avec un salaire au plus bas.
Dans ces conditions, on ne peut que donner raison à Benoît Haller d'avoir décliné l'offre tout en le remerciant d'avoir osé rendre cet épisode public afin de dénoncer (après tant d'autres) les méthodes du vieil autocrate à la tête de la ville.
[L'article des DNA (payant) : https://c.dna.fr/edition-de-colm…/…/la-maitrise-dans-le-flou]
20 novembre 2019
Gouverner c'est prévoir
Isabelle Kieffer
On en est loin…
À lire l’intervention d’Eric Straumann, on se dit que nos édiles ont la vue courte et l’oreille sourde.
À lire l’intervention d’Eric Straumann, on se dit que nos édiles ont la vue courte et l’oreille sourde.
Le surtourisme, les marchés de Noël : plusieurs années que tant de Colmariens se plaignent de la dégradation croissante de leur vie quotidienne, des contraintes subies sans pour autant tirer un quelconque bénéfice de la manne financière invoquée.
Sauf emplois peu qualifiés et précaires, profits des boutiques, restaurants, chalets pour touristes peu regardants, loyers engrangés par les propriétaires de gîtes.
Et voilà que M. Straumann s’interroge sur la pertinence de cette exposition de marchés de Noël à New-York : il est bien temps de s’interroger ! un peu tard, le mal est fait, attendons-nous donc pour 2020 à un afflux de touristes américains. Qui logeront où ? Ils resteront quelques heures, le temps d’acheter un bretzel, un verre de vin chaud… et de faire déborder encore plus les poubelles publiques.
Il suffit de tenter de marcher dans Colmar un week-end de décembre pour constater la saturation de la ville, de ses parkings, sauf à sortir entre 7h et 10h du matin.
Mais nos élus y marchent-ils encore ?
19 novembre 2019
Extraits de l'intervention d'Eric Straumann à l'Assemblée Nationale
La volonté de conquérir les marchés émergents asiatiques correspondait à une démarche logique il y a une dizaine d’années, mais on a minoré l’importance du marché européen et du marché de proximité. En Alsace, on a tout simplement oublié les Allemands et nous avons attiré les touristes asiatiques jusqu’à souffrir d’un sur-tourisme. C’est ainsi que des touristes chinois viennent en bus par milliers à Colmar dans le seul but de voir le lieu de tournage d’une émission de téléréalité à succès…
S’agissant de la lisibilité, je suis d’accord avec vous pour dire qu’il faut l’améliorer. Il n’y a pas forcément de cohérence dans les actions menées par les départements et les régions et même à l’intérieur d’une même région. On a ainsi dépensé 1,3 million d’euros pour faire la promotion des marchés de Noël alsaciens à New-York alors même qu’ils sont déjà si fréquentés qu’il faut aller en Allemagne ou à Belfort pour trouver un hôtel au moment où ils se tiennent. Comment voulez-vous dans ces conditions accueillir de nouveaux touristes ?
Quant aux plateformes hôtelières, je ne les critique pas : elles permettent d’irriguer l’ensemble du territoire. Les hôteliers qui pratiquent des prix adaptés, plutôt à la baisse, attirent la clientèle étrangère ailleurs que sur les points les plus touristiques. En outre, ces plateformes contribuent à la qualité de l’accueil grâce à leurs systèmes de notation. Si 40 % des appréciations sont fausses, 60 % reflètent une expérience réelle et elles poussent les hôteliers à améliorer leurs prestations.
Faut-il faire évoluer la législation face à Airbnb ? Les élus locaux nous disent qu’elle serait complexe à mettre en œuvre. Certaines villes ont pris des mesures pour limiter les transformations de logements en chambres d’hôtes, mais il faut peut-être attendre un ou deux ans pour avoir suffisamment de recul et mesurer les effets de cette réglementation.
L'intégralité du rapport peut être consulté ici :
Chwouldy mérite votre confiaaaance !!!
Tel que pour un célèbre vendeur d’électro-ménager qui a su durer des dizaines d’années avec un slogan qu’il martelait sur tous les médias jusqu’à en convaincre les électeurs, pardon les acheteurs, la CONFIANCE est la base de la gouvernance de la Ville.
L’ACCOINTANCE est le deuxième pilier : à Colmar on fait surtout confiance aux gens qu’on connaît. Ça ressemble à du bon sens, mais c’est surtout l’origine d’une déviance : il y a les amis de Gilbert Meyer, qui constituent une véritable cour où chacun rivalise de DÉFÉRENCE. Il suffit de visionner le conseil municipal en séance. Mais c’est aussi un clan qui brigue faveurs et RECONNAISSANCE.
Et il y a les autres, qui ne valent même pas d’être sollicités pour se faire un avis, ou prendre une décision. Les Colmariens. On n’attend d’eux qu’une chose : OBÉISSANCE.
C’est aussi l’origine d’un second problème : c’est que l’APPARTENANCE prime sur la COMPÉTENCE, les talents fuient la ville, ou sont mis en partance : Les borgnes veulent rester rois, sus à la clairvoyance !
Mais surtout, Colmar doit rester dans l’ignorance. Et pour cela, silence ! Ou ajoutons encore une louche de MÉDISANCE.
Ça vous plaît la cour, les fausses apparences ? Moi, pas, alors maintenant on balance.
Oui, il y a des pressions sur notre presse locale, DNA et l’Alsace, pour qu’elle évite les sujets qui fâchent.
Non, Chwouldy n’est pas un bon gestionnaire : le premier capital d’une collectivité est le capital humain et celui de Colmar est véritablement en souffrance. [...]
JM
Tel que pour un célèbre vendeur d’électro-ménager qui a su durer des dizaines d’années avec un slogan qu’il martelait sur tous les médias jusqu’à en convaincre les électeurs, pardon les acheteurs, la CONFIANCE est la base de la gouvernance de la Ville.
L’ACCOINTANCE est le deuxième pilier : à Colmar on fait surtout confiance aux gens qu’on connaît. Ça ressemble à du bon sens, mais c’est surtout l’origine d’une déviance : il y a les amis de Gilbert Meyer, qui constituent une véritable cour où chacun rivalise de DÉFÉRENCE. Il suffit de visionner le conseil municipal en séance. Mais c’est aussi un clan qui brigue faveurs et RECONNAISSANCE.
Et il y a les autres, qui ne valent même pas d’être sollicités pour se faire un avis, ou prendre une décision. Les Colmariens. On n’attend d’eux qu’une chose : OBÉISSANCE.
C’est aussi l’origine d’un second problème : c’est que l’APPARTENANCE prime sur la COMPÉTENCE, les talents fuient la ville, ou sont mis en partance : Les borgnes veulent rester rois, sus à la clairvoyance !
Mais surtout, Colmar doit rester dans l’ignorance. Et pour cela, silence ! Ou ajoutons encore une louche de MÉDISANCE.
Ça vous plaît la cour, les fausses apparences ? Moi, pas, alors maintenant on balance.
Oui, il y a des pressions sur notre presse locale, DNA et l’Alsace, pour qu’elle évite les sujets qui fâchent.
Non, Chwouldy n’est pas un bon gestionnaire : le premier capital d’une collectivité est le capital humain et celui de Colmar est véritablement en souffrance. [...]
JM
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