BFM Alsace
"On n'arrive plus à absorber le surplus"
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21 novembre 2025
[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]
[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]
La croissance revient ! Zut, c’est celle des prix et des taxes !
H16
-21/11/2025- Surprise : l’État français décide, au pied levé, de moderniser l’un de ses calculs. Pas de bol : c’est celui de la taxe foncière. Encore moins de pot : cela va se traduire par une augmentation poivrée.
On apprend en effet que le ministère de ce qui reste d’Économie va mettre à jour les fichiers de logements qui ne l’ont plus été depuis 50 ans afin de tenir compte des éléments de confort, que dis-je, d’opulence luxueuse comme l’eau courante ou l’électricité, en faisant donc croître la « superficie théorique du logement » dans le calcul de la taxe foncière.
Patatras, c’était bien tenté, mais cela s’est vu, malgré la discrétion de Bercy : ce petit changement revient à augmenter d’office la taxe foncière pour 7,4 millions de logements en 2026.
La méthode est simple : à chaque « élément de confort », une superficie supplémentaire est attribuée.
Pour l’eau courante – un de ces luxes que la France ne propose qu’aux plus riches – la Direction générale des finances publiques ajoute 4 m². Vous avez le portefeuille suffisamment dodu pour disposer de l’électricité dans toutes vos pièces ? Paf, 2 m² supplémentaires.
Vous osez vous tenir propre autrement qu’avec une bassine d’eau chaude et avez poussé l’opulence jusqu’à une baignoire ? Bing, 5 m² (avec seulement 4 m² supplémentaires si vous vous contentez d’une cabine de douche, plus prolétaire). Le lavabo représente un bon 3 m² et un WC, comble du luxe, 3 m². Voilà qui vous apprendra à faire le riche au lieu d’aller faire vos besoin dans la cabane au fond du jardin, comme tout le monde.
Pour un chauffage ou un climatiseur, ce sera 2 m²… Par pièce équipée, bien sûr ! Eh oui : le confort, c’est normalement réservé aux gros bourgeois, et vous voilà gros bourgeois. Surpris ? Il ne faut pas, la France de Macron est en pleine croissance (des prix et des taxes), et vous bénéficiez donc de cette opulence jetée ostensiblement à la face du monde.
Petits calculs faits, Bercy estime la hausse moyenne de la taxe d’habitation à 63€, en dehors de toute revalorisation des taux ou des bases locatives (qui ne manqueront pas d’arriver aussi, ne vous inquiétez pas).
Mais rassurez-vous : ce n’est pas tout !
Alors que vos taxes augmentent pour les biens dont vous êtes propriétaires (lisez : que l’État vous loue généreusement), vos factures d’eau vont aussi augmenter. Et pas qu’un peu.
Le petit reportage de BFMTV nous présente la prochaine augmentation : environ 300€ pour une famille moyenne de 4 personnes, soit une robuste croissance du prix du mètre cube de 50% (oui, 50% !) en 5 ans.
Eh oui, entre deux prêts à l’Ukraine et une augmentation des dépenses pour l’accueil localisé et généreux de tout le tiers-monde environnant, il faut trouver … 500 milliards d’euros pour refaire toute la distribution d’eau dans le pays.
En effet, ce coût est expliqué de façon plus ou moins vaseuse par différentes raisons parmi lesquelles on placera – bien vite – une petite antienne religieuse sur le Réchauffement Climatique, ce dernier étant responsable des terribles sécheresses et des inondations catastrophiques (« en même temps ») qui s’abattent sur une France dans laquelle il est, on le rappelle, interdit de faire des bassines de rétention pour réguler crues et aridité, parce que c’est contraire à Gaïa.
Hormis ces âneries climatiques, la principale raison est bien sûr la réfection des canalisations d’un réseau vieillissant (c’est là que se situe le gros des 500 milliards évoqués avec décontraction).
Subitement, la France se rend donc compte qu’elle n’a pas tenu à jour ses tuyaux et ses buses depuis des lustres et entend donc remettre ça d’équerre.
On imagine sans mal la quantité phénoménale d’argent public qui aurait dû être consacré à ça et qui a été consacré à des idioties républicaines sans rapport. On imagine de même les quantités encore plus considérables d’argent public qui seront attribuées à ces réfections et qui termineront dans la poche de contractants copains/coquins avec les autorités locales, petit capitalisme de connivence débridé oblige.
Autrement dit, on sait déjà que ce qui aurait dû être fait les 30 dernières années n’a pas été fait, et que ce qui doit être fait dans les 5 prochaines ne le sera pas. Oh, il y aura bien quelques canalisations qui seront remplacées, c’est certain : mais pour 100€ de canalisations remplacées, on aura 500€ de factures, voire 1000€. Et les canalisations ne seront pourtant pas plaquées or.
En outre, on en profitera pour alourdir la note de dépollution.
Évidemment, l’eau n’est pas plus polluée. En fait, elle l’est certainement moins qu’il y a 50 ans, l’usage des pesticides et herbicides n’ayant pas cessé de diminuer en France. En revanche, les normes étant de plus en plus strictes, il faut filtrer de plus en plus finement, ce qui coûte de plus en plus cher, pour un bénéfice réel de moins en moins évident que, dans tous les cas, le consommateur final, captif, doit payer.
Au passage, il sera difficile de passer à côté des graphiques colorés propulsés par BFMTV sur le sujet : pour eux, pas de doute, la dépollution coûte si cher qu’elle justifie des prix de l’eau jusqu’à 4 fois supérieur dans le Nord français (pourtant baigné de pluies, de lacs, de nappes et de fleuves) que dans le Sud, plus aride mais moins cher. Ben oui.
Bon, on le comprend : il s’agit une nouvelle fois de camoufler le pillage étatique de la population par des explications fumeuses, que ce soit pour la taxe foncière ou pour la distribution d’eau. L’État et les collectivités locales n’ont plus un rond, et raclent tous les fonds de tiroir, de façon de plus en plus véhémente et grossière.
En 2020, Macron nous expliquait théâtreusement que « Nous sommes en guerre ».
À l’époque, on croyait naïvement que le « nous » désignait le peuple français et que la guerre se jouait contre un virus. L’histoire a depuis montré que le « nous » désignait la caste jacassante (les politiciens et les médias) et que la guerre était dirigée contre le peuple français, ces gueux qui pensent de travers, votent de travers et épargnent de travers.
Et cette guerre contre le peuple, il faut la financer. Qui de mieux que le peuple pour financer son propre appauvrissement ?
20 novembre 2025
[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]
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Georges Kuzmanovic
L’Ukraine sacrifiée sur l’autel du réalisme américain
Georges Kuzmanovic est directeur de la publication et rédacteur en chef de Fréquence Populaire. Analyste Géopolitique. Ancien officier de l'armée française. Ancien humanitaire.
L’Ukraine sacrifiée sur l’autel du réalisme américain
-20/11/2025- Les États-Unis et la Russie discutent en secret du futur de l’Ukraine. Entre avancée militaire russe, scandales à Kiev et désengagement américain, un nouvel ordre stratégique se dessine, révélant le basculement stratégique des États-Unis et l’impuissance croissante de l’Union européenne.
Alors que Kiev vacille et que Moscou impose son tempo, Washington négocie directement avec le Kremlin, laissant les Européens sans prise sur la fin possible du conflit.
Depuis le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche, les négociations entre Washington et Moscou au sujet de la guerre en Ukraine n’ont en réalité jamais cessé. Elles ont simplement avancé loin des regards, dans la continuité des premiers échanges menés en Arabie saoudite. Les brusques accès de colère du président américain, régulièrement mis en scène à propos de l’attitude jugée négative de Vladimir Poutine, ou des blocages institutionnels à Washington, relèvent davantage de la communication interne que de divergences réelles. Ils visent avant tout les opinions occidentales, les dirigeants européens et un Congrès largement va-t-en-guerre, afin de préserver la marge de manœuvre de la diplomatie américaine.
Car la réalité est tout autre : ces négociations illustrent le lent mais certain désengagement stratégique des États-Unis d’Ukraine. Washington transmet progressivement à une Union européenne dépassée – dirigée par des responsables sans vision stratégique, prisonniers de postures martiales – l’immense fardeau politique, militaire et financier du conflit. Alors que Macron, Starmer, Merz ou von der Leyen multiplient les déclarations belliqueuses, jusqu’aux propos délirants du chef d’état-major français, le général Fabien Mandon, appelant à se préparer à une guerre contre la Russie dans trois ou quatre ans et à « sacrifier nos enfants », les États-Unis, eux, se repositionnent dans un monde désormais multipolaire.
Un Zelensky fragilisé, un plan imposé
C’est dans ce contexte que s’inscrit la dernière initiative diplomatique américano-russe révélée par Axios. Le 19 novembre au soir, Kiev annonçait avoir reçu une nouvelle offre de négociation venue de Washington, mais élaborée sans même consulter les autorités ukrainiennes – déjà un classique et qui se répétera, on peut ajouter que les Européens non plus n'ont pas été « consultés ». L’émissaire américain Steve Witkoff et son homologue russe Kirill Dmitriev, patron du fonds souverain russe, auraient mis au point ce plan lors d’une visite de ce dernier aux États-Unis en octobre.
Cette démarche survient au pire moment pour Volodymyr Zelensky, affaibli par un vaste scandale de corruption dans le secteur énergétique, qui a entraîné la démission de deux ministres et d’un proche du président, juste avant des perquisitions menées par la justice. En réalité, Witkoff et le Kremlin cherchent à convaincre Donald Trump de faire pression sur Kiev pour qu’il accepte un accord favorable à Moscou, profitant du contexte politique et informationnel très défavorable à l’Ukraine. Dans le même temps, l’armée russe progresse dans l’est du pays et intensifie ses frappes contre les infrastructures énergétiques et les civils à l’approche de l’hiver.
La réalité stratégique pousse Washington à négocier
Les réalistes de Washington n’ont plus réellement le choix : la situation sur le terrain, l’essoufflement militaire ukrainien et la solidité résiliente de l’économie russe rendent toute stratégie d’usure illusoire.
Contrairement aux prédictions répétées en 2022 annonçant l’effondrement économique du Kremlin, la Russie a résisté aux sanctions, tout en développant des secteurs entiers de production souveraine. L'industrie aéronautique civile en est l’exemple le plus frappant : donnée moribonde il y a trois ans, elle signe aujourd’hui des contrats d’exportation avec l’Inde, démontrant l’ampleur des erreurs d’analyse en Europe et l’ineptie de la doctrine visant à « mettre la Russie à genoux ».
Sur le plan géopolitique, Washington mesure également les conséquences de son entêtement : la guerre en Ukraine a accéléré l’essor des BRICS et l’érosion progressive de l’hégémonie du dollar sur l'économie mondiale. Dans le grand affrontement stratégique avec la Chine, les États-Unis ne peuvent pas se permettre de pousser la Russie dans une dépendance totale vis-à-vis de Pékin. Henry Kissinger, George Kennan, John Mearsheimer et d’autres réalistes le martèlent depuis des décennies : une alliance russo-chinoise, à plus forte raison incluant l’Iran, serait rédhibitoire pour les intérêts américains. On peut à ce titre également relire le livre de Zbigniew Brzeziński, Le grand échiquier (1996) : « Pour les États-Unis, le pire des scénarios serait une grande coalition de la Chine, la Russie et peut-être l'Iran (...) unie par une détestation commune des États-Unis. Dans un tel cas, la Chine serait plus probablement le leader, et la Russie un suiveur. » – le « pire des scénarios » s'est en fait réalisé, ironiquement en raison de la volonté américaine d'étendre l'OTAN à l'Ukraine. On comprend la nécessité impérieuse pour Washington, sinon de le briser, au moins de l'atténuer.
Mais la question nucléaire ajoute encore à l’urgence. Depuis la sortie américaine du traité ABM sous Bush fils (2002) puis du traité INF sous Trump (2019), la course aux armements a repris. La Russie domine désormais dans le domaine des missiles hypersoniques, dictant en partie les orientations stratégiques américaines. D’où l’intérêt croissant à Washington pour un nouvel accord de sécurité globale, incluant cette fois la Chine, l’Inde et les puissances nucléaires émergentes, afin d’éviter une spirale ruineuse.
Les points clés du plan russo-américain
Le nouveau projet de Washington et Moscou aborde quatre grands domaines :
1. la paix en Ukraine ;
2. les garanties de sécurité ;
3. la sécurité du continent européen ;
4. le rapprochement entre les États-Unis et la Russie.
Comme les précédents, ce plan reprend largement les exigences du Kremlin. Il prévoirait :
• une reconnaissance internationale de la souveraineté russe sur la Crimée et les régions du Donbass, de Donetsk, de Kherson et de Zaporijia ;
• une réduction de moitié de l’armée ukrainienne, limitée à 400 000 hommes ;
• l’interdiction pour Kiev de détenir des armes de longue portée ;
• une Ukraine neutralisée, exclue de l’OTAN et sans présence militaire occidentale ;
• la levée des sanctions internationales et la restitution des avoirs russes gelés, intérêts compris.
Autant dire une défaite stratégique nette pour l’OTAN et l’Union européenne, conséquence directe de leurs propres erreurs d’analyse et de posture.
L’Europe surprise, impuissante, paralysée
Les Européens ont été pris de court – comme à chaque fois. Merz, Macron et Starmer ont immédiatement tenté de réagir lors d’un dîner improvisé à Berlin le 18 novembre, rappelant leur refus catégorique de tout accord conclu sans l’Ukraine. Mais leur marge de manœuvre est inexistante : ils ne disposent ni du rapport de force militaire, ni du poids diplomatique, ni même du réalisme politique nécessaires pour peser sur le cours des négociations.
L’Europe continue de se payer de mots : elle parle sanctions, fermeté, pression accrue sur Moscou, alors même qu’elle est incapable d’augmenter réellement son soutien militaire à Kiev. Pire encore : ces postures conduisent à un affaiblissement économique massif du continent, aggravant la crise énergétique et la dette publique dans un contexte de récession sur le continent, particulièrement en Allemagne, au Royaume-Uni et en France.
Sur le terrain : l’effondrement ukrainien
Pendant que les chancelleries s’agitent, la Russie poursuit son offensive. Pokrovsk, Mirnograd et Koupiansk tombent ; Slaviansk pourrait suivre rapidement. L’armée russe frappe massivement les infrastructures énergétiques, ferroviaires et industrielles, y compris loin de la ligne de front. Trois ans de discours occidentaux annonçant la fin imminente des stocks de missiles russes se heurtent depuis à la réalité d'une Russie apte à produire trois fois plus de moyens militaires que l'ensemble des pays OTAN réunis, et dont pourtant le PIB est 10 fois supérieur.
Quant à l’Ukraine, les pertes humaines sont colossales – 1,5 million de morts selon certaines estimations, plus de 600 000 déserteurs – et 14 millions de citoyens ont fui vers l’Europe ou la Russie (recensement ukrainien récent). La société ukrainienne est brisée, l’économie exsangue et politiquement Zelensky ne tient que par une autorité martiale qui ne repose plus que sur une légitimité faible.
Un théâtre diplomatique pour masquer l’impuissance
Les réactions européennes sont prévisibles : condamnations verbales, indignation morale, dénonciation des « attaques brutales » de Moscou (elles le sont). Le Quai d’Orsay parle d’agression inacceptable ; le ministre français Jean-Noël Barrot affirme que « la paix ne peut pas être la capitulation de Kiev ».
On se paye de mots.
Mais derrière les grandes phrases se cache une vérité simple : l’Europe ne peut plus agir. La guerre a révélé l’absence de puissance militaire, diplomatique et stratégique du continent. Pour certains dirigeants, cette agitation pourrait même servir à détourner l’attention de leurs difficultés politiques internes – quitte à abandonner l’Ukraine à son sort.
Cette séquence historique tragique pour l'Europe annonce peut-être le nécessaire retour du réalisme en géopolitique. On l'espère au moins pour la France.
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Les réactions de bon sens se succèdent après le discours délirant de Mandon
-19/11/2025- Ségolène Royal : « Non Monsieur le chef d’état-major des armées, la France n’acceptera pas de perdre ses enfants au profit d’un pouvoir en dérive qui, comme l’écrivait Machiavel est tenté de "déclencher une guerre pour éviter des troubles intérieurs, et qui finit toujours par accélérer sa propre perte". Ou encore : "le peuple peut toujours être contraint à obéir à tout, il suffit de lui faire peur, de lui dire qu’il est attaqué et de dénoncer les pacifistes comme anti-patriotes". Et même de les exécuter comme ce fut le cas pour Jean Jaurès. "Pour maintenir un peuple dans l’obéissance, inventez-lui un ennemi." Eh bien non.
Alors de deux choses l’une, face à ces déclarations délirantes, qui vont renforcer l’anxiété des jeunes déjà au plus bas, déstabiliser l’économie française, ridiculiser la France : soit Emmanuel Macron (qui s’est dit, rappelons-nous, fervent lecteur de Machiavel) est au courant et a validé ce texte et dès lors il doit s’expliquer ; soit ce n’est pas le cas et le Chef d’état-major doit être démissionné. Le rôle de la France, membre du Conseil de Sécurité de l’Onu, c’est d’agir pour la Paix en Ukraine en obtenant une force internationale de stabilisation comme l’a fait Trump pour Gaza.
Et le pire c’est que nous sommes quelques jours après le 11 novembre, fin de la terrible boucherie de la guerre de 14/18 dont tous les historiens relèvent les causes dérisoires, et l’excitation d’un quarteron de va-t-en guerre qui ont envoyé des millions de paysans et d’ouvriers arrachés à leurs villages, se faire massacrer. Cette guerre qui, mal conclue à Versailles par un Clémenceau aveuglé par l’intransigeance mais qui croyait bien faire, a directement conduit à la montée d’Hitler, à la Shoah, et à la seconde effroyable guerre de 40.
Sachons tirer les leçons de l’histoire.
Stop au virilisme toxique qui n’est que la compensation de l’effondrement d’un pouvoir à la dérive inquiétante. L’Assemblée nationale doit exiger un débat et ne pas laisser un quarteron de va-t-en guerre détruire le moral et la morale de la Nation pour sauver un pouvoir déconsidéré et détesté. »
19 novembre 2025
Tourisme à Colmar : avis de Colmariens (à suivre)
J’ai vu arriver cette dégradation de qualité de vie et suis tellement déçue de ce qu'est devenue Colmar, un parc d’attractions ! J’ai passé mon enfance à la caserne de pompiers en centre-ville. On faisait tout à pied, on trouvait tout en ville. OK, la société évolue, mais là, on n’évolue pas dans le bon sens.
Je vous souhaite sincèrement du changement avec la prochaine mandature !
Si vous saviez comment il faisait bon y vivre … avant ! Les mandatures successives de G. Meyer ont bouleversé la vie des Colmariens.
Le centre-ville d’aujourd’hui n’est fait que pour les touristes. L’an passé j’ai perdu mon papa. Vous parlez d’une histoire pour ses obsèques à St Martin ! Alors oui, cette place est belle mais quelle galère pour se rendre à l’église ! Rien n’est pensé pour les habitants. Et en parlant de cette place, on va éviter de parler du kiosque historique qui a été démoli ! Au fil des années, ils foutent en l’air toute l’âme de cette ville !
CF
Est-ce que le maire peut interdire un commerce ?
Car les magasins saucissons/fromages qui truandent les touristes il faut que ça cesse.
MG
Il y a aussi une réflexion à mener sur le niveau des loyers des locaux commerciaux détenus en majorité par quelques rentiers…
Mulhouse est un exemple à suivre, la gestion du centre-ville et la création d'un poste de manageur a permis de restaurer une offre commerciale cohérente et attrayante.
LDC
Peut-être faudrait-il encadrer les loyers pour que de petits commerçants indépendants puissent exercer.
Quant aux magasins de fromages, c’est une catastrophe, les touristes se font avoir.
Ce n’est pas l’image de l’artisanat local et de l’authenticité.
NC
Il faut redynamiser notre centre-ville et éviter qu'il devienne un parc à touristes. Quand j'étais jeune, à Colmar, on trouvait tout au centre-ville et c'était très agréable. Essayons de retrouver cet esprit.
PD
Un centre-ville dédié aux pains d’épices, saucissons, nougats et cigognes en peluche... Bien dommage en effet... Je ne sais pas ce qu’il se passe mais je ne reconnais plus Colmar.
J’ai vu arriver cette dégradation de qualité de vie et suis tellement déçue de ce qu'est devenue Colmar, un parc d’attractions ! J’ai passé mon enfance à la caserne de pompiers en centre-ville. On faisait tout à pied, on trouvait tout en ville. OK, la société évolue, mais là, on n’évolue pas dans le bon sens.
Je vous souhaite sincèrement du changement avec la prochaine mandature !
Si vous saviez comment il faisait bon y vivre … avant ! Les mandatures successives de G. Meyer ont bouleversé la vie des Colmariens.
Le centre-ville d’aujourd’hui n’est fait que pour les touristes. L’an passé j’ai perdu mon papa. Vous parlez d’une histoire pour ses obsèques à St Martin ! Alors oui, cette place est belle mais quelle galère pour se rendre à l’église ! Rien n’est pensé pour les habitants. Et en parlant de cette place, on va éviter de parler du kiosque historique qui a été démoli ! Au fil des années, ils foutent en l’air toute l’âme de cette ville !
CF
Est-ce que le maire peut interdire un commerce ?
Car les magasins saucissons/fromages qui truandent les touristes il faut que ça cesse.
MG
Il y a aussi une réflexion à mener sur le niveau des loyers des locaux commerciaux détenus en majorité par quelques rentiers…
Mulhouse est un exemple à suivre, la gestion du centre-ville et la création d'un poste de manageur a permis de restaurer une offre commerciale cohérente et attrayante.
LDC
Peut-être faudrait-il encadrer les loyers pour que de petits commerçants indépendants puissent exercer.
Quant aux magasins de fromages, c’est une catastrophe, les touristes se font avoir.
Ce n’est pas l’image de l’artisanat local et de l’authenticité.
NC
Il faut redynamiser notre centre-ville et éviter qu'il devienne un parc à touristes. Quand j'étais jeune, à Colmar, on trouvait tout au centre-ville et c'était très agréable. Essayons de retrouver cet esprit.
PD
Un centre-ville dédié aux pains d’épices, saucissons, nougats et cigognes en peluche... Bien dommage en effet... Je ne sais pas ce qu’il se passe mais je ne reconnais plus Colmar.
NKP
Redonner un sens à la ville pour nous habitants.
Ne pas être envahis par le tourisme bon marché.
LL
Absolument pas contre le tourisme. Mais un ras-le-bol de toutes ces boutiques "kitsch". Je pense que les touristes aiment aussi des boutiques class, haut de gamme.
MD
Qui "possède" le centre-ville et vit confortablement des revenus locatifs ? J'imagine que les restaurateurs, les hôteliers et les commerçants doivent y trouver leur compte.
PK
Nous faisions nos courses à Colmar, traiteur Thomas, Alou, etc. Maintenant c’est devenu tellement compliqué et envahi par les touristes, nous ne venons plus. C’est triste.
NL
Colmar, on y trouve tout ce qui est produit en Chine, et des saucissons, du fromage qui viennent de je ne sais où, alors que nous avons de bons produits bien de chez nous.
EK
Mulhouse est agréable, beaucoup de magasins indépendants, les Colmariens sont nombreux à y venir. Il faut se perdre dans les petites rues. Il y a moins de touristes et donc beaucoup, beaucoup moins de magasins de saucissons/fromages ou de cigognes en peluche.
MS
Nous ne pouvons plus appeler ça une ville ! Il n'y a plus rien ! En 15 minutes on en a fait le tour ! Les places de parking sont trop chères, les gens préfèrent se déplacer dans la zone commerciale à Houssen, parking gratuit et toute les grandes boutiques sont là-bas..
MLD
Les Colmariens ne reconnaissent plus leur ville. Tout pour le tourisme de masse et rien pour les Colmariens.
Colmar a perdu son âme.
Je ne me sens plus chez moi et je ne vais plus dans le centre.
LV
C’est catastrophique, toutes ces enseignes et magasins bas de gamme.
L’image de Colmar se détériore.
EP
On ne peut même plus profiter du marché de Noël, tellement il y a de touristes. On se marche dessus, pas le temps de regarder... Cela fait des années que je n'y suis plus allée.
MLD
Je ne vais plus à Colmar depuis des années. C’est devenu une ville à touristes avec des prix exorbitants. On récolte ce que l’on a semé.
TW
C'est la faute au Maire ! Il a créé une ville pour touristes se moquant bien de ses habitants !
TT
Que pour les touristes, les locaux fuient car on se fait aligner à longueur de temps, impossible de trouver des places ! Que des restaurants-hôtels-boutiques-de-souvenirs, il n'y a plus rien. Je suis arrivée il y a 28 ans en Alsace j'ai jamais vu Colmar si moche.
MCV
Je ne vais quasiment plus à Colmar car on ne peut plus circuler et se garer.
J’habite à côté de cette ville dont je suis originaire et que j’aimais beaucoup, et même pour chercher des pâtisseries, je vais plutôt à Munster. Du coup je fais également mon marché à Munster.
RB
Les Colmariens verront les propositions des candidats... On verra ce qu’ils proposeront pour que les riverains puissent se garer alors qu’ils payent et que les places sont prises par les touristes pendant toute la période de Noël.
JB
Maintenant pour nous c'est zone industrielle, même pour boire un coup.
EK
Il faudrait déjà faire baisser les prix des loyers.
FB
À force de vouloir tout mettre en piétonnier, ne plus pouvoir se garer gratuitement à proximité du centre-ville, trop de magasins touristiques...
Avant, la Fnac, Orange, les marchés accessibles, les cordonniers, les magasins de jouets et de modélisme, les librairies, les magasins de sport, etc. Tout ça n'existe plus et n'existera plus.
J'ai plus de plaisir à aller au centre-ville de Mulhouse.
Je laisse la voiture en périphérie au Kinepolis et pour 2 euros, j'ai le parking et le tram/bus pour tous les passagers de ma voiture.
Et si vous me parlez du silo pour se garer gratuitement... allez faire un tour et vous y verrez nombre de voitures sans permis (Ami, Topolino...) des lycéens s'y garer.
Et vous qui souhaitez faire des achats en centre-ville, plus de place.
Donc, on va en périphérie.
SL
Faudrait penser à baisser les loyers commerciaux d’abord. Nos commerçants se font plumer...
SW
Même certains touristes en ont marre de voir des boutiques de souvenirs et d'objets made in China. Ou du fromage... ou du saucisson... qui ne sont sans doute même pas produits en Alsace.
LP
Si la ville de Colmar est désertée, c'est de votre faute : accès difficile, parking payant partout autour, vous avez vendu Colmar aux touristes. Il ne faut pas pleurer maintenant si les Colmariens ne vont plus au centre.
TU
Je ne reconnais plus ma ville. Les Colmariens sont noyés au milieu des touristes. Colmar a perdu son âme chaleureuse de petite ville de province. Et ne parlons pas du tsunami qui va bientôt envahir nos rues et nos marchés de Noël dont nous ne profitons même plus !
KV
Redonner un sens à la ville pour nous habitants.
Ne pas être envahis par le tourisme bon marché.
LL
Absolument pas contre le tourisme. Mais un ras-le-bol de toutes ces boutiques "kitsch". Je pense que les touristes aiment aussi des boutiques class, haut de gamme.
MD
Qui "possède" le centre-ville et vit confortablement des revenus locatifs ? J'imagine que les restaurateurs, les hôteliers et les commerçants doivent y trouver leur compte.
PK
Nous faisions nos courses à Colmar, traiteur Thomas, Alou, etc. Maintenant c’est devenu tellement compliqué et envahi par les touristes, nous ne venons plus. C’est triste.
NL
Colmar, on y trouve tout ce qui est produit en Chine, et des saucissons, du fromage qui viennent de je ne sais où, alors que nous avons de bons produits bien de chez nous.
EK
Mulhouse est agréable, beaucoup de magasins indépendants, les Colmariens sont nombreux à y venir. Il faut se perdre dans les petites rues. Il y a moins de touristes et donc beaucoup, beaucoup moins de magasins de saucissons/fromages ou de cigognes en peluche.
MS
Nous ne pouvons plus appeler ça une ville ! Il n'y a plus rien ! En 15 minutes on en a fait le tour ! Les places de parking sont trop chères, les gens préfèrent se déplacer dans la zone commerciale à Houssen, parking gratuit et toute les grandes boutiques sont là-bas..
MLD
Les Colmariens ne reconnaissent plus leur ville. Tout pour le tourisme de masse et rien pour les Colmariens.
Colmar a perdu son âme.
Je ne me sens plus chez moi et je ne vais plus dans le centre.
LV
C’est catastrophique, toutes ces enseignes et magasins bas de gamme.
L’image de Colmar se détériore.
EP
On ne peut même plus profiter du marché de Noël, tellement il y a de touristes. On se marche dessus, pas le temps de regarder... Cela fait des années que je n'y suis plus allée.
MLD
Je ne vais plus à Colmar depuis des années. C’est devenu une ville à touristes avec des prix exorbitants. On récolte ce que l’on a semé.
TW
C'est la faute au Maire ! Il a créé une ville pour touristes se moquant bien de ses habitants !
TT
Que pour les touristes, les locaux fuient car on se fait aligner à longueur de temps, impossible de trouver des places ! Que des restaurants-hôtels-boutiques-de-souvenirs, il n'y a plus rien. Je suis arrivée il y a 28 ans en Alsace j'ai jamais vu Colmar si moche.
MCV
Je ne vais quasiment plus à Colmar car on ne peut plus circuler et se garer.
J’habite à côté de cette ville dont je suis originaire et que j’aimais beaucoup, et même pour chercher des pâtisseries, je vais plutôt à Munster. Du coup je fais également mon marché à Munster.
RB
Les Colmariens verront les propositions des candidats... On verra ce qu’ils proposeront pour que les riverains puissent se garer alors qu’ils payent et que les places sont prises par les touristes pendant toute la période de Noël.
JB
Maintenant pour nous c'est zone industrielle, même pour boire un coup.
EK
Il faudrait déjà faire baisser les prix des loyers.
FB
À force de vouloir tout mettre en piétonnier, ne plus pouvoir se garer gratuitement à proximité du centre-ville, trop de magasins touristiques...
Avant, la Fnac, Orange, les marchés accessibles, les cordonniers, les magasins de jouets et de modélisme, les librairies, les magasins de sport, etc. Tout ça n'existe plus et n'existera plus.
J'ai plus de plaisir à aller au centre-ville de Mulhouse.
Je laisse la voiture en périphérie au Kinepolis et pour 2 euros, j'ai le parking et le tram/bus pour tous les passagers de ma voiture.
Et si vous me parlez du silo pour se garer gratuitement... allez faire un tour et vous y verrez nombre de voitures sans permis (Ami, Topolino...) des lycéens s'y garer.
Et vous qui souhaitez faire des achats en centre-ville, plus de place.
Donc, on va en périphérie.
SL
Faudrait penser à baisser les loyers commerciaux d’abord. Nos commerçants se font plumer...
SW
Même certains touristes en ont marre de voir des boutiques de souvenirs et d'objets made in China. Ou du fromage... ou du saucisson... qui ne sont sans doute même pas produits en Alsace.
LP
Si la ville de Colmar est désertée, c'est de votre faute : accès difficile, parking payant partout autour, vous avez vendu Colmar aux touristes. Il ne faut pas pleurer maintenant si les Colmariens ne vont plus au centre.
TU
Je ne reconnais plus ma ville. Les Colmariens sont noyés au milieu des touristes. Colmar a perdu son âme chaleureuse de petite ville de province. Et ne parlons pas du tsunami qui va bientôt envahir nos rues et nos marchés de Noël dont nous ne profitons même plus !
KV
Merci, M. Straumann. Tout pour les touristes, et les Colmariens, vous y pensez ?
BR
Colmar est devenue beaucoup trop touristique, je n'ai plus aucun plaisir à y aller et au marché de Noël on se marche sur les pieds.
Je préfère aller en zone commerciale on peut se garer gratuitement.
Colmar est devenue une ville pour les touristes, c'est nous les étrangers dans notre propre ville.
PF
Colmar est comme Disneyland.
EB
Centre-ville de Colmar ? Moi, ça fait des années que je n'y vais plus. Allez faire un tour à Freiburg en Allemagne, au moins c'est vivant !
NU
Ça vous étonne ?
Les gens se garent où ?
Évidemment que les boutiques ferment !
Les gens vont à Houssen, parking gratuit ben ouais !
Tout est cher et la ville se désertifie...
Arrêtez vos blablablas pour les élections.
ALW
Colmar est devenue beaucoup trop touristique, je n'ai plus aucun plaisir à y aller et au marché de Noël on se marche sur les pieds.
Je préfère aller en zone commerciale on peut se garer gratuitement.
Colmar est devenue une ville pour les touristes, c'est nous les étrangers dans notre propre ville.
PF
Colmar est comme Disneyland.
EB
Centre-ville de Colmar ? Moi, ça fait des années que je n'y vais plus. Allez faire un tour à Freiburg en Allemagne, au moins c'est vivant !
NU
Ça vous étonne ?
Les gens se garent où ?
Évidemment que les boutiques ferment !
Les gens vont à Houssen, parking gratuit ben ouais !
Tout est cher et la ville se désertifie...
Arrêtez vos blablablas pour les élections.
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H16
-19/11/2025- Youpi, c’est une nouvelle pirouette budgétaire pour les artistes de la scène politico-économique française dont la réputation n’est plus à faire en matière de spectacle burlesque : il manque 10 milliards d’euros de TVA. Et paf, la réalité vient de claquer avec le bruit sec et cinglant d’un chèque en bois cognant contre le marbre froid d’un ministère vide.
Eh oui, selon Le Monde, Bercy a refait ses petits calculs : les recettes de TVA pour 2025 seront inférieures de près de 5 milliards d’euros pour l’État et de 10 milliards d’euros au total par rapport aux estimations initiales. La surprise n’est totale que pour l’équipe de clowns actuellement en responsabilité en charge de ce brillant résultat.
Pour les autres, entre les modèles de croissance écrits sur des nappes de bistrot, les prévisions de recettes et de dépenses manifestement établies sous un cocktail coke-poppers-amphétamines et le talent naturel de nos olibrius aux décisions politiques, cette évaporation de la TVA n’est que la conséquence logique des impasses et des gesticulations stériles accumulées ces derniers mois.
En pratique, c’est le signe d’un ralentissement économique massif, une baisse marquée de la consommation que le pouvoir semble tout bonnement incapable de comprendre. Ils ont les leviers de commandes, mais ne réalisent pas que la machine ralentit, et continuent donc à appuyer nerveusement sur un accélérateur plus alimenté depuis belle lurette : qui dépense encore, qui crée de la TVA lorsque le péquin moyen n’a plus un radis pour s’offrir autre chose qu’un aller simple vers l’angoisse ?
La France, décidément, continue d’être gérée n’importe comment, avec une constance qui force le respect dans l’absurde.
Cette année, pour la deuxième année d’affilée, la France perd plus d’usines qu’elle n’en ouvre : 108 sites fermés ou menacés contre seulement 80 ouvertures et 57 extensions. Dans un véritable sprint vers le néant, la désindustrialisation s’accélère avec une hausse de 50 % des sites menacés par rapport à 2024. Agroalimentaire, construction, métallurgie, textile : aucun secteur n’est épargné ; que ce soit Teisseire à Crolles, Blédina à Villefranche-sur-Saône, ou Safilin à Béthune, chacun de ces noms sonne maintenant comme une épitaphe industrielle. Les faillites grimpent de 10 % au troisième trimestre, et les emplois menacés flirtent avec les 9 000.
Macron, architecte du vide et visionnaire auto-proclamé qui rêvait d’une « start-up nation » nous offre à présent une « shut-down nation » dans laquelle on ferme des usines comme on ferme les yeux lors d’une catastrophe.
Du reste, cette déconfiture n’est pas une spécificité française : selon Euronews, au troisième trimestre 2025, le PIB de la zone euro n’a grimpé que de 0,2 % ; on oscille entre l’épaisseur du trait et l’erreur statistique. L’emploi stagne et le chômage tourne autour de 6,3 % en attendant sans doute d’augmenter suite aux faillites qui explosent de 4,4 %, particulièrement dans l’hôtellerie-restauration (+20,7 %), les transports (+18,7 %) et les services financiers (+14,1 %). Fermetures industrielles en cascade, emplois qui disparaissent : l’Europe entière s’arrête.
Et si l’on se détache de ces réalités macro-économiques pour revenir sur le terrain, il suffit d’une courte balade à Paris (par exemple) pour constater l’ampleur du désastre : comme le remarque un agent immobilier dans un récent tweet, pendant que la mairie de Paris multiplie les HLM pour loger un nombre toujours plus grand de nécessiteux (dont une proportion croissante de migrants qui viennent trouver ici la misère qu’ils fuyaient là-bas), les commerces, eux, plient bagage. L’arche de Noé socialiste que bâtit Anne Hidalgo sera bondée mais n’aura rien dans sa soute, application consciencieuse d’un urbanisme moderne façon puzzle où toutes les pièces vont dans le mauvais sens.
Et ce qui est vrai à Paris se répète, plus ou moins discrètement, dans les autres grandes villes françaises… Le spectacle burlesque se répète un peu partout : un gouvernement aux manettes qui pilote sans boussole, qui improvise des décisions sans tenir compte de leurs effets de bord massifs, provoquant une cascade de conséquences négatives, avec un appauvrissement visible du pays, une désindustrialisation, des faillites et des tensions sociales exacerbées.
C’est une véritable fuite en avant, menée par des clowns incapables (ou peu soucieux) de comprendre que leurs décisions ont des répercussions. Le pays, lui, s’appauvrit sous nos yeux ; l’écart entre les promesses et la réalité se creuse, et les Français le perçoivent.
La réalité, c’est que 36 % des foyers français peinent à régler les factures d’énergie comme le révélait récemment le « baromètre énergie-info 2025 ». Si le thermostat reste coincé en bas, le thermomètre social, lui, continue doucement de grimper.
Pour rappel, un sondage IFOP de 2023 révélait que près d’un tiers des Français vit avec moins de 100 euros dès le 10 du mois, une fois les dépenses contraintes prélevées. En somme, le gouvernement actuel se comporte avec le budget comme ce tiers de Français, en vol à vue, à l’impro.
La France de Macron est devenue ce pays où un tiers de la population compte ses centimes avant la mi-mois, où plus d’un tiers ne peut plus se chauffer correctement, mais où l’on continue de nous expliquer que des « réformes structurelles » vont, c’est promis, être mises en place.
En réalité, les gesticulations des parlementaires de ces neuf derniers mois n’ont fait que faire perdre du temps à tout le monde, transformant l’Assemblée en un barnum de débats stériles. Ils ont effrayé les entrepreneurs, qui font faillite ou s’exilent, laissant la France à ses illusions. Le bilan est froid comme un hiver sans chauffage : Macron, ce prestidigitateur raté, aura réussi son tour de magie, celui de faire disparaître la prospérité…
Le spectacle burlesque, dont les acteurs sont payés par les victimes, est en train de se transformer en tragédie sordide.
18 novembre 2025
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LA TROUBLANTE GENTILLESSE DE VLADIMIR POUTINE
Gabriel Nerciat
-18/11/2025- Le macronisme, plus encore que Macron lui-même, sera vraiment allé jusqu'au bout de la parodie, la démagogie, le déshonneur, la trahison et le grotesque le plus décomplexé.
À un point tel qu'il est un peu dérisoire désormais de se demander à longueur de journée si le Banquier Président le fait exprès ou bien s'il est devenu la dupe de sa propre comédie (au moins, s'il était vraiment fou, comme George III ou Deschanel, on pourrait se débarrasser de lui avant terme).
Aucun des avions Rafale promis à Kiev hier ne sera livré avant quatre ou cinq ans, ni opérationnel avant dix ans, et pour ceux qui le seront (sûrement bien moins de cent) ils ne seront évidemment jamais payés, ou alors par le seul contribuable français. Le pire est que le président ne s'en cache même pas : ses galéjades amusent donc tout le monde, sauf peut-être le patron de Dassault.
Le seul but de cette mascarade – d'autant plus honteuse qu'elle intervient au moment même où la vérité sur les détournements de fonds colossaux (plus de 100 millions de dollars) dont s'est rendu coupable Zelensky est maintenant révélée, sans doute par la volonté de Trump, par tous les médias assermentés d'Occident – est de continuer à désigner publiquement la Russie comme l'ennemi prioritaire de l'Europe (en lieu et place de l'islamisme ou de la construction totalitaire bruxelloise) et surtout de faire comprendre à la chair à canon ukrainienne qu'elle doit se faire massacrer encore pendant trois ans sans moufter.
Le plus généreux avec Macron, je trouve, c'est finalement Poutine, qui l'a comparé, dans une récente conférence de presse, à Napoléon (celui de 1812 et de la campagne de Russie, il est vrai).
On ne dira jamais assez à quel point l'amabilité voire la gentillesse du président russe est un problème pour nous.
Car Macron est bien capable de le croire, et de s'imaginer qu'une bataille de la Moskowa, agrémentée de quelques illuminations nucléaires, serait idéale pour faire oublier ses nombreuses déroutes en Europe, Afrique, Algérie ou Indo-Pacifique.
Poutine a d'ailleurs toujours été beaucoup trop gentil avec lui, même quand il a compris que Paris ne ferait jamais respecter les accords de Minsk. Je ne sais pas trop pourquoi. Peut-être parce qu'il garde un bon souvenir de sa visite à Versailles, en 2017.
Il doit se dire qu'il faut ménager l'avenir, quand il reviendra dans la galerie des Glaces en vainqueur plus illustre que Louis XIV ou Bismarck, lors du prochain quinquennat qui commencera peut-être plus tôt que prévu.
Nathalie Aubert
18/11/2025
ALERTE : notre République est ciblée
Des réseaux intégristes islamistes cherchent à s’implanter à Strasbourg et dans nos villes, à imposer leurs codes, à influencer nos décisions locales. Tout ça sous le regard bienveillant de l’extrême gauche.
Colmar n’est pas à l’abri !
Je le dis avec force : jamais je ne laisserai ces idéologies hostiles à la France avancer d’un centimètre.
Notre pays ne pliera pas, ni devant le communautarisme, ni devant ceux qui veulent faire reculer la liberté des femmes, ni devant ceux qui contestent nos lois et notre mode de vie.
La France doit rester la France.
Nos valeurs, notre identité, notre laïcité ne sont pas négociables.
Patriotes : soyons unis, soyons déterminés, soyons intransigeants.
Ce combat est celui de la République. Et nous le gagnerons.
18/11/2025
ALERTE : notre République est ciblée
Des réseaux intégristes islamistes cherchent à s’implanter à Strasbourg et dans nos villes, à imposer leurs codes, à influencer nos décisions locales. Tout ça sous le regard bienveillant de l’extrême gauche.
Colmar n’est pas à l’abri !
Je le dis avec force : jamais je ne laisserai ces idéologies hostiles à la France avancer d’un centimètre.
Notre pays ne pliera pas, ni devant le communautarisme, ni devant ceux qui veulent faire reculer la liberté des femmes, ni devant ceux qui contestent nos lois et notre mode de vie.
La France doit rester la France.
Nos valeurs, notre identité, notre laïcité ne sont pas négociables.
Patriotes : soyons unis, soyons déterminés, soyons intransigeants.
Ce combat est celui de la République. Et nous le gagnerons.
[Théâtre]
MARDI 30 DÉCEMBRE - 20H30
À COLMAR - Salle des CatherinettesAmoureuses, amoureux, cocu(e)s, divorcé(e)s, veuf(ve)s, vierges, puceaux, célibataires, traumatisé(e)s affectif(ve)s, ce spectacle s'adresse à tous !
"C'est marrant, y vont pas du tout ensemble ces deux-là...". Petite phrase assassine que vous dites tout bas au sujet des autres et particulièrement pour ce "couple (presque) parfait".
Pourtant c'est de leurs différences et dans la complexité des sentiments que va naître un amour insolite, car l'amour est un don de la farce !
On vit plus longtemps avec les défauts de l'autre qu'avec ses qualités alors autant le choisir tout de suite pour ça !
IMPORTANT : RÉSERVATION OBLIGATOIREAdresse : 8 rue Kléber - 68000 Colmar
Tarif unique : 24€
Durée : 75 minutes
Ouverture des portes : 30 minutes avant l'heure du spectacle
17 novembre 2025
Nathalie Aubert
17/11/2025
17/11/2025
Non à la nouvelle taxe “RPASS” pour les transporteurs routiers alsaciens !
Une nouvelle fois, l’État impose une taxe supplémentaire, spécifiquement ciblée sur les transporteurs routiers alsaciens. Ce “nouveau Rpass” va pénaliser nos petites entreprises, alors même que son montant reste inférieur à la MAUT, la taxe allemande.
Conséquence inacceptable : les transporteurs étrangers continueront d’utiliser nos autoroutes, pendant que nos TPE et PME locales supportent le fardeau.
Il est irresponsable de pénaliser l’économie locale au profit d’une “taxe cosmétique” qui n’atteindra pas son but de limiter le trafic étranger.
Nous défendons une Alsace forte, libre, et prospère – sans taxe punitive.
AJAM
⇨ Billetterie en ligne (et à la caisse du concert)
Hugo Meder, violon / Arthur Hinnewinkel, piano
mercredi 19 novembre 2025 à 20h
au Théâtre municipal de Colmar
« Un violon classe et chaleureux. » Tristan Labouret, Bachtrack
« Un pianiste imaginatif au toucher ensorcelant. » Serge Martin, Le Soir
Ils illustrent, à eux deux, les valeurs d'excellence que l’AJAM défend depuis sa création en 1960. À l'affiche, Hugo Meder, enfant du pays qui s’est imposé sur la scène internationale avec son trio, et Arthur Hinnewinkel, originaire de Wissembourg, dont les interprétations marquantes lui ont valu une très belle quatrième place au prestigieux Concours Reine Elisabeth de Belgique en mai dernier.
Artiste généreux et sensible, chambriste accompli, Hugo Meder délaisse un temps le trio pour la sonate romantique allemande – une passion qu’il partage avec Arthur Hinnewinkel, jeune virtuose au piano habité.
À la croisée de ces deux affinités, Schumann s’imposera avec deux œuvres majeures, dont l’énigmatique Sonate n°3. Quant à Schubert, autre grande figure de la période, il scellera la complicité de cette belle et réjouissante collaboration.
Maintes fois récompensé, Hugo Meder s’est distingué en trio ce printemps avec un disque unanimement salué par la critique. Lauréat du prix Thierry Scherz en 2024, primé au Concours Reine Elisabeth en mai 2025, Arthur Hinnewinkel a consacré un enregistrement à l’œuvre concertante de Robert Schumann.
Programme :
Robert Schumann, Sonate n°3 en la mineur, Wo027
Franz Schubert, Sonate en la majeur, op. 162
Robert Schumann, Sonate n°2 en ré mineur, op. 121
Pour écouter :
Arthur Hinnewinkel : https://youtu.be/97diKgdr3Dw?si=u8E_WEXYz0dOQcPS&t=274
Les musiciens sur la toile :
Théâtre municipal de Colmar : 3 rue Unterlinden – 68000 Colmar
Tarifs à l’unité : 15€/12€/8€/6€/3€/-18 ans : gratuit
Informations : 03 88 22 19 22 et ajam.fr
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Yann Bizien
17/11/2025
Ils sont où les 135 milliards d’€uros que réclame aujourd'hui von der Leyen aux dirigeants des pays membres de l’UE "pour satisfaire les besoins " d’un pays en guerre qui n’est même pas membre de cette Union ?
Pourquoi cette injonction venant de Bruxelles, qui porte une atteinte violente à la souveraineté des peuples européens qui n’ont aucune possibilité de s’opposer aux dépenses exorbitantes de guerre de technocrates qui ne veulent certainement pas la paix ?
Pourquoi ce silence et cet immobilisme de nos parlementaires, de nos médias et du président de la Cour des Comptes qui connaît normalement mieux que personne l’état de faillite de notre pays ?
Notre dette publique atteint un nouveau record insupportable de 3 416 milliards d’€uros. Le problème majeur du gouvernement, c’est donc la dépense publique. Jusqu'où vont-ils tirer sur la corde des impôts et taxes ? De l’épargne des Français ? Des prêts hasardeux ? Du creusement de la dette ? Des contributions bilatérales ? Des avoirs russes ?
Font-ils le pari fou et suicidaire que la Russie pourrait craquer et s'effondrer avant nous ?
Et nous, peuples européens, qu'attendons-nous pour nous opposer à tous ces délires de dépenses de guerre ?
Depuis Bruxelles, Madame "TOMBOLA" impose sa volonté fédérale et fixe ses objectifs à des États membres de l'UE qui ont perdu leur souveraineté ! Car c’est un fait accompli et observable dans les pratiques quotidiennes : Madame von der Leyen se comporte comme la présidente de la Fédération des États européens sans en avoir le mandat et les pouvoirs !
Stop à toutes ces dérives anti démocratiques !
Alexandre Legrand
-17/11/2025- Loin d’être tous des nantis, les retraités constituent aujourd’hui une véritable génération pivot, sur laquelle repose une large part de la cohésion sociale. Leur contribution dépasse largement les clichés associés au « troisième âge ». En réalité, beaucoup d’entre eux jouent un rôle économique essentiel en soutenant financièrement leurs enfants et petits-enfants, en compensant les difficultés d’accès à l’emploi, au logement ou au pouvoir d’achat auxquelles les générations plus jeunes sont confrontées. Par leurs pensions, leur épargne ou leur disponibilité, ils représentent un appui discret mais décisif pour de nombreux foyers.
Sur le plan familial, les retraités assument également une fonction clé. Leur présence aux côtés des enfants et petits-enfants, que ce soit pour la garde, l’accompagnement scolaire ou simplement l’entretien du lien affectif, contribue à la stabilité des familles et à l’équilibre des rythmes de vie. Ils deviennent ainsi des relais indispensables pour des parents souvent pris entre exigences professionnelles et charges domestiques accrues.
À cela s’ajoute leur rôle social, trop souvent sous-estimé. Très impliqués dans le tissu associatif, culturel et bénévole, les retraités participent activement à la vitalité des territoires. Ils s’investissent dans des actions de solidarité, d’entraide ou de transmission, apportant leur expérience et leur disponibilité là où les institutions ou les acteurs économiques ne peuvent suffire. Leur engagement contribue à maintenir du lien social, à lutter contre l’isolement et à renforcer la participation citoyenne.
Ainsi, loin d’être un simple groupe passif ou déconnecté de la vie active, les retraités s’imposent comme de véritables acteurs de premier plan, dont la contribution économique, familiale et sociale est essentielle au bon fonctionnement de la société. Leur rôle, souvent invisible, mérite d’être reconnu à la hauteur de ce qu’ils apportent quotidiennement aux générations qui les entourent.
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