Dans ce contexte de tensions, il est salutaire de maintenir son esprit critique en éveil, de chercher constamment à enrichir sa réflexion, de prendre du recul par rapport aux informations dont on nous abreuve.
Faire le tri entre les mensonges, les errements de nos dirigeants et les élucubrations d'illuminés, écarter soigneusement les complotistes mais également ceux dont la parole est sujette à caution en raison de leurs liens avec l'industrie pharmaceutique - nous permettra d'y voir un peu plus clair.
- MAL TRAITÉS - Covid 19, le documentaire CHOC :
👉 https://www.youtube.com/watch?v=xRuH98LLPRk&feature=share&fbclid=IwAR2XchO2x622gcVI-Q751aPgxL99QcpXWiAxrIgnM1ARbUEqsgrolCJdI7g
- Interview du Dr Louis Fouché par Jeanne Baron :
👉 https://www.youtube.com/watch?v=7gdEUti5XgE
- Chronologie d’un scandale d’État : quand les faits dépassent la fiction [Lucien Cavelier] :
👉 https://cavelierlucien.medium.com/chronologie-dune-crise-des-faits-contre-des-mensonges-d-%C3%A9tat-cb2291782acb
Translate
12 janvier 2021
11 janvier 2021
Gérald d'Orbe
Est-ce que vous achetez une voiture en vous contentant du spot de pub du constructeur ? C'est ce qui se passe avec ces bidules dont les fabricants eux-mêmes disent ne pas savoir si ça protège, si ça empêche de contaminer, si la « protection » est pérenne… Ne confondez pas !
Pour mémoire, les mêmes qui cherchent à imposer cette pompe à fric sont ceux qui interdisent une molécule utilisée par des milliards d'individus au quotidien, sans aucun autre effet secondaire que bénin. Ça ne vous interpelle pas ?
8 janvier 2021
7 janvier 2021
6 janvier 2021
Gérald d'Orbe
"Avez vous des références de communications scientifiques concernant les tests auxquels ont été soumis ces "vaccins" ?
On a l'impression de faire la course avec les pays voisins pour savoir qui foncera le plus vite dans cette folie collective. Un peu de calme serait bienvenu quand les industriels eux-mêmes disent ne pas savoir si ça protège le "vacciné", s'il peut ou pas être tout de même malade, ni s'il peut contaminer son entourage.
Notre pays sombre dans une folie furieuse ; un philosophe disait dernièrement : "À refuser de mourir on est en train d'oublier de vivre". Tout est dit…
Si des vrais scientifiques (pas les salariés des labos, blindés de conflits d'intérêts du prétendu Conseil Scientifique) ont publié des résultats d'essais, comme ça se pratique pour tout médicament, je suis intéressé par l'information.
Pas "antivaccin", pas négationniste, pas complotiste, simplement méfiant.
3 janvier 2021
Gabriel Braeuner
Voeux
Présenter mes vœux, en ce début d’année, en reprenant les mots d’hier, mieux vaut ne pas y songer. Ce serait inconvenant. Les réduire aux vœux de bonne santé, pourquoi pas ? Nous avons vu tout au long de l’année combien celle-ci était fragile et en même temps notre bien le plus précieux. Va donc pour les vœux de bonne santé. Je n’en formulerai pas d’autres. Chat échaudé craint l’eau. Vous enverrais-je alors un message sans espoir ? Non ! je vous souhaite au contraire un message rempli d’un « gai désespoir » qui nous conduit à réagir, agir et aimer en toutes circonstances. Le reste m’échappe. Il ne dépend ni de vous ni de moi. Je n’espère que ce que je n’ai pas. Cela me (nous) rend malheureux. Nous savons pourtant par expérience (historique) que la condition humaine a quelque chose de désespérant puisqu’ elle n’échappe ni aux guerres ni aux épidémies ni à la mort. Mais que cela ne nous empêche pas de jouir du présent, d’agir et d’aimer, d’aider et d’être solidaire. Quand la pandémie s’est déclenchée, il y a quelques mois, du bas en haut de l’échelle sanitaire, le personnel soignant ne s’est pas mis à espérer ni à désespérer - il n’avait pas le temps - mais il a fait face et a pris, si j’ose dire, le virus à bras le corps. Il a fait des miracles en sauvant des milliers de vies humaines. Il a fait du désespoir une béatitude. Je vous en souhaite autant !
Souvenirs
Autre chose : cela fait exactement 50 ans aujourd’hui, le 2 janvier 1971, que j’ai débarqué à Colmar, une petite valise à la main, pour prendre le poste d’archiviste municipal à la mairie de Colmar. Envoyé par le doyen de la faculté des Lettres, l’historien Georges Livet, un maître, avec l’injonction suivante : « Prenez la ville avant que les curés ne la prennent ». Il y avait alors à Haguenau et à Sélestat, notamment, des prêtres qui occupaient le poste d’archiviste municipal. Tous excellents historiens au demeurant ! Je pris donc la ville et y restai une quarantaine d’années.
Quelques jours plus tard, Igor Uibo, « journaliste culturel des DNA de Colmar » vint à ma rencontre pour me présenter aux lecteurs. Nous sommes restés en contact. Salut l’ami !
Voeux
Présenter mes vœux, en ce début d’année, en reprenant les mots d’hier, mieux vaut ne pas y songer. Ce serait inconvenant. Les réduire aux vœux de bonne santé, pourquoi pas ? Nous avons vu tout au long de l’année combien celle-ci était fragile et en même temps notre bien le plus précieux. Va donc pour les vœux de bonne santé. Je n’en formulerai pas d’autres. Chat échaudé craint l’eau. Vous enverrais-je alors un message sans espoir ? Non ! je vous souhaite au contraire un message rempli d’un « gai désespoir » qui nous conduit à réagir, agir et aimer en toutes circonstances. Le reste m’échappe. Il ne dépend ni de vous ni de moi. Je n’espère que ce que je n’ai pas. Cela me (nous) rend malheureux. Nous savons pourtant par expérience (historique) que la condition humaine a quelque chose de désespérant puisqu’ elle n’échappe ni aux guerres ni aux épidémies ni à la mort. Mais que cela ne nous empêche pas de jouir du présent, d’agir et d’aimer, d’aider et d’être solidaire. Quand la pandémie s’est déclenchée, il y a quelques mois, du bas en haut de l’échelle sanitaire, le personnel soignant ne s’est pas mis à espérer ni à désespérer - il n’avait pas le temps - mais il a fait face et a pris, si j’ose dire, le virus à bras le corps. Il a fait des miracles en sauvant des milliers de vies humaines. Il a fait du désespoir une béatitude. Je vous en souhaite autant !
Souvenirs
Autre chose : cela fait exactement 50 ans aujourd’hui, le 2 janvier 1971, que j’ai débarqué à Colmar, une petite valise à la main, pour prendre le poste d’archiviste municipal à la mairie de Colmar. Envoyé par le doyen de la faculté des Lettres, l’historien Georges Livet, un maître, avec l’injonction suivante : « Prenez la ville avant que les curés ne la prennent ». Il y avait alors à Haguenau et à Sélestat, notamment, des prêtres qui occupaient le poste d’archiviste municipal. Tous excellents historiens au demeurant ! Je pris donc la ville et y restai une quarantaine d’années.
Quelques jours plus tard, Igor Uibo, « journaliste culturel des DNA de Colmar » vint à ma rencontre pour me présenter aux lecteurs. Nous sommes restés en contact. Salut l’ami !
Inscription à :
Articles (Atom)