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22 octobre 2021

Intervention de Phil au collège de Ribeauvillé

« Comment vous est venue l'envie de devenir dessinateur ? »
« Utilisez-vous l'outil numérique pour vos dessins ? »
« Y a-t-il des thèmes que vous ne pouvez pas aborder ? »
« Avez-vous déjà reçu des menaces ? »

Quelques-unes des nombreuses questions posées par les élèves du collège de Ribeauvillé à Phil qui y a répondu avec simplicité et sincérité. Myriam Vassal, professeure agrégée d'histoire-géographie a été à l'initiative de cet échange fructueux, dans le cadre d'une journée consacrée aux libertés et à la laïcité, en hommage à Samuel Paty.

Phil face aux collégiens

Un petit souvenir signé Phil

Phil avec Myriam Vassal

21 octobre 2021

Phil

DNA éco-consommation : comment réagir face aux hausses importantes des tarifs de l’énergie...

20 octobre 2021

Un vrai chef ou un petit chef ?

Michel Naudo

On lit de nombreux papiers concernant l’affaire des sondages de l’Elysée actuellement pendante devant le tribunal correctionnel de Paris. On relate aussi beaucoup le fait que Nicolas Sarkozy se voit désormais contraint de venir témoigner au procès alors qu’il avait fait savoir qu’il n’en avait pas l’intention.
Je n’ai pas lu ou entendu de commentaires ou de réflexions sur l’attitude de l’ancien président de la république. Je vous livre ici mon sentiment :
Je ne reviens pas sur l’affaire, chacun pouvant se renseigner sans aucune difficulté.
Pour moi, écrire une lettre aux juges en déclarant qu’il ne viendra pas témoigner, revient à dire à ses anciens proches collaborateurs de cabinet « démerdez-vous » !
Cette attitude est fâcheuse car elle semble révéler son peu d’intérêt pour celles et ceux qui ont travaillé avec lui de façon rapprochée pendant son mandat.
Le mal est fait mais j'imagine qu'il peut encore se rattraper et montrer sa vraie dimension de leader lors de sa prochaine audition contrainte et forcée suite à un mandat d’amener délivré par le tribunal de Paris.
L’article 67 de la Constitution de 1958 stipule que « Le Président de la République n’est pas responsable des actes accomplis en cette qualité… ». Autrement dit Nicolas Sarkozy ne peut être condamné pour des faits qui se sont déroulés sous sa présidence et jouit à ce titre d’une immunité totale et permanente.
Les juges ont néanmoins estimé que sa présence était « nécessaire à la manifestation de la vérité » et « susceptible d’avoir une influence sur les faits reprochés aux prévenus ».
Le 2 novembre prochain, devant le tribunal, il devra parler et répondre aux questions des juges et des parties civiles si toutefois il décide de s’exprimer.
Que devrait-il dire ?
Pour l’histoire et son image, il devrait déclarer endosser l’entière responsabilité de ce qui est reproché sur le fond à ses anciens proches collaborateurs de cabinet car ceux-ci agissaient sous son autorité, et suivant ses consignes.
Les juges feront ce qu’ils voudront et apprécieront les moyens et les mécanismes mis en œuvre pour exécuter les directives présidentielles. Nicolas Sarkozy sait qu’il ne risque strictement rien à adopter cette conduite. Ce serait d’ailleurs encore plus signifiant s’il encourait quelque chose…
Nicolas Sarkozy a encore l’image d’un leader tout comme l’avait un Jacques Chirac.
Le 2 novembre, il a rendez-vous avec l’histoire et devrait en sortir grandi, grâce à une attitude responsable et courageuse.
Il aura à choisir entre laisser le souvenir d’un vrai chef ou celui d’un petit chef…



19 octobre 2021

Cancer du sein : soirée caritative au café Rapp


Insolite

Publication d'Eric Straumann

Immersion de 300 bouteilles de crémant d’Alsace du Domaine Muré à 25m de profondeur, sous l’eau de la base nautique. Une expérience scientifique en collaboration avec l’UHA, l’INRAE, l’IFV, le CIVA et l’emblématique sommelier, Serge Dubs. L’objectif est d’identifier les nuances entre un vieillissement sous l’eau avec un vieillissement en cave. Première remontée d’ici deux ans !


Michel Spitz

Les participantes de l’atelier couture du centre socioculturel de Colmar présentaient ce dimanche au public leur Défilé avec un grand D, où la douzaine de femmes âgées de 30 à 70 ans ont pu faire admirer les robes de leur création, confectionnées sous l’égide du costumier Jean Duntz. Le spectacle mis en scène par Emilie Wiest de la compagnie "On nous marche sur les fleurs" a irradié le public installé autour de la scène du centre Europe de Colmar.
Photos : Robert Hechinger