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8 février 2022
Il ne faudra plus qu'un masque FFP2 pour faire ses courses dans le Bade-Wurtemberg
Covid-19
À compter de ce mercredi, le Bade-Wurtemberg supprime toutes les restrictions dans le commerce de détail. On peut refaire du shopping « comme avant », c’est-à-dire sans être ni vacciné, ni même testé.
À compter de ce mercredi, le Bade-Wurtemberg supprime toutes les restrictions dans le commerce de détail. On peut refaire du shopping « comme avant », c’est-à-dire sans être ni vacciné, ni même testé.
(...) Ce changement de cap s’expliquerait aussi par le fait que le gouvernement est de plus en plus confronté à la lassitude voire l’exaspération la population. Selon la police, plus de 56 000 personnes ont encore défilé lundi soir contre les restrictions Covid. Près de 30 000 personnes avaient déjà manifesté samedi. Ces cortèges qui provoquent embouteillages et déploiements policiers dans les centres-villes gênent du coup l’activité des magasins. À Fribourg-en-Brisgau par exemple, les commerçants disent perdre jusqu’à 40 % de chiffres d’affaires par rapport à un samedi normal.
Photo L’Alsace /Vincent VOEGTLIN |
Le scandale du NON TRAITEMENT
Nanci Nette
Scandale, car si on ne traite pas il y a des morts ou des hospitalisations en soins critiques.
Et s'il y a des morts et des personnes en soins critiques, ça fait peur, ça alimente des "chiffres".
Scandale car on explique aux gens qu'il n'y a que le "vaccin" qui peut les protéger (pourtant ce n'en est pas un : un vaccin au point protège et immunise pendant plusieurs années)... alors les gens se font vacciner.
Ils sont trompés, abusés. Certains auront des séquelles d'un Covid qui aurait pu être stoppé, et d'autres auront des séquelles liées à des injections qui n'auraient jamais dû commencer. Ces injections affaiblissent l'immunité et c'est dramatique, voire criminel.
Le Covid se soigne, on le sait, on l'a su tout de suite.
Merci à tous ces médecins qui continuent de soigner.
Merci à ce médecin qui a soigné plus de 600 Covid avant d'être suspendu parce qu'il ose parler, beaucoup d'autres soignent mais ne prennent pas le risque de le dire ou de déconseiller publiquement cette injection.
Soigner est encore possible, mais le gouvernement veut continuer à interdire toute substance efficace ou à entraver son usage afin que l'injection expérimentale soit présentée comme l'unique solution.
Laurent Montesino
Scandale, car si on ne traite pas il y a des morts ou des hospitalisations en soins critiques.
Et s'il y a des morts et des personnes en soins critiques, ça fait peur, ça alimente des "chiffres".
Scandale car on explique aux gens qu'il n'y a que le "vaccin" qui peut les protéger (pourtant ce n'en est pas un : un vaccin au point protège et immunise pendant plusieurs années)... alors les gens se font vacciner.
Ils sont trompés, abusés. Certains auront des séquelles d'un Covid qui aurait pu être stoppé, et d'autres auront des séquelles liées à des injections qui n'auraient jamais dû commencer. Ces injections affaiblissent l'immunité et c'est dramatique, voire criminel.
Le Covid se soigne, on le sait, on l'a su tout de suite.
Merci à tous ces médecins qui continuent de soigner.
Merci à ce médecin qui a soigné plus de 600 Covid avant d'être suspendu parce qu'il ose parler, beaucoup d'autres soignent mais ne prennent pas le risque de le dire ou de déconseiller publiquement cette injection.
Soigner est encore possible, mais le gouvernement veut continuer à interdire toute substance efficace ou à entraver son usage afin que l'injection expérimentale soit présentée comme l'unique solution.
Laurent Montesino
Médecin réanimateur suspendu : « C'est une première mondiale dans l'histoire de la médecine ! Il y a des gens qui sont prêts à attraper la maladie pour pouvoir éviter le traitement obligatoire ! »
Les enjeux éthiques de la vaccination contre le virus Covid-19
Pr Sami RICHA
Depuis le mois de décembre 2020, une large partie des pays du monde s’est lancée dans une campagne de vaccination contre le virus Covid-19 qui a propulsé l’humanité dans une pandémie de grande envergure. Plusieurs repères éthiques tendent à se profiler devant une telle campagne qui est appelée à s’intensifier partout dans le monde. « À force de sacrifier l’essentiel à l’urgence, on finit par oublier l’urgence de l’essentiel », avait dit un jour Edgar Morin, philosophe français. Voilà pourquoi il importe de bien réfléchir à cette action de vaccination pour ne pas heurter les populations du monde déjà largement éprouvées par cette hécatombe des temps modernes.
Il s’agit en premier de délivrer une information claire, loyale et compréhensible pour le public sur le développement des vaccins. Dans un contexte où les supports de l’information se multiplient, une pluralité d’individus ou de groupes, au-delà des cercles scientifiques et médicaux, prétendent dire le vrai sur les vaccins. Dans ce contexte, il faut créer les conditions pour que l’information se conjugue à la concertation. Il s’agit de prendre en compte la diversité des points de vue sur la vaccination en favorisant une délibération collective sur la valeur du geste vaccinal.
Il importe ainsi que les médecins qui ont avancé des théories et souvent leurs contraires depuis la première vague en février de l’an passé, qui ont occupé les plateaux de télévision et l’espace médiatique de façon forcenée, puissent avoir l’humilité de participer à des débats collectifs. En n’imposant pas leurs points de vue, mais en sachant écouter et comprendre. Ainsi, prioriser pour l’accès aux vaccins les plus fragiles, en commençant par les tranches d’âge les plus avancées en nombre d’années et les personnes souffrant de comorbidités diverses, démontre un souci de respect de la vulnérabilité et doit être retenu comme une panacée à l’égard d’un virus manifestement gérontophile.
Dans un deuxième temps, il faut « faire preuve de vigilance dans le processus de recueil du consentement à la vaccination des personnes vulnérables, le temps imparti à la délivrance de l’information et à son appropriation par la personne dans l’élaboration de son choix d’accepter ou non la vaccination », comme l’a si bien conseillé l’avis du Comité consultatif national français en réponse à la demande de saisine du ministre de la Santé en France. Cela doit être respecté quel que soit le contexte d’urgence. Car urgence ne devrait pas être précipitation. Un geste vaccinal est d’abord un geste médical, comme une prescription de médicaments ou un acte chirurgical, et à ce titre, il requiert le consentement le plus libre et éclairé possible. L’obligation vaccinale – même pour les soignants – ne peut être retenue à partir du moment où de nombreux gestes à respecter peuvent garder à distance le virus.
De plus, il est évident que la culpabilisation comme mode de communication doit être exclue. « Elle est à la fois contre-productive et contraire aux valeurs de la démocratie. La question se pose, au surplus, de savoir si les institutions ont pour seule vocation d’informer, de rassurer sur l’inocuité des vaccins, et de convaincre sur leurs bienfaits individuels et collectifs. Ou si elles doivent aussi prendre en compte la pluralité des valeurs et créer les conditions d’une concertation sur les modalités de mise en œuvre de la vaccination. Si tel est le cas, il s’agirait de créer les conditions d’une communication qui ne soit pas unidirectionnelle – des institutions et des sachant vers les citoyens – mais multidirectionnelle », comme l’a stipulé l’espace éthique de la région Île-de-France.
Les populations touchées souffrant des affres du virus et de ses retombées, il convient de ne pas culpabiliser là où il faut soutenir, écouter, apaiser. L’imaginaire des vaccins a toujours été teinté de gravité et d’inquiétude et il est tout à fait légitime de voir s’installer doutes et appréhensions devant le seul vaccin de l’humanité mis en place en un temps record, en moins d’un an de l’apparition du virus correspondant !
Par ailleurs, il est impératif de veiller au respect des règles de protection des données, de la vie privée et du secret médical, dans la collecte des données nécessaires à la traçabilité des événements associés à la vaccination, et leur partage à des fins de pharmacovigilance, de recherche épidémiologique ou en santé publique. Dans de nombreux centres au Liban (et peut-être ailleurs), au vu de la multiplicité des intervenants, des espaces ouverts réservés aux campagnes de vaccination, il est permis de douter que ces informations puissent être gardées confidentielles. Rendre possible le colloque singulier soignant-soigné cher à Paul Ricoeur à travers une délivrance de vaccin par les médecins en cabinet privé (et éventuellement par des pharmaciens en officine ou même des infirmiers) serait plus approprié que de continuer dans l’option des méga-centres.
Enfin, le sacro-saint principe de l’égalité d’accès aux soins, même de prévention comme les vaccins, doit savoir être respecté. Un vaccin doit rester accessible à toutes les franges de la population.
En respectant ainsi ces principes, l’équité, la justice, la transparence et la légitimité doivent se conjuguer même – et peut-être surtout – en temps d’urgence pour gagner la confiance du public à ce processus qui le touche en premier. 22/4/2021
Sami RICHA
Depuis le mois de décembre 2020, une large partie des pays du monde s’est lancée dans une campagne de vaccination contre le virus Covid-19 qui a propulsé l’humanité dans une pandémie de grande envergure. Plusieurs repères éthiques tendent à se profiler devant une telle campagne qui est appelée à s’intensifier partout dans le monde. « À force de sacrifier l’essentiel à l’urgence, on finit par oublier l’urgence de l’essentiel », avait dit un jour Edgar Morin, philosophe français. Voilà pourquoi il importe de bien réfléchir à cette action de vaccination pour ne pas heurter les populations du monde déjà largement éprouvées par cette hécatombe des temps modernes.
Il s’agit en premier de délivrer une information claire, loyale et compréhensible pour le public sur le développement des vaccins. Dans un contexte où les supports de l’information se multiplient, une pluralité d’individus ou de groupes, au-delà des cercles scientifiques et médicaux, prétendent dire le vrai sur les vaccins. Dans ce contexte, il faut créer les conditions pour que l’information se conjugue à la concertation. Il s’agit de prendre en compte la diversité des points de vue sur la vaccination en favorisant une délibération collective sur la valeur du geste vaccinal.
Il importe ainsi que les médecins qui ont avancé des théories et souvent leurs contraires depuis la première vague en février de l’an passé, qui ont occupé les plateaux de télévision et l’espace médiatique de façon forcenée, puissent avoir l’humilité de participer à des débats collectifs. En n’imposant pas leurs points de vue, mais en sachant écouter et comprendre. Ainsi, prioriser pour l’accès aux vaccins les plus fragiles, en commençant par les tranches d’âge les plus avancées en nombre d’années et les personnes souffrant de comorbidités diverses, démontre un souci de respect de la vulnérabilité et doit être retenu comme une panacée à l’égard d’un virus manifestement gérontophile.
Dans un deuxième temps, il faut « faire preuve de vigilance dans le processus de recueil du consentement à la vaccination des personnes vulnérables, le temps imparti à la délivrance de l’information et à son appropriation par la personne dans l’élaboration de son choix d’accepter ou non la vaccination », comme l’a si bien conseillé l’avis du Comité consultatif national français en réponse à la demande de saisine du ministre de la Santé en France. Cela doit être respecté quel que soit le contexte d’urgence. Car urgence ne devrait pas être précipitation. Un geste vaccinal est d’abord un geste médical, comme une prescription de médicaments ou un acte chirurgical, et à ce titre, il requiert le consentement le plus libre et éclairé possible. L’obligation vaccinale – même pour les soignants – ne peut être retenue à partir du moment où de nombreux gestes à respecter peuvent garder à distance le virus.
De plus, il est évident que la culpabilisation comme mode de communication doit être exclue. « Elle est à la fois contre-productive et contraire aux valeurs de la démocratie. La question se pose, au surplus, de savoir si les institutions ont pour seule vocation d’informer, de rassurer sur l’inocuité des vaccins, et de convaincre sur leurs bienfaits individuels et collectifs. Ou si elles doivent aussi prendre en compte la pluralité des valeurs et créer les conditions d’une concertation sur les modalités de mise en œuvre de la vaccination. Si tel est le cas, il s’agirait de créer les conditions d’une communication qui ne soit pas unidirectionnelle – des institutions et des sachant vers les citoyens – mais multidirectionnelle », comme l’a stipulé l’espace éthique de la région Île-de-France.
Les populations touchées souffrant des affres du virus et de ses retombées, il convient de ne pas culpabiliser là où il faut soutenir, écouter, apaiser. L’imaginaire des vaccins a toujours été teinté de gravité et d’inquiétude et il est tout à fait légitime de voir s’installer doutes et appréhensions devant le seul vaccin de l’humanité mis en place en un temps record, en moins d’un an de l’apparition du virus correspondant !
Par ailleurs, il est impératif de veiller au respect des règles de protection des données, de la vie privée et du secret médical, dans la collecte des données nécessaires à la traçabilité des événements associés à la vaccination, et leur partage à des fins de pharmacovigilance, de recherche épidémiologique ou en santé publique. Dans de nombreux centres au Liban (et peut-être ailleurs), au vu de la multiplicité des intervenants, des espaces ouverts réservés aux campagnes de vaccination, il est permis de douter que ces informations puissent être gardées confidentielles. Rendre possible le colloque singulier soignant-soigné cher à Paul Ricoeur à travers une délivrance de vaccin par les médecins en cabinet privé (et éventuellement par des pharmaciens en officine ou même des infirmiers) serait plus approprié que de continuer dans l’option des méga-centres.
Enfin, le sacro-saint principe de l’égalité d’accès aux soins, même de prévention comme les vaccins, doit savoir être respecté. Un vaccin doit rester accessible à toutes les franges de la population.
En respectant ainsi ces principes, l’équité, la justice, la transparence et la légitimité doivent se conjuguer même – et peut-être surtout – en temps d’urgence pour gagner la confiance du public à ce processus qui le touche en premier. 22/4/2021
Professeur de psychiatrie – faculté de médecine de l’Université Saint-Joseph
Chef de service – Hôtel-Dieu de France
Président de la Société libanaise de psychiatrie
Chef de service – Hôtel-Dieu de France
Président de la Société libanaise de psychiatrie
Les Ehpad et le reste
Pierre Duriot
Pitoyable presse, une fois de plus, qui sonne la curée contre les grands argentiers de la fin de vie. La voilà qui dénonce pêle-mêle, le fric fait sur le dos des familles, les mauvais traitements, les maigres repas et les contrats de travail bidons. En oubliant sagement de préciser que tout cela se fait sous couvert des Agences régionales de santé, c’est-à-dire du gouvernement, qui supervise à peu près tout, depuis l’octroi des agréments, jusqu’aux embauches des personnels, qui sont même subventionnés par de l’argent public. L’État ne découvre pas les méthodes des grands groupes de l’accueil de la fin de vie, il les accompagne en conscience, depuis des années. On ne peut même pas dire qu’il n’ait pas été prévenu, puisque les alertes de la part des syndicalistes et des familles ont été nombreuses. Mais voilà, les contrôles sont difficiles, les inspecteurs du travail peu nombreux, l’accès aux paperasses compliqué, tout cela d’autant plus que l’on préfère fermer les yeux. L’État ne découvre certes pas, il a accompagné, il est même, n’ayons pas peur des mots, complice, de pratiques insupportables, qui durent depuis des années. Nous le répétons depuis le début de cette pseudo-campagne électorale. Quel que soit le domaine, l’argent public est dispensé sans contrôle et sans vrais comptes. Cet État qui se fait fort de dépister en un temps record, quelques milliers de faux passes-sanitaires, continue à verser des retraites à des gens morts, à subventionner de fausses cartes Vitale et à engraisser des actionnaires amis en regardant ailleurs. Il faudrait, plus que mettre de l’ordre, nettoyer les écuries d’Augias.
Pitoyable presse, une fois de plus, qui sonne la curée contre les grands argentiers de la fin de vie. La voilà qui dénonce pêle-mêle, le fric fait sur le dos des familles, les mauvais traitements, les maigres repas et les contrats de travail bidons. En oubliant sagement de préciser que tout cela se fait sous couvert des Agences régionales de santé, c’est-à-dire du gouvernement, qui supervise à peu près tout, depuis l’octroi des agréments, jusqu’aux embauches des personnels, qui sont même subventionnés par de l’argent public. L’État ne découvre pas les méthodes des grands groupes de l’accueil de la fin de vie, il les accompagne en conscience, depuis des années. On ne peut même pas dire qu’il n’ait pas été prévenu, puisque les alertes de la part des syndicalistes et des familles ont été nombreuses. Mais voilà, les contrôles sont difficiles, les inspecteurs du travail peu nombreux, l’accès aux paperasses compliqué, tout cela d’autant plus que l’on préfère fermer les yeux. L’État ne découvre certes pas, il a accompagné, il est même, n’ayons pas peur des mots, complice, de pratiques insupportables, qui durent depuis des années. Nous le répétons depuis le début de cette pseudo-campagne électorale. Quel que soit le domaine, l’argent public est dispensé sans contrôle et sans vrais comptes. Cet État qui se fait fort de dépister en un temps record, quelques milliers de faux passes-sanitaires, continue à verser des retraites à des gens morts, à subventionner de fausses cartes Vitale et à engraisser des actionnaires amis en regardant ailleurs. Il faudrait, plus que mettre de l’ordre, nettoyer les écuries d’Augias.
La galerie Murmure vous souhaite une bonne Saint-Valentin !
Un bouquet de fleurs éternelles...
Une touche de douceur...
Une plongée dans l'infini... ou dans la nature...
Une échappée belle... hors du temps...
L'art comme promesse d'éternité...
Œuvres de Marc Chagall, Marie-Gaëlle Moldo, Sophie Patry, Julia Morlot, Michel Cornu, David Daoud, Yolaine Wuest, Rose-Marie Crespin






5 place de l’Ancienne Douane
68000 Colmar
www.galerie-murmure.com
contact@galerie-murmure.fr
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Un bouquet de fleurs éternelles...
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