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30 mars 2022

☐ Face-à-face Marion Maréchal / Valérie Pécresse

https://www.youtube.com/watch?v=JUDIZ1s_vi8





☐ Face-à-face Adrien Quatennens (LFI) / Valérie Pécresse

⇒ https://www.youtube.com/watch?v=uncGij2SfSc



29 mars 2022

Anne-Sophie Chazaud

L’affaire McKinsey comme fait politique total

« Que ça aille au pénal ! » a donc lancé, en forme de nouveau « Qu’ils viennent me chercher ! », le jeune représentant de l’extrême-centre.
Vous le savez peut-être, je prépare pour la rentrée prochaine un essai qui, prenant au départ appui sur la question de la société de surveillance, analyse la dérive d’une société procédant par multiples confiscations anti-démocratiques dans de nombreux domaines, lesquelles traduisent en réalité, pour ce qui nous concerne, un changement de régime. La question que cela pose est : sommes-nous réellement encore en démocratie, entendons par là dans une démocratie fonctionnant de manière saine ?
L’affaire McKinsey – et autres cabinets de conseil – et le climat qui l’entoure permet d’illustrer cette dérive.
Tout agité et manifestement contrarié, au bord de taper du pied par terre et la houpette au vent, le chef de la Macronie a donc engagé ceux qui, lucides, comprennent que l’affaire McKinsey constitue bien une affaire d’État, à « aller au pénal ». Mais bien sûr, c’est tellement simple ! Et puis, allons au pénal à 2 semaines des élections ! Autre manière d’ailleurs de dire que le macronisme consiste à décorréler le politique (élections) du réel (renvoyé aux calendes grecques d’un hypothétique calendrier judiciaire) et à « assumer » que l’on n’ait jamais de comptes politiques à rendre en particulier lorsqu’on se soustrait au débat.
La première dérive, évidente, que l’on peut ici relever, est celle d’une démocratie où la justice dysfonctionne lourdement. Rappelons qu’il y a 5 ans, à quelques encablures de la présidentielle, la magistrature et notamment le PNF qui ne bouge pourtant pas une oreille sur le gigantesque scandale en cours, ont, pour une question infiniment moins grave (bien que répréhensible) dézingué le candidat Fillon par une opération express dans le but clair de porter le candidat Macron au pouvoir. Comment fait-on pour « aller au pénal » quand ceux qui sont supposément les garants et les détenteurs de l’autorité judiciaire sont aux ordres du pouvoir en place, voire anticipent ses ordres parce que cela va dans le sens idéologique qui leur convient ? Cette analyse a déjà été largement étayée et trouve ici sa pleine illustration. Notons que, quand bien même il y aurait une action en justice, le temps judiciaire qui serait déployé serait, là encore, mis au service du pouvoir et l’on serait loin de l’expédition punitive expresse du type Fillon qui ne semble pouvoir s’abattre que sur les adversaires de la Macronie.
Ce scandale, dont le pouvoir décrète lui-même (on n’est jamais mieux servi que par soi-même) qu’il ne constitue pas une « affaire d’État », révèle par ailleurs l’absence quasi-totale de contrepouvoir médiatique. On est bien loin du Pullitzer, à l’exception de ceux qui ont eu le courage de lancer le scandale et qui trouvent bien peu de relais auprès de leurs confrères.
Pas de justice réelle donc, pas non plus d’indépendance médiatique : occuper le terrain du débat présidentiel par l’affaire ukrainienne, ad nauseam, afin de ne surtout pas mettre le candidat Macron en danger en le confrontant au bilan calamiteux tous azimuts du président Macron, telle semble être la nouvelle mission que se sont fixée les petits agents journalistiques zélés d’un système parvenu au bout de son ineptie anti-démocratique, où toute forme de contestation, d’opposition, voire de travail de contrôle parlementaire (en l’occurrence l’enquête du Sénat) est taxée de « complotiste ».
Sans les réseaux sociaux pourtant sous haute surveillance, cette affaire, littéralement gigantesque par tous ses aspects, et qui fait la une à l’étranger d’où l’on nous regarde à juste titre comme une démocratie malade et corrompue, serait déjà enterrée et passée aux oubliettes.
Le fait que la Macronie et que ses appuis (ici justice et médias) s’imaginent pouvoir passer outre malgré les révélations, en dit long également sur le niveau d’apathie des citoyens, estourbis par 5 ans de comportements antidémocratiques, d’éborgnages, de mépris, de violences, de lois liberticides et autres confiscations polymorphes.
L’affaire Benalla et son cortège de manipulations, l’affaire de prédation Alstom (dite affaire Pécron) – par exemple – le traitement indigne de la révolte sociale des Gilets Jaunes, le traitement erratique de la crise sanitaire ont démontré que le pouvoir pouvait tout se permettre, qu’il n’y avait dans le fond plus de limites ni de barrières, alors, pourquoi se gêner puisqu’au final le bloc élitaire finirait toujours par se rassembler dans la préservation de ses intérêts, comme il l’a manifesté aux européennes, trop content que l’on casse du gueux ?
L’affaire McKinsey révèle aussi les travers d’un pouvoir néolibéral (ce qui explique que ces pratiques soient mondiales, d’où la bêtise inepte du raisonnement « les autres font pareil ») qui décide de faire sécession, sous prétexte de meilleure efficacité, de son propre corps social ainsi que de ses propres agents, lesquels sont pourtant formés à cela et qui fournissaient jusqu’alors ces services d’évaluation et d’expertise. Cette manière de privatiser l’action publique (y compris l’action du législateur) est grave en ce qu’elle cherche, sur le modèle managérial importé du secteur privé, à expulser en quelque sorte la fonction publique de ses propres prérogatives et, partant, par cette externalisation, à dénaturer voire anéantir la notion-même d’intérêt général. Il est du reste normal que ce soit le même pouvoir qui décide démagogiquement de supprimer l’ENA. À quoi bon, même, si l’on va jusqu’au bout de la logique, des cadres supérieurs et des hauts fonctionnaires puisqu’on a les copains intéressés, fabricants de powerpoints et de punchlines incultes, auxquels on confie le dépeçage des fleurons et des outils de pilotage et de gestion stratégique de l’État ?
L’intérêt général n’existe plus et laisse la place à la somme des intérêts particuliers, à la gabegie et aux dépenses inconsidérées de l’argent du contribuable, ainsi qu’à la guerre de tous contre tous, à quoi peut d’ailleurs se résumer le quinquennat Macron. C’est le « there is no society » version disruptive nimbée d’inculture communicante.
Il est à noter que cette externalisation de l’action publique vient redoubler les effets de la gouvernance européenne qui, on a encore pu le constater récemment, prend des décisions déconnectées de tout processus démocratique en lieu et place des peuples souverains (liberté d’information, transfert des données personnelles aux USA, soumission au racket américain du gaz de schiste destructeur d’environnement et qui va peser lourdement sur les citoyens européens sans que ceux-ci aient eu le droit de se prononcer, pour les exemples les plus récents, etc.).
En ce sens, l’affaire McKinsey constitue, outre un scandale majeur, un fait politique total (je ne suis pas ici exhaustive) qui tout à la fois révèle et incarne la dérive anti-démocratique de notre régime politique : l’illibéralisme comme aboutissement naturel du néolibéralisme.
Il y a encore 2 semaines pour empêcher que cette dérive ne se poursuive et pour que l’action publique et politique retrouve son sens et sa valeur.
Je vous souhaite une bonne semaine (mes publications demeurent inivisibilisées par fb pour encore 3 jours mais peu importe).

Méli-mélo


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⬦ Bientôt le vaccin Vivaldi : un pour chaque saison.


⬦ « De la contradiction naît la lumière » dit-on.


⬦ La liberté consiste d’abord à ne pas mentir. Là où le mensonge prolifère, la tyrannie s’annonce ou se perpétue.
Albert Camus


⬦ S'abstenir équivaut à voter Macron. Alors j'irai voter.


⬦ Certains inventeront le passe-muraille...


⬦ S'il vous plaît ne mélenchon pas tout.


⬦ Si je baisse la température de 2º je sauve une Ukrainienne.


⬦ Il vaut mieux être de drôles de gens que des gens pas drôles.


⬦ Le plus étrange, c'est que malgré les gestes barrière et le vaccin, l'épidémie de Covid n'a pas lâché prise...


⬦ Il reste encore beaucoup de covidistes en manque de doses.


⬦ Ne vous réjouissez pas, le pass est seulement suspendu. Vous avez juste une permission pour aller voter Macron.


⬦ De mauvaises langues prétendent que Véran serait prié de se faire discret, plus question d’évoquer la gestion de la covid... Tout oublier...


⬦ Le projet qui accompagne Macron et ses semblables est la gestion globale du bétail humain. C'est ainsi qu'ils nous voient. C'est ainsi qu'ils nous veulent.
Votez.


⬦ Standardisation et numérisation poussées à l'extrême ne sont pas synonymes de progrès et sont contraires à une société qui respecte les droits et les besoins de chacun.


⬦ Patience et longueur de temps font plus que force ni que rage.
Jean de La Fontaine, Le lion et le rat

28 mars 2022

Conflit ukrainien

Éric Denécé : "Il ne faut pas éluder les responsabilités du régime de Zelensky"

https://www.youtube.com/watch?v=INwOOm8uWU0



Bernard Friedrich

Ce que je vois, lis ou entends ces derniers jours me conforte dans l'idée qu'il n'était peut-être pas si judicieux de se précipiter pour aller chercher des réfugiés (déjà sauvés en fait) pour se retrouver aujourd'hui avec sur les bras des milliers de malheureux dont on ne sait s'occuper ! Réfléchir avant d'agir ! Dommage que l'État ait attendu si longtemps avant de mesurer l'immensité du défi ! Je reste d'avis qu'il faut tout faire pour maintenir des "communautés" qui pourraient d'ailleurs servir de famille d'accueil aux innombrables gosses isolés : ce qui suppose que nous ayons la "générosité" de sacrifier quelques-unes de nos structures destinées au tourisme de masse pour offrir à ce peuple dans la misère un cadre de vie digne en attendant qu'il puisse retrouver son sol dès que les circonstances le permettront. L'hébergement "individuel" devrait rester une exception.

Générosité et réalisme !

Ils sont sublimes tous ces actes généreux qui chaque jour de plus en plus nombreux viennent porter secours aux milliers (millions en fait) d'Ukrainiens fuyant leur pays. Et pourtant certains peuvent poser question.
La récupération, l'acheminement, l'accueil puis la répartition et le suivi des réfugiés, ne peuvent être laissés à l'initiative « privée » aussi noble cette dernière puisse-t-elle être ; sauf cas exceptionnel lorsqu'il s'agit de recueillir des membres de sa famille ou de proches. Il s'agit d'une responsabilité et compétence exclusives de l'État !
En effet, seul l'État peut décider de qui entre et séjourne sur son territoire ; seul l'État et ses représentants disposent des moyens pour réquisitionner si nécessaire personnes et biens, fixer les règles, fournir les moyens indispensables aux fonctions de la vie courante telle que sécurité ou soutien médical etc. Aucun citoyen, aucune association ne dispose de ces pouvoirs ! Mais la solidarité, la générosité, l'adhésion de tous est indispensable.
Dans l'immédiat, ces « réfugiés » vivent dans des conditions plus ou moins confortables, peut-être loin des membres de leur famille. Mais au moins la peur et la misère ont baissé d'un cran ! Demeure l'inquiétude de lendemains incertains dans des lieux inconnus.
Notre territoire regorge de mobil-homes conçus pour une vie décente et implantés sur des terrains de camping pour la majorité proches des commodités ; endroits parfaits pour concilier vie familiale et respect des communautés qui pourront y recréer au mieux leur cadre de vie traditionnel. Lieux où en outre il est facile d'organiser les relais administratifs et de soutien indispensables. Et bien d'autres structures prêtes à l'emploi à moindre coût existent ! Notre solidarité s'y concrétisera par les gestes de soutien que chacun de nous y apportera au quotidien.

COULEURS DE LA TURQUIE D'AUJOURD'HUI

à la médiathèque de Colmar jusqu'au 14 avril
Drieu Godefridi

L’Homme vaut tellement mieux que la géhenne sordide des écologistes

Entretien à la revue Naves en Llamas (Espagne), mars 2022 (rédigé le 19 janvier 2022)


‘Se concentrer sur le Baal hideux qui prétend sauver ‘Gaïa’, en lui sacrifiant ses enfants’

Naves en Llamas : Selon vous, les différents gouvernements occidentaux utilisent-ils la pandémie de Covid pour altérer, limiter ou suspendre la démocratie et les libertés individuelles ? Quel serait le but de ce processus ? Les institutions européennes, accélèrent-elles ce processus liberticide ?

Godefridi. Il est temps de retrouver le sens des réalités. L’Occident subit en effet un assaut terrible, massif contre la liberté, à visage découvert, comme nous n’en avions pas connu depuis l’Allemagne des années trente et l’Italie des années vingt. Partout, à tout moment, dans chacune de ses activités, quels que soient ses faits et gestes, l’Homme occidental — au sens générique, les femmes ne sont pas moins concernées — est borné, encadré, canalisé, limité, cantonné, contrôlé, bridé et comme dénaturé. Sa mobilité est entravée, quand elle n’est pas réduite à néant.

Les libertés constitutionnelles sont bafouées par de simples règlements, des arrêtés, comme si l’arbitraire allait désormais de soi, le plus souvent dans la plus parfaite impunité judiciaire et médiatique. La contestation de ce qui n’est pourtant qu’une idéologie, de nature purement politique, est méprisée, battue en brèche, quand elle n’est pas criminalisée en droit. Oui, vous avez raison, l’Homme occidental voit aujourd’hui se lever le plus formidable tsunami liberticide qui ait jamais barré son horizon depuis les infectes orgies barbares du régime national-socialiste. Nos frères d’Europe centrale et de l’Est sont d’autant plus sensibles à ce nouveau totalitarisme qu’ils gémissaient encore sous la semelle trouée des communistes il y a quarante ans. Tout cela est avéré. Vous avez raison.

Ce tsunami liberticide, cette vague de fond est constamment aggravée par l’Union européenne — là encore, vous avez raison. Tandis que la noble réalisation du marché commun se juchait sur quatre libertés — des personnes, des marchandises, des capitaux, des services — il ne se passe plus un jour sans que la Commission ou le Parlement européens n’initie ou n’adopte un nouveau diktat ouvertement liberticide — et doublement : castrateur de la liberté des pays, comme de la liberté des personnes. Douce illusion que le ‘principe de subsidiarité’, aussi engageant en mots qu’impuissant face à la moraine impérialiste du ‘droit européen’.

C’est une scène désormais ordinaire de la vie de l’Europe que ces Commissaires qui annoncent de nouvelles restrictions, d’autres empiètements sur les libertés de dire, de faire ou de penser, ces libertés chéries pour lesquelles périrent des Tommies acculés sur les plages à Dunkerque, des as de vingt ans, torches tragiques et sublimes dans le ciel anglais, des Belges, des Français, des ‘Hillbillies’ de l’Oklahoma et du Kentucky. Sang et trame de notre civilisation, la liberté. N’était la liberté, disait Immanuel Kant, le concept de morale serait aussi vide qu’une coquille. Dans les discours funèbres et péremptoires du sinistre commissaire européen Frans Timmermans, la liberté n’est plus qu’un embarras, une variable d’ajustement, un sursis, relique d’une époque révolue.
“Tandis que les naïfs se hérissent des détails et péripéties inhérents à la gestion des affaires humaines, d’implacables idéologues écologistes de tous les partis avancent leurs pions, échafaudent leurs schèmes et soumettent les textes d’un ordre nouveau à tous les niveaux de pouvoir.”

La menace mortelle dont il s’agit, cet hydre insatiable porte un nom : écologisme. Tandis que les naïfs se hérissent des détails et péripéties inhérents à la gestion des affaires humaines, d’implacables idéologues écologistes de tous les partis avancent leurs pions, échafaudent leurs schèmes et soumettent les textes d’un ordre nouveau à tous les niveaux de pouvoir. Un spectre plane sur l’Europe, en vérité ! Ce spectre est celui de l’écologisme. Ne nous trompons pas d’adversaire. Quand des intellectuels écologistes réclament ouvertement la dictature — la dictature ! — il est sot de pleurnicher parce qu’on nous tend un masque en papier.

Le COVID — en toute rigueur le SARS-CoV-2 — est un virus né à Wuhan, Chine. Il s’est vraisemblablement échappé d’un laboratoire après qu’on lui eut fait subir des manipulations pour en aggraver la contagiosité humaine. Mission couronnée d’un succès merveilleux, planétaire et qui ne se dément pas depuis deux ans. Lorsque ce virus se fut répandu sur le monde, suite aux mensonges et dénégations du régime chinois — second crime du régime communiste — il fallut prendre des mesures.

Je rappelle brièvement la réalité d’une pandémie. Dans les phases de contagion exponentielle, si rien n’est fait, les systèmes de santé sont bientôt submergés. Cela, quels que soient la nature du système de santé considéré — parfaitement libérale, totalement soviétisée, ou intermédiaire (cas de la Grande-Bretagne) — et le nombre de lits disponibles. C’est le principe de la contagion exponentielle inhérent à la définition d’une pandémie. Dans ce contexte, des mesures doivent être prises — et l’ont été par 200 pays dans le monde. Ce n’est pas un choix, c’est une nécessité. Un système de santé paralysé implique à très court terme la paralysie de la société. Quand les hôpitaux sont saturés, les gens meurent; les cancéreux meurent; les fractures ouvertes meurent; les occlusions intestinales meurent, les problèmes cardiaques entraînent la mort, les AVC meurent, les femmes enceintes avec complications meurent.

Les mesures prises en pandémie sont de trois ordres : distanciation, vaccins, ‘lockdown’ (confinement, en français). Par la vertu du formidablement visionnaire et prescient programme américain ‘Warp Speed’, des vaccins anti-COVID furent développés en neuf mois — le précédent record était 5 ans (Ebola). Fabuleuse prouesse, dont les acteurs scientifiques méritent d’être salués. Ces vaccins se sont avérés décevants en terme de réduction de la contagion; décevants dans la durée. Mais formidablement efficaces quand il s’est agi de réduire la probabilité d’être hospitalisé, a fortiori mis sous respirateur. Brisant la chaîne causale infection/hospitalisation/USI-ICU/respirateur, ces vaccins, tout imparfaits qu’ils sont, ont sauvé le monde. La seule alternative eut été l’enfermement collectif pendant deux ans — pratique toujours en cours en Chine, dont les premiers vaccins se sont avérés autant d’échecs.

Le virus de Wuhan est une réalité. Omicron annonce possiblement l’entrée du COVID dans sa phase endémique, c’est-à-dire concrètement le règlement du problème sauf mauvaise surprise en automne. Des mesures devaient être prises. Elles l’ont souvent été dans des conditions de légalité douteuses, souvent exécrables, sans que toutefois jamais la démocratie — je réponds à votre question — n’ait été ‘suspendue’ — encore heureux ! — dans aucun pays occidental. Il faudra exiger la levée intégrale, immédiate et inconditionnelle de ces mesures dès que la pandémie sera entrée — comme celles qui l’ont précédée — dans sa phase endémique.
“La sortie de la pandémie permettra aux ‘freedom fighters’ de se concentrer sur le Baal hideux qui prétend sauver ‘Gaïa’, en lui sacrifiant ses enfants. L’Homme vaut tellement mieux que la géhenne sordide des écologistes.”

L’histoire montre que lorsque l’État met en place des programmes, pour excellents qu’en soient les motifs immédiats — comme ce fut le cas pendant la Deuxième guerre mondiale — il est extrêmement malaisé d’en obtenir l’abolition si l’on n’agit pas sans délai. C’est ce que devraient exiger ceux qui descendent dans la rue, au lieu de pester sottement contre ‘les vaccins’ et les distanciations qui leur ont sauvé la mise.

La sortie de la pandémie permettra aux freedom fighters de se concentrer sur le Baal hideux qui prétend sauver ‘Gaïa’, en lui sacrifiant ses enfants. L’Homme vaut tellement mieux que la géhenne sordide des écologistes.