Julie VaraderoEn 1998, le journal Le Parisien publiait un article sur les effets indésirables du vaccin contre l'hépatite B, sur des enfants vaccinés en masse en 1995.
Que penser, alors, de tous ces autres vaccins, traitements, et de la médecine occidentale dans sa globalité ? Va-t-on attendre des années pour révéler les erreurs et fautes commises consciemment ou non ?
Les effets secondaires du vaccin contre la covid sont déjà là. Ce n'est que sur le court terme.
Alors à moyen et long terme, que va-t-il se passer ? Aucun laboratoire, ni fabricant, ni gouvernement ne prendra sa responsabilité. Est-ce qu'un jour ils avoueront publiquement que ces effets et nouvelles maladies ont été provoqués par cette injection forcée ? Doit-on toujours attendre des années pour espérer que la vérité éclate ? Qu'il soit trop tard ?
Il n'y a jamais de fumée sans feu, et nous sommes parfaitement en droit de nous poser des questions. Comme pour l'amiante, l'inhalation de produits toxiques dans les blanchisseries ou de poussière de charbon dans les mines. C'est toujours trop tard.
Mais rassurez-vous, les laboratoires auront fabriqué des médicaments pour soigner les effets secondaires, puis d'autres médicaments pour soigner les effets secondaires du médicament qui soigne les effets secondaires du vaccin, ça n'a pas de fin. Et c'est voulu. Et c'est même très grave. Il n'y a pas de honte à s'en apercevoir seulement aujourd'hui.
N'ayez pas honte d'être vaccinés, nous ne vous rejetons pas. Il vaut mieux se réveiller tard que jamais. La société nous endoctrine tellement que peu de gens osent encore se poser des questions ou penser qu'on ne nous veut pas que du bien...
Conservez toutes les preuves. Continuez d'alerter autour de vous. Protégez ceux que vous pouvez.
Message
Je n'ai pas peur de mourir, j'ai plutôt peur de vivre. De vivre dans un monde égoïste, enfermée dans une prison dorée.
Aux forces de l'ordre : si vous souffrez de la chaleur, immobiles en plein soleil, ce n'est pas de notre faute... c'est le préfet qui a décidé de nous imposer des parcours, c'est lui aussi qui vous impose de rester plantés en plein soleil pour nous empêcher de pénétrer dans le centre-ville.
Aux commerçants : vous n'êtes pas les tout-puissants de Colmar. Et sachez qu'il y a beaucoup de vos collègues qui nous soutiennent. Et je comprends qu'ils restent discrets.
Au maire, au préfet, aux directeurs, aux patrons qui estiment qu'ils ne sont responsables ni du pass vaccinal, ni des mesures sanitaires, ni de la suspension de milliers de personnes, bien sûr que vous êtes responsables. Vous aviez le pouvoir de refuser au lieu d'obéir aux ordres.
N'en voulons pas à ceux qui sont encore endormis. Comment pourrait-on leur en vouloir ?
Rendez-vous compte à quel point le système nous lave le cerveau depuis notre plus jeune âge.
Je remercie toutes les personnes qui nous soutiennent, je remercie mes amis de longue date qui le sont restés malgré tout. Je remercie celles qui sont venues nous encourager. Les gens s’éveillent de plus en plus.
Je finirai par ces belles paroles de Grand Corps Malade :
Et le sens de la famille, c’est aussi le sens de l’amitié
Je peux te présenter des frères et sœurs qui n’ont pas le même sang
Frères d’espoir, sœurs de cœur, de galère ou de quartier
Faire des projets d’adultes dans des cerveaux d’adolescents
La famille, c’est aussi ceux qui sont devenus essentiels
Ceux qui te connaissent, te révèlent, te soutiennent et te protègent
Ceux qui te parlent la bouche fermée parce que le cœur s’en mêle
Si tu veux signer avec moi, faut signer avec tout le cortège.