- 19/12/2019 - À toutes celles et ceux qui, comme moi, ont eu le plaisir, la chance et n'ayons pas peur des mots, l'honneur de croiser madame V. Valentin, je ne peux que conseiller la lecture des quelques post figurant sur FB rédigés à l'issue de la dernière réunion du CM de Colmar... et d'y réfléchir. Quelles que soient ses opinions, force est à chacun de reconnaître là une personne de conviction, de grandes connaissances de la vie colmarienne et plus largement de la vie politique qui nous manquera. Chacun pourra apprécier combien il est regrettable et dommage que notre "système démocratique local" n'ait jamais pu offrir à de tels talents d'exprimer concrètement leur savoir-faire au service de l'intérêt général.
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19 décembre 2019
27 octobre 2019
Bernard FRIEDRICH
Changement de tactique ? Clap de fin ? Espoir d'un renouveau ?
Changement de tactique ? Clap de fin ? Espoir d'un renouveau ?
C'est un peu tout et n'importe quoi, ce début de campagne qui n'ose dire son nom ! Notre "bon maire", grand bâtisseur devant l'éternel, à l'image de ces grands pharaons soucieux d'inscrire leur nom dans le marbre pour l'éternité et gestionnaire reconnu, aurait-il au bout du compte la volonté de tirer le rideau sur un (trop) long règne, se conformant ainsi à son sage engagement de janvier 2014 ? Difficile à croire. Et pourtant, quel changement de méthode à quelques mois de l'échéance. Jusqu’alors, il nous avait habitué à multiplier ses largesses et investissements "ad hoc" en ultimes recours pour séduire (acheter) des électeurs. Le voici vantant ses réalisations passées, inaugurant à tour de bras, vantant ses bilans, nous saoulant jusqu'à l'ivresse d'euros engagés et de grands projets arrivant à maturité ; tout le contraire de promesses d'avenir. Certes l'homme est plein de surprises et peut toujours nous surprendre. La meilleure surprise qu'il pourrait nous faire serait d'avoir enfin atteint l'âge de sagesse, fier de la tâche accomplie et conscient que l'heure est venue de laisser à d'autres la mission de poursuivre son action, en insufflant un style nouveau et les changements qui s'imposent, dans un contexte global en pleine mutation dans la quasi totalité des domaines.
7 octobre 2019
Municipales colmariennes : le changement est à portée de main (et c'est un général qui le dit !)
Bernard Friedrich
Vrais et/ou faux sondages
Vrais et/ou faux sondages
La machine à voix s'emballe et il paraît de plus en plus difficile d'en tirer des conclusions. Ainsi le dernier que je viens de découvrir sur FB est assez révélateur de l'état d'esprit ambiant :
- Monsieur Meyer peut certes s'enorgueillir d'une "notoriété" à 95%. Après 20 années de règne, l'homme est connu, encore heureux. Mais les quelque 25% d'intentions de vote révélées par le sondage [il s'agit bien évidemment d'un faux sondage mais il reflète bien ce que l'on entend à longueur de journée] prouvent que sa seule personne séduit à peine un quart des électeurs potentiels qui comptent quelques irréductibles et celles et ceux pour qui il est avant tout Gilbert, celui qui arrose...
- Incontestablement, 75% des sondés veulent le changement dont plus de 10% de son propre camp.
En conclusion, celui qui a méchamment jeté son prédécesseur pour question "d'âge avancé" (âge que lui-même a déjà franchi) n'est plus indéboulonnable ET sous réserve que ses opposants sachent conclure les alliances qui vont bien, le changement est à notre porte. Qu'ils sachent mettre leur susceptibilité dans la poche et leurs idées en commun et ils gagneront. Même ceux pour qui "gagner" est avant tout une "obligation alimentaire" devraient éviter de renier leurs ambitions en s'alliant une fois de plus avec celui qui depuis tant d'années les mène par le bout du nez. Il y a 6 ans, il nous assurait par écrit "que cette élection serait son dernier mandat" ; il laissait croire à son fidèle exécuteur des basses œuvres qu'il lui passerait le relais. Certes un dicton voudrait que "seuls les imbéciles ne changent pas d'avis". La vie fourmille cependant d'exemples du contraire...
5 octobre 2019
Future nouvelle prison rue d'Agen à Colmar (suite)
Simple question de méthode, cher "Maître" !
Simple question de méthode, cher "Maître" !
☐ L'implantation de la future "structure pénitentiaire d'accompagnement (SAS) à la sortie des détenus" rue d'Agen inquiète les habitants du quartier ? Et alors ? dixit le maire, je vais lors, d'une réunion ou par une de mes "lettre du maire", leur expliquer la pertinence de ce choix. Il suffira de leur faire comprendre que l'établissement SAS n'a plus rien à voir avec une prison (sans pour autant tomber dans le piège du "centre aéré")... et que le choix de Colmar pour l'accueillir est une excellente chose pour la Ville, ce qui est indiscutable.
Cela étant, comment faire pour que le courrier du maire ne devienne pas "la lettre aux sans dents de la rue d'Agen" ? Exercice délicat dès lors que l'on considère que l'argumentation avancée n'a pas été "servie" aux riverains des Erlen pour justifier le choix initial de leur secteur !
Il n'est pas question de remettre en cause l'opportunité de l'opération "SAS". Mais une fois encore, la pertinence des méthodes de gestion du projet reste sujet à caution, le citoyen ayant de plus en plus souvent le sentiment d'être victime d'un simulacre de consultation et d'être mis devant le fait accompli.
[Bernard Friedrich]
☐ L'accueil de cette structure est une bonne chose pour Colmar. Toutefois, "qui peut le plus peut le moins"... C'est en ces termes que j'ai indiqué en réunion de Colmar Agglomération que si l'emplacement dans le quartier Sud pouvait accueillir une structure sur 8 ha, il est a fortiori en mesure d'en accueillir une qui ne nécessite que 2 ha. J'ai signalé que les habitants des rues d'Agen, de la Fecht et de leurs abords ne devaient pas être moins considérés que les autres et qu'il était urgent de leur expliquer la situation et de prendre en compte leurs doléances, à défaut d'avoir pris la peine de les consulter auparavant !
[Victorine Valentin]
16 août 2019
Bernard FRIEDRICH
L'impardonnable faute d'un grand maire trop addict au pouvoir... et désormais proche du parjure
L'impardonnable faute d'un grand maire trop addict au pouvoir... et désormais proche du parjure
« C'est avec émotion et beaucoup d'affection, que je vous annonce officiellement ma candidature aux Élections Municipales des 23 et 30 mars 2014. Ce sera mon dernier mandat si vous m'accordez votre confiance. Je tenais à vous faire cette annonce personnellement, avant l'information donnée par la presse (sic). » Les Colmariens auront reconnu le premier paragraphe de la "lettre du maire" du 27 janvier 2014 !
Toute spéculation relative à une nouvelle candidature en 2020 est donc à exclure. Pas si sûr à en croire la rumeur... et l'auteur lui-même qui a déclaré qu'il ne se prononcerait qu'en fin d'année ! Son excellente mémoire serait donc sélective : il ne peut avoir oublié cette importante promesse faite sans autre condition que celle d'être élu en 2014... sauf s'il ne s'agissait à l'époque que d'un de ces engagements attrape-nigaud.
Il ignore apparemment que « l'appât immodéré de l'argent, comme celui du pouvoir, a un prix : la dignité » (Paul Carvel).
« Tout pouvoir tend à corrompre. Un pouvoir absolu corrompt absolument. » Devrait-on appliquer cette sentence de Lord Acton à ce « bon maire » qui après vingt années de règne peut certes s'enorgueillir d'une réputation de bon gestionnaire et de quelques belles réalisations encore perfectibles MAIS qui doit aussi assumer une faute grave : celle d'avoir exercé un pouvoir sans partage, écartant sans ménagements quiconque ne partageait pas ses avis ou critiquait ses décisions, oubliant de préparer l'avenir... sauf le sien bien sûr. Démocratie ? Un terme à la saveur toute particulière pour cet homme en campagne permanente en vue d'une prochaine réélection : il aura ainsi réussi la triste performance d'éliminer toute opposition et, dans son camp, d'écraser dans l’œuf toute velléité de régner un jour. Pour n'avoir su au fil des ans déceler et former la « relève » - ce qui, aussi, est un devoir majeur de tout responsable - le voici acculé au « risque de parjure » s'il renie par une nouvelle « dernière » candidature ses engagements écrits de 2014. Triste fin pour un homme qui se targue d'une éthique irréprochable et clame haut et fort ne jamais faillir au respect de la parole donnée. Osera-t-il resservir son plat préféré du « choix gaullien » ou « cornélien » bien rassis depuis le triste épisode de l'élection annulée par le TA en 2008 pour « avoir exercé des pressions sur une partie de l'électorat » (sic) ? Croit-il vraiment être le seul capable de sauver Colmar de ce vide sidéral de candidats crédibles... vide dont lui seul est responsable ? Croit-il vraiment détenir LA vérité, être irréprochable dans ses choix et ses méthodes ?... au fond être irremplaçable ? Il serait bien le seul !
Certes il ne s'agit encore que de « bruits » et hormis l'assassinat de son dauphin présumé (tout compte fait un bon service rendu à ses concitoyens car qui mieux que lui pouvait en évaluer la valeur !) l'homme reste discret mais pas inactif à en croire les on-dit de sondages, contacts divers, voire de demande d'investiture LREM, en l'occurrence incontestablement un véritable crève-cœur pour ce fils spirituel du Général !
Si, comme il le prétend, il aime et ne veut que servir Colmar et les Colmariens (au détriment de ses intérêts personnels le cas échéant !) il doit mettre rapidement un terme à « l'insoutenable suspens » et confirmer l'engagement solennel et sans ambiguïté pris le 27 janvier 2014 ? Qu'il soit rassuré sur l'avenir de Colmar : il n'y aura pas de catastrophe, d'autres talents existent qui aiment eux aussi Colmar et possèdent compétences et expérience pour poursuivre son œuvre enrichie de nouvelles idées ! Il peut partir tranquille ; nul n'est irremplaçable et les Colmariens ne courent aucun risque !
7 août 2019
[Municipales]
Bernard FRIEDRICH
AU SECOURS !
Par un "partage" de madame V. Valentin je découvre que contrairement à ses engagements passés (2004), non seulement Gilbert Meyer a déjà décidé de se représenter aux prochaines municipales, mais qu'en outre il le fera sous la bannière LREM ; décidément un homme sans parole, indigne de la confiance de ses concitoyens. Bref un G(ros) M(enteur) insatiable servant une fois encore sa rengaine à l'électeur : « Sûr, les amis, ce coup-ci ce sera bien ma dernière candidature. Alors soyez bon avec le vieux que je suis ; n'ai-je pas toujours été votre bon maire ? alors soyez sympa et laissez-moi jusqu'au bout jouir du pouvoir et des ors qui s'y rattachent ! Même les amis du président m'aiment du moment que je fais allégeance ! »
Quelle tristesse de voir des personnes comme notre maire ne pas avoir encore saisi l'intérêt pour une communauté de vivre de temps à autre un changement de régime avec de nouvelles idées, de nouvelles méthodes, un sang nouveau ! Il ne pense qu'à lui, persuadé d'être irremplaçable, de n'avoir face à lui que des incapables. Certes il fut bon gestionnaire, certes il n'a pas démérité dans ses fonctions ; mais, même si cela lui coûte, il est temps de laisser à d'autres le soin de relever le défi avec des idées et un sang nouveau.
29 juillet 2019
Bernard FRIEDRICH
Invasion de porcs à Colmar ?
Invasion de porcs à Colmar ?
Une espèce originale de porc prolifère depuis quelques temps dans la cité de Bartholdi venant enrichir une faune locale pourtant déjà fort bien pourvue avec son exceptionnel et rarissime "animal politique", ses poules écologiques (idée importée de la Drôme en 2014), ses corbeaux honnis de tous, son rarissime et unique exemplaire de kangourou "songe-creux" et des citoyens-pigeons apparemment ravis de se faire plumer sur les parkings ; il s'agit du fameux "porc colmarien" qui se distingue de ses congénères des campagnes par sa crasse et sa propension à déposer nuitamment ses déchets et ordures (m...) de toutes sortes à proximité des pourtant assez nombreuses poubelles implantées dans la cité ; et ce au plus grand mépris des règles élémentaires d'hygiène, de civisme, de respect de ses concitoyens et avec le plus grand dédain envers les personnes chargées de collecter nos ordures. Fainéants, paresseux et bêtes ils viennent là se débarrasser de leurs vieux vélos, de matelas usés et malpropres, de bouteilles, vieux papiers et cartons qu'ils n'ont même plus la force de jeter dans les poubelles vides ! Faut-il créer au budget municipal un fonds spécial pour compenser les frais induits par un déplacement aux déchetteries ? Faut-il installer devant chaque poubelle des caméras de surveillance et verbaliser sévèrement toute infraction ? Faut-il fouiller systématiquement les dépôts sauvages pour tenter d'identifier et sanctionner les malpropres contrevenants ? Et pourquoi pas, lorsque l'infraction est avérée, aller déverser les ordures déposées dans le salon des coupables ?
Utopiques et inutiles ces recommandations lorsqu'il suffirait que les Colmariens si fiers et heureux d'habiter selon certains la ville la "plus belle" d'Alsace fassent un modeste geste de bonne conduite.
Exagération diront certains ? Hélas non, simples constats de ces derniers jours en face de Midas et un peu plus haut dans la rue de Thann confirmant de déplorables habitudes ! Pourtant existent dans un rayon de quelques centaines de mètres 4 emplacements dédiés au tri des ordures !
Rue de l'Ours, aujourd'hui, 29 juillet 2019. Le concours continue. |
8 mai 2019
Bernard FRIEDRICH
Colmar 2020 : mes premières réflexions
Une liste MEYER/STRAUMANN aux prochaines municipales... si l'on accorde foi au Zapping [DNA] de samedi dernier ? Scoop, fake news, ou ticket gagnant ? Difficile de trancher à ce jour tant on est partagé entre les aspirations inavouées des "encore" frères ennemis. En tous cas une hypothèse qui mettrait définitivement un terme aux illusions du premier adjoint et permettrait à celui qui s'était engagé à ne plus se soumettre au choix des Colmariens de rester aux affaires (de la CAC par exemple) sans faillir à la parole et à l'écrit donnés. Madame Klinkert, suppléante de monsieur Straumann, quitterait donc la présidence du Conseil départemental en pleine maturation du projet Collectivité européenne d'Alsace et le développement de nombreux autres projets essentiels pour demain. Ce serait dommage de la perdre ? Un "cas" à étudier car beaucoup de questions annexes...
17 avril 2019
Bernard Friedrich
Fin de l'insoutenable suspense... et j'espère fin de partie !
[Bernard Friedrich, ancien général 4 étoiles, commandeur dans l'ordre national du Mérite et dans l'ordre de la Légion d'honneur.]
Fin de l'insoutenable suspense... et j'espère fin de partie !
« Nous vous avons fait, monsieur le maire, nous allons donc vous défaire. » Par votre décision de réduire à néant « celui que vous avez fait », vous laissez apparaître au grand jour votre insatiable orgueil, votre manque d'éthique et de courage. En vous portant une fois encore candidat à votre succession, vous reconnaissez que vous avez berné jusqu'à vos plus fidèles électeurs avec votre engagement à ne pas vous représenter en 2020. En avouant publiquement que votre homme de main, celui à qui vous aviez fait miroiter votre succession, n'était que le produit de votre action et vous devait tout, vous avouez que ce trop fidèle serviteur n'était qu'un faire-valoir, l'exécuteur servile de vos pires vilenies, un homme sans compétences ni caractère qui n'aurait jamais gagné un quelconque mandat sans votre intervention (magouilles?). Nous devrions vous être reconnaissant de nous débarrasser ainsi d'un candidat sans valeur aucune ; mais votre méthode est abjecte. Vous n'êtes ni « chef » ni respectueux des règles démocratiques élémentaires. Seule compte votre petite personne et quiconque ose se mettre en travers de votre chemin est voué à la destruction pure et simple par n'importe quel moyen ; une lettre à un imam, une quenelle...
Aurez-vous le courage d'aller au bout de votre hargne et de démettre de ses fonctions un adjoint indélicat qui ose vous défier ? C'est ce que vous aviez fait à monsieur Wagner dont l'action vous avait pourtant évité l'énorme erreur de vouloir mettre un terme à l'activité de l'aérodrome avec pour conséquence la menace d'un départ du plus gros employeur local !
Il est temps pour vous de céder la place. Il y a à Colmar d'autres personnalités - femmes ou hommes - dont le charisme, la personnalité et les compétences n'ont rien à envier aux vôtres.
« Nous vous avons fait maire, nous pouvons vous défaire ! »
[Bernard Friedrich, ancien général 4 étoiles, commandeur dans l'ordre national du Mérite et dans l'ordre de la Légion d'honneur.]
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