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19 juin 2022

Michel Spitz

Une Master Class de violoncelle aujourd'hui au PMC avec le grand Gary Hoffman, un habitué du festival Les Musicales de Colmar. Quatre élèves de haut niveau des CRR de Strasbourg et Reims (Freddy Goya, Thémis Fatto) et des CRD de Montbéliard et Colmar (Delya Afandi, Lucille Bricout) ont profité de ses conseils. Une inoubliable leçon de vie, porteuse d'exigence, d'humilité, d'humour et d'émotion. Un grand moment pour ces élèves et le public présent ! Merci aux professeurs invitants Pascale Fries, Alexandre Lacour et à Isabell Ast, magnifique accompagnatrice au piano. 18/6/2022
(Photos Michel Spitz)







11 juin 2022

Michel Spitz

Inauguration ce matin de l’exposition au PMC du 11 juin au 9 juillet. La Maison Européenne de l’Architecture organise un Jeu-Concours trinational pour les élèves, de la maternelle à la terminale. Grâce à OSCAR, parler d’Architecture à l’école, au collège, au lycée : en français et/ou en allemand ! Pour la 14ème année, un concours de maquettes invite les élèves et professeurs, de la maternelle au lycée, à s’interroger sur des problématiques liées à l’architecture, à l’urbain, à l’espace. Après une édition 2020/2021 réussie sur le thème « Habiter le futur / Das wohnen der Zukunft », OSCAR revient sur l’ensemble de l’année scolaire 2021/2022 avec le thème, ô combien d’actualité : Ça chauffe ! On construit cool ! // Es wird heiß ! Wir bauen cool ! Merci à Isabelle Mallet, à la MEA ainsi qu'à tous les participants, élèves et professeurs.



4 juin 2022

Michel Spitz

Avec un thème très rieur : SOURIRE NE PEUT ATTENDRE ! Exceptionnel concert ce soir avec le chœur d’hommes Polycanto, dirigé par Arlette Steyer et l’Orchestre des jeunes du Conservatoire de Colmar, dirigé par Stéphane Cattez. Un répertoire exigeant qui a merveilleusement mis en valeur, tant le travail d’ensemble que la qualité des jeunes musiciens. Bravo à tous !


Photo Michel Spitz

20 mai 2022

Michel Spitz

Présentation de la saison 2022/2023 de l’Opéra national du Rhin

Notre ville, cogestionnaire avec Strasbourg et Mulhouse de l’Opéra National du Rhin (ONR), héberge l’Opéra Studio. Une formation d’excellence, placée sous la direction de Sandrine Abello, accueille de jeunes artistes du monde entier (des chanteurs, pianistes, chef d’orchestre) pour les accompagner dans leur insertion professionnelle.
Réguliers et féconds, plusieurs partenariats sont développés avec les institutions culturelles colmariennes : le Théâtre municipal, la Comédie de Colmar, la Salle Europe, le musée Unterlinden, mais aussi, les écoles. Tous les efforts convergent pour favoriser la diversité des publics, s’adresser aux familles, aux publics jeunes et aux publics empêchés…
Alain Perroux, directeur général de l’ONR a développé l’ambitieux programme de la saison 2022/2023 : « Il s’agira cette année de faire valoir une autre propriété des narrations : celle de nous apporter réconfort et sérénité… grâce à un programme célèbre, le pouvoir guérisseur du récit. » En tout, plus de 200 levers de rideau sont annoncés, dont plusieurs nouvelles productions lyriques, une création mondiale et une création française.
La présence à Colmar est notable. Ce fut l’occasion d’annoncer notamment plusieurs événements attractifs proposés par l’Opéra Studio : des concerts Bébés chanteurs à la Comédie, quatre programmes de l’Heure lyrique au TMC, à la Comédie et au Musée Unterlinden, des activités jeunesse au TMC et, enfin, de nombreuses actions pédagogiques en lien avec les établissements scolaires de Colmar et de sa région.
À Colmar, en ouverture de saison, à la Comédie « Histoire(s) d’opéra », recueil de nouvelles musicales interprété par les artistes de l’Opéra Studio et au Théâtre « Le Joueur de flûte », une fable sur le pouvoir de la musique, racontée sur des musiques de Bach. Le ballet sera présent au Théâtre avec « Giselle », un classique incontournable du répertoire romantique dans une relecture résolument contemporaine. Enfin, à manquer sous aucun prétexte, au théâtre une programmation d’opéra d’envergure avec Le Couronnement de Poppée, grand chef-d’œuvre de Monteverdi.






17 mai 2022

Michel Spitz

INAUGURATION DE LA MAISON ALBERT SCHWEITZER

Ma rencontre avec l’Association Internationale Schweitzer Lambaréné se déroule pendant le chantier de construction du musée de l’ambulance alpine à Mittlach : lieu de mémoire, centre d’interprétation qui révèlent le déroulement d’une importante partie de la guerre de 1914-1918 dans le massif proche… C’est précisément pendant le conflit que le théologien philosophe alsacien élabore sa pensée du « respect de la vie ». Albert Schweitzer a été le premier à utiliser la formule définissant le « Respect de la vie » pour fonder une éthique qu’il voulait élémentaire et universelle. « Je suis vie qui veut vivre, entouré de vie qui veut vivre », voilà ce qui, selon lui, devrait s’imposer de façon claire et immédiate à chaque conscience. Il y a derrière cette phrase, qui fait du respect de notre propre vie et de celle des autres deux choses absolument inséparables, beaucoup plus qu’une pensée écologique.
Si les questions à résoudre initialement apparaissaient simples : mettre en conformité aux règles d’accessibilité et accueillir la collection africaine sur le site en construisant une annexe sur le site, la mise en pratique sur le terrain était loin d’être évidente.
La silhouette emblématique de la maison Schweitzer de Gunsbach, mangée par le lierre – et connue de tous – se devaient de conserver son caractère. Albert Schweitzer l’a faite construire en 1928. Il y séjournera pendant plus de trente ans. Depuis 1967, la maison est ouverte au public, lieu de diffusion de la pensée d’Albert Schweitzer, « Maison des Illustres ». Abritant également les archives et des appartements privés, l’espace muséal a été restreint à deux pièces, conservées dans leur état d’origine : chambre/cabinet de travail et salon de musique, dont le contenu n’est vraiment compréhensible que par une visite guidée...
Le projet s’est concrétisé autour d’un parcours scénographique en distinguant les contenus sur deux corps de bâtiment :
- La maison organise un parcours biographique sur la vie et l’œuvre avec, comme fil conducteur, l'ouvrage « Souvenirs de mon enfance ». Un parcours chronologique se déploie au fil des différentes pièces de la maison en recherchant une préservation du caractère des éléments originels. La chambre-bureau, principal espace de vie d’Albert Schweitzer lorsqu’il était à Gunsbach, est préservée intégralement dans son état d’origine.
- Une extension gère tous les aspects fonctionnels, accueil, distribution verticale, salle pédagogique... Elle est consacrée à son éthique du « Respect de la vie ». De vastes espaces ouverts, perméables entre eux, abordent de façon immersive et animée les différents aspects de sa philosophie. Sur les parois périphériques sont évoqués les thématiques de respect de toutes les formes de vie : monde animal, monde végétal, de l’infiniment grand (le cosmos), à l’infiniment petit (les micro-organismes).
À l’heure où les démons de la guerre continuent de gronder à nos portes, sans doute, est-il temps de se souvenir de l’enseignement d’Albert Schweitzer. Il touche, avec une étonnante modernité, son éthique et le respect de la vie. Puisse son action inspirer nos propres vies !
Projet MSA Architectes, Mireille Kintz muséographie.
[14 mai 2022]









12 avril 2022

Michel Spitz

In vino musica

Pour clôturer le premier temps fort du Festival de Pâques avec la brillante équipe de jeunes solistes, il n'y a pas mieux que cette exceptionnelle rencontre Mozart / Stravinski / Schumann et le vin d'Alsace ! Un grand merci à la vénérable institution pour le chaleureux accueil au château de la Confrérie Saint-Étienne de Kaysersberg Vignoble et à l'ensemble des musiciens. Sous le soleil printanier, un excellent riesling Schœnenbourg, servi dans le jardin, a conclu l'impressionnante prestation musicale.
www.les-musicales.com


Photo Michel Spitz


Photo Michel Spitz

8 avril 2022

Les Musicales de Colmar

Michel Spitz

L’association de la bonne musique et du grand vin va nous réserver de belles émotions. N’hésitez pas à prendre vos billets sur le site des Musicales... et de découvrir le château de la Confrérie Saint-Etienne !
Nous vous attendons.

Réservation : www.les-musicales.com



Les Musicales de Colmar

Michel Spitz

Dans l'intimité d'une magnifique petite église alsacienne, à Horbourg-Wihr, vivez de doux moments musicaux dans un programme Haydn / Mozart interprétés par de talentueux jeunes solistes.

Réservation : www.les-musicales.com



11 février 2022

Michel Spitz

Une immense tristesse en apprenant la disparition d’André Wilms. Né à Strasbourg en 1947, André Wilms est décédé mercredi à l’âge de 74 ans. Il débute comme cintrier au théâtre Sorano, qui accueille alors le Grenier de Toulouse, fondé par Maurice Sarrazin. Il est rapidement engagé comme figurant. Il enchaîne des dizaines de pièces avant de signer ses propres mises en scène au théâtre et à l’opéra. On lui doit notamment Le Château de Barbe-Bleue de Béla Bartók, La Noce chez les petits bourgeois de Bertolt Brecht ou encore La Vie de bohème d’après Henry Murger et Aki Kaurismäki. Il rencontre également André Engel, qui l’invite sur plusieurs de ses mises en scène, comme En attendant Godot de Samuel Beckett, ou Hôtel moderne d’après Franz Kafka. Là, il apprend l'exigence du métier avant de se tourner par la suite vers le 7e Art.

Il connait un premier triomphe au cinéma en interprétant le rôle de Jean Le Quesnoy, père bourgeois ultra-catholique, dans "La vie est un long fleuve tranquille" d'Etienne Chatiliez. Il a mené de front une carrière professionnelle sur les planches de théâtre et sur grand écran. Il était l’un des acteurs fétiches du réalisateur finlandais Aki Kaurismäki qui a réalisé Le Havre ou encore L’autre côté de l’espoir. Dans « Le Havre », André Wilms était ainsi un cireur de chaussures, qui tendait la main à un jeune Africain sans-papiers. « L'Autre Côté de l'espoir » orchestrait la rencontre entre un migrant syrien échoué contre son gré dans la grisaille finlandaise et un restaurateur séparé de sa femme alcoolique…
Nous l’avons vu à la Filature de Mulhouse dans le cadre du festival Musica dans Eraritjaritjaka, « musée des phrases », spectacle musical d’après des textes d’Elias Canetti conception, mise en scène et musique Heiner Goebbels. En 2018, invité par Les Musicales de Colmar, il est le récitant dans le Carnaval des animaux.



1 janvier 2022

Michel Spitz

« La culture est faite de tout ce qui permet à l’homme de maintenir, d’enrichir ou de transformer sans l’affaiblir, l’image de lui-même qu’il a héritée. » André Malraux

L’année qui s’achève nous a appris, une fois de plus, ce qui est réellement important dans la vie. Dans cette période si particulière, je vous présente des vœux de joie et d’espérance. Que cette année nous apporte, malgré les vicissitudes, la force et la volonté de contribuer à rendre notre monde meilleur : libre, solidaire et fraternel.
Les arts, la culture, et la création invitent chacun de nous, parmi et avec les autres, à se développer, à participer à un devenir commun, à rester libre et à en témoigner. Face aux communautarismes, aux replis identitaires, soutenons une culture vivante, capable de se régénérer et se repenser sans cesse.
 
Références de l'image: Chaumont-sur-Loire, L’Arbre aux échelles, François Méchain, Saison d’art 2009.
En référence au roman d’Italo Calvino, "Le Baron perché", dont le héros se réfugiait dans les arbres pour échapper aux contraintes de la vie ordinaire, L’Arbre aux échelles de François Méchain est une invitation poétique à regarder le monde d’un autre point de vue, de plus loin, de plus haut...


19 décembre 2021

Michel Spitz

Une grande fierté pour l'Alsace et les 3 collectivités Strasbourg, Mulhouse et Colmar qui portent l'Opéra national du Rhin : Bruno Bouché sera l'invité de l'émission Le Grand Échiquier sur France 3 demain soir (21h05) pour sa dernière création "Les Ailes du désir" à la tête du Ballet de l'Opéra National du Rhin.


23 novembre 2021

Michel Spitz

À l’occasion de la publication par Pierre Barrat de son autobiographie, la ville de Colmar a invité ses amis pour lui témoigner sa plus vive reconnaissance. Comédien, metteur en scène et directeur de théâtre, il tient dans l’histoire culturelle de notre cité, une place centrale. Il a fondé et assuré la direction de l’Atelier lyrique du Rhin de 1974, date de sa création, à 1998, soit un quart de siècle. Nous lui devons la création en 1990 du théâtre de la Manufacture, aujourd’hui, Centre dramatique national porté par la Comédie de Colmar. Les mémoires qu’il vient de publier nous apprennent beaucoup sur les ressorts et les convictions d’une carrière qui couvre plus d’un demi-siècle de travail et sur un parcours d’une richesse et d’une exigence rares. Ses productions nombreuses ont marqué les mémoires du public du théâtre et de toutes les scènes où il a été l’ambassadeur de Colmar.


15 novembre 2021

Michel Spitz

La « chapelle de campagne », (Feld Kapelle), ou « chapelle de Frère Nicolas » (Bruder Klaus Kapelle), a été construite entre 2005 et 2007 par l’architecte suisse Peter Zumthor. Commande d’un riche fermier local, Herman-Josef Scheidtweiler qui voulait remercier le ciel de sa réussite (il a longtemps dirigé l'association des agriculteurs chrétiens) et construire sur ses champs une chapelle à la gloire de "Bruder Klaus", alias Nikolaus von der Flüe (1417-1487), un mystique suisse, fermier. Il est le "saint patron" du fermier.
Vue de face ou de côté, la chapelle se présente comme un volume à 5 faces, vu de l’arrière comme un cube. Elle est fabriquée par un béton très simple, qui laisse apparaître différents coloris de sables des environs, ainsi que des galets pris dans les rivières de l’Eifel. Un rebord, du même matériau, intégré à l’édifice, peut servir de banc, et permettre de contempler, à partir de l’édifice, la campagne environnante. On voit les différents niveaux de coffrage du béton, fait par bandes horizontales, jusqu’à atteindre 12 mètres (hauteur du bâtiment).


Michel Spitz

11 Novembre 2014 / Monument National de la Grande Guerre 1924-1932 / Robert Danis architecte / Antoine Bourdelle sculpture / Michel Spitz architecte de la restauration 2014.
Le mémorial de l’Hartmannswillerkopf est un monument à la fois militaire et patriotique, religieux et funéraire. Dès 1920, un comité se constitue à Mulhouse pour construire sur le champ de bataille du Hartmannswillerkopf, le Monument National de la Grande Guerre en Alsace. Il est conçu par Robert Danis architecte avec le concours d’Antoine Bourdelle, sculpteur. Le monument se décline sous la forme de trois éléments implantés sur un même axe : une crypte-ossuaire avec chapelles, une esplanade avec autel de la patrie et un cimetière militaire avec mât aux couleurs françaises. Le comité engage également la construction d’une croix sommitale lumineuse, visible depuis la plaine d’Alsace et au-delà du Rhin. La crypte, dont le plan dessine une croix grecque, est creusée dans le rocher et se glisse sous l’Autel de la Patrie. Le volume ainsi formé, inspiré des temples anciens, s’inscrit dans la géométrie d’un cube parfait. Une voûte, supportée par quatre colonnes cannelées disposées en carré, forme au centre une lanterne, autour de laquelle se déploie un plénum, éclairé de pavés de verre, sertis dans la dalle en béton. Ce dispositif permet d’envelopper l’espace d’une douce lumière naturelle. Sous la crypte, un ossuaire est ménagé pour recueillir les restes des soldats français. L’ossuaire est fermé par un bouclier en bronze, posé à même le sol. Il comporte sur son pourtour, les dates de 1914 et 1918 en chiffres romains, et les vers de L’Hymne de Victor Hugo : « Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie, Ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie » (Les chants du crépuscule, 1835). Sur trois faces de la crypte, des niches, naturellement éclairées par le haut, contiennent les monuments des trois cultes concordataires auxquels ont appartenu les soldats morts pour la Patrie. En face de l’entrée, la chapelle catholique contient une table d’autel derrière laquelle doit s’élever la Vierge à l’offrande de Bourdelle. A gauche, le monument protestant est un tombeau en forme d’autel marqué d’une croix qui se détache d’une plaque portant la Bible ouverte, encadrée par deux pilastres supportant un linteau orné « rappelant l’art de l’époque de la Réforme ». À droite, le monument israélite comprend également un tombeau en forme d’autel, orné de l’étoile à six branches du bouclier de David. Les inscriptions du monument israélite et du monument protestant soulignent la force commune de l’Ancien et du Nouveau Testament. Une frise sculptée en bronze devait courir en haut des murs. Robert Danis avait prévu de confier l’exécution de la frise à Bourdelle, mais le début de la Seconde Guerre mondiale empêche sa réalisation.
L’architecture du monument de l’Hartmannswillerkopf puise aux sources de l’architecture classique française tout en revendiquant sa modernité et sa rationalité. Comme son contemporain, l’architecte Auguste Perret, Robert Danis se passe des ornements superflus. Le monument est entièrement construit en béton. Après décoffrage, les surfaces en béton ne sont couvertes d’aucun parement en pierre et revêtues d’un mortier de finition appelé « granito », finement bouchardé. Les colonnes de la crypte n’ont ni base ni chapiteau. Pour l’abbé Bourgeois, Danis « a su résoudre au mieux les problèmes difficiles de l’adaptation au terrain, de l’éclairage, de la division des plans, et qui a réussi une œuvre pleine de dignité religieuse, capable d’émouvoir, par la simplicité grandiose de son tracé et de sa décoration, les visiteurs qui feront l’ascension de cette montagne à jamais sacrée. »



27 octobre 2021

Les Bains municipaux de Strasbourg

Michel Spitz

Inaugurés en 1908, les Bains municipaux de Strasbourg de Fritz Beblo, architecte-urbaniste de la Ville de Strasbourg (1872-1947) ont vu passer des générations entières dans leurs bassins. Ils comprennent deux bâtiments conçus :
- l’un, à des fins curatives : un bâtiment thermal construit entre 1904 et 1911 (piscines, bains romains…)
- l’autre, à des fins de loisirs : un bâtiment médicinal construit entre 1908 et 1911 (hydrothérapie, luminothérapie, inhalations, bains de boue, de sel ou de soufre).
Le premier établissement, restauré et modernisé conserve l'esprit d'origine. Il va rouvrir ses portes au public après deux ans de rénovation. Ce joyau architectural de la Neustadt, classé au patrimoine mondial de l’UNESCO, est lui aussi classé monument historique. La rénovation, menée par Eiffage, a été conçue par les cabinets Chatillon Architectes et TNA architectes. Le site, propriété de la Ville, sera exploité en délégation de service publique par la société Equalia.
Photos © Michel Spitz











25 octobre 2021

Alain Eschenlauer à l'Espace Malraux

Michel Spitz

Après des mois de privation, Alain Eschenlauer présente dans cette exposition le résultat de ses réflexions introspectives, pour la plupart réalisées pendant le confinement. Patiemment, avec application, il prend le temps de dessiner à l’encre, de poser avec attention des ensembles d’aplats de couleurs, comme des apparitions de vie au fond de boîtes de pétri. Alain Eschenlauer invite le visiteur à se questionner sur le monde, un monde tendant plus à être subi que vécu. Son travail renvoie, à la fois par le traitement mais aussi par le choix des sujets, à une imagerie connotée dans le temps, celle des encyclopédies, des cabinets de curiosité, ou encore des collections naturalistes de la fin du XVIIIème siècle.



19 octobre 2021

Michel Spitz

Les participantes de l’atelier couture du centre socioculturel de Colmar présentaient ce dimanche au public leur Défilé avec un grand D, où la douzaine de femmes âgées de 30 à 70 ans ont pu faire admirer les robes de leur création, confectionnées sous l’égide du costumier Jean Duntz. Le spectacle mis en scène par Emilie Wiest de la compagnie "On nous marche sur les fleurs" a irradié le public installé autour de la scène du centre Europe de Colmar.
Photos : Robert Hechinger