Valérie Pécresse a les parrainages, mais pas les voix. Alors, elle fait régner la terreur dans le parti et vire ceux qui parraineraient Zemmour, mais pas ceux qui parrainent Mélenchon. Elle est trotskyste, ou quoi ? Seulement, il y a un vrai écueil à ce que des candidats représentatifs dans la population, comme Zemmour, Le Pen, ou Mélenchon, n’aient pas leurs parrainages, celui de faire peser un risque très lourd sur la représentativité du vainqueur et sur ses chances d’obtenir une majorité à l’assemblée, pour gouverner. Mais avec le cynisme politique actuel, moins de 20 % de représentativité ne semble pas effrayer les candidats bien pensants, l’essentiel est qu’ils aient le trône, pour perpétuer la feuille de route qui rassemble le gouvernement et l’opposition, qui voudrait faire croire qu’elle est l’opposition, mais qui a toujours tout voté, ou presque, avec le gouvernement. Pour parachever le tout, on comptabilise également les parrainages d’un président pas encore candidat, qui promet un meeting, en tant que candidat, ou que président, à Marseille ? Et les maires ne parrainent pas, de peur de perdre les subventions pour leurs villes. Alors ça marche comme cela ? Si un maire pense mal, ses administrés trinquent ? Alors qu’une loi dit que personne ne doit être inquiété pour ses opinions politiques et que tous les citoyens sont égaux devant la loi. Quand on pense que tout ce beau monde se targue de vouloir instaurer la « démocratie » chez les dictateurs africains et se permet de faire la leçon à Poutine : on rêve. Avant, on n’avait pas de pétrole, mais on avait des idées, maintenant on n’a pas de banane, mais on a la République bananière.
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23 février 2022
La démocratie bananée...
Pierre Duriot
Valérie Pécresse a les parrainages, mais pas les voix. Alors, elle fait régner la terreur dans le parti et vire ceux qui parraineraient Zemmour, mais pas ceux qui parrainent Mélenchon. Elle est trotskyste, ou quoi ? Seulement, il y a un vrai écueil à ce que des candidats représentatifs dans la population, comme Zemmour, Le Pen, ou Mélenchon, n’aient pas leurs parrainages, celui de faire peser un risque très lourd sur la représentativité du vainqueur et sur ses chances d’obtenir une majorité à l’assemblée, pour gouverner. Mais avec le cynisme politique actuel, moins de 20 % de représentativité ne semble pas effrayer les candidats bien pensants, l’essentiel est qu’ils aient le trône, pour perpétuer la feuille de route qui rassemble le gouvernement et l’opposition, qui voudrait faire croire qu’elle est l’opposition, mais qui a toujours tout voté, ou presque, avec le gouvernement. Pour parachever le tout, on comptabilise également les parrainages d’un président pas encore candidat, qui promet un meeting, en tant que candidat, ou que président, à Marseille ? Et les maires ne parrainent pas, de peur de perdre les subventions pour leurs villes. Alors ça marche comme cela ? Si un maire pense mal, ses administrés trinquent ? Alors qu’une loi dit que personne ne doit être inquiété pour ses opinions politiques et que tous les citoyens sont égaux devant la loi. Quand on pense que tout ce beau monde se targue de vouloir instaurer la « démocratie » chez les dictateurs africains et se permet de faire la leçon à Poutine : on rêve. Avant, on n’avait pas de pétrole, mais on avait des idées, maintenant on n’a pas de banane, mais on a la République bananière.
Valérie Pécresse a les parrainages, mais pas les voix. Alors, elle fait régner la terreur dans le parti et vire ceux qui parraineraient Zemmour, mais pas ceux qui parrainent Mélenchon. Elle est trotskyste, ou quoi ? Seulement, il y a un vrai écueil à ce que des candidats représentatifs dans la population, comme Zemmour, Le Pen, ou Mélenchon, n’aient pas leurs parrainages, celui de faire peser un risque très lourd sur la représentativité du vainqueur et sur ses chances d’obtenir une majorité à l’assemblée, pour gouverner. Mais avec le cynisme politique actuel, moins de 20 % de représentativité ne semble pas effrayer les candidats bien pensants, l’essentiel est qu’ils aient le trône, pour perpétuer la feuille de route qui rassemble le gouvernement et l’opposition, qui voudrait faire croire qu’elle est l’opposition, mais qui a toujours tout voté, ou presque, avec le gouvernement. Pour parachever le tout, on comptabilise également les parrainages d’un président pas encore candidat, qui promet un meeting, en tant que candidat, ou que président, à Marseille ? Et les maires ne parrainent pas, de peur de perdre les subventions pour leurs villes. Alors ça marche comme cela ? Si un maire pense mal, ses administrés trinquent ? Alors qu’une loi dit que personne ne doit être inquiété pour ses opinions politiques et que tous les citoyens sont égaux devant la loi. Quand on pense que tout ce beau monde se targue de vouloir instaurer la « démocratie » chez les dictateurs africains et se permet de faire la leçon à Poutine : on rêve. Avant, on n’avait pas de pétrole, mais on avait des idées, maintenant on n’a pas de banane, mais on a la République bananière.
Valérie Pécresse Circus
☐ Les actualités de Bertrand Chameroy
⇒ https://www.youtube.com/watch?v=ECceh0Xc644
☐ Valérie Pécresse Circus : bourdes, discours et rigolades (extraits)
Flavien Ancely Frey
Comité de soutien à Yannick JADOT - Colmar & Centre Alsace
La crise sanitaire, dont nous commençons seulement à entrevoir l'issue, a questionné les modes de fonctionnement de nos sociétés. 2 ans plus tard, force est de constater que le système ultra-libéral est incapable de se réformer dans l'intérêt des citoyennes, citoyens et de l'ensemble du vivant.
Le film « Don’t Look Up » dresse un parallèle évident et glaçant avec le dérèglement climatique et ses conséquences catastrophiques sur nos vies. Il dénonce la fuite en avant du capitalisme face à l'urgence climatique.
Au lieu de regarder la vérité en face et de prendre leurs responsabilités, les dirigeantes et dirigeants politiques et les multinationales détournent délibérément le regard voire sabotent l'espoir d’un avenir juste et soutenable. Parce que le système politique et financier privilégiera toujours les intérêts privés par rapport à la sécurité du plus grand nombre (quand bien même cela pourrait conduire au désastre), face à l'urgence, nous devons imposer un autre modèle de société.
À un mois de l'élection présidentielle, nous pouvons encore agir.
Nous devons rappeler l’ordre des priorités et faire de 2022 l’année où la France a enfin été à la hauteur des défis sociaux et environnementaux.
Nous n’attendrons pas 5 ans de plus. Nous pouvons changer nos vies maintenant. Nous pouvons faire payer les responsables.
Les revendications sociales et environnementales doivent être au cœur de cette campagne électorale !
Le samedi 12 mars, la #MarcheLookUp sera aussi à COLMAR, dans une ambiance festive, familiale, apartisane et non-violente ! Rendez-vous au départ de la place Rapp à 13h30
Deviens bénévole et rejoins l’équipe d’organisation de la marche :
La crise sanitaire, dont nous commençons seulement à entrevoir l'issue, a questionné les modes de fonctionnement de nos sociétés. 2 ans plus tard, force est de constater que le système ultra-libéral est incapable de se réformer dans l'intérêt des citoyennes, citoyens et de l'ensemble du vivant.
Le film « Don’t Look Up » dresse un parallèle évident et glaçant avec le dérèglement climatique et ses conséquences catastrophiques sur nos vies. Il dénonce la fuite en avant du capitalisme face à l'urgence climatique.
Au lieu de regarder la vérité en face et de prendre leurs responsabilités, les dirigeantes et dirigeants politiques et les multinationales détournent délibérément le regard voire sabotent l'espoir d’un avenir juste et soutenable. Parce que le système politique et financier privilégiera toujours les intérêts privés par rapport à la sécurité du plus grand nombre (quand bien même cela pourrait conduire au désastre), face à l'urgence, nous devons imposer un autre modèle de société.
À un mois de l'élection présidentielle, nous pouvons encore agir.
Nous devons rappeler l’ordre des priorités et faire de 2022 l’année où la France a enfin été à la hauteur des défis sociaux et environnementaux.
Nous n’attendrons pas 5 ans de plus. Nous pouvons changer nos vies maintenant. Nous pouvons faire payer les responsables.
Les revendications sociales et environnementales doivent être au cœur de cette campagne électorale !
Le samedi 12 mars, la #MarcheLookUp sera aussi à COLMAR, dans une ambiance festive, familiale, apartisane et non-violente ! Rendez-vous au départ de la place Rapp à 13h30
Deviens bénévole et rejoins l’équipe d’organisation de la marche :
ancely.flavien@gmail.com / 06 23 02 87 39
Des marches ont lieu partout en France. Plus d’infos ici : https://marcheclimat.fr/12mars/
Des marches ont lieu partout en France. Plus d’infos ici : https://marcheclimat.fr/12mars/
22 février 2022
Idriss Aberkane
La rencontre Macron-Poutine a été une humiliation
⇒ https://www.youtube.com/watch?v=EzkuQ2N2DS821 février 2022
Eric Vial
Le résultat de la consultation citoyenne et populaire « L’Alsace doit-elle quitter le Grand Est pour redevenir une région à part entière ? » organisée par Toute l'Alsace vient de tomber.
92,4% disent OUI.
7,6% disent NON.
Succès immense pour cette consultation qui a recueilli 168 456 voix. Ce qui, rapporté au nombre d’habitants en Alsace, en fait l’une des votations les plus populaire de l’histoire de la République. (Presque 10%).
C’est évidemment beaucoup plus de votants que les primaires des Verts ou des LR.
Il s’agit là d’une défaite cinglante pour le Grand Est et son idéologie technocratique déconnectée des réalités du terrain et des gens.
La démocratie a parlé, il faut maintenant que l’Alsace recouvre ses prérogatives qui lui ont été ôtées.
Bernard Rodenstein
Ils vont nous en mettre plein la vue avec leur score à la soviétique !
Du grand n’importe quoi pour tromper les gens !
N’a-t-on pas déjà gaspillé assez d’argent public pour ces structures qui de toutes façons ne seront jamais satisfaisantes pour tout le monde ?
Notre esprit « Hans im Schnokeloch » va encore nous décrédibiliser un peu davantage.
Marre de tous les prétentieux qui tiennent l’Alsace pour le nombril du monde.
J’aime ma région mais je ne l’idolâtre pas. Nous sommes une poussière sur l’échelle où se prennent les grandes décisions. Il serait grand temps de voir plus loin et plus large ! Au lieu de chausser les lunettes qui rétrécissent la vue.
Eric Vial
« Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu’à la mort pour que vous ayez le droit de le dire. »
Aux yeux de tous, la dictature des partis s’affiche actuellement : est-ce la fin de la Vème République ?
La pression et les menaces que mettent les partis politiques (qui se partagent le pouvoir en France depuis les 50 ans dernières années) sur les élus, pour empêcher que Jean-Luc Mélenchon, Christiane Taubira, Eric Zemmour, Marine Le Pen… obtiennent leurs parrainages pour se présenter est indigne et antidémocratique !
Qui sont les extrémistes dans un tel comportement ?
L’élection présidentielle est un suffrage universel. N’importe qui, en liberté, devrait pouvoir se présenter s’il le souhaite. Pourquoi nous faire accepter les dogmes des partis qui sont dans l’échec ? Pourquoi vouloir empêcher le renouvellement de l’expression ?
Ces contraintes de parrainages qui se sont imposées au fil des années ont été mises en place par des privilégiés qui veulent les garder. Cela ne fait ni honneur à la démocratie, ni à notre époque.
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