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3 décembre 2025

Yves Hemedinger
3/12/2025

Droit de réponse préventif !

Une chaîne de TV publique, malgré ses moyens, s’est laissée piéger par un plaisantin. Toute ressemblance avec l’élastique…
En ce qui me concerne, faute avouée, faute à moitié pardonnée, et surtout vite corrigée. J’ai seulement retiré trois mots de ma publication, qui reste parfaitement pertinente.
Je ne critique pas le tourisme – dont nous avons besoin – mais je rappelle qu’il faut préserver l’authenticité de nos marchés de Noël et développer d’autres activités pour éviter de devenir un parc d’attractions.
Cela a visiblement amusé notre maire, qui préfère jouer les influenceurs sur les réseaux sociaux, publier des dizaines de photos et se promener à vélo plutôt que de se pencher sur ses dossiers et répondre à vos questions.
C’est regrettable pour Colmar.

Précision
Au final, il se moquait de l’article presse des DNA Colmar - Guebwiller puisque ma publication provenait de ce dernier.

[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

En France, la propriété privée est devenue un sport de combat

H16

-3/12/2025- En France, lorsque vous héritez, il n’est pas rare que vous deviez vendre pour régler les frais de succession. Même si le bien a déjà été taxé de tous les côtés, l’État français ne supporte pas l’héritage et vous le fait donc savoir. Manque de pot lorsque vous essayez de vendre : le bien, squatté, est invendable.

C’est la mésaventure qui est arrivée à une propriétaire d’Andernos dont l’héritage paternel était occupé.

Bien sûr, elle porte plainte. Mais l’occupant, pourtant illégal, ne peut être délogé facilement. Les semaines et les mois passent, les factures s’amoncellent, le fisc ne lâche bien évidemment pas l’affaire. Il faut vendre, donc il faut se débarrasser du squatteur. Désespérée, la propriétaire fait appel à des gros bras pour déloger l’intrus.


Et là, la justice ne perdra pas de temps. Rapidement condamnée à 12 mois de prison avec sursis, la propriétaire doit en outre se fendre de 1200 euros de dommages et intérêts pour le squatteur.

Face à ce théâtre de l’absurde, les réactions politiques se font aussi rares qu’un politicien honnête, d’autant que la défense de la propriété privée semble terriblement has been. Notons la réaction de David Lisnard, maire de Cannes, qui ose rappeler cette vérité révolutionnaire : la propriété privée devrait être respectée en France. Malheureusement, tout comme le respect de la liberté d’expression, le respect de la propriété privée est devenu parfaitement symbolique en France.

Radicalité des propos du maire ou couille-mollisme terminal des autres politiciens, absents sur la question ?

En tout cas, face au problème de l’occupation illégale, saluons la souplesse de la Justice qui sait trouver l’énergie d’aller vite et fort… lorsque c’est un juge qui est directement concerné par le squat : une squatteuse de 39 ans, Marion, accro au cannabis et à l’héroïne, s’installe dans la résidence secondaire d’un magistrat à Nîmes le 3 août 2025. Mauvaise pioche : le propriétaire, rompu aux arcanes judiciaires, active la machine. La plainte est immédiate, la procédure expéditive : en quelques jours, Marion est condamnée à six mois de prison avec sursis probatoire de deux ans, obligation de soins, et interdiction d’approcher la victime.

Pour les autres citoyens, en revanche, il faudra s’armer de patience, d’argent et de nerfs. Les procédures s’éternisent, les mois passent, souvent les années. Visiblement, tous les propriétaires sont égaux, mais certains sont plus égaux que d’autres.

Ces procédures placent régulièrement des propriétaires dans des situations ubuesques, comme ce retraité de 95 ans contraint de payer la facture d’eau de ses squatteurs, imposant une schizophrénie administrative où on doit régler les charges des occupants illégaux.


Le laxisme de la Justice se répand jusque dans les locations Airbnb où les squats se multiplient : des locataires qui refusent de partir transforment leurs locations de courte durée en occupation permanente, laissant les propriétaires se retrouvent dans des situations kafkaiennes pendant que la loi protège admirablement bien… l’occupant illégitime.

Devant ce merdoiement intense de la Justice, les Français commencent à s’inspirer de leurs voisins espagnols. Là-bas, des entreprises privées ont développé des « méthodes musclées » – enlever la porte, couper l’électricité, harceler légalement avec police et avocat en prime – pour déloger les squatteurs.

En France, lassés d’attendre des décisions de justice qui ne viendront que dans des mois, voire des années, des propriétaires font appel à « des gangs » ou des videurs, des sociétés agissant aux limites voire au-delà de la légalité. Résultat d’un État devenu faible et incompétent ou idéologiquement chargé contre les propriétaires, la loi est progressivement remplacée par le droit du plus déterminé ou du plus malin.

Pour comprendre cette consternante dérive, on peut probablement remonter à la loi du 9 juillet 1991 qui, dans un élan de générosité humaniste (ou de gauchisme camouflé en humanisme), a imposé une décision de justice pour toute expulsion et ce quel que soit le titre d’occupation (ou son absence). Si la bonne intention initiale – dont l’enfer est pavé – était louable au départ, cette loi s’est transformée en protection tous azimuts qui transforme n’importe quel occupant illégitime en locataire de facto inexpulsable.

Les tentatives de correction ont été timides. En 2007, l’article 38 de la loi du 6 mars permet enfin de récupérer plus facilement son domicile principal. Navrante révolution.

Pour les résidences secondaires, il faudra attendre octobre 2020, treize ans de patience, pour n’améliorer que marginalement la situation : les procédures restent longues, coûteuses et clairement aléatoires.

Face à cette impasse juridique, une solution artisanale (et illégale mais efficace) émerge : le contre-squat.


La recette est simple mais nécessite une bonne organisation : trouver un ami de confiance, lui signer un bail antidaté, réunir une solide poignée d’amis équipés de nouvelles serrures, attendre que tous les squatteurs soient sortis et investir la place en changeant toutes les serrures et en sortant les affaires des squatteurs. Il reste à attendre leur retour puis appeler la police et laisser l’ami locataire présenter son bail aux forces de l’ordre. Le propriétaire, lui, doit rester à l’écart.

Cette « solution » est efficace, bien sûr en marge de la légalité mais quand elle ne protège plus les droits élémentaires, que reste-t-il ? Elle est en fait un symptôme, le miroir de l’impuissance de la loi, où l’honnêteté et le droit sont forcés de passer par le déguisement et la ruse pour survivre. À Bordeaux, une propriétaire a choisi cette voie : difficile de lui donner tort lorsqu’elle explique « Je n’ai pas eu le choix ».

Il est grand temps que les Français imposent une révision des lois pour revenir à un vrai respect tangible de la propriété privée. Des initiatives existent en ce sens, comme la pétition Damocles, avec près de 96 000 signatures, qui exige un arrêt de « l’impunité des squatteurs », pour enfin s’assurer que le droit de l’occupant illégal ne prime pas sur le droit fondamental du propriétaire légitime.

Certains, parmi les juges, les politiciens, semblent avoir oublié une évidence pourtant fondamentale : aucune société ne peut fonctionner durablement sans respect de la propriété privée. Ce n’est pas une question idéologique, c’est une question de bon sens. Quand posséder légalement un bien devient un désavantage par rapport à l’occuper illégalement, c’est tout l’édifice social qui vacille.

La France a réussi cet exploit singulier de transformer les propriétaires en coupables potentiels et les squatteurs en victimes à protéger, avec comme résultat une explosion des squats, des propriétaires ruinés et désespérés, une justice engorgée, et des citoyens qui n’ont plus confiance dans le système censé les protéger.

Bienvenue en France, jadis pays des droits de l’Homme et maintenant, chasse gardée des Hommes du droit.


[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]

2 décembre 2025


[POLITIQUE & SUJETS DE SOCIETE]

Jean Mizrahi

-2/12/2025- Emmanuel Macron possède une réelle qualité – une intuition souvent juste – mais elle s’accompagne d’un défaut rédhibitoire : son incapacité chronique à transformer une bonne idée en politique cohérente. L’exemple du « réarmement démographique » est éclairant : diagnostic pertinent, action inexistante. C’est le travers classique des énarques, rompus aux notes brillantes, incapables d’entrer dans la mécanique concrète du réel. Je connais bien ce travers : beaucoup de polytechniciens (dont je suis) y succombent aussi, quoique moins systématiquement. Je me suis soigné de ce travers.
Mais cette fois, Macron se trompe dès l’intuition. Son idée de « labelliser » les médias relève du pur réflexe de haute administration : l’État sait mieux que la société. Autrement dit : les hauts fonctionnaires, les professionnels de la politique et leurs satellites savent mieux que les manants ce qu’il faut penser.
On pourrait en rire si l’on se souvenait du discours étatique durant la crise du Covid : le masque inutile devenu obligatoire, le café assis autorisé mais pas debout, le train risqué mais pas le métro… Toute une série d’absurdités officielles qui démontraient que « l’information d’État » ne cherchait pas la vérité mais la gestion du troupeau.
Or, labelliser les médias, c’est installer des commissions, des comités Théodule, composés de personnes inévitablement choisies dans le même vivier social, pour décider du vrai et du faux. Comme si ces gens échappaient aux biais cognitifs documentés par des années de recherche : biais de confirmation, d’ancrage, de disponibilité, d’attribution, biais de négativité, etc. Leur composition suffirait à garantir une vision étroite et homogène.
La Vérité – avec un grand V – existe, sans doute. Mais aucun être humain n’en embrasse la totalité. La vérité n’émerge que par la contradiction, et avec le temps. Parfois énormément de temps. Il n’y a qu’à voir la persistance de débats historiques irrésolus, ou le conflit israélo-palestinien qui fracture depuis plus d’un siècle : chacun y scrute les faits pour valider sa propre vision.
Le réflexe macronien relève de cette tentation française : croire que les problèmes se résolvent par une intervention étatique autoritaire. On en voit le résultat : faillite morale d’une société privée de repères, faillite financière d’un État qui se croit omniscient.
Que la manipulation de l’information soit un vrai sujet est évident. Puissances étrangères, partis politiques, groupes financiers, tous tentent d’orienter le discours public. Aucun média n’est neutre : les groupes industriels biaisent leurs titres, le service public sert une idéologie dite « progressiste », les médias indépendants reflètent les obsessions de leurs fondateurs. Mais c’est précisément là que réside la force d’une démocratie : laisser la pluralité des voix se confronter, et non l’enfermer dans un chenal officiel. La vérité jaillit du choc des perspectives – une démarche presque talmudique – bien plus que des décisions de quelques pseudo-sachants.
Quant aux manipulations, elles seraient bien moins efficaces si l’école formait réellement l’esprit critique. Or notre système d’instruction a abandonné cette mission. Il produit des générations qui se gavent d’informations futiles et fausses. Ce n’est pas la faute de TikTok : c’est celle d’un pays qui a cessé d’apprendre à penser.
Reste une question, sans doute la plus importante : Emmanuel Macron et ses pairs souhaitent-ils vraiment l’émergence d’un esprit critique autonome ? Rien n’est moins sûr. Gouverner une population désarmée intellectuellement est tellement plus simple qu’affronter des citoyens capables d’aller eux-mêmes chercher un fragment de vérité.

[Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici ⇨ liberteresistance.fr]
Yann DURRIERE
2/12/2025


On peut sourire… mais seulement un instant.
L’article sur le parc Saint-François-Xavier présenté comme « fermé par oubli » adopte un ton presque condescendant, comme si les Colmariens exagéraient en s’en étonnant.
Pourtant, plusieurs habitants – dont moi – ont appelé directement la mairie pour comprendre.
Et la réponse officielle n’était pas « un oubli ».
La réponse était : « nous manquons de personnel ».
Ce n’est pas la même chose… et cela montre surtout une gestion qui flotte.
Ce parc, c’est un lieu de vie pour les familles, les enfants, les seniors. Le fermer sans prévenir, puis minimiser la situation dans la presse, ce n’est pas rendre service aux habitants.
Et ce « simple oubli » arrive après un autre :
⇨ les délibérations du conseil municipal non publiées en temps et en heure à la mairie.
Là encore, ce n’est pas un détail : c’est une obligation légale.
Un oubli, ça peut arriver.
Deux oublis, ça questionne.
Mais quand les explications changent selon l’interlocuteur, quand les “oublis” deviennent une habitude et qu’on minimise les impacts, on finit par se demander s’il n’y a pas un problème plus profond :
Manque d’organisation ? Manque de rigueur ?
Ou simplement… manque de considération pour celles et ceux qui vivent et travaillent ici ?
Les Colmariens méritent mieux que des contradictions et des explications légères.
Ils méritent de la transparence, du sérieux et du respect dans la gestion de leur ville.
Bibliothèques de Colmar


Le programme de décembre 2025

Après le Festival du livre et sa 36ᵉ édition, c’est au tour de la bibliothèque Bel’Flore de fêter un anniversaire. 20 ans cela se célèbre avec un programme spécial :


Du 1er au 10 janvier, venez découvrir Colmar sous la neige à la salle d'exposition du PMC.


Mardi 2 décembre à 18h30, à l’auditorium du PMC, nous poursuivrons notre cycle de conférences sur l’intelligence artificielle qui transforme en profondeur le secteur médical, notamment en imagerie.


Retrouvez le programme complet de décembre ici :








Ce mois-ci, deux films sont prévus pour les petits :


... et pour les grands :


Mathieu Kott

-2/12/2025- Face aux grands défis qui attendent Colmar lors du prochain mandat, les deux candidats du centre droit ont finalement trouvé leur priorité commune : se voler dans les plumes et s’échanger des plaisanteries... Une stratégie audacieuse... mais pas forcément pour les Colmariens !


Bedez Mathieu

Colmar illuminée pour Noël, sans personne…
Une parenthèse onirique où la ville semblait enfin respirer après une journée animée par le marché de Noël.





Jean Linnhoff

Fresque réalisée au Bowling des 4 Vents à Phalsbourg


30 novembre 2025

Michel Spitz
30/11/2025

LES ÉTOILES CHANTENT NOËL

Pour le bonheur d’un public venu en nombre, une belle et chaleureuse collaboration pédagogique et artistique, de magnifiques rencontres entre les jeunes élèves des classes à horaires aménagés des Pré-maîtrises des Conservatoires de Fontainebleau et de Colmar, sous la direction musicale d’Astryd Cottet. À l'accompagnement au piano, Alice Rosset et Gabriele Nicotra, à la flûte, Marjolaine Manighetti. Merci au CRD de Colmar et aux investigateurs de cette rencontre qui nourrit la réflexion et apporte des pistes pédagogiques et de belles perspectives d'inscription durable du chant choral au cœur de la transmission d'un savoir-faire et d'un savoir-être exceptionnels, mais aussi, au cœur de la cité.







Pause musicale
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La célèbre Romance de Nadir était à l'origine une romance sans paroles appelée "Venise" écrite pendant un des nombreux voyages de Georges Bizet en Italie. Quelques années après, le compositeur réutilise ce thème au sein de son opéra "Les Pêcheurs de perles". Nathanaël Gouin redonne la mélodie au clavier et la transcrit dans une paraphrase liquide, magnifiée par les images oniriques du réalisateur Gaultier Durhin.
Alexandre Legrand

Avant, j’avais un nom


Un nom que l’on prononçait, que l’on appelait, que l’on écrivait.
J’avais une famille, des regards qui me reconnaissaient, des sourires qui savaient qui j’étais.
J’avais un emploi, une place dans le monde, un rôle à jouer, même modeste, même fragile.
Aujourd’hui, il ne reste plus rien de ce passé qui me portait.
Les liens se sont défaits, les repères ont glissé hors de moi comme du sable entre les doigts.
Je marche sans ombre familière, sans histoire à laquelle me raccrocher.
Je suis devenu un anonyme.
Je suis trois lettres griffonnées trop vite, murmurées parfois avec pitié, parfois avec indifférence :
S D F.
Comme si ma vie entière tenait désormais dans ce sigle.
Comme si l’on pouvait résumer un être humain à un effacement.
Pourtant, derrière ces trois lettres, je continue d’exister.
Je respire, je pense, je me souviens.
Et dans le silence de mes nuits froides, j’essaie encore de retrouver, quelque part, les contours d’un nom.
Nathalie Aubert
29/11/2025

Parc Saint-François-Xavier FERMÉ : inadmissible !

Comment accepter qu’en plein centre-ville, un parc apprécié de tous reste fermé… simplement parce qu’il n’y a pas assez d’effectifs pour l’ouvrir et le fermer ?
Tous les policiers mobilisés pour le marché de Noël… et les Colmariens laissés de côté. Je crois rêver !
Oui, accueillir les touristes, c’est important.
Mais pas au détriment des habitants, de leur quotidien, de leur besoin d’espaces verts, de leur qualité de vie… c’est un véritable scandale.
Avec ce temps magnifique, les familles, les enfants, les seniors ne peuvent même pas profiter de ce lieu de respiration.
C’est une question de priorités.
Il est temps de remettre les Colmariens au centre des décisions.
Le bien-vivre à Colmar, c’est toute l’année, pas seulement en dehors des périodes touristiques.
Colmar mérite mieux.
Nous le ferons !

29 novembre 2025

Nathalie Aubert

L’insécurité n’est pas une fatalité

Notre priorité absolue : restaurer la sécurité pour tous les Colmariens.
Parce que sans sécurité, il n’y a ni liberté, ni tranquillité, ni confiance dans l’avenir de nos quartiers.
La première de nos propositions sera donc de remettre la sécurité au cœur de l’action municipale.
Je le dis fermement : je combattrai sans relâche les trafics qui empoisonnent nos rues et j’agirai avec détermination contre les dealers qui pourrissent la vie de nos quartiers.
Pour cela :
- Une présence policière 24h/24 sera assurée pour protéger chaque Colmarien, à tout moment.
- Nous rétablirons une véritable police de proximité, visible, présente, et à l’écoute des habitants.
Colmar doit redevenir une ville sûre. Et nous nous en donnerons les moyens.


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27 novembre 2025

Amis de la Bibliothèque de Colmar

L'intelligence artificielle transforme en profondeur la médecine, et plus particulièrement l'imagerie médicale. Cette conférence propose un voyage accessible au cœur de cette révolution : comprendre ce qu'est réellement l'I.A., découvrir ses applications dans la santé, et explorer son impact concret dans le quotidien des radiologues.
À travers des exemples concrets et des explications claires, Mathieu Bedez, Senior Data Scientist chez GE HealthCare, partagera les coulisses de l'I.A. appliquée à la qualité de l'image, au diagnostic et au suivi des patients, tout en abordant les enjeux éthiques, réglementaires et humains d'une médecine "augmentée".