Publication de Benoît NICOLAS
QUARTIER LADHOF : DES RENCONTRES FORMIDABLES
Merci à tous les Colmariens qui acceptent de me consacrer quelques minutes quand je viens à leur rencontre.
L’accueil est toujours chaleureux et bienveillant malgré la surprise de me voir là.
Merci.
J’ai pu découvrir les problématiques particulières qui se présentent.
J’ai été surpris, d’abord, de constater certaines difficultés inattendues.
Le stationnement (encore) même là, l’état des routes, l’absence des services municipaux, la desserte déficiente des transports.
Un quartier qui se sent abandonné en comparaison d’autres qui sont privilégiés.
Les Colmariens ont des choses à dire.
Il suffit de les écouter !
Une dame formidable m’a même montré la photo qu’elle a prise du dessert du repas de Noël des aînés (1.500 personnes invitées au frais de la Ville au Parc des Expositions…).
« J’avais l’impression d’être à l’hospice » m’a-t-elle dit.
Une autre surprise : « la ville est sale », le service n’est plus le même.
Un sentiment partagé par de très nombreuses personnes.
Les personnels de la collecte, de la voirie, de la propreté, m’ont fait découvrir les coulisses.
Ce n’est pas glorieux !
Je veux rendre hommage aux personnels de la Ville qui ont le sens du service public.
On comprend qu’ils n’en peuvent plus.
Qu’ils sont méprisés.
Qu’il existe des tensions entre les services.
On découvre une politique de rigueur extrême avec des agents très mal payés.
Des effectifs divisés par 2 en quelques années.
Il est facile de se gargariser des chiffres !
Une politique de petit comptable.
Derrière, il y a des hommes et des femmes et surtout des services, du service public.
Vous avez un congé maladie ou une absence enfant malade dans l’année ?
Vous perdez une prime annuelle de plusieurs centaines d’euros.
Alors on bidouille pour remplacer cela par des congés.
Résultat : moins ou pas de congés.
Résultat : perdu, pour perdu, je tire sur les arrêts maladie.
Il est temps que cette politique change !
Soyez assurés que j’y travaille !
Merci à tous les Colmariens pour l’accueil qui m’est réservé.
Merci pour la confiance qui m’est donnée en me confiant tout cela.
Je vais tâcher de venir chez vous.
Je vais continuer ce travail plutôt que d’aller couper du ruban ou manger du kouglopf.
Notre projet se construit dans cette idée.
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16 février 2019
12 février 2019
Municipales-fiction : scénario 3 (en attendant le scénario 4...)
Rédigé à la hâte et visiblement non relu, le post publié par le dauphin sur sa page Facebook témoigne d'un agacement certain. Désormais, YH commence à frapper du poing sur la table, après avoir gardé trop longtemps le petit doigt sur la couture du pantalon.
11 février 2019
Triangulations municipales
Comment affaiblir un adversaire considéré comme dangereux ? En multipliant les listes au 1er tour. C’est la stratégie qui serait actuellement à l’étude au premier étage de l’Hôtel de Ville de Colmar où le maire Gilbert Meyer (LR) et son 1er adjoint Yves Hemedinger (LR) cherchent à contrer une éventuelle candidature du député Eric Straumann (LR). L’hypothèse de présenter trois listes issues de la majorité municipale sortante est évoquée, pour une fusion au 2d tour. À part Yves Hemedinger, déjà en campagne, il reste à savoir qui conduirait les deux autres listes à partir du moment où Gilbert Meyer a annoncé en 2014 qu’il ne se représentera pas en 2020.
Comment affaiblir un adversaire considéré comme dangereux ? En multipliant les listes au 1er tour. C’est la stratégie qui serait actuellement à l’étude au premier étage de l’Hôtel de Ville de Colmar où le maire Gilbert Meyer (LR) et son 1er adjoint Yves Hemedinger (LR) cherchent à contrer une éventuelle candidature du député Eric Straumann (LR). L’hypothèse de présenter trois listes issues de la majorité municipale sortante est évoquée, pour une fusion au 2d tour. À part Yves Hemedinger, déjà en campagne, il reste à savoir qui conduirait les deux autres listes à partir du moment où Gilbert Meyer a annoncé en 2014 qu’il ne se représentera pas en 2020.
DNA Strasbourg
Budget 2019 : Où est l’investissement pour la qualité de vie du Colmarien ?
CORDEY
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| Dessin de Tomi Ungerer |
Samedi, nous perdions un grand artiste alsacien, Tomi Ungerer.
A Colmar, quelques jours plus tôt, un artiste des chiffres et calculs savants s’auto congratulait de sa bonne gestion de sa cité.
Quelques semaines auparavant, on nous apprenait que 17+4 = 25. Ce lundi passé, nous apprenions que pour faire une moyenne il faut prendre la valeur la plus basse et l’additionner à la valeur la plus élevée, puis diviser par deux pour obtenir une moyenne.
Tout professeur de mathématiques verrait là une hérésie et noterait mal son élève et lui offrirait des cours de soutien pour progresser. À Colmar, il n’en est rien. L’artiste a parlé. Il est le roi des chiffres et de la gestion. Son grand pouvoir réside à faire croire aux Colmariens qu’il a raison et qu’il n’y aucune raison de le contredire, que sans lui, Colmar sera perdue, mal gérée au bord de la faillite. Il joue habilement avec la peur. Les Colmariens ont peur du changement et d’aller de l’avant car on leur apprend sans cesse « qu’on ne pourra pas trouver meilleur gestionnaire ». Après tout, nous sommes proches de ce que décrivait notre bon ami Tomi Ungerer : « On ne sort pas indemne d’un lavage de cerveau. »
De même, le calcul de la taxe d’habitation et foncière par habitant est calculée sur le total des foyers colmariens. Mais combien de foyers ne paient ni l’une ni l’autre ? Pourquoi prendre ces personnes en compte ? Un nouveau cours de soutien s’imposerait-il ?
Colmar est de ces fiefs où si l’on n’appartient pas à la Cour, les idées, aussi bonnes soient-elles, n’ont aucune valeur car elles n’appartiennent pas à la Noblesse. Quand un désaccord est exprimé et justifié, il est jugé « sans arguments ». De même certains sont amputés d’un quart de leur rente pour être allé à l’encontre de la Cour et ainsi ne peuvent plus aider autant le peuple et se sont résignés.
Les investissements ont augmenté. Mais pour qui et pour quoi ? Pour augmenter la qualité de vie des habitants, pour honorer la promesse de 2014 consistant à mettre en place « un réseau de bus à haut niveau de service », pour investir dans le commerce, pour permettre une meilleure circulation à vélo, pour éloigner la voiture du centre historique ? Que nenni ! Pour mettre en place un parking pouvant accueillir plus de voiture, un palace, vider les rues commerçantes, offrir plus d’attractions aux touristes, renflouer les caisses avec des parkings hors de prix, investir dans du mapping. Où est l’investissement pour la qualité de vie du Colmarien ?
La vie sera-t-elle meilleure sous le règne du Dauphin ? Le Roi lui laissera-t-il sa place ? Se posera-t-il en Messie et Sauveur de la Ville face au Dauphin ou à son délégué parisien ?
Nul doute que la bataille pour le Trône sera rude. Mais peut-elle accueillir un(e) étranger(e), plus juste, plus proche des préoccupations du peuple, meilleur en mathématiques ?
Tomi Ungerer nous disait sagement « Il n'y a pas d'antidote au préjugé, à la haine, à l'injustice, sinon la prise de conscience personnelle qui nous dicte nos devoirs. » Peut-être est-il temps de l’écouter ?
A Colmar, quelques jours plus tôt, un artiste des chiffres et calculs savants s’auto congratulait de sa bonne gestion de sa cité.
Quelques semaines auparavant, on nous apprenait que 17+4 = 25. Ce lundi passé, nous apprenions que pour faire une moyenne il faut prendre la valeur la plus basse et l’additionner à la valeur la plus élevée, puis diviser par deux pour obtenir une moyenne.
Tout professeur de mathématiques verrait là une hérésie et noterait mal son élève et lui offrirait des cours de soutien pour progresser. À Colmar, il n’en est rien. L’artiste a parlé. Il est le roi des chiffres et de la gestion. Son grand pouvoir réside à faire croire aux Colmariens qu’il a raison et qu’il n’y aucune raison de le contredire, que sans lui, Colmar sera perdue, mal gérée au bord de la faillite. Il joue habilement avec la peur. Les Colmariens ont peur du changement et d’aller de l’avant car on leur apprend sans cesse « qu’on ne pourra pas trouver meilleur gestionnaire ». Après tout, nous sommes proches de ce que décrivait notre bon ami Tomi Ungerer : « On ne sort pas indemne d’un lavage de cerveau. »
De même, le calcul de la taxe d’habitation et foncière par habitant est calculée sur le total des foyers colmariens. Mais combien de foyers ne paient ni l’une ni l’autre ? Pourquoi prendre ces personnes en compte ? Un nouveau cours de soutien s’imposerait-il ?
Colmar est de ces fiefs où si l’on n’appartient pas à la Cour, les idées, aussi bonnes soient-elles, n’ont aucune valeur car elles n’appartiennent pas à la Noblesse. Quand un désaccord est exprimé et justifié, il est jugé « sans arguments ». De même certains sont amputés d’un quart de leur rente pour être allé à l’encontre de la Cour et ainsi ne peuvent plus aider autant le peuple et se sont résignés.
Les investissements ont augmenté. Mais pour qui et pour quoi ? Pour augmenter la qualité de vie des habitants, pour honorer la promesse de 2014 consistant à mettre en place « un réseau de bus à haut niveau de service », pour investir dans le commerce, pour permettre une meilleure circulation à vélo, pour éloigner la voiture du centre historique ? Que nenni ! Pour mettre en place un parking pouvant accueillir plus de voiture, un palace, vider les rues commerçantes, offrir plus d’attractions aux touristes, renflouer les caisses avec des parkings hors de prix, investir dans du mapping. Où est l’investissement pour la qualité de vie du Colmarien ?
La vie sera-t-elle meilleure sous le règne du Dauphin ? Le Roi lui laissera-t-il sa place ? Se posera-t-il en Messie et Sauveur de la Ville face au Dauphin ou à son délégué parisien ?
Nul doute que la bataille pour le Trône sera rude. Mais peut-elle accueillir un(e) étranger(e), plus juste, plus proche des préoccupations du peuple, meilleur en mathématiques ?
Tomi Ungerer nous disait sagement « Il n'y a pas d'antidote au préjugé, à la haine, à l'injustice, sinon la prise de conscience personnelle qui nous dicte nos devoirs. » Peut-être est-il temps de l’écouter ?
8 février 2019
Chantier de la Montagne Verte : des fissures sur les bâtiments voisins
Quelques mètres seulement séparent la tour qui a bougé (en gris) des parois du futur parking (photo Herve Kielwasser L'ALSACE du 8/2/2019)
Les travaux du parking de la Montagne Verte génèrent des fissures sur le gymnase et le PMC voisins. Rien d’alarmant selon la mairie, qui surveille de près ces dommages collatéraux.
Entre la tour et le bâti historique, les plaques de plâtre se sont disjointes. Des jauges mesurent l’évolution du phénomène.
Vu de l’étage du gymnase de la Montagne Verte, le phénomène peut inquiéter les curieux : de larges fissures sont apparues entre le bâti du gymnase « historique », dédié aux sports de balle, et l’une des tours accolée lors de la rénovation, qui abrite la cage d’ascenseur. Sous l’effet du chantier du parking souterrain tout proche, la tour a visiblement bougé. Au point que les plaques de plâtres ou les seuils se sont disjoints entre les deux éléments de bâti, laissant apparaître un jour qui atteint 2 centimètres par endroits. Des jauges ont d’ailleurs été posées pour mesurer l’évolution de l’écartement.
« Pas péril en la demeure »
Le Pôle média culture est également touché par le phénomène, mais dans une moindre mesure. Là encore, la tour qui abrite escaliers et ascenseurs aurait un peu bougé par rapport au bâtiment de l’ancien hôpital. Des difficultés à ouvrir certaines huisseries témoigneraient de mouvements du bâti. Des témoins ont également été posés pour suivre le phénomène.
« Il est indéniable que les mouvements constatés sont liés aux travaux, et certainement à la vibration des murs périphériques » , commente Pierre Rivet, le directeur général des services techniques de la Ville de Colmar, rappelant que les parois moulées du futur parking sont coulées « très près » des bâtiments touchés.
« Mais il n’y a pas péril en la demeure, rassure aussitôt le cadre. Aujourd’hui, la situation n’est pas alarmante, mais fait l’objet d’une surveillance de tous les jours pour s’assurer que le phénomène n’est pas évolutif. » M. Rivet observe au passage que les fissures sont apparues « au titre de joints de dilatation » entre le bâti ancien et moderne. Des zones prévues pour absorber certaines contraintes.
Eiffage assumera sa responsabilité
« Ce phénomène de transmission par le sol est quelque chose qu’on rencontre assez souvent quand on travaille sur un site contraint avec des bâtiments tout autour » , précise encore le directeur, qui rappelle que ce risque de dommages collatéraux a été anticipé : « Dans le cadre du marché de travaux, un contrôleur technique et un bureau d’études suivent ça de près. » La mission concerne aussi les maisons avoisinantes, un constat d’huissier ayant été réalisé au début du chantier. Si des travaux sont nécessaires pour résoudre les « désordres » apparus, ils devront donc être assumés par Eiffage, titulaire du marché.
Clément TONNOT
L'ALSACE du 8/2/2019
1 février 2019
Publication de Benoît NICOLAS

Des nounous formidables !
Cette semaine, je voulais vous parler des assistantes maternelles rencontrées ce matin.
Elles ont plein d’idées pour la Ville même au-delà de leur activité.
Je voulais vous parler des commerces, encore, parce que j’ai été moqué et stigmatisé par la concurrence non encore déclarée (me faisant l’avocat ridicule selon eux des petites culottes…) ; concurrence qui me promet déjà, de façon à peine voilée, du sang, des larmes et des coups.
Pourtant le sujet est important.
Parlons alors, plutôt, du sujet d’actualité qu’est le « grand débat ».
Quel constat pour Colmar ?
Aujourd’hui, à Colmar, le pouvoir est hyper-centralisé.
Il est détenu par un seul homme qui décide de tout.
Sauf pour la communication de façade, personne n’existe, à part lui.
Lui seul décide et a raison par définition.
Cette manière de gérer, de se comporter, de tout corseter est complètement dépassée.
La vieille politique.
Les démocraties vivantes, celles que les gens attendent, sont celles qui permettent à chacun de s’exprimer, d’exister et donc de participer.
Pour exemple, Colmar, selon le chef, à deux centres-ville !
Comment accepter cette partition, décidée par un seul homme, qui conduit à tous les dangers, à toutes les stigmatisations, à tous les clientélismes et qui ne repose sur aucune réalité géographique.
La concentration du pouvoir produit cela et caractérise la politique aujourd’hui rejetée par tous.
Le « grand débat », tel qu’il est organisé aujourd’hui, selon moi et cela n’engage que moi, s’apparente à une campagne de communication du pouvoir centralisé.
La commune, l’échelon local, doit être le domaine privilégié du partage du pouvoir.
Certaines villes sont organisées sur ce mode avec succès.
Colmar, aujourd’hui, est à l’opposé de ce système.
Ma vision de la démocratie locale, de l’exercice du pouvoir, sera dans cette logique du « grand débat » mais surtout d’un pouvoir horizontal, partagé, équitable, non-clientéliste.
Pas un pouvoir vertical et hyper-centralisé comme aujourd’hui.
Il faut un nouveau souffle démocratique pour Colmar.
Je serai le candidat de ce nouveau souffle.
AGIR POUR COLMAR - LE GRAND DÉBAT

Cette semaine, je voulais vous parler des assistantes maternelles rencontrées ce matin.
Elles ont plein d’idées pour la Ville même au-delà de leur activité.
Je voulais vous parler des commerces, encore, parce que j’ai été moqué et stigmatisé par la concurrence non encore déclarée (me faisant l’avocat ridicule selon eux des petites culottes…) ; concurrence qui me promet déjà, de façon à peine voilée, du sang, des larmes et des coups.
Pourtant le sujet est important.
Parlons alors, plutôt, du sujet d’actualité qu’est le « grand débat ».
Quel constat pour Colmar ?
Aujourd’hui, à Colmar, le pouvoir est hyper-centralisé.
Il est détenu par un seul homme qui décide de tout.
Sauf pour la communication de façade, personne n’existe, à part lui.
Lui seul décide et a raison par définition.
Cette manière de gérer, de se comporter, de tout corseter est complètement dépassée.
La vieille politique.
Les démocraties vivantes, celles que les gens attendent, sont celles qui permettent à chacun de s’exprimer, d’exister et donc de participer.
Pour exemple, Colmar, selon le chef, à deux centres-ville !
Comment accepter cette partition, décidée par un seul homme, qui conduit à tous les dangers, à toutes les stigmatisations, à tous les clientélismes et qui ne repose sur aucune réalité géographique.
La concentration du pouvoir produit cela et caractérise la politique aujourd’hui rejetée par tous.
Le « grand débat », tel qu’il est organisé aujourd’hui, selon moi et cela n’engage que moi, s’apparente à une campagne de communication du pouvoir centralisé.
La commune, l’échelon local, doit être le domaine privilégié du partage du pouvoir.
Certaines villes sont organisées sur ce mode avec succès.
Colmar, aujourd’hui, est à l’opposé de ce système.
Ma vision de la démocratie locale, de l’exercice du pouvoir, sera dans cette logique du « grand débat » mais surtout d’un pouvoir horizontal, partagé, équitable, non-clientéliste.
Pas un pouvoir vertical et hyper-centralisé comme aujourd’hui.
Il faut un nouveau souffle démocratique pour Colmar.
Je serai le candidat de ce nouveau souffle.
31 janvier 2019
Chantier de la Montagne verte : réunion avec le maire
Demain vendredi 1er février à 17h30 se tiendra une réunion à la médiathèque, salle de l'Auditorium, à laquelle les riverains ont été conviés.
« Venez tous, pour manifester notre refus de continuer à subir de telles atteintes à notre cadre de vie, 14 heures par jour, 6 jours sur 7. Le maire a le pouvoir de limiter les nuisances d'un chantier, pas de les accroître, de façon tyrannique. À nous de le lui faire comprendre » écrit un riverain excédé. Bon courage ! Le maire écoute mais il n'entend pas, nous l'avons maintes fois vérifié. Pourquoi changerait-il ? Merci aux riverains de nous tenir au courant.
Colmar info se tient à la disposition des habitants pour porter à la connaissance de tous leur vécu au quotidien.
30 janvier 2019
Gérald d'Orbe
Taxe de NoëlIl convient, je pense, d'ajouter à ces remarques diverses une révélation faite à l'insu de son plein gré par Chwouldi himself. En effet le shérif, pour justifier la "contribution" demandée aux commerçants pour financer la sécurité des marchés de Noël, écrivait que les Colmariens payaient 1 million d'euros et qu'il ne pouvait pas leur demander plus… À ce tarif certains (bibi en tête) estiment qu'il est urgent de ne plus faire ces marchés qui coûtent aux uns pour en goinfrer d'autres !
28 janvier 2019
Tout est dit
Samedi nous décidons avec mon mari de nous rendre au centre-ville de Colmar pour faire du shopping et pourquoi pas profiter des soldes. À notre grand étonnement pas grand monde dans les rues et dans les magasins. Nous discutons avec un commerçant en place depuis 15 ans, il n'a jamais vu un mois de janvier aussi calme, c'est catastrophique, même le mois de décembre pas formidable. Pour lui, les locaux boudent clairement le centre-ville, trop de touristes qui achètent peu ou rien du tout, parkings trop chers et pas assez de magasins jeunes et diversifiés, leurs clients préfèrent aller sur Strasbourg ou Mulhouse pour faire leurs achats. Avant de rentrer nous décidons de faire un tour dans les rues plus pittoresques du centre et là, c'est désertique, personne et tous les magasins sont fermés, certains même pour 2 mois ! Quelle image pour le dynamisme de la ville... Certaines mairies ont décidé d'avoir un droit de regard sur l'ouverture de nouveaux magasins. Colmar devrait aussi le faire et limiter les magasins de souvenirs, caramels, fruits secs qui grignotent peu à peu tout le centre-ville, quel est l'intérêt d'avoir 10 boutiques qui vendent toutes la même chose dans la même rue ? De même pour les airbnb et les gîtes il faudrait une autorisation de la mairie et un nombre maximum à ne pas dépasser.
N'habitant pas Colmar, nous ne pourrons malheureusement pas voter, espérons que les Colmariens choisiront un maire plus jeune et surtout qui n'est pas dans la lignée de l'actuel élu. Il faut avant tout penser aux Colmariens, aux personnes qui y travaillent et aux commerçants, ce sont eux qui font l'âme de cette ville et sûrement pas les touristes !
28/1/2019 08:4621 janvier 2019
On ne doit pas mourir au mois de décembre à Colmar...
ou « Le "succès" de la fourrière colmarienne »
Suis-je idiote ou sensée ? Je me pose la question. »
ou « Le "succès" de la fourrière colmarienne »
Gilbert Meyer a déclenché pas mal de rires dans l'assistance, jeudi, aux vœux de Colmar Agglomération, quand il a évoqué le « succès» de la fourrière automobile l'an passé, avec une « fréquentation » en hausse de plus 10 % (1110 véhicules en 2018 contre 1005 en 2017). [L'ALSACE du 19/1/2019]
Qu'en pense Danièle qui a adressé au journal DNA du 17/1/2019 ce courrier pour nous faire part de la triste aventure dont elle a été indirectement victime :
« Je me rends le 6 décembre à l'enterrement de mon beau-frère à la collégiale Saint-Martin à 10 h à Colmar. Le frère du défunt est handicapé, il gare sa voiture à droite de l'église sur un emplacement handicapé en posant sa carte sur le pare-brise, il n'y avait pas de barrières. À la sortie de l'office - plus de voiture - à la douleur du deuil, s'ajoute de la colère. Nous allons à la fourrière, surprise ! deux contraventions, l'une pour le déplacement du véhicule l'autre pour le stationnement !!
Le véhicule funéraire était devant l'église, il suffisait juste d'un peu de réflexion, de tolérance et de respect envers un handicapé. Conclusion : on ne doit pas mourir au mois de décembre à Colmar... Oui à la sécurité, même si l'un n'empêche pas l'autre, je pense à Strasbourg...
Les Colmariens ont fait preuve de patience tout au long de ces fêtes et fait face aux contraintes, soit, mais là tout de même !!! Au nom du père argent et du fils consommateur, le sain d'esprit se désole... Je cite une phrase parue dans les DNA du 4 janvier (extrait du compte-rendu de la cérémonie des vœux au parc des expositions du maire de Colmar Gilbert Meyer ndlr) : « L'ennui c'est que les idiots sont sûrs d'eux et les gens sensés pleins de doutes ».
Suis-je idiote ou sensée ? Je me pose la question. »
20 janvier 2019
CORDEY
En ce début d’année, il est d’actualité de se demander ce que veut cet étrange animal qu’est « le Français » ? Pourquoi s’agite-t-il autant ? Pourquoi n’est-il jamais content ou satisfait ? Pourquoi est-il si friand de critiques, de grèves et de manifestations à tout va ? Pourquoi adore-t-il tant s’insurger au lieu de s’interroger ou de dialoguer ?
Nos médias nous relaient sans cesse depuis plus d’un mois, différentes manifestations, qu’elles soient jaunes, rouges, bleues ou multicolores. Chacun veut contenter son ego. Certains ont perdu le goût du travail : un revenu minimum à 10.000 €, plus de reconnaissance, plus d’argent, moins d’heures de travail, moins de taxes, plus de dialogues, plus de changement. Chacun en veut toujours plus mais sans donner de son temps, de sa personne, de son envie. Quel intérêt à casser, bloquer une majorité qui n’est pas en accord ? Quel intérêt de casser et d’insulter son gouvernement ? La haine amène la répression, non pas le dialogue.
Pourquoi parler sans cesse de ce groupuscule minoritaire en France ?
Nos co-citoyens avocats, enseignants, infirmiers n’ont pas été autant médiatisés ni relayés alors qu’ils ont manifesté, font grève pacifiquement. Ces corps de métiers vous sont tout autant utiles à vous, à moi, du plus pauvre au plus riche, du plus jeune au plus vieux. Pourquoi ne pas s’insurger pour eux, pourquoi ne pas les soutenir ?
De même, nos co-citoyens pauvres, SDF sont toujours dans la rue, isolés. Pourquoi ne pas s’insurger également pour eux ? Pour leur venir en aide ? Malheureusement, il n’y a pas de profit personnel. Rien de plus dans votre porte-monnaie donc des causes inutiles à défendre.
« Le Français » réclame du changement à chaque élection et n’est jamais satisfait car aucun gouvernant ne fait le choix de remplir son porte-monnaie et de le rendre millionnaire. Il est attiré par des partis promettant un rassemblement ou une insoumission car « nous vous donnerons de l’argent, nous pensons au peuple, vous aurez du travail, vous aurez tout ce que vous voulez ». Croyez-vous vraiment aux boniments de tous ces filous ? Promettre est une capacité donnée à chacun mais tenir sa promesse est une autre affaire.
De même : « Macron Dictateur ». Il serait bon de faire un séjour en Corée du Nord pour avoir une vraie notion de la dictature et de la brimade totale. « Macron Dictateur ! », « nous ne l’avons pas voté ! », mais avez-vous pris le temps de voter ? Oui « le Français » se plaint de tout mais n’agit pas. Oui, il est nécessaire que le vote blanc soit reconnu mais, « le Français » se déplacera-t-il pour autant ?
Il en est de même pour Colmar. Il n’y a que critiques et insultes envers la municipalité actuelle. Mais « le Français » habitant Colmar ne s’intéresse pas à la politique, râle, s’insurge derrière un écran mais « le Français » de Colmar ne veut pas changer, il ne veut pas penser à ce qu’il aimerait changer, il ne pense pas au bien-être de sa ville. Il est résigné, il ne prend pas le temps de connaître les personnes proposant des initiatives plus jeunes, plus modernes. Non, « le Français » de Colmar ne se déplace pas pour voter, ni ne prend le temps de réfléchir. « Le Français » de Colmar et d’ailleurs attend que l’on remplisse son portefeuille et non pas que l’on redonne un coup de jeune à sa ville. « Le Français » est bien étrange. Se fera-t-il encore avoir ?
« Le Français » de Colmar
En ce début d’année, il est d’actualité de se demander ce que veut cet étrange animal qu’est « le Français » ? Pourquoi s’agite-t-il autant ? Pourquoi n’est-il jamais content ou satisfait ? Pourquoi est-il si friand de critiques, de grèves et de manifestations à tout va ? Pourquoi adore-t-il tant s’insurger au lieu de s’interroger ou de dialoguer ?
Nos médias nous relaient sans cesse depuis plus d’un mois, différentes manifestations, qu’elles soient jaunes, rouges, bleues ou multicolores. Chacun veut contenter son ego. Certains ont perdu le goût du travail : un revenu minimum à 10.000 €, plus de reconnaissance, plus d’argent, moins d’heures de travail, moins de taxes, plus de dialogues, plus de changement. Chacun en veut toujours plus mais sans donner de son temps, de sa personne, de son envie. Quel intérêt à casser, bloquer une majorité qui n’est pas en accord ? Quel intérêt de casser et d’insulter son gouvernement ? La haine amène la répression, non pas le dialogue.
Pourquoi parler sans cesse de ce groupuscule minoritaire en France ?
Nos co-citoyens avocats, enseignants, infirmiers n’ont pas été autant médiatisés ni relayés alors qu’ils ont manifesté, font grève pacifiquement. Ces corps de métiers vous sont tout autant utiles à vous, à moi, du plus pauvre au plus riche, du plus jeune au plus vieux. Pourquoi ne pas s’insurger pour eux, pourquoi ne pas les soutenir ?
De même, nos co-citoyens pauvres, SDF sont toujours dans la rue, isolés. Pourquoi ne pas s’insurger également pour eux ? Pour leur venir en aide ? Malheureusement, il n’y a pas de profit personnel. Rien de plus dans votre porte-monnaie donc des causes inutiles à défendre.
« Le Français » réclame du changement à chaque élection et n’est jamais satisfait car aucun gouvernant ne fait le choix de remplir son porte-monnaie et de le rendre millionnaire. Il est attiré par des partis promettant un rassemblement ou une insoumission car « nous vous donnerons de l’argent, nous pensons au peuple, vous aurez du travail, vous aurez tout ce que vous voulez ». Croyez-vous vraiment aux boniments de tous ces filous ? Promettre est une capacité donnée à chacun mais tenir sa promesse est une autre affaire.
De même : « Macron Dictateur ». Il serait bon de faire un séjour en Corée du Nord pour avoir une vraie notion de la dictature et de la brimade totale. « Macron Dictateur ! », « nous ne l’avons pas voté ! », mais avez-vous pris le temps de voter ? Oui « le Français » se plaint de tout mais n’agit pas. Oui, il est nécessaire que le vote blanc soit reconnu mais, « le Français » se déplacera-t-il pour autant ?
Il en est de même pour Colmar. Il n’y a que critiques et insultes envers la municipalité actuelle. Mais « le Français » habitant Colmar ne s’intéresse pas à la politique, râle, s’insurge derrière un écran mais « le Français » de Colmar ne veut pas changer, il ne veut pas penser à ce qu’il aimerait changer, il ne pense pas au bien-être de sa ville. Il est résigné, il ne prend pas le temps de connaître les personnes proposant des initiatives plus jeunes, plus modernes. Non, « le Français » de Colmar ne se déplace pas pour voter, ni ne prend le temps de réfléchir. « Le Français » de Colmar et d’ailleurs attend que l’on remplisse son portefeuille et non pas que l’on redonne un coup de jeune à sa ville. « Le Français » est bien étrange. Se fera-t-il encore avoir ?
19 janvier 2019
Déposer/récupérer les enfants à l'école (commentaires)
• [PV] Moi j'ai eu 135€ pour 2/3 minutes d'arrêt.
Faire sortir ma fille de la voiture, courir 50m lui faire un bisou, revenir en courant toujours et ils étaient là...
Il est vrai que l'arrière de ma voiture chevauchait de peu un passage piéton...
19/1/2019 22:49
• Bonjour,
Voici mon coup de gueule suite aux énièmes problèmes de stationnement. Aux abords de l'école Jean Macé, depuis la rentrée, il est impossible de trouver une place de stationnement juste pour déposer ses enfants à l'école. Je ne me gare jamais devant l'école (les places sont prises d'assaut et je refuse de me garer sur le trottoir ou devant les garages comme le font de nombreux parents). La rue de la Lauch où je me garais sans problème jusqu'en juillet n'a plus de places non plus (pauvres riverains !) : reprise des cours à l'IUT, passage en zone bleue de la rue Thomann, fermeture du parking Montagne verte (j'imagine que ça a un impact aussi)... Je n'imagine même pas la galère supplémentaire au moment du marché de Noël. Et bien sûr, étant donné que je suis une pauvre travailleuse, je file directement sur mon lieu de travail en sortant de l'école. Je ne peux donc pas venir à pied ou à vélo !
Et je ne compte pas le nombre de passages de la police municipale dans le quartier au moment de l'entrée et de la sortie de l'école.
Comment fait-on quand le temps est compté et précieux le matin ? Comment fait-on quand les seuls endroits où on peut se garer avant de marcher 5 minutes jusqu'à l'école nous laissent dans le stress de se prendre un PV parce qu'on doit juste déposer nos enfants à l'école ? Combien de fois j'ai du dire à ma fille de 4 ans : dépêche-toi, tu as vu comme je suis garée, la police va me demander des sous... C'est très sain comme climat le matin pour un enfant (et ses parents !!!)
Merci d'avoir lu et pris un peu de ma colère du matin !
[2/10/2018 09:54]
• Pour ajouter une note constructive au débat houleux de la dépose des enfants en toute sécurité à l'école, il serait judicieux de mettre en place une navette qui les déposerait en groupe le matin et les rechercherait le soir. Cela ferait coup double : régler le problème de sécurité qui est primordial et désengorger le secteur pour que les habitants retrouvent un peu de sérénité. Évidemment, la ville serait la grande perdante dans l'histoire (moins de PV)... Allez les parents ! Fédérez-vous et allez suggérer cela à M. le mai(t)re.
[30/06/2018 15:07]
• Et encore, 35 € c’est plutôt sympa, moi j’ai déjà eu un PV de 95 € pour la même chose devant l’école de l’Assomption... Après avoir envoyé un courrier à la mairie indiquant que je trouvais qu’un peu de tolérance pourrait être de mise à cet horaire le matin, surtout quand on ne gêne personne, je me suis entendue répondre que je devrais être contente de ne pas m’être fait enlever ma voiture... ! Sympa, quoi ! [29/06/2018 18:49]
• À l'école maternelle la Serpentine idem, presque tous les matins ils étaient là et mettaient des prunes quand les mamans déposaient les petits... dans le ZUP, on circule en wheeling sans casque avec son scooter mais là il n'y a personne.
[29/06/2018 16:53]
• J'ai laissé 34 euros de parcmètre en 2 mois pour être stationnée comme il se doit et avoir le droit d'emmener mon enfant à l'école St Jean ; j'aimerais bien voir les personnes qui parlent sans doute un peu vite, si elles étaient dans mon cas, payer pour aller et chercher son enfant, sachant qu'il faut venir au minimum 30 minutes, voire 1 heure avant, sous peine de ne plus trouver de place payante ; qui plus est, pour les personnes d'un certain âge ou malades, cela relève parfois du parcours du combattant et même si, en effet, certains parents semblent chercher la facilité, ce n'est pas le cas de tout le monde ; parfois il faut essayer de comprendre la difficulté au quotidien que cela représente ainsi que les désagréments plutôt que de juger !
[29/06/2018 15:41]
• Mes deux enfants sont à Saint-Jean, aussi quand je les dépose, j'utilise le parking prévu à cet effet, par la rue des Fleurs, parce qu'ils n'ont pas l'âge d'être déposés comme des paquets. Cela étant, la réaction des agents verbalisateurs est extrême : je les ai déjà vus attendre l'air de rien que les mamans et papas sortent de leur voiture, pour les aligner à peine le dos tourné ! Au lieu de taper au carreau et de faire respecter l'interdit ! Par contre, aux heures de rentrée et sortie, la rue Saint-Josse est un lieu de guerre, et ça c'est pas normal !
[29/06/2018 14:10]
• Bonjour, Je vous fais part de ma mésaventure à Colmar.
Ma fille a eu un accident domestique et est en arrêt de travail car elle ne peut plus conduire sa voiture, entre autres problèmes.
(...) elle emmenait son fils tous les matins à l’école ST JEAN à Colmar, avant de se rendre à son travail à Colmar.
Depuis cette date, c’est moi, sa grand-mère, qui emmène mon petit-fils à l’école ST JEAN, tous les matins, pour lui rendre service et l’aider de mon mieux. Ainsi, je pars de chez moi à 07h du matin pour aller chercher mon petit-fils et l’emmener ensuite à l’école ST JEAN à Colmar, pour y être entre 07h30 et 08h.
Ensuite je pars travailler à mon bureau à Colmar pour 09h30.
Il y a une dizaine de jours environs, lorsque j’ai emmené mon petit-fils, et comme chaque matin, entre 07h30 et 08h00, j’ai eu l’heureuse surprise de croiser un agent de la ville en mobylette qui venait de me verbaliser durant les quelques minutes où j’ai laissé ma voiture sur une des files de la rue ST JEAN où tout le monde s’arrête tous les matins pour emmener les enfants jusqu’à l’entrée de l’école.
Je n’ai pas pour habitude de déposer « comme un paquet » mon petit-fils de 6 ans sur la route et je pense qu’il est de mon devoir de prendre mon petit-fils par la main, car j’en ai la responsabilité à ce moment précis et je me dois de l’accompagner jusqu’à l’entrée de l’école.
Mais, lorsque je vois qu’on n’hésite pas à envoyer un agent verbaliser justement pendant ce laps de temps de 07h30 à 08h00 au moment de la rentrée des classes, je trouve cela honteux.
Si je devais laisser mon petit-fils comme un paquet au bord de cette rue, et filer en vitesse pour ne pas être verbalisée, je ne manquerais pas d’accuser Monsieur le MAIRE comme responsable s’il arrivait un accident à mon petit-fils entre la voiture et l’entrée de l’école !
J’ai eu à payer 35 € de PV pour mauvais stationnement, comme bon nombre de parents ou grands-parents, je pense...
[29/06/2018 12:01]
• Je dépose ma fille à l'école... je reste au volant... elle descend... 35 euros d'amende...
Je pensais que les municipaux assuraient la sécurité des élèves... naïf... ils sont juste là pour se gaver... et on s'étonne que les commerces des centres-villes ferment... gratuité pour les riverains et les travailleurs.
[27/06/2018 16:45]
Nath Id
19/1/2019
Colmar prise la main dans le sac... sur les ondes nationales en plus !
+ 8 euros sur l'amende de stationnement, pour une ville qui ne devait pas augmenter les amendes. BRAVO.
Pas bien Monsieur MEYER de mentir, vous augmentez le coût du stationnement, où sont vos engagements ?
« Qui dit un mensonge en dit cent. »
En sera-t-il de même pour votre dernier mandat ?
Doit-on se préparer à une nouvelle candidature ?
Je pense que les Colmariens commencent à saturer, entre le stationnement, les Chinois aux Lavandières, les illuminations kitschissimes sur les murs de nos magnifiques bâtiments, les travaux de la Montagne verte...
Réveillez-vous, les Colmariens, il faut rajeunir cette ville qui ronronne, il faut la rendre attractive pour les jeunes, il n'y a pas que Strasbourg et Mulhouse, Colmar doit absolument se dynamiser !
Aux prochaines élections notre Maire aura 79 ans, croyez-vous vraiment qu'il est encore dans le coup pour dynamiser la ville, il n'y a que nous Colmariennes et Colmariens qui pouvons changer ça.
À l'heure du Grand débat, de la démocratie participative, soyez acteur de l'avenir de la ville, râler est une chose, agir est plus difficile mais si on vous en donne la possibilité, saisissez-là, il est temps !
Impliquez-vous, exprimez-vous, agissez à votre manière mais bougez, je ne voudrais pas d'un nouveau mandat avec l’équipe actuelle, et vous ?
19/1/2019
Colmar prise la main dans le sac... sur les ondes nationales en plus !
+ 8 euros sur l'amende de stationnement, pour une ville qui ne devait pas augmenter les amendes. BRAVO.
Pas bien Monsieur MEYER de mentir, vous augmentez le coût du stationnement, où sont vos engagements ?
« Qui dit un mensonge en dit cent. »
En sera-t-il de même pour votre dernier mandat ?
Doit-on se préparer à une nouvelle candidature ?
Je pense que les Colmariens commencent à saturer, entre le stationnement, les Chinois aux Lavandières, les illuminations kitschissimes sur les murs de nos magnifiques bâtiments, les travaux de la Montagne verte...
Réveillez-vous, les Colmariens, il faut rajeunir cette ville qui ronronne, il faut la rendre attractive pour les jeunes, il n'y a pas que Strasbourg et Mulhouse, Colmar doit absolument se dynamiser !
Aux prochaines élections notre Maire aura 79 ans, croyez-vous vraiment qu'il est encore dans le coup pour dynamiser la ville, il n'y a que nous Colmariennes et Colmariens qui pouvons changer ça.
À l'heure du Grand débat, de la démocratie participative, soyez acteur de l'avenir de la ville, râler est une chose, agir est plus difficile mais si on vous en donne la possibilité, saisissez-là, il est temps !
Impliquez-vous, exprimez-vous, agissez à votre manière mais bougez, je ne voudrais pas d'un nouveau mandat avec l’équipe actuelle, et vous ?
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