Danièle Arnold, conseillère municipale du groupe majoritaire de Wintzenheim réagit à l’article sur l’extinction de l’éclairage public paru dimanche 15 novembre dans les Dernières Nouvelles d'Alsace :
« En effet, la nuit nous plonge dans l’obscurité et certes, il fait noir… Au cours du XIXe siècle, le gaz puis la fée électricité vinrent ainsi remédier à cette incontournable plongée dans l’obscurité due à un non moins incontournable phénomène astronomique qui se répète en alternance toutes les 24 heures. Nous nous sommes donc habitués à compenser cette plongée dans le noir au point que nous ne puissions plus nous en passer.
Or, la nuit est aussi nécessaire que le jour non seulement pour la biodiversité, le monde végétal mais aussi pour l’équilibre de l’homme déjà bien perturbé par l’anthropocène !
Proposer une solution alternative à l’extinction des lumières publiques ne semble donc pas vertueux quand on a le souci de préserver l’environnement. Cette décision est donc courageuse, responsable et ambitieuse. Envisager, enfin, une alimentation électrique par leds est toujours plus coûteuse et non écologique puisque ni le processus de fabrication de ces lampes (galium et indium), ni leur recyclage, et encore moins leur lumière très blanche propageant des ondes bleues fort néfastes ne sauraient satisfaire quiconque défendant la cause environnementale. Pour conclure et pour toutes les raisons précitées, il est apparu nécessaire et raisonnable de prendre la décision de l’extinction et non de toute autre solution alternative, comme il avait été d’ailleurs proposé aux habitants lors du sondage effectué. »
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22 novembre 2020
21 novembre 2020
3ème semaine de dons
qui continuent d'affluer au Café des Marchands (9, rue des Marchands à Colmar) servant d'entrepôt avant la redistribution aux plus nécessiteux.
Samedi prochain (28 novembre), la collecte ne concernera que la nourriture, pour répondre à une demande de plus en plus pressante. (14h-17h).
qui continuent d'affluer au Café des Marchands (9, rue des Marchands à Colmar) servant d'entrepôt avant la redistribution aux plus nécessiteux.
Samedi prochain (28 novembre), la collecte ne concernera que la nourriture, pour répondre à une demande de plus en plus pressante. (14h-17h).
20 novembre 2020
Fabien Nierengarten
Tout à l'heure, appel d'un journaliste de Lyon :
- Lui : « Bonjour. Pourrais-je avoir le nom du Président du Conseil départemental du Haut-Rhin, SVP ? »
- Moi : « Oui, bien-sûr, c'est Rémy WITH... »
- Lui : « On écrit ça comment ? W-I-T-T ? »
- Moi : « Non, W-I-T-H. »
- Lui : « Ah, il s'appelle donc WIZZ... »
- Moi : « Ben non, il faut prononcer à l'allemande, pas à l'anglaise. Donc comme WITT et pas comme WIZZ. »
- Lui (un peu agacé) : « Décidément, vous ne pouvez rien faire comme les autres en Alsace. »
- Moi (très agacé) : « Ben disons que, jusqu'à preuve du contraire, l'Alsace était allemande et pas britannique. »
- Lui : « On peut voir ça comme ça. Et vous êtes Monsieur... ? »
- Moi : « Nierengarten. »
Grand silence, puis dut-dut-dut dans mon combiné.
Alors, soit il a raccroché, soit il est tombé dans les pommes.
Pour l'achever, j'aurais dû lui parler de mon pote Phil... Umbdenstock !!!
Tout à l'heure, appel d'un journaliste de Lyon :
- Lui : « Bonjour. Pourrais-je avoir le nom du Président du Conseil départemental du Haut-Rhin, SVP ? »
- Moi : « Oui, bien-sûr, c'est Rémy WITH... »
- Lui : « On écrit ça comment ? W-I-T-T ? »
- Moi : « Non, W-I-T-H. »
- Lui : « Ah, il s'appelle donc WIZZ... »
- Moi : « Ben non, il faut prononcer à l'allemande, pas à l'anglaise. Donc comme WITT et pas comme WIZZ. »
- Lui (un peu agacé) : « Décidément, vous ne pouvez rien faire comme les autres en Alsace. »
- Moi (très agacé) : « Ben disons que, jusqu'à preuve du contraire, l'Alsace était allemande et pas britannique. »
- Lui : « On peut voir ça comme ça. Et vous êtes Monsieur... ? »
- Moi : « Nierengarten. »
Grand silence, puis dut-dut-dut dans mon combiné.
Alors, soit il a raccroché, soit il est tombé dans les pommes.
Pour l'achever, j'aurais dû lui parler de mon pote Phil... Umbdenstock !!!
Gérald d'Orbe
[COVID]
Vous êtes tous devenus fous !
Créer la psychose, menacer, réprimer, et, cerise sur le gâteau, faire que la population culpabilise, c'est la voie habituelle pour l'instauration d'une dictature !
- 3/11/2020 - Si au lieu de compter les "cas", ce qui ne dit rigoureusement RIEN on communiquait sur le nombre de VRAIS malades, de VRAIS décès et qu'on indique chaque jour le nombre de personnes tirées d'affaire, ça parlerait au moins autant et ça cesserait de faire peur aux moutons !
19 novembre 2020
Succès pour la manifestation de soutien au commerce colmarien. Une foule nombreuse a suivi l'appel lancé par les Vitrines de Colmar et relayé par Eric Straumann.
« Ne tuez pas nos commerces ! » Derrière cette banderole, environ 600 personnes (selon la police) ont participé ce jeudi soir à la "marche funèbre" organisée par les Vitrines de Colmar avec le soutien de la municipalité de Colmar. L'association de commerçants locale est parvenue à mobiliser ses troupes. Parmi les manifestants, en effet, une grande majorité de commerçants (...). Les manifestants plaidaient pour la réouverture des commerces le plus rapidement possible. (...).
DNA/L'ALSACE du 19/11/2020
Hold-Up : l'analyse de Guy de La Fortelle
(Extraits)
Je vous l’ai dit, ce film est :
Polémique : de polemos, secouer, agiter.
Radical : il cherche à aller à la racine. À comprendre la crise dans sa globalité en profondeur, quitte à se perdre et faire des fautes.
Spéculatif : Au sens intellectuel de contempler, de faire un pas de côté et se demander… Et si.
Surtout, ce film est une révolte au sens de Camus, la révolte contre notre condition et la révolte qui nous unit contre l’arbitraire qui gouverne cette crise et que souligne d’ailleurs l’excellent Regis de Castelnau dans le film.
À cause de cela, ce document est critiquable : digne de critique. Malgré toutes ses erreurs et malgré ses fautes, il mérite notre attention.
Il mérite notre attention aussi car il y a un travail titanesque derrière ce film : Le travail de Barnérias bien sûr, mais surtout celui des 37 intervenants dont beaucoup ont consacré leur vie à la science et à la recherche, au travail.
Et autant je NE peux PAS souscrire à l’idée que le virus ait été fabriqué et lâché dans la nature de manière délibérée pour mettre en place ce projet de gouvernance mondiale et de protection ultime des fortunes.
Autant il est raisonnable de penser qu’ils sont pragmatiques et utilisent cet événement inattendu dans ce but.
Il n’y a rien de nouveau. Les États-Unis n’ont pas délibérément provoqué le 11 septembre mais ils l’ont détourné pour aller en Irak.
Les États-Unis n’ont pas créé la crise de 2008 mais ils l’ont utilisée pour détourner le système financier et changer radicalement la répartition des richesses.
Aujourd’hui lorsque l’on veut généraliser le digital. Il y a un enjeu majeur qui est totalement occulté dans le débat public.
Bien sûr personne ne veut de cet avenir orwellien.
Mais la peur du virus rend cet avenir si ce n’est acceptable, tout du moins imposable.
Pas le virus, la peur du virus.
Et Hold-Up a le grand mérite de tenter de nous sortir de cette tétanie, avec toutes ses erreurs et toutes ses fautes, ses exagérations, Hold-Up réveille, secoue, met du mouvement, de la polémique.
Et cela est bon.
Et pour cela je salue le courage et le travail de Pierre Barnérias et de tous ceux qui ont accepté de témoigner devant sa caméra.
Je vous l’ai dit, ce film est :
Polémique : de polemos, secouer, agiter.
Radical : il cherche à aller à la racine. À comprendre la crise dans sa globalité en profondeur, quitte à se perdre et faire des fautes.
Spéculatif : Au sens intellectuel de contempler, de faire un pas de côté et se demander… Et si.
Surtout, ce film est une révolte au sens de Camus, la révolte contre notre condition et la révolte qui nous unit contre l’arbitraire qui gouverne cette crise et que souligne d’ailleurs l’excellent Regis de Castelnau dans le film.
À cause de cela, ce document est critiquable : digne de critique. Malgré toutes ses erreurs et malgré ses fautes, il mérite notre attention.
Il mérite notre attention aussi car il y a un travail titanesque derrière ce film : Le travail de Barnérias bien sûr, mais surtout celui des 37 intervenants dont beaucoup ont consacré leur vie à la science et à la recherche, au travail.
Et autant je NE peux PAS souscrire à l’idée que le virus ait été fabriqué et lâché dans la nature de manière délibérée pour mettre en place ce projet de gouvernance mondiale et de protection ultime des fortunes.
Autant il est raisonnable de penser qu’ils sont pragmatiques et utilisent cet événement inattendu dans ce but.
Il n’y a rien de nouveau. Les États-Unis n’ont pas délibérément provoqué le 11 septembre mais ils l’ont détourné pour aller en Irak.
Les États-Unis n’ont pas créé la crise de 2008 mais ils l’ont utilisée pour détourner le système financier et changer radicalement la répartition des richesses.
Aujourd’hui lorsque l’on veut généraliser le digital. Il y a un enjeu majeur qui est totalement occulté dans le débat public.
Bien sûr personne ne veut de cet avenir orwellien.
Mais la peur du virus rend cet avenir si ce n’est acceptable, tout du moins imposable.
Pas le virus, la peur du virus.
Et Hold-Up a le grand mérite de tenter de nous sortir de cette tétanie, avec toutes ses erreurs et toutes ses fautes, ses exagérations, Hold-Up réveille, secoue, met du mouvement, de la polémique.
Et cela est bon.
Et pour cela je salue le courage et le travail de Pierre Barnérias et de tous ceux qui ont accepté de témoigner devant sa caméra.
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