Les détecteurs de CO2 sont la marotte des covidistes. Pour prendre soin des enfants, il faut en mettre dans toutes les classes. Les détecteurs sont donc là, sur l’armoire, affichant un taux à peu près normal de 500 particules par million et quand le seuil atteint 1000 particules par million, branle-bas de combat, ça ne rigole pas, les gosses sont en danger : risques de vomissements et maux de tête. On ouvre alors les fenêtres et on aère, avec de l’air de l’extérieur, à 500 particules par million. Vous allez me dire, mais quand on sort et qu’on respire l’air qu’on fait rentrer, il faut quand même mettre un masque. Là où c’est le plus drôle, c’est que quand on met le détecteur directement sous le masque du gamin, il affiche la bagatelle de 5000 particules par million, autrement dit, le petit s’asphyxie avec l’air qu’il re-respire en permanence. En plus d’être totalement incohérentes, vu que les enfants ne risquent pas de formes graves, on ne le dira jamais assez, ces mesures relèvent de l’empoisonnement et on ne peut pas penser une seule seconde que les décideurs ne soient pas au courant. Pour couronner le tout, vu que les chauffages fonctionnent avec des thermostats et qu’on aère dix fois par jour, les chaudières tournent en permanence, avec le prix écologique que l’on connaît, le prix tout court, que l’on connaît aussi et bien sûr, les émissions de CO2. Alors, heureux ?
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17 janvier 2022
Exposition : Françoise Ferreux à l'Espace Malraux
Née le 1er mars 1961, Françoise Ferreux vit et travaille dans le Haut-Rhin. Après cinq années d'études à l'école des Beaux-Arts de Mulhouse, ses œuvres graphiques ont fait l'objet d'expositions personnelles et collectives en France et à l'étranger, de 1984 à 1996.
Elle travaille avec le matériau textile depuis 2008.
L'exposition sera visible jusqu'au 13 mars, et deux autres rencontres privilégiées avec l'artiste seront organisées les 6 février et 6 mars de 15h30 à 18h.
Elle travaille avec le matériau textile depuis 2008.
L'exposition sera visible jusqu'au 13 mars, et deux autres rencontres privilégiées avec l'artiste seront organisées les 6 février et 6 mars de 15h30 à 18h.
– Adresse : 4 rue Rapp, 68000 Colmar
– Horaires : mardi, mercredi, vendredi, samedi et dimanche : 14h à 18h ; jeudi : 12h à 17h
– Pass vaccinal obligatoire
« Le début de la fin » ?
Eric Vial
Alors qu’en France les pouvoirs publics veulent continuer à « emmerder les non-vaccinés », il semble qu’ailleurs en Europe, certains pays estiment que l’arrivée du variant Omicron « beaucoup plus transmissible mais moins dangereux » permette de relâcher la pression sur les habitants.
Le directeur régional de l’Organisation Mondial de la Santé prévoit pourtant que 50 % des Européens soient touchés par Omicron. Une situation qui peut « réellement mettre en difficulté certains systèmes de santé mais qui peut conduire vers une immunité collective ».
L’Espagne considère désormais qu’il faut traiter Omicron « comme une grippe », la Grande-Bretagne « n’envisage pas de restrictions complémentaires ». Israël qui a toujours été en avance dans la lutte contre la maladie, ralentit sa campagne de 4e vaccination.
Le ministre de la Santé suisse a déclaré : « on est peut être à la veille d’un tournant qui pourrait être décisif avec le passage d’une phase pandémique à une phase endémique, avec une immunité atteinte dans la population qui atteint des niveaux maintenant élevés (…). L’Omicron, c’est peut-être le début de la fin – de cette pandémie (…). En prenant compte de la vaccination et des guérisons, le taux d’immunité des plus de 20 ans dépasse les 90 %, et atteint même 97 % pour les plus de 80 ans, a-t-il expliqué.
Autre constat, les pays qui avaient été le plus restrictifs avec Delta sont les moins touchés par Omicron : Allemagne, Autriche, Hongrie.
La clé de la lutte contre la maladie semble donc être la capacité hospitalière à ne pas être surchargée. Toutes les Nations Européennes ont établi des dispositifs sanitaires coercitifs. Certaines commencent à les lever grâce à un système de santé qui a tenu le coup.
Dans ce combat contre le virus, le système de santé Français – qui a pourtant été une priorité de notre République – est en lambeaux.
Nous avons perdu « la guerre » contre la Covid. Nos élites ont voulu gérer l’hôpital comme une entreprise du CAC40 en supprimant des lits, en réduisant les formations ou les budgets à la recherche : nous avons échoué en mettant un personnel de santé sous tension et en ne lui donnant plus les moyens de ses missions de service public.
Le comble est venu hier de celui qui nous a amené la fleur au fusil dans ce conflit contre le virus, Olivier Véran, notre ministre de la Santé. Il a reconnu malgré 3 doses de vaccin, malgré les consignes sanitaires très restrictives qu’il nous assène, malgré les arguments sur l’immunisation que permettent les injections, qu’il était aussi positif. Je lui souhaite un bon rétablissement.
Cette question de la santé et des valeurs humanistes et de solidarité qu’elle véhicule doit être un thème prioritaire de la future élection présidentielle.
16 janvier 2022
L’Australie, la tête en bas...
Pierre Duriot
L’Australie, quand on était gamin, on disait pour s’amuser, qu’il fallait qu’ils aient des chaussures qui « tiennent », sinon, ils pouvaient tomber dans le vide, vu qu’ils étaient en bas de la Terre. Depuis dimanche, nous avons un genre de confirmation qu’ils marchent quand même un peu sur la tête. Trois juges de la Cour fédérale australienne ont décidé de confirmer l'annulation du visa de Novak Djokovic. Le n°1 mondial du tennis ne jouera donc pas l'Open d'Australie. Le joueur est soupçonné de pouvoir, éventuellement, refiler une maladie qu’il n’a pas, à des gens qui en sont protégés par un vaccin dont l’efficacité devait durer des années, puis quelques mois, puis finalement trois mois, à condition que vous preniez la dose suivante et que tout le monde ait pris les premières doses, qui ne marchent pas. À ce niveau-là de raisonnement, il n’y a plus rien à faire. Heureusement qu’on ne leur a pas vendu nos sous-marins, ils auraient été foutus de nous reprocher qu’ils ne savent pas voler. Si par là-dessus un tennisman vacciné s’écroule en plein match, comme les footballeurs, ça va devenir compliqué.
L’Australie, quand on était gamin, on disait pour s’amuser, qu’il fallait qu’ils aient des chaussures qui « tiennent », sinon, ils pouvaient tomber dans le vide, vu qu’ils étaient en bas de la Terre. Depuis dimanche, nous avons un genre de confirmation qu’ils marchent quand même un peu sur la tête. Trois juges de la Cour fédérale australienne ont décidé de confirmer l'annulation du visa de Novak Djokovic. Le n°1 mondial du tennis ne jouera donc pas l'Open d'Australie. Le joueur est soupçonné de pouvoir, éventuellement, refiler une maladie qu’il n’a pas, à des gens qui en sont protégés par un vaccin dont l’efficacité devait durer des années, puis quelques mois, puis finalement trois mois, à condition que vous preniez la dose suivante et que tout le monde ait pris les premières doses, qui ne marchent pas. À ce niveau-là de raisonnement, il n’y a plus rien à faire. Heureusement qu’on ne leur a pas vendu nos sous-marins, ils auraient été foutus de nous reprocher qu’ils ne savent pas voler. Si par là-dessus un tennisman vacciné s’écroule en plein match, comme les footballeurs, ça va devenir compliqué.
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