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25 janvier 2022

Lettre d’une étudiante en « grève » devant le Théâtre National de Strasbourg

CONTRE LE PASS VACCINAL
lundimatin#323

Depuis septembre 2021, le Théâtre National de Strasbourg exige la présentation du fameux pass sanitaire. Mais cette obligation ne se limite pas au public, elle s’étend aussi aux étudiants et comédiens qui s’y forment. Extension du domaine du contrôle sanitaire. En réaction, trois étudiantes se sont mises en « grève » et passent les heures de cours sur le parvis du théâtre, assises sur des chaises. Alors qu’elles détiennent le fameux pass, elles refusent néanmoins qu’il conditionne leur accès au bâtiment et donc à leurs cours de théâtre. L’une d’entre elle nous a transmis la lettre qu’elle a lu lors de l’assemblée générale du TNS et qui explique son refus.


Chers toutes et tous,

Je vous écris aujourd’hui pour tenter de rompre, à ma moindre échelle, une politique de silence, d’invisibilisation, de discrédit et donc de division.

Si, parmi les droits fondamentaux, le droit de circuler librement, le droit au travail, à l’intégrité corporelle, à la liberté de réunion... sont bien victimes directement d’un gouvernement qui scinde par la loi la population en deux catégories (les bons citoyens et les mauvais, voire les citoyens et les anciens-citoyens), le droit à l’éducation n’a, à ma connaissance, pas encore été entravé par des pratiques liberticides. Me positionner de façon neutre ou continuer à rester dans le silence, face aux dérives d’un gouvernement qui foule l’article premier de sa constitution, ne m’est plus possible. Me positionner de façon neutre face à des idéologies aux dérives fascisantes ne m’est plus possible.

Les conséquences du "maintien de l’ordre public" après la loi anti-casseurs lors de maintes manifestations ayant eu lieu ces dernières années ne sont que la partie visible d’une politique d’État répressive et dangereuse pour les droits fondamentaux de toutes et tous.

À partir de demain, mercredi 19/1/22, je vous informe donc que je ne pourrai plus avoir accès au bâtiment du TNS, mon lieu d’études. Lorsque je dis "je ne pourrai plus avoir accès au bâtiment", entendons-nous. "Légalement", je peux y entrer. Je peux, une nouvelle fois me résigner, prendre sur moi et montrer mon QR Code pour passer les portes du théâtre afin d’aller étudier. Fermer les yeux, non par bêtise mais par survie, comme je l’ai fait jusqu’à présent. Éthiquement, en revanche, je ne le peux plus. Je ne le peux d’autant plus, que pour faire valoir mon droit à l’éducation, nulle part ailleurs en France - à ma connaissance - des étudiants n’ont à se soumettre à ces mesures... Je le peux en revanche si on ne m’y empêche pas l’accès sans que j’aie à présenter un passe, quel qu’il soit. Si nous sommes parmi les premiers, encore étudiants, à être soumis à la présentation d’un passe (sanitaire ou vaccinal), ne doit-on pas craindre que celle-ci soit bientôt élargie aux autres lieux d’apprentissage ? Car je ne suis pas la seule à constater que le classique « à contexte exceptionnel, mesures exceptionnelles » peut se transformer en « à mesures exceptionnelles, inscriptions progressives dans le droit commun ».

Ayant une pensée empathique et solidaire à l’égard de toutes celles et ceux ne pouvant plus avoir accès à leur lieu de travail, qu’ils soient de cet établissement ou ailleurs, je ne me résous pas à me taire face au constat que les étudiants de cette école soient soumis à un contrôle de passe pouvant, qui plus est, dorénavant être accompagné d’un contrôle d’identité. Que cette mesure de contrôle de passe (sanitaire ou vaccinal) ait été appliquée pour rentrer dans l’école sans concertation avec les étudiants est d’autant plus offensante, la mise en application des directives de l’État ne doit pas exclure le débat.

En septembre dernier, aucune solution n’ayant été trouvée pour venir étudier sans contrôle de passe, cela a abouti à une acceptation de l’inacceptable (par contrainte). Je me suis déjà sentie une première fois privée de mon droit à l’éducation, et j’atteste ne pas avoir été la seule, lorsqu’il a fallu présenter un passe sanitaire sans concession pour entrer dans l’enceinte du bâtiment. Comme beaucoup je m’y suis faite, en me disant qu’il n’y aurait pas pire.

Mais, jusqu’à quand faut-il attendre le pire ? À quel moment dire : stop, je ne me rends plus complice ? Est-ce si radical de ma part, de faire apparaître, par mon impossibilité d’entrer dans le bâtiment, l’absurdité à laquelle nous sommes toutes et tous confrontés ? De rendre visible le refus d’accepter l’addition d’une contrainte de droit, qui n’est imposée par aucune loi ? (je dis imposée et non justifiée à dessein).

Je ne jubile pas à l’idée d’avoir à rester à l’extérieur. D’avoir à ne plus pouvoir exercer ma pratique artistique en tant que comédienne. J’ai peur moi aussi, de cet avenir auquel je ne crois qu’avec amertume, dans lequel toute perspective de projection me semble amputée. La situation actuelle me fait perdre des heures de sommeil, du poids, de l’énergie. Ce qui arrive n’est un choix pour personne. Les conséquences physiques et psychologiques sur les individus se font sentir, deviennent presque palpables. Pour la première fois, comme de très nombreux jeunes de ma génération, la possibilité du suicide m’est parfois apparue comme une solution. Que retenir de cela ? Car si pour ma part l’endroit n’était que de l’ordre de pensée furtive, cette pensée est tentative voire acte pour de nombreux jeunes, surtout ces 2 dernières années. Cela relève aussi de santé publique.

Mais c’est en tant qu’artiste d’abord, que je me positionne. Prendre la parole et rendre visible ce qu’une stratégie politique parvient à rendre invisible (par autocensure, par silence, par peur, parce que questionner c’est être suspect, parce qu’on nous incite à devenir partisan d’une politique de délation, où chacun est potentiellement le flic de l’autre). Prendre la parole en tant qu’étudiante artiste-comédienne de 24 ans, en école supérieure de théâtre, au sein d’une institution, c’est aussi parce que je n’ai pas su trouver d’écho avec mes pairs, chez les artistes. Parce que je refuse qu’on me vole ma voix, ma pensée critique, mon humanité.

En 2017, la ligue internationale des droits de l’Homme s’est dite “inquiète de l’avenir de l’Etat de droit en France, vacillant dangereusement sous prétexte de lutte contre le terrorisme”. Aujourd’hui, j’étends cette inquiétude au prétexte de lutte contre la pandémie. Et si je ne remets pas en question la réalité du contexte sanitaire (d’autant plus grave que l’hôpital public meurt à petit feu depuis des années par manque de moyens et par fermetures de lits, même en temps de crise) je questionne l’endroit de bascule entre protection sanitaire et projet politique.

Ainsi, je demande afin de ne pas bafouer un droit supplémentaire, à ce que, comme tous les étudiant.es de France, nous n’ayons plus à être soumis.es à un contrôle de passe, sanitaire ou vaccinal, et à ce que le droit au secret médical soit respecté. À ce que chaque étudiant, vacciné ou non, en possession d’un passe valide ou non, ait accès à son lieu d’étude.

J’entends que notre statut légal nous considère comme public à l’intérieur du bâtiment. Or, j’ai une carte d’étudiante en Jeu au TNS au sein du groupe 47 et non une carte de “public”. J’ai passé les concours d’entrée pour être étudiante comédienne et non public. Nombreux sont celles et ceux ayant payé des frais d’inscription et cela afin d’être étudiant et non "public".

Je demande à ce que des solutions soient appliquées afin que toutes et tous nous puissions, sans discrimination, avoir accès à notre lieu d’étude, de recherche, de création.

Car ce qui nous relie devrait se tenir dans la conviction qu’être vivants, c’est être les témoins de notre temps. Que le vivre-ensemble tient dans le fait de se sentir responsables, vitalement, passionnément, brutalement responsables, de l’avenir collectif de notre société.

Merci de m’avoir lue, Juliette Bialek, comédienne G47

23 janvier 2022

Fabien Nierengarten

Florence me manque. J'ai la nostalgie de son atmosphère si particulière, de ses ruelles où se côtoient pour le plaisir de tous les sens, le beau et le bon, le merveilleux et le mystérieux. Je pense notamment au Palazzo Vecchio, planté majestueusement sur la Piazza della Signora, avec sa cour intérieure où trône la délicate sculpture en bronze "l'enfant et le dauphin" (1476), et sa salle des Cinq-Cents (1496) dont les fresques monumentales racontent la gloire des Médicis.
L'espace qui m'a le plus impressionné est la Salle des cartes géographiques qui doit son nom à ses cartes du 16ème siècle, peintes à l'huile sur 53 portes d'armoires par le frère dominicain Ignazio Danti. Elles permettent de se faire une idée des connaissances géographiques de l'époque, plus ou moins précises selon les régions du monde. (...)





Eric en pince pour Valérie

... et le fait savoir sur Facebook :


Conférence de presse du Comité de Soutien de Valérie Pécresse


Après tout, pourquoi pas... du moment qu'il ne demande pas aux Colmariens de voter Pécresse, ce qui rappellerait fâcheusement l'initiative de son prédécesseur à la mairie qui a fait distribuer dans toutes les boîtes aux lettres colmariennes un courrier appelant à voter Fillon, « un homme honnête et de bon sens, en qui chacun peut avoir confiance »...

22 janvier 2022

Manifestation anti pass

22/1/2022





Phil

DNA Colmar : Pas de Pass, pas de masque sur la piste rouge...

Pass vaccinal : « On fait disparaître les gens, on les tue socialement ! » – Me Protat et Marc Gotti




Manifestation anti pass du 22 janvier 2022 à Colmar

Audrey, Benoît, Céline, Julie ont en commun leur jeunesse, d'être passionnément épris de liberté – la liberté de se faire vacciner ou pas – et de s'opposer avec détermination au pass vaccinal, synonyme d'apartheid. Avec une constance qui ne se dément pas, ils animent tous les samedis après-midi la manifestation des anti-pass, à Colmar (place Rapp) en lisant des témoignages de personnels soignants et en relayant les prises de position de personnalités médiatiques (aujourd'hui : Akhenaton).





Mensonge : le collaborateur du centre de vaccination de Munster avait inventé son agression

Il avait déclaré avoir été "violemment agressé" par trois personnes début janvier. Il a reconnu avoir menti et a été placé en garde à vue, a annoncé ce mercredi le parquet de Colmar.

Cet homme avait affirmé le 8 janvier avoir été agressé à la fermeture du centre de vaccination de Munster, vers 20h. Dans la foulée, une enquête "de flagrance" avait été ouverte par le parquet de Colmar pour "violences volontaires en réunion, avec arme et avec préméditation". La procureure de la République Catherine Sorita-Minard par ailleurs précisé que la victime n'était "pas grièvement blessée", qu'elle présentait "des blessures au ventre, à l'arcade sourcilière, à la cuisse et à la main" et qu'elle s'était vue prescrire 3 jours d'incapacité totale de travail ( ITT).

Mais douze jours après les faits tels que dénoncés et à l'issue des investigations menées par la brigade de recherches de la compagnie de gendarmerie de Colmar, cette affaire a dévoilé un tout autre scénario. "Face à un certain nombre de contradictions entre les constatations faites et les déclarations du plaignant, ce dernier a été réentendu ce matin et a indiqué avoir menti : il n'a pas été agressé, mais s'est auto-infligé les blessures qui ont été constatées par les médecins", informe la magistrate ce mercredi.

Une expertise psychiatrique va être pratiquée

Le collaborateur du centre de vaccination a été placé en garde à vue ce matin pour "dénonciation mensongère d'un délit imaginaire, infraction prévue et réprimée aux articles 434-26 et 434-44 du code pénal". Au cours de celle-ci, le suspect a précisé "s'être blessé lui-même volontairement à l'aide d'une seringue et d'un cutter personnels qu'il avait récupérés à son domicile dans l'après-midi, et en se donnant des coups avec les poings sur la cuisse." Il explique son comportement par "un mal-être qu'il ressent qui l'aurait incité à cette mise en scène."

La procureure indique avoir décidé plus tard dans la journée et "en l'état" de "lever sa garde à vue" et "de faire procéder à une expertise psychiatrique et à une enquête de personnalité, afin de pouvoir donner à cette affaire les suites pénales adaptées".

Pour ce type de faits, les peines maximales encourues sont une peine d'emprisonnement de 6 mois d'emprisonnement et une peine d'amende de 7500 euros.

La rédaction de LCI

https://www.lci.fr/justice-faits-divers/covid-haut-rhin-munster-le-coordinateur-du-centre-de-vaccination-avait-invente-son-agression-2207660.html

C’est pas moi, m’sieur

Pierre Duriot

Faute de pouvoir reconnaître des erreurs, dans la gestion du Covid. Faute d’intégrer l’évidence, à savoir que les contaminations explosent et montrent l’inutilité des vaccins et ce, très probablement depuis le début. Faute de pouvoir admettre que les effets secondaires sont très nombreux et frappent dans quasiment toutes les familles. Le gouvernement s’enfonce dans ses mensonges, quitte à produire un narratif hors-sol, qui suscite les moqueries de Boris Johnson et les huées de Bruxelles. Castex s’accroche aux contrevérités, maintient un passe vaccinal dont on sait déjà qu’il ne servira à rien, puisque les autres l’abandonnent sagement. A-t-on déjà pris avant, un médicament ou un vaccin, pour les autres ? Peut-on encore s’accrocher au miracle de l’évitement de la « forme grave », alors que des concitoyens vaccinés meurent à l’hôpital ? Et le même de proposer un passe aux non-vaccinés, dès la première dose. Il signe ainsi la reconnaissance de l’inutilité de tout le fatras de mesures et de communications démentielles. À quoi servent, sur le plan sanitaire, les doses suivantes, si le passe est possible dès la première ? D’autres pays distribuent de l’Ivermectine, de l’Azythromicine et du zinc, en un mot : soignent. L’incapacité à faire amende honorable, les fait plonger dans l’irrationnel et craindre ce groupe de millions de personnes non vaccinées, qui va apparaître comme un témoin gênant, dans les statistiques futures, mais également, comme un réservoir indispensable de sang sain. Nous avons, à la manœuvre, un spécialiste du sang contaminé : il sera bientôt rejoint, sous la bannière « responsable, mais pas coupable ». Le compte à rebours est enclenché désormais, avant désintégration en vol et dieu sait, de quelle infamie ils seront encore capables, avant d’exploser.
Pierre Duriot, porte-parole du Rassemblement du Peuple Français

20 janvier 2022

La danse de la pluie des vaccinés haineux

H16

(...) Il en va de même avec la covid : les profanes conformistes répéteront scolairement des choses du genre « ça réduit les effets graves » ou « les masques protègent les autres », goberont les régulations administratives, se feront booster et rebooster avec zèle, et tenteront d’en faire une synthèse logique, et ce même si l’ensemble n’est qu’un empilement de syllogismes, d’approximation, de mensonges et d’absurdités.

Dès lors, il est peu étonnant que le résultat ressemble à une religion, avec ses onctions et ses arbitraires surprenants, depuis la mesure du taux de CO2 dans une classe jusqu’aux articles qui expliquent que ce n’est pas parce que tout le monde a chopé Omicron que les injections ne marchent pas, au moment même où le PDG de Pfizer admet lui-même que sa came n’est pas tip-top.

Ce virus est fort bien tombé car, comme les religions avec Dieu ou l’écologisme avec le CO2, on doit composer avec quelque chose d’invisible. C’est pratique : chacun voit alors midi à sa porte et pour le virus, plus on est peureux, plus on a raison ; plus on est bigot, plus les autres sont des salauds. Ceci marche avec le Dieu Victorien, le climat et les pestiférés du rhume.

Cependant, le discours punitif et vengeur à l’encontre des personnes non vaccinées doit clairement être pointé du doigt et tancé vertement.

Vous êtes farouchement contre les personnes non vaccinées ? Vous voulez les punir, les soumettre ? Vous avez tort. Car oui, avec cette manœuvre, vous faites preuve de lâcheté, d’une attitude moralement répréhensible, potentiellement minable, et non, absolument en aucun cas, votre position n’est justifiable ou morale. Elle est au contraire une marque tragique de nullité intellectuelle, peut-être momentanée mais définitivement humiliante, et qui doit être portée à votre passif.

En effet, en ayant cette haine du non-vacciné, vous vous êtes fait attraper, assez minablement, dans l’embobinement tragique du paramétrage millimétrique inutile : le gouvernement, les « experts » vous ont livré un mode d’emploi de la pandémie complètement bidon, et comme ça ne marche pas, vous en voulez aux coupables, justement désignés dans ce mode d’emploi bidon, à savoir les non-vaccinés.

C’est bien évidemment faux et certainement pas scientifique (est-il utile de revenir sur l’efficacité redoutable des picouses qui n’empêchent aucune contamination, ne stérilisent rien ni personne ?).

La plupart vont se rendre compte au fil du temps qu’ils se trompent, et ils viendront faire semblant de regretter leur geste comme les Allemands après leur petite phase brune, ou les Français après leur petite aventure collabo. On peut même rigoler d’avance de la sur-compensation médiatique des gouvernements les plus hystériques lorsqu’ils vont devoir s’excuser d’avoir distribué de la myocardite ou d’autres blessures à tous ces gens pour aucune raison valable.

Ceux qui blâment les non-vaccinés maintenant se trompent, et ils sont responsables de leur erreur : vouloir leur faire payer une taxe (comme évoqué au Canada ou en Belgique par exemple), alors qu’il y a autant sinon plus de vaccinés dans les urgences que de non vaccinés, oui, c’est dégueulasse, absolument, clairement et sans aucun doute. Vouloir les empêcher de faire ce que font les vaccinés, exactement aussi contagieux qu’eux, promouvoir un pass sanitaire ou vaccinal est dégueulasse, absolument, clairement et sans aucun doute.

Et quand c’est dégueulasse, oui, on a tort.

Oui, on mérite jugement, et même éventuellement punition, entièrement légitime cette fois, notamment parce que quiconque défend cette idée moisie de retirer des droits fondamentaux en fonction du statut médical fait définitivement preuve de fascisme chimiquement pur faisant passer le collectif avant la plus petite et la plus fragile des minorités. C’est bel et bien un échec moral et intellectuel qui remet en question la légitimité de la personne qui émet de tels avis : les furieux individus critiques des non-vaccinés, promoteurs de ces punitions, se sont fait laver le cerveau avec succès et sont devenus les victimes passives, veules et pauvres de talent d’une arnaque évidente.

Ils ont goulument gobé un gros mensonge, et devraient avoir honte de leur pathétique échec, pour une raison toute simple : les restrictions et les vexations sur les non-vaccinés relèvent de la Danse de la pluie.

Elles ne servent à rien, ne règlent rien, n’aident personne et ne permettent que la mise en place d’un système ultra-dur au détriment de tous y compris leurs promoteurs, et qui n’a strictement rien à voir avec la covid, le tout sous couvert d’une maîtrise de l’épidémie à laquelle personne ne devrait croire, tout simplement parce qu’elle n’est à l’évidence aucunement maîtrisée ni par les vaccins ni par les autorités.

Quant au pass vaccinal, vous pensez vraiment « y avoir droit » et que non, il ne vous sera pas retiré à la moindre occasion ?


[Fiction]

Nous sommes le 15 mars 2023.

Théo, fièrement vacciné et boosté six fois, fait une crise cardiaque et un zona sur les fesses en même temps.
Rescapé grâce aux talents des services d’urgence du Val De Marne #JabHeroes #TikTokDancingNurses, Théo refuse cependant le septième booster et se voit instantanément privé de pass vaccinal. Il tente d’obtenir une exemption mais à cause des directives super-fermes qu’il a lui-même votées en la personne de la présidente Macresse, cette exemption lui est refusée et il perd donc son emploi, son assurance chômage, son assurance santé, sa compagne, sa Tesla pass-activated, son compte Paypal, son chien et son pacemaker s’arrête faute d’abonnement à Healthflix.
Il meurt à 17h20.
Ses parents mentionnent sur Twitler qu’il n’était pas pleinement vacciné et le désavouent, avec raison.
Quel salaud ce Théo !
Pas étonnant qu’il soit mort ! Il n’était pas boosté !


[H16 signe des chroniques qui sont d’une telle lucidité anti-gouvernementale que leur auteur est haï par l’oligarchie qui, tirant les ficelles de ses pantins, se voit constamment démasquée dans ses turpitudes, d’où le pseudonyme H16, qui cache un haut fonctionnaire très au fait de ce qui se passe dans les officines de l’Élysée et de Bruxelles.]