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7 juin 2025
[POLITIQUE / SUJETS DE SOCIÉTÉ]
[⇨ Le blog des esprits libres et éclairés, c'est ici : liberteresistance.fr]
Valérie Boivin
-6/6/2025- Ce que le psychothérapeute ne dit pas, mais qui crève les yeux à qui connaît un peu la clinique de l’enfance et de l’adolescence, c’est que la plupart de ces jeunes n’ont pas été aimés (je ne veux absolument pas dire que j'excuse leur comportement). NI CONSTRUITS dans le respect DE LA LIMITE ET DE L'AUTORITÉ. Ils évoluent dans ce que l’on appelle en psychanalyse la toute-puissance infantile, un état psychique archaïque où le désir ne rencontre jamais de cadre, jamais de non, jamais de tiers.
Souvent, l’image du père est absente dès le début. Le père a pu fuir ses responsabilités, être évincé par une mère toute-puissante, ou encore être là sans l’être, sans jamais incarner une figure d’appui, de Loi, de limite. Parfois, c’est la mère elle-même qui laisse sa propre mère (la grand-mère) prendre le rôle parental, créant une confusion des places qui empêche toute structuration psychique claire.
Dans ces cas-là, l’enfant ne rencontre pas de barrière symbolique. Il n’y a pas d’interdit fondateur. Il n’y a pas de tiers pour lui dire : « ça suffit », ou « tu n’es pas tout ». Et dans ce vide, l’adolescent grandit sans foi ni loi, avec une colère sourde qu’il retourne contre la société toute entière.
À l’adolescence, cette carence devient explosive. L’enfant entre dans la tempête œdipienne sans carte ni boussole. Il ne sait pas où sont les limites, ni même qu’elles existent. Alors il agit, il teste, il brûle, il casse. Il met en scène la toute-puissance qu’on n’a jamais su contrer symboliquement.
Le Dr Berger, qui travaille avec ces adolescents, parle d’enfants incapables de jouer, incapables de « faire semblant ». Ils n’ont pas de jeu symbolique, seulement des actes : voler, détruire, frapper. Ce ne sont pas des actes politiques, ce sont des jeux réels de ceux qui n’ont jamais appris à penser, ni à transformer leur agressivité en parole.
Et ce n’est pas seulement un déficit culturel ou social : c’est un effondrement psychique.
Ces adolescents sont incapables de rêver, de se projeter, de symboliser. Ils ne reconnaissent pas les émotions sur les visages, ne savent pas lire l’autre. L’empathie est absente car l’Autre ne leur a jamais été présenté comme un sujet – juste comme un obstacle ou un ennemi.
Leurs journées sont vides. Ils s’ennuient. Et dans cet ennui, l’acte vient combler le vide : casser, brûler, transgresser. Non pas pour revendiquer, mais pour exister.
Et c’est là le drame : faute de pensée, vient la violence. Faute de cadre, vient l’explosion. Faute d’amour, vient la haine.
Ce n’est pas une question de morale, ni même uniquement de politique : c’est une catastrophe éducative, affective, transgénérationnelle. On a voulu tout déconstruire, et l’on découvre aujourd’hui ce que devient une partie de la jeunesse sans construction.
Eric Vial
6/6/2025
Cher Boualem Sansal, écrivain franco-algérien,
Tu viens de passer ta 200ème nuit en détention arbitraire parce que tes écrits, tes paroles dérangent : tu défends la liberté d’expression et le droit de critiquer les puissants qui oppriment leur peuple.
Tu as été arrêté par l’Algérie, et condamné à 5 cinq de prison pour avoir eu des opinions.
Ceux qui t’aiment, qui reconnaissent en toi le génie littéraire et la force de ton esprit, ne t’oublient pas. Ils réclament ta libération immédiate et sans condition.
Des deux cotés de la Méditerranée, les autres, les pleutres, ne disent rien face à cette injustice. Mais peut-on leur reprocher leur faiblesse, ce ne sont que des hommes après tout ?
Tiens le coup. Nous sommes avec toi.
4 juin 2025
Laurence Muller-Bronn
-4/6/2025- J'assistais aujourd'hui à la présentation du sondage qui a été réalisé par l’institut IFOP au mois d’avril sur un échantillon de 1 000 personnes sur la sortie de l'Alsace du Grand Est, et qui est sans appel.
70% des Alsaciens souhaitent être interrogés par référendum pour la création d’une nouvelle région Alsace hors du Grand Est.
72% des Alsaciens voteraient OUI à la création d’une nouvelle région Alsace hors du Grand Est en cas de référendum.
Avec à la clé une économie de fonctionnement de 100 millions euros par an soit 1 milliard sur 10 ans, voilà de quoi investir dans la mobilité, dans la solidarité, dans la santé et l’éducation.
74% des Alsaciens sondés souhaitent que ce référendum se fasse avant ou le même jour que les municipales de mars 2026.
Le temps n’efface pas l’envie de nos concitoyens de voir corriger cette erreur historique d’avoir contraint l’Alsace à rejoindre le Grand Est.
Le gouvernement doit tenir compte de ce souhait, constant et fort depuis des années.
-4/6/2025- J'assistais aujourd'hui à la présentation du sondage qui a été réalisé par l’institut IFOP au mois d’avril sur un échantillon de 1 000 personnes sur la sortie de l'Alsace du Grand Est, et qui est sans appel.
Il a été commandé et financé par les organisations le Club perspectives Alsaciennes (CPA), le Mouvement pour l’Alsace (MPA) et le club Initiatives citoyennes alsaciennes (ICA).
70% des Alsaciens souhaitent être interrogés par référendum pour la création d’une nouvelle région Alsace hors du Grand Est.
72% des Alsaciens voteraient OUI à la création d’une nouvelle région Alsace hors du Grand Est en cas de référendum.
Avec à la clé une économie de fonctionnement de 100 millions euros par an soit 1 milliard sur 10 ans, voilà de quoi investir dans la mobilité, dans la solidarité, dans la santé et l’éducation.
74% des Alsaciens sondés souhaitent que ce référendum se fasse avant ou le même jour que les municipales de mars 2026.
Le temps n’efface pas l’envie de nos concitoyens de voir corriger cette erreur historique d’avoir contraint l’Alsace à rejoindre le Grand Est.
Le gouvernement doit tenir compte de ce souhait, constant et fort depuis des années.
Galerie Murmure


L’exposition « De ce qui fut, à ce qui tremble encore » se poursuit à la galerie Murmure jusqu’au samedi 21 juin 2025.

Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h - samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous
contact@galerie-murmure.fr
Tél. +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com
Instagram : galerie_murmure
Nous avons le plaisir de partager avec vous le film réalisé par Gael Poulain pour TV7 sur l'exposition "De ce qui fut, à ce qui tremble encore".
Ce film met à l'honneur les œuvres de Sophie Patry, photographe, et de Rose-Marie Crespin, plasticienne.
Cliquer sur l'image ↴
Ce film est né d'une rencontre entre l'œil de Gael et les univers de Rose-Marie et de Sophie.
La délicatesse des prises de vues de Gael saisit la profondeur des œuvres des deux artistes, leur beauté intime. Elle a l'art de transcrire en images et en silence, l'essence même des œuvres, invitant chacun de nous à plonger dans cette étrange danse entre ce qui fut, ce qui est, et ce qui tremble encore.
Merci infiniment à Sophie Patry et Rose-Marie Crespin, pour leur créativité sans fin, pour la profondeur et la poésie qu’elles insufflent dans chacune de leurs œuvres.
L’exposition « De ce qui fut, à ce qui tremble encore » se poursuit à la galerie Murmure jusqu’au samedi 21 juin 2025.
Galerie Murmure
5 place de l'Ancienne Douane à Colmar
jeudi et vendredi : 14h à 18h - samedi : 10h à 19h
Et tous les jours sur rendez-vous
contact@galerie-murmure.fr
Tél. +33 3 89 41 49 25
www.galerie-murmure.com
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Surprise ! L’Écologie de destruction punitive recule un peu !
[POLITIQUE / SUJETS DE SOCIÉTÉ]
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H16
-4/6/2025- Dans la France macroniste chaque jour plus près de la faillite, il n’y a pas tous les jours l’occasion de se réjouir. Cependant, le mois de Mai s’est achevé sur une vraie bonne nouvelle : l’écologie de destruction punitive a quelque peu reculé.
Et pour s’en assurer, rien de tel qu’aller consulter les tondeliers politiques, ces remuants mammifères qui pleurnichent et s’agitent très fort dès qu’ils n’ont pas exactement ce qu’ils exigent à chaque fois qu’on leur adresse la parole : la fin de ce mois de mai fut pour leur principal représentant, Marine Tondelier, l’occasion d’exprimer sa consternation sur la direction prise par le pays, apparemment à tel point soudaine qu’elle ne l’avait pas du tout anticipée, d’où le déversement émotionnel sur les réseaux sociaux en un (beaucoup trop) long tweet lacrymogène :
Finie l’eau, finis les arbres, finies la biodiversité et les terres cultivables, on va droit au casse-pipe à base d’effondrement écologique et climatique, avec des enfants qui meurent (« pensez aux enfants, pour l’amoOoour de Dieu ») et la nature qui disparaît en ne nous promettant qu’un avenir misérable et pénible, le tout dans une écriture de pasionaria en lycée technique, la Gaïatollah de l’écologie en veste verte n’a pas lésiné sur les moyens pour bien faire comprendre l’ampleur de la catastrophe qui venait de se jouer en France sur ces derniers jours : cette fois-ci, c’est sûr, on va tous mourir, mais encore plus vite !
Pourtant, lorsqu’on épluche ce qui vient réellement de se passer, la seule conclusion à laquelle l’honnête homme du XXIe siècle peut arriver, c’est que la météorite sur laquelle s’égosille la Tondelier mériterait amplement de s’abattre sur elle et ses khmers verts déchaînés qui n’en peuvent plus d’essayer de ruiner la vie des autres, à l’instar de ce petit cancre frisé de Slama, pignousant lui aussi sur la disparition progressive de l’écologie punitive qu’il juge pourtant nécessaire, entre deux Ubereats au quinoa éco-responsable.
Rien de tel que réclamer la coercition et la punition sur les autres pour être bien certain d’obtenir ce qu’on veut : démocratique et populaire, la schlague, y’a que ça de vrai.
En attendant, les gens normaux (ceux pas épris du besoin de contraindre ou punir leurs semblables) se réjouiront d’apprendre que les ZFE sont remis en cause par un récent vote parlementaire ; comme le Sénat et le Conseil constitutionnel doivent passer ensuite, il est assez probable que cette victoire d’étape ne soit pas confirmée, mais il reste néanmoins particulièrement goûtu de voir les gesticulations des idéologues verts devant la débâcle.
En effet, les enragés qui prétendaient, sans rire et tant qu’elles semblaient votées, que ces ZFE ne concernaient qu’un petit nombre de voitures polluantes, s’empressent maintenant d’expliquer que leur suppression entraînera la remise sur les routes de 3 millions de véhicules « parmi les plus polluants ».
De « peu nombreux » à 3 millions, la posture change selon ce qu’on veut faire passer comme idée, ou, plus prosaïquement, reconnaissons ici que les écolos mentent, comme ils l’ont fait jusqu’à présent sur toutes les technologies, toutes les lois, toutes les contraintes qu’ils poussent de leurs voeux.
Ces mêmes écolos oublient d’ailleurs de préciser (mensonge par omission, un de plus) que la Cour des comptes européenne avait, en son temps, jugé ces ZFE inefficaces pour lutter contre la pollution, et en toute incohérence, que la baisse de la pollution qu’elles visent pourrait en réalité aggraver le réchauffement climatique.
On s’y perd ? C’est normal, c’est de l’écologie de combat qui nécessite de ne surtout pas réfléchir.
À ceci, on devra ajouter l’actuelle loi « Duplomb » qui réautorise l’usage « pour une durée de trois ans » de l’acétamipride en France, à l’instar de la Commission européenne qui a, elle aussi, accordé son utilisation jusqu’en 2033, tant qu’aucun substitut valable n’est trouvé : en effet, pendant que les écolos hurlent de rage, les agriculteurs français doivent faire face à la concurrence des autres pays (européens et autres) qui n’ont pas ce boulet franco-français et voient donc leurs cultures vivrières détruites par les parasites.
Si l’on y ajoute, outre les dérogations récemment votées pour calmer un peu l’impact catastrophique de la loi « Zéro Artificialisation Nette », la reprise du chantier de l’A69 entre Toulouse et Castres à partir de mi-juin, on comprend l’apoplexie des défenseurs de la sclérose écologique généralisée qui fustigeait le développement de cette autoroute.
Bref, il apparaît enfin que recule un tantinet l’écologie punitive de combat, qui vise à transformer la France en enfer normatif total pour que la petite population de bobos conscientisés puisse s’y épanouir en toute hypocrisie. Loin des considérations de la classe jacassante et de ses pokebowls de quinoa écoconscients délivrés par un OQTF en Deliveroo, le petit peuple, qui se bat âprement pour survivre au milieu de ce qui se transforme en maquis de lois stérilisantes, vient enfin de marquer quelques points.
Petit-à-petit, il semble se faire jour dans les esprits brumeux des législateurs que la France n’est pas majoritairement acquise aux lubies écologistes.
S’il apparaît absolument évident qu’une majorité de Français souhaite vivre dans un environnement propre, bénéficier de nourriture saine et d’un air pur, il est tout aussi évident que jamais le pays n’a été en aussi bonne forme écologique qu’actuellement. Les délires normatifs actuels ne font qu’écrabouiller les bonnes volontés, dilapident les énergies dans des complications inutiles, n’apportent aucune solution et, pire, en interdisent de parfaitement valables sur des motifs de plus en plus fumeux tout en stigmatisant notamment ceux qui font effectivement tourner la machine et permettent aux écolo-protestataires permanents de vivre dans l’opulence.
Maintenant, il est aussi parfaitement clair que ce n’est qu’un répit.
Par exemple, la presse se bouscule pour nous expliquer que ce refus des ZFE va coûter cher à la France, leur arrêt revenant à faire une croix sur plus de 9 milliards d’euros de fonds européens. C’est bien évidemment de l’esbrouffe : l’Allemagne a, elle aussi, commencé à rétropédaler sur ces ZFE et personne ne moufte à Bruxelles. Et pour cause : la situation est suffisamment pénible en France pour que personne ne veuille déclencher une crise majeure dans la zone euro, surtout pour des motifs aussi débiles.
Confusément, tout le monde comprend que les idées sous-jacentes de ces lubies vertes sont parfaitement idiotes et provoquent déjà des effets économiques négatifs considérables.
Mais il faudra du temps pour que la confusion fasse réellement place à la pleine conscience de l’enfer dans lequel veulent nous emmener les Ökoschutzstaffel et autre Ökoleftwaffe de combat. Il faut comprendre que chacune de ces victoires va être contestée, pourrie et minée par le travail de sape de la Verte Gauche qui n’en peut plus d’avoir à supporter le terroir qui pue, le peuple crasseux et ses voitures diesel.
Si la France millénaire veut survivre, il va lui falloir se débarrasser de cette engeance politique, expression maladive d’une sclérose sur un passé fantasmé et une volonté d’imposer un futur ruiné plus que décroissant, miséreux plus que sobre et dépourvu autant que possible d’individus autonomes.
Le combat s’annonce rude.
3 juin 2025
2 juin 2025
Yves Hemedinger
2/6/2025
Avec Gilbert Meyer, + de 2 000 places de stationnement créées pour dynamiser le centre-ville : parkings Rapp, Montagne Verte, Saint-Josse, Lacarre, Bleyle…
2/6/2025
Jamais autant stationnements créés avant 2020 jamais autant de places supprimées depuis 2020 à Colmar
Avec Gilbert Meyer, + de 2 000 places de stationnement créées pour dynamiser le centre-ville : parkings Rapp, Montagne Verte, Saint-Josse, Lacarre, Bleyle…
Une stratégie claire : ceinturer le centre avec des parkings parfois gratuits ou avec 1h gratuite.
Aujourd’hui, jamais autant de places n’ont été supprimées :
- Place de la Cathédrale
- Rue Étroite
- Rue des Têtes
- Dans les quartiers et pour agrandir les terrasses
Etc.
Et non, contrairement à ce que j’ai pu lire durant le week-end concernant les infirmières, ce ne sont pas les tarifs qui posent problème.
Ce qui gêne vraiment les pros à domicile (infirmières, aides, artisans…), ce sont :
- Les suppressions massives des places de stationnement
- La vidéosurveillance pour verbaliser
Sur ce dernier point nous avions fait un autre choix en refusant la vidéo verbalisation :
- Le dialogue
- L’humain avant la machine
Il va y’avoir du boulot et du sérieux à retrouver pour redevenir une ville dynamique pour ses habitants d’abord !
Aujourd’hui, jamais autant de places n’ont été supprimées :
- Place de la Cathédrale
- Rue Étroite
- Rue des Têtes
- Dans les quartiers et pour agrandir les terrasses
Etc.
Et non, contrairement à ce que j’ai pu lire durant le week-end concernant les infirmières, ce ne sont pas les tarifs qui posent problème.
Ce qui gêne vraiment les pros à domicile (infirmières, aides, artisans…), ce sont :
- Les suppressions massives des places de stationnement
- La vidéosurveillance pour verbaliser
Sur ce dernier point nous avions fait un autre choix en refusant la vidéo verbalisation :
- Le dialogue
- L’humain avant la machine
Il va y’avoir du boulot et du sérieux à retrouver pour redevenir une ville dynamique pour ses habitants d’abord !
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