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15 avril 2019

Conservatoire de Colmar


Excellent article de Valérie Freund ce dimanche 14 avril, sur l’incendie allumé par la Ville au Conservatoire de Colmar.

Pour décrire une situation complexe, la journaliste a su en rester aux faits, et aux paroles recueillies directement auprès des intéressés, alors que le risque était grand de laisser passer un « M. ou Mme Untel a dit... », ou « a fait... » invérifiable, mais cela ne gênerait pourtant pas certains élus pour prendre des décisions !

Le premier dysfonctionnement mentionné dans l’article est l’absence d’audit. Donc? si l’on comprend bien, la ville est partie sur une médiation sans savoir ce qu’il y avait à remédier. Visiblement ils sont partis dans la mauvaise direction puisque 40% des professeurs (22 sur 55) se sont fendus d’un courrier pour protester contre la façon dont celle-ci a été menée !

Deuxième élément : la médecine du travail signale qu’une vingtaine de personnes est venue la voir. Quand on sait qu’en 2018 de nombreux enseignants ont eu de réelles maladies et accidents car ils en ont fait part à leurs élèves, pourquoi la ville en a-t-elle conclu que l’ensemble de ces problèmes de santé étaient dus au management de la directrice ? Ils n’en savent rien non plus - secret médical oblige - mais décident d’agir !

Il y a de manière certaine des professeurs en perte de repères, face à un changement imposé. Et imposé dans l’urgence, car la mise aux normes du conservatoire, et surtout le budget sont aussi imposés. Sans oublier les nouvelles technologies ! Et de toute façon à nouvelle direction, nouvelles méthodes ! Alors face à un changement aussi important, il est certain que la directrice a besoin d’aide. On a tous connu ça dans nos entreprises respectives : c’est des moyens humains en plus, pour conseiller (en commençant par un audit), animer, absorber les pertes de productivité que tout changement amène de manière transitoire. C’est le support indéfectible de la hiérarchie, qui aide à prioriser les changements, s’assure de la cadence pour éviter que la machine ne cale, vient faire de la pédagogie et appuyer les choix. C’est la relation privilégiée avec la DRH, pour traiter les cas personnels, car on sait que personne ne parcourt la courbe du changement à la même vitesse. C’est le droit à l’erreur d’où naît l’apprentissage.

Et en effet, la Ville de Colmar est tout à fait d’accord comme le relate l’article : « En ce qui concerne l’animation de l’équipe pédagogique, elle a montré des faiblesses, relève Cécile Striebig, il fallait lui apporter une aide. » Donc la Ville l’a aidée... en la rétrogradant.

Mais qui croit cela ? Depuis quand une sanction est-elle une aide ? Où est l’aide qui aurait dû être continue dans les années suivant le départ de M. Maegey ? Cette décision est bien l’illustration de ces représailles qui font la réputation de Colmar dès qu’elle imagine un risque de résistance chez quelqu’un.
La Ville « ne veut pas communiquer sur ce dossier » mais tout le monde a compris qu’elle reproche autre chose à Hélène Sanglier.
Et contrairement aux rumeurs qu’essayent de propager certains pyromanes, ce n’est pas du harcèlement, de l’incompétence, ou une faute professionnelle : pour ça les RH auraient tout l’arsenal utile pour engager un licenciement.
On n’est pas dans le domaine du droit, mais du passe-droit.

Est-ce la personne que l’on attaque, car elle n’aurait pas plu à sa majesté Meyer ou l’un de ses barons ? Ou la fonction, car la directrice défend trop âprement son établissement, son budget, ses besoins non pourvus ? Sans doute les deux...

Que la Ville prenne garde à ne pas souffler sur les braises plus longtemps... car la langue de bois aussi est hautement inflammable. Et le feu pourrait bien se propager hors de tout contrôle.

[15/4/2019 21:29]



DNA du 15 avril 2019

Gilets jaunes : un flop à la statue

Les gilets jaunes appelant à « reprendre les ronds-points » ce week-end un peu partout en France. Ceux de Colmar avaient prévu de se rassembler sur celui de la statue de la Liberté pour « un barbecue, du partage, de la musique, des jeux et de la bonne humeur ». Ça a tourné court sur le giratoire : ils n’étaient qu’une dizaine samedi, et sont restés moins d’une heure sur place avant de se résoudre à quitter les lieux. Ils ont peu goûté l’épandage de fumier par le service des espaces verts de la Ville, vendredi soit la veille de leur rassemblement annoncé, ne croyant guère à une coïncidence (notre édition de samedi). Ce qui ne les a pas empêchés de fouler ce qu’il reste de pelouse. En s’étonnant du fait que le fumier n’ait pas été répandu partout là où l’herbe manque, si vraiment cela visait à la faire repousser. Ils ont ironisé sur le fait que « ça fait pousser les pissenlits, donc du jaune, c’est bon signe… » S’ils estimaient que cela a pu en décourager certains, ils attribuaient ce flop du week-end essentiellement à la météo quasi hivernale, peu favorable à un barbecue.

14 avril 2019

Bernard Friedrich

De l'inédit au théâtre municipal de la rue des Clefs

Photomontage : Edouard Dabrowski

Depuis quelques semaines, les Colmariens assistent par presse interposée à un navrant spectacle de duettistes (personne qui fait un numéro « comique » avec un autre !) entre un lion vieillissant et un kangourou ravalé au rang de « dindon de la farce » sur le thème : « à qui ce costume sied-il le mieux ? ». Pièce écrite par le fameux GM... en français uniquement ! Des années durant, le kangourou a retenu ses bonds au service du roi du troupeau de moutons local, exécutant sans états d'âme les plus basses vilenies pour écarter du domaine toute opposition ou tentative de putsch, dans l'espoir de voir un jour se concrétiser la promesse tacite d'hériter du trône. Le temps passant sans le moindre signe de passage de relais, il passe maladroitement à l'attaque. La riposte est immédiate et mortelle : « traité d'incompétent et d'homme sans envergure », le kangourou n'est finalement que le dindon d'une farce qui n'a que trop duré. Le lion n'en sort pourtant pas grandi, il révèle là sa vraie nature.

[Commandeur dans l'ordre national du Mérite et dans l'ordre de la Légion d'honneur, Bernard Friedrich est un ancien général 4 étoiles.]

12 avril 2019

JE SUIS COLMARIENNE


Je suis Colmarienne, je fais partie des « vieilles » comme on dirait aujourd’hui. Mais je ne fais pas partie de celles qui se laissent caresser la joue, mettre la main sur l’épaule et qu’on qualifierait de groupie. J’ai connu 3 mairies différentes, Mr Rey, Mr Gerrer et Mr Meyer. J’ai connu notre bonne vieille ville au temps où il faisait bon vivre, où l’on se côtoyait dans les parcs, les rues, où l’on allait acheter des bonbons, jouer avec les copains dans la rue. Une autre époque me direz-vous.

Je me décide à prendre la parole par écrit, parce que je n’ai pas d’autres moyens. Je ne veux pas être pointée du doigt par mes amis, ma famille, mes collègues parce que j’ai osé m’élever. Je ne souhaite pas de représailles contre ma famille, mon mari, mes enfants et petits-enfants vivant et travaillant à Colmar. J’ai peur, et ce n’est pas normal.

Je ne reconnais plus ma ville, notre ville. J’ai l’impression que l’ère de l’autocratie est de retour. Où est la liberté d’expression ? Où est la démocratie ? Je vois régulièrement des personnes insulter, rabaisser les Colmariens car ils ont exprimé un désaccord, une envie de changement ou les inviter à rencontrer tel ou tel individu pour mieux le connaître.

Je ne comprends rien aux chiffres qu’on me présente chaque année, tous ces termes sont sans intérêt pour moi et n’ont pas de sens, comme pour une majorité d’entre vous, je suppose. On pourrait me faire avaler une couleuvre que je n’y verrais pas grand-chose. Je sais juste qu’en y regardant de plus près, ces chiffres n’ont pas de source officielle autre que la Ville elle-même. Comment vérifier la véracité des chiffres ? Rien n’est sur l’Insee. Le seul chiffre que j’ai pu trouvé et à peu près compréhensible est le taux de pauvreté : 20,6% à Colmar contre 13,6% nationalement en 2015. Cela m’inquiète un peu.
Mes impôts n’ont pas augmenté, j’en suis ravie. Mais à quel prix ?

Qu’est-ce-que ça cache ? A-t-on rogné les budgets ailleurs ? Aura-t-on une surprise dans les années à venir ?

Pourquoi le maire s’accroche-t-il autant à ce mandat ? Pourquoi ne tient-il pas sa promesse d’arrêter ? Est-ce sa seule raison de vivre ? A-t-il des secrets à cacher ? Est-il simplement un travailleur acharné ?
Pourquoi le 1er adjoint, qui semble vouloir la place, ne démissionne pas et ne s’affirme pas ? Pourquoi être partout, accepter ce qui est proposé, représenter cette politique et ensuite la critiquer et dire qu’il n’est pas d’accord ? Où est la dignité ? On ne peut pas accepter, défendre des idées, puis dire que l’on est contre. Où est la crédibilité ? On ne peut avoir le pouvoir et se vendre librement, de peur de ne plus être entendu.
Pourquoi le député, veut-il, peut-être, Colmar ? Il me semble, de mémoire, qu’il a contribué fortement à créer le centre-ville fantôme de Colmar, en œuvrant pour la création de la zone d’activité à Houssen. La fin du mandat arrive, ne chercherait-il pas à couler une retraite dorée à Colmar ? Je ne suis pas d’accord. Est-il au moins au courant de nos préoccupations ?
Tous représentent ce vieux parti UMP-LR qui a volé en éclat en 2017 et qui se rapproche de plus en plus de l’extrême droite. Je ne veux pas non plus de ce vieux parti qu’est le parti socialiste, ni même des verts. Je ne veux plus de partis. Je les connais trop bien, un combat d’idées et d’ego. Je veux du sang neuf, de la nouveauté. Je suis une vieille mais je veux autre chose pour vous les jeunes.

Je ne veux pas que ma ville devienne un Baden-Baden, comme l’a dit notre maire. Je ne veux pas de palace, de boutiques de luxe, de touristes trop nombreux. Je ne veux pas plus de parkings, de PV au centre. Je veux pouvoir y emmener ma famille et m’y promener, comme avant, de jour, comme de nuit.
Je ne veux plus être agressée par des jeunes qui s’ennuient et qui ont perdu foi en l’école. Je veux retrouver une ville dynamique, où il fait bon vivre. Une ville qui sera citée pour sa qualité de vie, non pour des chiffres qui ne veulent rien dire ou pour un classement hôtelier ou touristique. Je veux de la nouveauté et l’espoir de pouvoir rêver un jour, pouvoir parler librement !

Cordialement,

Une Colmarienne de la vieille

[12/4/2019 12:27]


[Cette publication a suscité des doutes quant à sa sincérité. Nous disposons du nom de la contributrice, de son adresse mail, mais nul n'est à l'abri d'un bidonnage. Quel en serait l'intérêt ? En tout état de cause, son message est parfaitement représentatif des attentes d'une majorité de Colmariens.]

11 avril 2019

Bernard Friedrich

Du mou dans la courroie de transmission ?


Photomontage : Phil


Quelle bonne nouvelle pour Colmar ! Tout royaume divisé contre lui-même court à sa ruine et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister. Inquiétant, de voir le grand homme qui a toujours adoré les références bibliques (le Chemin de croix...) se tirer une balle dans le pied en dénigrant publiquement celui à qui il avait promis sa succession rue des Clefs ! Dieu sait quelle mouche l'a piqué de renier ainsi sa promesse de 2014 (le dernier mandat) et celle faite depuis toujours à son adjoint de lui céder la place, dévoilant ainsi à ses fidèles inconditionnels son orgueil et sa duplicité. Mais le voilà coincé : il ne peut cette fois jouer sa tactique préférée d' « élimination » du rival affiché, au risque de perdre définitivement toute crédibilité auprès de ceux qui lui reconnaissaient droiture et éthique ; il devra donc « partager » les voix qui lui étaient traditionnellement garanties avec sa « courroie de transmission » qui ne peut plus faire marche arrière, au risque de perdre toute chance de réaliser un jour son rêve. Rêve pour lequel il aura des années durant accepté de jouer l’exécuteur des basses œuvres de celui qui, cela est désormais évident, l'aura mené par le bout du nez. Entre un « tyranneau égocentrique » et un « clone raté du maître », un seul choix possible : le changement ! Nul n'est irremplaçable et les génies autoproclamés sont rarement aussi bons qu'ils le croient.

10 avril 2019

Le circuit de la nouvelle navette électrique : on prend les Colmariens pour des c...
Une balade gratuite pour les touristes !



9 avril 2019

Bernard RODENSTEIN

Municipales 2020 : scénario 4 (en attendant le scénario 5...)

La campagne des municipales est lancée à Colmar comme dans beaucoup d’autres villes. Il y a eu l’épisode des deux coqs qui se sont lâchés. Le coup du costume aussi. Trop grand pour le coquelet. Le fameux « c’est moi qui l’ai fait ». Le silence semble revenu dans les rangs depuis quelques jours. Il vaut mieux. Personne ne peut prendre le risque de déclencher la machine à perdre. J’avais émis l’hypothèse d’une poulette qui viendrait picorer dans la cour des prétendants. On oublie que Sainte Odile a déjà sauvé GM face à Roland Wagner et à Brigitte Klinkert, il y a une dizaine d’années. Sainte Odile veille ! Aussi à ses intérêts ! Elle pourrait bien redonner un nouveau coup de pouce à son protégé ! Et hériter du trône colmarien en retour dans deux ou trois ans. Du haut de sa tour elle voit loin et large ! Et elle encense qui elle veut !

La voix de son maître ?

Étonnant discours, mardi soir, dans la salle événementielle du musée Unterlinden, lors de la remise des coups de coeur de l'ADIRA. L'adjointe Odile Uhlrich-Mallet, par ailleurs bonne oratrice, n'a cessé de faire référence à son maire qui n'a pu être présent. Elle a clôturé plusieurs de ses phrases par : « S'il avait été là, Gilbert Meyer vous aurait certainement dit que... », se contentant parfois d'un « Gilbert aurait déclaré que... ». Le maire de Colmar peut rester serein. Même absent, son message est véhiculé avec conviction.

[DNA Zapping 6/4/2019]

6 avril 2019

Inauguration du marché de Pâques


Dessin de Phil - DNA


 Billet d'humeur 
(un parmi d'autres)

Vous aimez la magie de Noël ?
Vous allez adorer la féerie de Pâques !
La Grand-rue barrée par une immonde Xantia pourrie !
Une fois encore, le Colmarien sacrifié sur l'autel du tourisme.
Quelle image donnons-nous de notre ville au surplus !
On dirait un accident causé par un ivrogne qui a déguerpi en abandonnant son épave pour éviter le contrôle d'alcoolémie.
Personne dans la rue, même pas un touriste.
Des animaux parqués place du 2 Février.
Un spectacle navrant d'un autre temps.
Et monsieur le Maire, obnubilé par son touriste, fier dans son discours, de nous déverser à nouveau des chiffres invérifiables sortis du chapeau de l'incontournable grand manitou Niess !
Notre ville va dans le mur et le pilote Gilbert accélère !
Bref !
Vivement le changement...
[4/4/2019 19:20]


4 avril 2019

Chantier du parking de la Montagne Verte

Mesdames, Messieurs,
Lors de la réunion publique du 1er février dernier, il a été annoncé des travaux de dallage béton nécessitant de poursuivre la nuit les travaux de lissage, une fois la prise du béton suffisamment avancée, occasionnant de fait des nuisances sonores. 25 nuits réparties d'avril à juillet ont été évoquées.
Par la présente, je vous informe que ces travaux débuteront le 5 avril, si les conditions météorologiques le permettent. Dans le cas contraire, le démarrage sera reporté à la semaine suivante.
M. LECARPENTIER, Directeur de la Voirie et des Réseaux, se tient à votre disposition pour toute information complémentaire.
En m'excusant par avance pour la gêne occasionnée, veuillez agréer, Mesdames, Messieurs, l'expression de mes salutations distinguées.
Pour le Maire
L'Adjoint Délégué
Jean-Paul SISSLER


[Le cauchemar des riverains de la Montagne Verte n'est pas prêt de s'arrêter. Après le bruit, jusqu'à 86,5 décibels, valeur relevée aux abords du chantier en décembre dernier, après la pollution de l'air, les vibrations à l'origine de fissures apparues sur des bâtiments, voilà que la mairie annonce qu'elle va poursuivre les travaux la nuit (25 au total). De quoi péter une pile. La moindre des choses serait d'offrir 25 nuits d'hôtel aux riverains concernés.
Mais des riverains, Chwouldi n'en a cure. L'essentiel pour lui est que le chantier soit terminé à temps, juste avant les municipales, pour qu'il puisse procéder à une inauguration en grande pompe.]

30 mars 2019

CORDAY

Qui sont les cloches ?




À Colmar, la mode est à la cloche. Les cloches sont trop fortes pour les uns, pour les autres elles sont la tradition. Malgré tout ça, ces cloches-stars étaient là avant nous et seront encore là après. Elles n’ont rien perdu en bruit, en mélodie et en puissance. Elles sont les stars de notre Collégiale et le resteront. Nul besoin de polémiquer là-dessus.

Mais qui prend-on pour des cloches dans cette histoire ? Les honnêtes citoyens colmariens.
« L’avocat des râleurs », comme on aime à le surnommer, fervent défenseur des riverains indisposés par les cloches, lance cette affaire de cloches trop bruyantes, sans fondement. A-t-il ou n’a-t-il pas de vrais plaignants ? Seule la justice le saura. Cependant, ce monsieur qui est contre le bruit, n’hésite pas à passer dans Colmar, cheveux aux vents, en décapotable, en nous gratifiant de son éternel tube « Mission Impossible », à n’importe quelle heure. S’est-il demandé si les riverains étaient ravis de ce tintamarre ? Et il ose plaider pour des nuisances sonores concernant les cloches ? Sommes-nous des cloches !
L’avocat des râleurs cherche à exister et faire parler de lui. Il a fait le buzz ! Son besoin de reconnaissance est enfin assouvi.

D’un autre côté, nous avons également à Colmar, un éternel second, écrasé par le charisme, la présence et l’autorité de son maître. Quoi de mieux qu’une histoire de cloche pour se sentir exister et vivant ! Immédiatement, le premier buzz de l’avocat des râleurs lui permet de créer un second buzz dont il sortira en héros ! Alertons tous les médias pour se manifester ! Les citoyens admirent le second pour sa défense des cloches.
Il peut exister brièvement et se sentir adulé ! S’il n’avait pas réagi, personne n’aurait fait attention à cette histoire et ni lui, ni l’avocat des râleurs n’auraient eu leur instant de gloire. Au final, l’un comme l’autre ont réussi leur coup : faire parler d’eux, en bien ou en mal. Un méchant et un super-défenseur. Scénario digne d’une bande dessinée. Au final, nous nous sommes faits avoir par l’un comme par l’autre. Qui sont les cloches ?