Translate

26 février 2020

L’IRE

La gestion d’une ville s’évalue-t-elle selon les mêmes critères qu’une entreprise ?

C’est sans doute l’idée poursuivie depuis longtemps par Gilbert MEYER, Maire de la Ville de Colmar qui fanfaronne inlassablement sur « l’argent laissé dans la poche du contribuable colmarien ».

Par « contribuable » il faudrait presque entendre le mot « actionnaire » et sans doute pourrait-on le croire élu à un conseil de direction et non pas à la tête d’une collectivité publique.

Oublier que l’argent ne peut être le seul mode d’évaluation d’une politique publique, c’est passer à côté de ses vraies missions de Maire.

Rendre compte, comme cela est fait régulièrement, de la seule santé financière de la ville, c’est oublier de s’inquiéter de celle de ses habitants !

Un bon exemple en est justement le projet de Maison de Santé dont le besoin pour une partie importante des habitants est criant mais qui a toujours été refusé par le Maire compte tenu des coûts induits.

Meyer plagiaire

Bernard Friedrich

Comme prévu, le club Meyer récupère les idées des autres ! Vulgaire plagiat. Mais peut-être les électeurs qui avaient sur d'autres pages déjà vu ces projets sous d'autres plumes, auront-ils enfin la sagesse de confier leur réalisation à celles ou ceux qui les ont conçus laissant au plagiaire la triste réalité de son dédain envers nous, tout au long de ses mandats passés. Parjure, copieur, vantard, la liste de ses qualités s'allonge jour après jour.

« (...) Une campagne électorale a ceci de magique qu’elle rend possible, en un claquement de doigts, ce qui était inenvisageable ou proscrit lors du précédent mandat. Prenez l’exemple du stationnement. Gilbert Meyer a toujours renvoyé à leurs chères études tous ceux qui critiquaient sa politique en la matière. Jusqu’au jour où son concurrent Eric Straumann a promis de rendre le stationnement gratuit pour les professionnels de santé. Du coup, le maire sortant de Colmar a proposé la même chose. (...) »


24 février 2020

"Eric Straumann a insisté sur la tonalité « sereine » qu'il veut donner à sa campagne : « Ne dites pas du mal des autres candidats. Éventuellement du bien. » Le député veut éviter tout « dérapage », principal risque selon lui dans une campagne qu'il juge « bien partie ». Le candidat promet à son équipe « une aventure humaine extraordinaire »."

Le Kangourou qui aspire à occuper le fauteuil de maire ferait bien d'en prendre de la graine. De nombreux témoignages l'accusent d'agressions verbales, sur le terrain, également en messagerie privée, sans compter les attaques en règle d'un certain candidat qui visiblement lui fait peur.


Bernard Friedrich

Allez-vous donner votre voix à l'homme du reniement ? Je parle d'homme et non d'équipe car en l’occurrence l'équipe n'est là que pour entourer le chef de cet amour dont il a tant besoin. Homme du reniement direz-vous : comment qualifier autrement quelqu'un qui ne respecte pas ses engagements, renie ses convictions politiques allant jusqu'à faire alliance avec le RN, revient pour garnir son panier à voix sur sa condamnation à mort d'un adjoint dissident et rebelle et pousse le revirement jusqu'à en faire son successeur potentiel, oublie la passion qu'il portait à sa ville pour « suivre bêtement » les modes en cours, revient sur des mesures auxquelles hier encore il était si fortement attaché comme celles relatives au stationnement, oublie tout de ce qu'il envisageait avant qu'une concurrence imprévue vienne compromettre ses chances d'un plébiscite espéré ? Vous comprendrez facilement que la seule chose qui compte pour lui c'est une nouvelle élection et non votre avenir dont, vu son âge il ne fera d'ailleurs pas partie ! Alors oui au changement, y compris et surtout celui de personnes qui ont fait leur temps !

Si Gilbert Meyer a proposé aux différents candidats de « cosigner une charte de "bonne conduite" visant à concentrer l'affichage sur les seuls panneaux électoraux », c'est pour éviter d'avoir à envoyer ses partisans à la chasse aux affiches comme celle-ci, le caricaturant en uniforme de despote sud-américain avec, en guise de médailles, des panneaux de stationnement et de parking, une spécialité meyerienne !



Gérald d'Orbe

Vu dans la PQR (DNA du jour). C'est pas de moi mais ça ressemble furieusement à ce que j'ai plusieurs fois exprimé su FB. Plusieurs fois, si bien que les "petites mains" de Chwouldi ont plusieurs fois supprimé ma réponse sur sa page… j'avoue que j'exprimais les mêmes questions sur la notion de "chantiers que j'ai engagés", au point de suggérer un mandat à vie !



23 février 2020

Bernard Friedrich

Des visionnaires, ceux qui veulent ENFIN faire bouger Colmar ? Il aura mis plus de 20 ans avant de réaliser qu'au centre de nos préoccupation il y a les conditions de notre vie quotidienne, d'où ce programme novateur à ses yeux... mais reprenant quasiment toutes les propositions des autres équipes. J'écris « il » au singulier car il est bien connu que ce n'est que de lui que rayonne la vision de notre lendemain. La passion a disparu pour ne laisser place qu'au constat, à l'aveu que, plus de 20 ans durant, la fameuse équipe expérimentée est passée à côté de la plaque en négligeant l’essentiel dans la cité de Bartholdi, à savoir : les Colmariens ! Cela suffit ; ne renouvelons pas l'expérience de ces personnes uniquement préoccupées de notoriété, de chiffres et de classement, pour confier notre destinée à de plus jeunes, plus lucides, plus dans le coup de nos aspirations. Revoir à la baisse le racket du stationnement après avoir expliqué que les tarifs en vigueur n'étaient que justice et n'avoir même pas eu la politesse de répondre aux nombreuses plaintes, verdir partout où cela est possible pour être dans l'air du temps, faire semblant de rajeunir une équipe « aux ordres » tout en avouant implicitement dans une lettre qu'avec son caractère on ne peut pas changer etc. etc. tout cela n'est guère encourageant. Laissons à de moins expérimentés (peut-être) à l'origine des bonnes idées plagiées par les sortants le soin de les mettre en place et d'en garantir (grâce à leur jeunesse !) la pérennité. (...)