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14 décembre 2021

À partir de demain, les anciens vont être « désactivés »

Pierre Duriot

À partir de demain, les anciens vont être « désactivés ». Pas de troisième dose, plus de vie sociale, peu importe les effets secondaires des doses précédentes, il faut y aller encore et encore. Même si le gouvernement qui oblige, dit aussi que l’efficacité diminue rapidement avec le temps, même s’il convient que cela n’empêche pas toujours les formes graves et que l’on peut mourir du Covid, même vacciné. Il ne faut pas non plus remplir des urgences qui diminuent comme peau de chagrin. Piquer aussi les enfants. Vers quoi allons nous ? Une dose tous les trois ou quatre mois, à vie, dans toute l’Europe, sinon désactivation ? Est-ce réaliste ? Tous les arguments sceptiques sont balayés : sources pas sérieuses, complotisme, alors même que la réalité montre qu’il est légitime d’avoir de sérieux doutes. Nous sommes entrés dans une irrationalité, à la fois sanitaire et informationnelle, une nouvelle dimension politique et médiatique, orchestrée, planifiée. Elle tient de la religion, de l’emprise sectaire même, contre laquelle, même les esprits les plus éclairés sont inopérants. Un genre de Reich sanitaire, aveugle et violent, monté de toutes pièces, qui va sans doute se terminer comme le troisième du nom et avec d’incommensurables dégâts.



Kelly Scott

Salon du chiot
 
Que l'on interdise définitivement ces salons et que ces ''éleveurs'' soient punis et mis hors d'état de nuire ! Il y a tellement d'animaux adorables à adopter dans les refuges bon sang !

DNA ce matin  Chaton agonisant à Colmar : un vétérinaire s’indigne
 
« En 26 ans de carrière j’en ai vu des choses, et fréquemment lorsqu’il y a une foire aux animaux de compagnie, moi ou des confrères voyons bien dans les jours qui suivent que ce n’est pas terrible. Mais là, c’est vraiment le pompon ! », tempête un vétérinaire de garde ce week-end dans le Centre-Alsace, qui a rédigé un courriel adressé à Eric Straumann.
Le maire de Colmar, qui s’est insurgé la semaine dernière contre l’organisation de ce type de salons, a aussitôt diffusé cet écrit via sa page Facebook. L’« horrible expérience » décrite a été vécue ce dimanche 12 décembre, au deuxième et dernier jour du salon du chiot de Colmar, où étaient également vendus quelques félins.
« Amaigri au stade de squelette »
« Un exposant m’a présenté un chaton de deux mois dans un état d’agonie, et de souffrance insupportable : amaigri au stade de squelette, en hypothermie (33°C), anémié et léthargique », indique le docteur vétérinaire. Pour quelque raison que ce soit, « mais je suspecte une raison lucrative de perte de vente, l’acte de soulager [ses souffrances par euthanasie] m’a été refusé catégoriquement par l’éleveur, et je ne pouvais pas passer outre. Le terme de maltraitance animale est dans ce cas approprié. Il voulait un acharnement thérapeutique hors de toute raison médicale. Le propriétaire est reparti avec le pauvre animal, pour rentrer avec dans le sud de la France… », déplore-t-il.
« Rien à faire sur un salon »
Redoutant d’autres cas similaires, il se pose la question « de la qualité et de la probité du contrôle vétérinaire des animaux exposés, qui doit avoir lieu à l’arrivée des exposants. Je ne sais pas si le confrère, dont j’ignore tout et dont je ne remets pas en cause les capacités, peut voir tous les animaux. Mais ce chaton agonisant n’avait rien à faire sur ce salon, et n’a pas pu se retrouver dans un tel état de dépérissement en l’espace d’un week-end ».
Le professionnel a transmis ce lundi matin son retour d’expérience du terrain à la direction des services vétérinaires. Profondément choqué, il s’interroge : « Éthiquement, ces foires aux animaux sont-elles encore tolérables à Colmar ? »
Les cas d’animaux en mauvaise santé issus de ces salons lui semblent-ils si fréquents ? « C’est difficile à quantifier, mais il n’est pas rare que des acheteurs viennent nous voir pour des animaux fragilisés voire malades, qui avaient souvent beaucoup voyagé. Parfois ils sont seulement un peu affaiblis, ont un peu de diarrhée et de vomissements, mais je n’avais jamais vu un animal autant en détresse. La démarche de consulter était louable, mais bien trop tardive… » Pour ce vétérinaire, il faut appeler un chat un chat : « C’est assez connu qu’il y a des soucis de temps en temps sur ces salons, comme partout où cela devient avant tout du business… »




La lettre d'info quotidienne
14 décembre 2021

Reportage
Sans sol et sans soleil : le boom des fermes verticales










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13 décembre 2021

Des tags au Mont Valérien qui seraient l’ouvrage d’anti-pass

Kelly Scott

Ces odieuses dégradations choquent et interpellent… Mais quel est le rapport entre ce lieu de pèlerinage et le vaccin ou le pass sanitaire ?
Est-ce que ces gens-là se sont rendus sur ce lieu pour le dégrader, le souiller afin de se comparer aux résistants de la guerre ?
Pourquoi ces deux S qui font penser au sigle des nazis ?
Si c’est cela c’est vraiment ignoble mais j’ai du mal à le croire…
Mais bon, au point où nous en sommes… Chaque jour une nouvelle folie, une autre ignominie…
Cela dit, la grande grande majorité des anti-pass n’a rien à voir avec ces abrutis, elle s’inquiète seulement pour nos libertés qui sont de plus en plus bafouées.


Master and servant

Pierre Duriot

Cette scène a fait le tour des réseaux sociaux. On y voit Attali sans masque, faire signe avec le doigt sur son nez, puis demander expressément à la journaliste de remettre son masque sur son nez. A plus d’un mètre de ses interlocuteurs, ne risque pas la contagion, mais révèle ce faisant les vrais ressorts de la manipulation mentale en cours. Il fait partie de l’élite humaine et peut se passer de masque. La journaliste est une inférieure, elle doit l’ajuster de la manière dont le maître le demande. Le maître, Attali, est sûr de son statut de supérieur, il ordonne mais garde le sourire, il sait qu’il sera obéi. La journaliste aussi, est sûre de son statut, elle est une inférieure et elle se complaît dans cette position, son collègue masculin également. Elle a accepté de mener l’interview en état d’infériorité. Elle accepte que cette infériorité lui soit rappelée et elle se plie au détail, comme le veut le maître : elle recouvre son nez. La scène atteste de la réussite de la manipulation de masse, une expérience de Milgram, à vocation internationale, un covidisme à l’œuvre, de dimension émotionnelle, sans la moindre rationalité et tenant de l’emprise sectaire, de maître à disciple. Vous savez désormais que faire...




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La lettre d'info quotidienne
13 décembre 2021

Enquête - Présidentielle
Zemmour, ennemi de l’écologie