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23 novembre 2021

Michel Spitz

À l’occasion de la publication par Pierre Barrat de son autobiographie, la ville de Colmar a invité ses amis pour lui témoigner sa plus vive reconnaissance. Comédien, metteur en scène et directeur de théâtre, il tient dans l’histoire culturelle de notre cité, une place centrale. Il a fondé et assuré la direction de l’Atelier lyrique du Rhin de 1974, date de sa création, à 1998, soit un quart de siècle. Nous lui devons la création en 1990 du théâtre de la Manufacture, aujourd’hui, Centre dramatique national porté par la Comédie de Colmar. Les mémoires qu’il vient de publier nous apprennent beaucoup sur les ressorts et les convictions d’une carrière qui couvre plus d’un demi-siècle de travail et sur un parcours d’une richesse et d’une exigence rares. Ses productions nombreuses ont marqué les mémoires du public du théâtre et de toutes les scènes où il a été l’ambassadeur de Colmar.


Professeur Schmeerwurscht – HEB'DI – 22/11/2021


Par derrière
L’infectiologue Benjamin Davido déclare : « Lorsque vous faites la bise, vous faites un aérosol, il vaut mieux faire une accolade, car on a la tête l’un derrière l’autre et on peut garder le masque ». Si c’est pour avoir « la tête l’un derrière l’autre », j’ai une meilleure idée…


LFI ou La France Idiote
La « réconciliation avec les terroristes et ceux qui sont poursuivis ». Avec les mélenchonistes, on n’est jamais sûr du pire. ça fait penser à la réplique d’OSS 117 : « Pourquoi ne pas espérer, un jour, une réconciliation entre juifs et nazis ? » Mais OSS 117, lui, est drôle.


Prix de l’humour
Le Figaro se pose la question : « Baisse du nombre d’enseignants : faut-il revaloriser les salaires ? »
Il fallait oser poser la question !


Foutage de…
En 2020, la France a versé 140 millions d’euros à un pays pour l’aider à se développer. Quel est ce pays ? Le Mali ? Le Bangladesh ? La Bulgarie ? Non, c’est la Chine !
Cette somme la place à la neuvième place parmi les 30 principaux bénéficiaires de l’Aide Publique au Développement versée par la France. Cette aide représente un total de 12,4 milliards d’euros. Parmi les bénéficiaires on trouve notamment : la Somalie (343 millions d’euros), le Maroc (312 millions) et l’Inde (230 millions). (Rappelons que cette dernière a des ronds pour aller dans l’espace et pour fabriquer des bombes nucléaires, mais pas pour nourrir sa population !)
On se fout de qui déjà ? Ah oui : de nous !


Vent du soir
Le président américain a décidément le vent en poupe. À l’occasion d’un pince-fesses (pas assez pincées), en présence de nombreuses personnalités dont la compagne du Prince Charles, Camilla Parker Bowles, Joe Biden a lâché un pet.
« C’était long, bruyant et impossible à ignorer », a dit Camilla, un peu pète-sec. Peu ou prou(t), il est à fond la caisse, Joe !


Covid couilles
À Genève, un night-club offre une pipe (fellation) à tous ceux qui viennent se faire vacciner.
Rien n’est précisé pour "celles" qui viennent se faire vacciner…
Elles peuvent toujours écrire au journal, on verra bien…


Certains l’aiment slow
À Paris, dans 660 secteurs, la vitesse des trottinettes sera limitée à 10 km/h.
Du coup, elles se feront renverser par les joggeurs.

22 novembre 2021

Phil

Dans la prochaine revue d'Espoir : Vivre avec la peste au temps des humanistes : "...Puis il faut plumer l’arrière-train d’un jeune coq, le saupoudrer de sel, puis frotter les bubons jusqu’à ce que le coq meure..."



Mattea Battaglia – Le Monde 22/11/2021

Les démissions d’enseignants augmentent et l’éducation nationale n’arrive pas à répondre à ce malaise


Dans une salle de classe de Bischwiller (Bas-Rhin), en novembre 2020. PATRICK HERTZOG / AFP


Il aurait dû faire sa première rentrée des classes en tant que titulaire il y a un an. Mais Baptiste (il souhaite rester anonyme, comme les autres personnes citées par leurs prénoms), 25 ans, a choisi de « s’échapper » avant. Quatre mois à enseigner la musique comme professeur stagiaire dans un collège de Douai (Nord) lui ont suffi à prendre sa décision : en janvier 2020, il a posté sa lettre de démission.

« Il n’y a pas eu d’événement déclencheur, rapporte-t-il, ça se passait bien avec mes élèves, et même très bien lors des inspections, mais je ne me sentais pas à l’aise… Le fonctionnement, la vie de l’établissement : tout cela me semblait très éloigné de ma passion pour la musique. » Le jeune homme a « tenu l’année ». « Tu es fou : pourquoi faire ça après cinq ans d’études, un concours en poche [le Capes], et la sécurité de l’emploi ? », lui ont dit ses proches. Mais son choix était arrêté : en septembre, il n’a pas repris le chemin du collège, « sans temps perdu et sans regrets ». Il met désormais « toute son énergie » dans l’entreprise agricole familiale pour, espère-t-il, la « faire évoluer ».

Combien sont-ils ceux qui, comme Baptiste, claquent la porte de leur classe avant même d’y avoir pris leurs marques ? « De plus en plus nombreux », concède-t-on rue de Grenelle, sans livrer le détail de ces démissions précoces (de stagiaires), pour l’année écoulée. Elles représentaient, déjà, la moitié du total il y a trois ans. Celles émanant de professeurs titulaires sont, en revanche, bien documentées : le ministère de l’éducation en a comptabilisé 1 554 en 2019-2020 et même 1 648 en 2020-2021, selon des chiffres communiqués par Jean-Michel Blanquer lors d’une audition au Sénat le 3 novembre. (...)

20 novembre 2021

« Les sondages, c’est comme la minijupe, ça fait rêver mais ça cache l’essentiel ! »

Michel Naudo

(Sondage IFOP de novembre 2021 sur l’Avenir de l’Alsace)

En 2019, les Alsaciens étaient 68% à vouloir sortir du Grand Est, aujourd’hui ils sont encore 64% soit 4 points de moins ou si vous préférez, presque 6% d’entre eux ont changé d’avis. 9% des sondés ne se prononcent pas, ils étaient seulement 1% en 2019…
Que s’est-il passé depuis 2019 ? De quoi cette chute est-elle le signal ?
La Collectivité européenne d’Alsace (CEA) a vu le jour le 1er janvier 2021 et des élections régionales et départementales ont eu lieu en juin dernier.
Les Alsaciens ont-ils, depuis, constaté un changement quelconque dans leur vie de tous les jours ?
Le fait qu’ils se trouvent depuis 2015, intégrés dans le Grand Est, a-t-il eu un impact sur eux ?
La fusion des deux Départements alsaciens en une seule collectivité a-t-elle amélioré quelque chose dans la vie quotidienne des Alsaciens ?
Je fais le pari que si ces trois questions étaient posées aux Alsaciens, les trois réponses seraient « non ».
De mon point de vue, l’explication de cette chute de 4 points et des 8% en plus qui ne se prononcent pas est là.
Il est inutile de sonder les Alsaciens avec des questions aussi générales sur un sujet institutionnel qu’ils ne maîtrisent pas.
Pour la plupart des gens, l’organisation administrative de la France et de l’Alsace en particulier, c’est de l’hébreu. Le Grand Est et la CEA leur passent par-dessus la tête. Si de plus, ces changements institutionnels intervenus en 2015 et 2021 n’ont pas été perçus dans leur quotidien, les Alsaciens ne sont-ils pas en droit de commencer à se demander « mais pourquoi diable veulent-ils changer quelque chose ? ».
Nous n’avons pas encore tiré les enseignements de l’échec cuisant et du gâchis infligés aux Alsaciens par les hommes politiques lors du référendum d’avril 2013 !
Encore une fois, faute de leur expliquer correctement quelle sera la plus-value pour eux d’une sortie du Grand Est, nous irons de désillusions en déceptions et les mêmes causes produiront les mêmes effets.
Ce n’est pas un tour d’Alsace en 80 jours qui va changer quoi que ce soit aux connaissances des Alsaciens sur un sujet aussi complexe…
Tout ce qui n’a pas été fait lors de la campagne de 2013 sur le Conseil d’Alsace reste à faire : implication sur le terrain des élus locaux tels que les maires et les Conseillers d’Alsace. Organisation de tables rondes, d’ateliers thématiques et de groupes de travail avec les citoyens. Maitrise et organisation des réunions avec des animateurs formés disposant de fiches thématiques explicatives. C’est un sacré travail ! C’est long, mais c’est le prix à payer pour faire fonctionner correctement la démocratie participative.
Il s’agit avant tout de convaincre les Alsaciens avec une démarche pédagogique qui est aux antipodes d’une campagne électorale classique faite de réunions publiques, d’affiches, tracts et autres slogans. Distribuer et faire remplir des questionnaires à la population est tout aussi inefficace…
Un autre point dans ce sondage ne laisse pas d’interroger : comment se fait-il qu’aujourd’hui 79% des électeurs RN alsaciens, se prononceraient plutôt pour un candidat à l’élection présidentielle qui se déclarerait favorable au retour à une Région Alsace à part entière alors que nous avons tous en mémoire que le Front National avait fait une campagne vent debout contre le Conseil d’Alsace en 2013 ?
Méfions-nous des sondages qui ne posent pas les bonnes questions et rappelons-nous également qu’à la veille du référendum de 2013, 75% des Alsaciens interrogés, déclaraient vouloir voter « oui » (sondage CSA du 25 février au 1er mars 2013).
On peut aussi constater un certain décalage entre les résultats des sondages et ceux des urnes puisqu’un seul régionaliste siège parmi les 80 Conseillers d’Alsace de la CEA et que Jean Rottner est arrivé en tête aux deux tours de scrutin en Alsace lors des élections régionales de juin dernier…
Pour finir un point de détail mais qui a pu entraîner une certaine confusion chez les Alsaciens sondés : la principale question posée est "Pensez-vous que la nouvelle collectivité européenne d’Alsace (CeA), née le 1er janvier 2020 de la fusion des conseils départementaux du Bas-Rhin et du Haut-Rhin, doit sortir de la Région Grand Est pour redevenir une région Alsace à part entière ?"
On peut souligner ici le professionnalisme des sondeurs qui ignorent jusqu’à la date de création de la CEA et la légèreté des commanditaires qui visiblement n’ont pas vérifié le texte avant de donner leur feu vert…
https://alsace-malgre-elle.fr/mefions-nous-des-sondages/



Phil

Disparu il y a plus d'un an, le maire de Colmar, au sens de l'humour "légendaire" fait encore parler de lui...
DNA Colmar



19 novembre 2021

Événement LÉZARD

MARDI 30 NOVEMBRE 2021 À 20:00

Ciné-débat : Paris Stalingrad

CGR Colmar

Documentaire de Hind Meddeb et Thim Naccache - France - 2021 - 1h28
Soirée-débat organisée dans le cadre du festival Migrant'scène, en partenariat avec La Cimade, qui lutte pour la défense de la dignité et des droits des personnes réfugiées et migrantes.

Eté 2016, Paris, des personnes réfu­giées campent quartier Stalingrad dans l’attente de régulariser leur situation. Hind Meddeb et Thim Naccache sont là, comme de nombreuses personnes, en soutiens, en voisins, et dessinent le quotidien et la géographie de Stalingrad, espace - frontière au cœur de Paris. Un labyrinthe physique se mêle au laby­rinthe administratif déjà en place, la ville refoule. Contrôles, nasses, évacuations, grillages. Comment faire lieu, faire collectif, comment habiter un espace qui empêche d’exister ?
Le film cartographie le calvaire : points d’eau, coins d’ombres, parcs isolés, tables de pingpong pour cuisiner. Aux abords des terrains de tennis, les réfugiés se reposent tout près des joueurs qui continuent de s’exercer et se réveillent avec les joggeurs qui s’étirent. Les corps s’in­tègrent difficilement mais un collectif naît et une coexistence s’ins­talle. Du groupe, s’élève la voix de Souleymane, jeune exilé du Darfour dont les poèmes viennent cohabiter avec la voix off de la cinéaste. Souley­mane circule, erre, se perd, resurgit et raconte.

Retrouvez plus d'informations sur le festival Migrant'scène sur le site de La Cimade : https://www.lacimade.org/



Michel Naudo

J-8
Parc des expositions de Colmar

Samedi 27 novembre 9h-19h
Dimanche 28 novembre 9h-18h

Entrée gratuite.

Environ 70 000 ouvrages exposés.
* 200 stands
* 80 maisons d’édition
* 7 librairies
* 8 bouquinistes
* 29 associations
* 400 artistes-auteurs

J’y serai non stop pour échanger et dédicacer mon livre « L’Alsace malgré elle ».
https://alsace-malgre-elle.fr/



Fabien Nierengarten

Voici enfin mon billet d'humeur de ce mois. Je crois que j'y fais définitivement mon coming out de boomer. Il s'intitule "Lettre à Titine".
Certains l’appellent de façon un peu condescendante, "ma caisse", "ma tire", "ma bagnole" ou encore "ma guimbarde". Pour ma part, qu’importe sa marque ou sa couleur, ma voiture, je l’ai toujours surnommée très affectueusement "Titine". Vous aussi, sans doute. Au moins une fois. Allez, avouez-le. Sans savoir peut-être qu’elle devait ce petit nom à son ancêtre, la fameuse Ford T, appelée "Tin Lizzie" par son concepteur, Henry Ford.
Aujourd’hui, hélas, les temps sont durs pour Titine, devenue la paria des bobos parigots accros au vélo-métro-boulot-dodo. Jadis, idole adulée, la voilà reléguée au rang d’icône déchue, et peut-être bientôt, à celui d’épave d’un paradis à jamais perdu. D’où ce courrier d’amour et d’amitié que j’ai choisi d’écrire pour elle et de partager avec vous.
Ma chère Titine,
Tu te souviens probablement de ce temps béni dont il reste quelques photos jaunies, où tu transportais de plaisir, les bourgeois endimanchés en quête d’émotions fortes. Certes, à 30 km/h, pied au plancher, il n’y avait pas de quoi user les chapeaux de roues, ni de soulever ceux des passantes émerveillées. Mais à ta façon, tu as su rendre ces années… folles. Et elles te le rendaient bien.
Après avoir fait rêver nos grands-parents, tu as séduit sans peine leurs enfants. En te parant peu à peu de nombreux atours, sans jamais oublier d’affoler les compte-tours, tu as réussi à faire rimer "conduire" avec "sourire", et "partir" avec "découvrir". Curieux objet du désir pour toute une génération, tu as aussi été pour elle, un exceptionnel outil de liberté et d’émancipation. Sans connaître ton égale pour déchaîner les plus intenses passions, parfois par un simple appui sur ton champignon.
Mais nous voilà au 3ème millénaire, celui de tous les dangers pour notre chic planète. Pas de quoi danser dessus, ni de faire hennir les chevaux du plaisir. Fini d’oser, Joséphine. Et fini de rigoler, Titine. Ton destin est scellé. En vert et contre tout. Oubliées, toutes tes années de service. Mais gravées dans la mémoire collective, ces quelques années de sévices, ceux que la vilaine voiture aurait infligé à la gentille dame nature.
Toi, autrefois, provocatrice de tant de fantasmes et créatrice de tant d’enthousiasme, te voilà transformée d’un coup de baguette tragique, en un vulgaire moyen de transport jugé coûteux, nuisible et narcissique. Tu étais si chère à nos cœurs, mais bientôt trop chère pour nos comptes bancaires. La faute, non pas à des moteurs trop gourmands, mais à des impôts trop imposants. Pendant que des millions d’avions zèbrent impunément l’horizon, et des croisières s’amusent au large, sans la moindre contrition.
Et s’il n’y avait que ça. Car, en plus, il semble qu’entre les mains de quelques misérables Hamilton de fins de soirées, et de quelques pitoyables Verstappen de fiestas trop arrosées, tu sois devenue un engin de frayeur et de douleur pour de trop nombreuses familles éplorées. Et te voilà donc en train de comparaître sur le banc des accusés de crimes contre l’humanité, alors que tu n’es finalement, qu’une victime supplémentaire de nos pires actes de stupidité.
Sous ce prétexte, on te bride, on te limite, on te contrôle. Puis même, on te bannit, on t’interdit, on te camisole. De force, évidemment, pour que ce soit encore plus drôle. Tu n’es définitivement plus la bienvenue dans nos villes où, sans peur de tomber dans le ridicule, on ne cesse d’élever contre toi, une profusion de bosses et de monticules. Pendant que dans certaines zones prétendument piétonnes, quelques bicyclettes, trottinettes et autres objets roulants non identifiés, s’en donnent à cœur joie et malmènent les règles primaires de sécurité.
Mais qu’on se rassure, ton avenir s’annonce radieux, il paraît que c’est sûr. Ainsi, pour un usage plus éthique, tu seras électrique. Pour réduire notre facture énergétique, tu seras automatique. Pour garantir une conduite plus civique, tu seras électronique. Et pour quand même éviter que tu ne prolifères de trop, tu seras résolument…inesthétique. Car franchement, qui peut encore avoir des yeux de chimère, pour une bagnole aussi standardisée et austère ?
Ma chère Titine, le jour n’est plus si éloigné où tu ne seras plus qu’un transport en commun parmi d’autres. Ou au mieux, un taxi perso, piloté par une intelligence artificielle, avec lequel on se déplacera d’un lieu à un autre, sans se préoccuper de rien, si ce n’est du bien-être des gamins et du chien. Avec ce slogan résonnant en bruit de fond : "Rouler comme sur un rail, il n’y a plus que ça qui nous aille !"
Sans risque de tête à queue ou de queue de poisson, la route deviendra un havre de paix où la vie sera belle. Pour le conducteur, plus aucune raison de péter une durite ou de couler une bielle. A bord, tout sera luxe, calme et volupté. Mais alors, qu’est-ce qu’on se fera chier ! De quoi conclure ma lettre à Titine comme une vieille lettre à France, et de chanter avec elle : "Il était une fois, toi et moi. N’oublie jamais ça, toi et moi".



18 novembre 2021

23ème édition des Petits Formats à Soultzmatt (du 3 au 19 décembre, les vendredis, samedis et dimanches uniquement)



Participation de la galerie Murmure à St'Art 2021

Galerie Murmure

Chers amis, clients et amateurs d'art,

En novembre 2018, un projet, un rêve, se concrétisait avec l'ouverture de la galerie Murmure à Colmar, pour une exposition dédiée à Antoni Tàpies.

Pour son troisième anniversaire la galerie Murmure a le bonheur de participer à son premier salon: St'Art 2021 !




Nous aurons le plaisir de pouvoir vous accueillir sur le stand 1C19 et vous présenter des œuvres de David Daoud, Rose-Marie Crespin, Rainer Gross, Yolaine Wuest, Antoni Tàpies, Sophie Patry, Frédéric Klein et Louis Stettner.

Vernissage : Jeudi 25 Novembre 2021 de 15h à 22h

Vendredi, samedi et dimanche de 11h à 20h

Vous pourrez rencontrer Yolaine Wuest et Frédéric Klein lors du vernissage jeudi 26 novembre.

Et voici le plan d'accès pour faciliter votre éventuelle visite :

https://www.st-art.com/visiteurs/infos-pratiques/

Au plaisir de vous accueillir et de poursuivre avec vous cette belle aventure artistique et humaine !

Amicalement,

Audrey

Fabien Nierengarten

Scoop de ce matin : on apprend qu'il est désormais possible de désigner par "iel", la personne qui ne se sent ni "il", ni "elle". En clair, la langue française est sur le point d'accepter l'usage d'un pronom personnel neutre, comme c'est d'ailleurs déjà le cas en anglais ("it") ou en allemand ("das").
Au-delà de la question du bien-fondé de cette innovation linguistique (qui risque juste de compliquer encore davantage la compréhension de ce que certain(e)s veulent dire), il est marrant de constater que Petit Robert a pris de l'avance sur LaRousse. Faut-il en déduire que les hommes sont plus ouverts que les femmes sur la question du 3ème sexe ? Le débat est ouvert...



17 novembre 2021

Phil

Masque obligatoire sur les marchés de Noël à Colmar... Dessin prémonitoire réalisé en 1987...



[Concerne les habitants du centre-ville]



Festival du livre de Colmar

AMELIE NOTHOMB OUVRE LE BAL DES RENCONTRES LITTERAIRES

Le 26 novembre de 14h à 17h30 : rencontre et dédicace au THÉÂTRE MUNICIPAL

Amélie Nothomb sera au Théâtre municipal pour dédicacer son 30e roman Premier sang et s’entretenir avec son public (Librairie RUC sur place). Entrée gratuite, sur invitation à retirer aux heures d’ouverture du Théâtre municipal.
Romancière belge née au Japon, ses livres font partie des romans les plus appréciés du public francophone et autres puisqu’ils ont tous fait l’objet de moults traductions. Ce succès est en partie dû à son attachement à la culture nippone, retranscrit dans plusieurs de ses romans, et à son style d'écriture excentrique. Elle a reçu une vaste panoplie de prix littéraires au cours de sa carrière, notamment le Grand Prix de l’Académie française pour Stupeurs et Tremblements. Sa nouveauté de la rentrée, Premier sang, est parue chez Albin Michel.


Covid : pays plus vaccinés versus pays moins vaccinés

TrialSiteNews vient de sortir un article, intitulé « Enquête sur les tendances Covid-19 dans les 10 pays les plus vaccinés et les 10 pays les moins vaccinés ».

Deux tableaux résument bien la situation, et se passent de commentaires, sinon celui-là : « On peut discuter de tout sauf des chiffres ».

Certains chipoteront sur les pays sélectionnés, il y a peut-être des erreurs, un oublié ou un en trop. C’est ce que j’ai pensé en me disant qu’ils avaient omis l’Islande. Eh bien non, sur Our World in Data, l’Islande est « fully vaccined” à 75%, donc inférieur au Cambodge, dernier de la liste. Le Portugal m’étonnait, je le croyais au niveau de la France, non, la liste semble donc juste (et vérifiable toujours sur OWD).

On peut confirmer en ce qui concerne les plus et les moins vaccinés :

Pour les courbes de cas, c’est moins évident, mais une remarque : TrialSite ne parle pas de niveau de contamination, mais de l’évolution, soit épidémie en cours de développement, ou d’amélioration. Seule critique recevable : le niveau de fiabilité des relevés, mais comme déjà expliqué plusieurs fois ici, si des pays ont des statistiques peu fiables, l’évolution des courbes est fiable, car au début, au pic et en fin de vague, les conditions de recueil sont les mêmes, les erreurs ou insuffisances, les mêmes. Augmentation ou baisse, c’est juste, par contre le niveau, peut être discuté.

D’autres on fait le même constat il y a quelques jours. Autres courbes, autre présentation, même résultat.

« La vaccination ne réduira pas l’épidémie » était en début d’année un discours de complotistes. Aujourd’hui, c’est plus clair et non complotiste, admis par tous : « La vaccination ne réduit pas l’épidémie ». Même le premier financier et premier défenseur de la vaccination, Bill Gates, le reconnaît.

Le discours est maintenant différent : « la vaccination réduit les formes graves ». Sans doute, en espérant qu’on n’apprendra pas un jour que c’est la même histoire que le nuage de Tchernobyl qui s’est arrêté à la frontière. Des pays, des études, nous disent que la majorité des hospitalisés sont vaccinés, d’autres comme le nôtre, nous disent que la majorité des hospitalisés ne sont pas vaccinés. Qui croire alors que, depuis des mois, tout ce qu’on nous affirme s’inverse avec le temps ? Quant aux risques, circulez, il n’y a rien à voir, et le rapport bénéfice/risque appartient au passé de la médecine, même si cela a prévalu depuis plus de 100 ans.

Forts de ce constat, les esprits intelligents en déduiront que ce n’est pas en vaccinant plus, que ce n’est pas en mettant en prison les non-vaccinés, que l’on mettra fin à l’épidémie. Nos dirigeants ne voient pas que le virus se joue de notre campagne de vaccination et de notre pass avec notre 5e vague, que l’on ne peut même pas attribuer à un nouveau variant !

L’Inde s’est joué du même virus, du même variant, en deux mois. Sans vaccin (3% à l’époque), et avec traitement. De plus, cela leur a conféré une immunité supérieure, plus durable et collective (67%). Résultat, depuis 7 mois, rien, pas de nouvelle vague en vue. 

L’exemple antillais est aussi spectaculaire et devrait faire réfléchir et se poser la question de savoir si on prend les bonnes mesures. Comme pour l’Inde en début de vague, ils ont fait la une de tous les journaux, mais on n’en parle pIus. Pourquoi ? Parce que, comme en Inde, sans vaccin, en recherchant par tous les moyens d’autres traitements, entraînant des ruptures de stocks, ils ont vaincu la covid. En 1 mois, le nombre de cas a été divisé par 40 en Guadeloupe et par 20 en Martinique. Ils ont résisté, ils ont gagné, contre le virus et contre l’Etat qui a cédé. Comme l’Inde, ils ont démontré que la vague cède peut être plus vite sans vaccination. (Vous pouvez vérifier en tapant sur Google « chiffres covid Guadeloupe » ou Martinique).

Quant aux cas moins graves avec la vaccination, ceux qui justement sont susceptibles de présenter ces formes graves, sont parfaitement ciblés depuis 18 mois. Pourquoi ne pas réserver cette « vaccination » à cette seule population, celle qui en aurait besoin, au lieu de contraindre ceux qui n’en ont pas besoin, les obligeant à prendre un risque pouvant être supérieur à la maladie.

16 novembre 2021

Guillaume Meurice

NE PERDEZ PAS DE TEMPS À LIRE CECI

Vous perdez votre temps. Vous nous faites perdre le nôtre. Vous parlez d’une France qui n’a jamais existé ailleurs que dans votre tête. Vous rêvez de pureté. Vous haïssez le multiculturalisme avec des Nike aux pieds, en mangeant une pizza, votre Samsung à la main. Vous avez déjà perdu. Personne ne démélangera les cultures. Personne ne cessera de voyager, de fuir la misère, de tomber amoureux, de se métisser. Vous vous épuisez pour rien. Les dominants vous ont fait croire que le danger, c’était le réfugié sans le sou plutôt que le milliardaire qui vous pique du pognon tous les jours, échappant à l’impôt, imposant sa politique. Vous y avez cru. Ils ont gagné. Ils ont « grand-remplacé » les raisons de votre colère. Mais vous valez mieux que ça. Mieux que vos angoisses. Mieux que vos névroses, qui ne sont définitivement pas un programme politique. Posez ce « seum » délicatement sur le sol. Les plus virulents d’entre vous jouent au mâle dominant mais attaquent toujours à plusieurs, masqués, dans le dos, chouinent dès qu’un pseudo-gauchiste fait une demi-blague, se planquent derrière le culte de la virilité, des armes. Exactement comme des djihadistes. Allez, passons à autre chose. Passez à autre chose. L’humanité va crever sous le réchauffement planétaire, des milliers d’espèces disparaissent chaque semaine, la pauvreté explose et on débat de la bonté du maréchal Pétain ou des prénoms des gosses. Stop. On a assez perdu de temps.


☐ Juan Branco - "J'espère que les fourches seront de sortie"



☐ LA LIBERTÉ D’INFORMER EST EN DANGER DE MORT






☐ LE VRAI VISAGE DE MACRON





Confinement des non-vaccinés : ils sont devenus fous ! (15/11/2021)






☐ François Boulo - "Il y aura une révolution en France !"




Idriss Aberkane : la doxa sanitaire est-elle en train de se crasher ?




15 novembre 2021

Le coin des libres-penseurs


⬦ Comment avoir confiance dans la 3ème dose alors que les deux premières doses n'ont pas été efficaces dans le temps ?


⬦ Deux doses, ça va, trois doses, bonjour les dégâts.


⬦ Si ce vaccin fonctionnait, on ne serait pas obligé de rajouter des doses à tout va...


⬦ Il est nécessaire de ne plus dire « vaccin » ou « vacciné », car ce n’en est pas un. Aucun vaccin digne de ce nom ne nécessite trois doses en moins d’un an.


⬦ Bel exemple de la politique du « en même temps » :
- convaincre les vaccinés de se faire injecter une troisième dose parce que le « vaccin » n’est pas suffisamment efficace ;
- convaincre les non-vaccinés de se faire vacciner parce que SEUL le « vaccin » est efficace.


⬦ Nous assistons à la plus grande réussite commerciale de tous les temps !
En quelques mois, un produit (dont on ne sait rien, sinon les affirmations du fabricant !) s'est vendu sur toute la planète, sans budget pub visible, avec les autorités en place converties en agents commerciaux...
Réussite, aussi, dans la fidélisation des consommateurs : ils en seront clients à vie !
C'est-y pas beau ?


⬦ Les "vaccinés" sont contagieux, et porteurs de variants.
La logique demanderait de les confiner !


⬦ « Ne pas nuire à autrui », c'est d'abord avoir un style de vie sobre, responsable, et respectueux de l'environnement.
Se nourrir bio, bannir la chimie, etc. Et, ainsi, être en bonne santé, pour soi-même et pour les autres. Et pour la planète !
On a, ainsi, la vraie immunité naturelle, et non pas l' "immunité" factice de la chimie...


⬦ Il n’y a eu personne pour s’offusquer ouvertement du peu de sérieux de la vaccination en cours où on nous propose de mélanger les produits : un petit shoot de Moderna après un J&J, c’est ok, ou un triplet Astra, Moderna, Pfizer, c’est parfaitement cool et c’est même mieux qu’un schéma « classique » !


⬦ Si on avait dit il y a quelques années que les vaccinés pouvaient être des transmetteurs de virus, voire des propagateurs aggravant potentiellement les épidémies, que n'aurait-on pas entendu de la part des vaccinolâtres, des vaccinologues, des vaccinomanes et des vaccinocrates.
Mais la vie est dure, les virus sont peu compréhensifs, la science est rétive et la réalité est contre-intuitive.


⬦ Rien ne bouge et les manifs restent bisounours malgré le scandale. C'est grave.


⬦ Le premier qui dit la vérité sera exécuté (Guy Béart)


⬦ Parmi les gens sensés, ne craint-on pas depuis le début que la réponse du système immunitaire au vaccin soit de plus en plus faible avec l’âge ? En revanche, les effets secondaires risquent de taper plus dur – même chose sur les gens plus jeunes frappés de lourdes comorbidités. En d’autres termes, vacciner les personnes à risques, n’est-ce pas une énorme erreur de plus ? Au mieux un coup d’épée dans l’eau, au pire un coup de poignard dans le dos ?


⬦ Les personnes âgées qui ont survécu au covid, au manque de soins, au syndrome de glissement et aux confinements, ce sont des bons, il faut trouver un moyen pour les faire se reproduire... Pas sûr que ce soit le vaccin qui marche pour protéger les survivants...


⬦ [Citation] C’est moins le bruit des bottes qu’il nous faut craindre que le silence des pantoufles.
Bertold Brecht

Michel Spitz

La « chapelle de campagne », (Feld Kapelle), ou « chapelle de Frère Nicolas » (Bruder Klaus Kapelle), a été construite entre 2005 et 2007 par l’architecte suisse Peter Zumthor. Commande d’un riche fermier local, Herman-Josef Scheidtweiler qui voulait remercier le ciel de sa réussite (il a longtemps dirigé l'association des agriculteurs chrétiens) et construire sur ses champs une chapelle à la gloire de "Bruder Klaus", alias Nikolaus von der Flüe (1417-1487), un mystique suisse, fermier. Il est le "saint patron" du fermier.
Vue de face ou de côté, la chapelle se présente comme un volume à 5 faces, vu de l’arrière comme un cube. Elle est fabriquée par un béton très simple, qui laisse apparaître différents coloris de sables des environs, ainsi que des galets pris dans les rivières de l’Eifel. Un rebord, du même matériau, intégré à l’édifice, peut servir de banc, et permettre de contempler, à partir de l’édifice, la campagne environnante. On voit les différents niveaux de coffrage du béton, fait par bandes horizontales, jusqu’à atteindre 12 mètres (hauteur du bâtiment).


Michel Spitz

11 Novembre 2014 / Monument National de la Grande Guerre 1924-1932 / Robert Danis architecte / Antoine Bourdelle sculpture / Michel Spitz architecte de la restauration 2014.
Le mémorial de l’Hartmannswillerkopf est un monument à la fois militaire et patriotique, religieux et funéraire. Dès 1920, un comité se constitue à Mulhouse pour construire sur le champ de bataille du Hartmannswillerkopf, le Monument National de la Grande Guerre en Alsace. Il est conçu par Robert Danis architecte avec le concours d’Antoine Bourdelle, sculpteur. Le monument se décline sous la forme de trois éléments implantés sur un même axe : une crypte-ossuaire avec chapelles, une esplanade avec autel de la patrie et un cimetière militaire avec mât aux couleurs françaises. Le comité engage également la construction d’une croix sommitale lumineuse, visible depuis la plaine d’Alsace et au-delà du Rhin. La crypte, dont le plan dessine une croix grecque, est creusée dans le rocher et se glisse sous l’Autel de la Patrie. Le volume ainsi formé, inspiré des temples anciens, s’inscrit dans la géométrie d’un cube parfait. Une voûte, supportée par quatre colonnes cannelées disposées en carré, forme au centre une lanterne, autour de laquelle se déploie un plénum, éclairé de pavés de verre, sertis dans la dalle en béton. Ce dispositif permet d’envelopper l’espace d’une douce lumière naturelle. Sous la crypte, un ossuaire est ménagé pour recueillir les restes des soldats français. L’ossuaire est fermé par un bouclier en bronze, posé à même le sol. Il comporte sur son pourtour, les dates de 1914 et 1918 en chiffres romains, et les vers de L’Hymne de Victor Hugo : « Ceux qui pieusement sont morts pour la patrie, Ont droit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie » (Les chants du crépuscule, 1835). Sur trois faces de la crypte, des niches, naturellement éclairées par le haut, contiennent les monuments des trois cultes concordataires auxquels ont appartenu les soldats morts pour la Patrie. En face de l’entrée, la chapelle catholique contient une table d’autel derrière laquelle doit s’élever la Vierge à l’offrande de Bourdelle. A gauche, le monument protestant est un tombeau en forme d’autel marqué d’une croix qui se détache d’une plaque portant la Bible ouverte, encadrée par deux pilastres supportant un linteau orné « rappelant l’art de l’époque de la Réforme ». À droite, le monument israélite comprend également un tombeau en forme d’autel, orné de l’étoile à six branches du bouclier de David. Les inscriptions du monument israélite et du monument protestant soulignent la force commune de l’Ancien et du Nouveau Testament. Une frise sculptée en bronze devait courir en haut des murs. Robert Danis avait prévu de confier l’exécution de la frise à Bourdelle, mais le début de la Seconde Guerre mondiale empêche sa réalisation.
L’architecture du monument de l’Hartmannswillerkopf puise aux sources de l’architecture classique française tout en revendiquant sa modernité et sa rationalité. Comme son contemporain, l’architecte Auguste Perret, Robert Danis se passe des ornements superflus. Le monument est entièrement construit en béton. Après décoffrage, les surfaces en béton ne sont couvertes d’aucun parement en pierre et revêtues d’un mortier de finition appelé « granito », finement bouchardé. Les colonnes de la crypte n’ont ni base ni chapiteau. Pour l’abbé Bourgeois, Danis « a su résoudre au mieux les problèmes difficiles de l’adaptation au terrain, de l’éclairage, de la division des plans, et qui a réussi une œuvre pleine de dignité religieuse, capable d’émouvoir, par la simplicité grandiose de son tracé et de sa décoration, les visiteurs qui feront l’ascension de cette montagne à jamais sacrée. »



Alexandre-Reza Kokabi (Reporterre)

COP26 : le gâchis et la déception d’un accord a minima




L’accord adopté à l’issue de la COP26 de Glasgow est largement insuffisant pour limiter à 1,5 °C la hausse globale des températures. Les demandes de financement des pays pauvres qui en subiront le plus les effets ont été écartées tandis que les promesses de sortie des énergies fossiles ont été affaiblies.


14 novembre 2021

Clo

Je n'ai jamais vu un monde qui refuse des patients au CHU parce que non vaccinés, je n'ai jamais vu un vaccin qui divise les familles, amis, collègues, je n'ai jamais vu un vaccin qui au final, ne protège pas entièrement, à tel point qu'on fasse des rappels, indéfiniment ; je n'ai jamais vu un vaccin qui donne l'accès aux restos, cinés, et autres divertissements, je n'ai jamais vu des gens se faire traiter de mauvaises personnes parce qu'ils refusent un vaccin qu'ils jugent inefficace, je n'ai jamais vu un gouvernement devenir propriétaire de nos corps et de notre santé...
Je n'ai jamais vu un monde aussi aveuglé...
Je n'ai jamais vu ça, jamais...
On peut ne pas être d'accord et ne pas se détester...
On peut avoir des opinions différentes et les respecter...
Avant, ça s'appelait la démocratie.