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2 février 2022

H16

Il faut suivre les camionneurs canadiens

Tiens, voilà que ça bouge pas mal au Canada ! Pourtant, si l’on se souvient des précédents épisodes de la Guerre Contre Le Virus dans cette partie de la planète, on avait surtout noté l’obéissance très polie de l’ensemble de la population nord-américaine devant l’empilement de restrictions, de contraintes et de lois de plus en plus débiles à mesure que la peste moderne tournait au rhume.

Ainsi, dans un précédent billet, je constatais que le Canada (comme l’Australie et la Nouvelle-Zélande du reste), pays plutôt libéral auparavant, se rapprochait chaque jour un peu plus d’une dictature sanitaire fascisante, menée par Justin Trudeau, un Lider Wokismo décidé à faire appliquer l’agenda de Davos à sa population qui semblait, jusqu’à présent, suivre le mouvement entre quelques « oups, pardon » et « après vous, je vous en prie ».

On s’était ainsi arrêtés à la situation déjà préoccupante dans laquelle, comme dans toute bonne dictature communiste, les Canadiens non munis d’un sauf-conduit dûment produit par le pouvoir en place ne pouvaient plus librement quitter leur pays : depuis novembre, seuls les vaccinés sont autorisés à quitter le territoire, avec quelques exceptions très spécifiques qui ne tenaient que jusqu’à présent.

Depuis le 15 janvier dernier cependant, une profession supplémentaire s’est ajoutée à celles devant absolument être vaccinée pour pouvoir aller et venir au-delà des frontières du Canada : les routiers doivent maintenant être dûment picousés pour pouvoir acheminer des biens de et vers les États-Unis. Il devient impossible de faire leur travail pour ceux qui n’ont pas le précieux sésame obtenu, on le rappelle, après une, pardon deux, pardon trois, oups je voulais dire quatre doses ou … ah je m’y perds mais baste, sans injection, impossible de convoyer librement.

Quelques petits rigolos, au courant du changement drastique qu’introduirait cette date, avaient déjà senti la difficulté logistique que cette contrainte vaccinale allait faire peser sur les camionneurs, et en profitaient donc pour échafauder des « solutions » de contournement, comme – par exemple parmi d’autres aussi idiotes – cantonner les chauffeurs non vaccinés d’un côté de la frontière, et faire faire le seul déplacement des remorques de fret par un ou plusieurs agents, vaccinés, sur les quelques centaines de mètres d’un côté à l’autre de la frontière.

Bien évidemment, la quantité même de fret, de remorques et de tracteurs concernés, la place nécessaire pour faire les opérations de manutention au bord de la frontière, le temps nécessaire et les coûts induits rendent toutes les solutions proposées d’autant plus impraticables qu’on parle en réalité d’un pourcentage élevé de chauffeurs concernés. Et si les estimations varient beaucoup (entre 5 et 25%, c’est dire), il faut comprendre que même le retrait d’une modeste proportion (5%) de ceux-là dans le fret entraîne immédiatement de gros soucis logistiques sur l’ensemble des chaînes. En réalité, ce genre d’obligation vaccinale entraîne une contrainte extrêmement forte sur ces chaînes et sur, basiquement, le gagne-pain de ces conducteurs, de ces sociétés d’acheminement, puis, par ricochet, sur les prix des biens et produits distribués.

Mais dans un pays si policé et si calme, on pouvait s’attendre à ce que cette contrainte soit malgré tout mise en place, conservée et appliquée posément sans plus de remous. La nouvelle couleuvre aurait été avalée avec des grimaces et les choses auraient repris leur cours habituel. Il n’en fut rien et la couleuvre n’est pas passée.

Excédés de ces obligations, un nombre croissant de camionneurs a décidé d’aller protester à Ottawa pour faire valoir leur point de vue. Très rapidement, les premiers protestataires ont été entendus et rejoints par d’autres. Dans certains cas, ce sont même les agriculteurs qui ont accompagné les camionneurs :

Des milliers de camions se sont donc rassemblés et dirigés vers la capitale du pays, ce qui, compte tenu de sa taille, a pris plusieurs jours pour certains.




On compte à présent entre 70.000 et 100.000 camionneurs impliqués et plusieurs fois autant d’individus qui se sont déplacés pour revendiquer l’abandon de l’obligation vaccinale. Le convoi de camions à destination d’Ottawa, de plusieurs dizaines de kilomètres de long, a battu plusieurs records et commencé à faire parler de lui dans la presse locale puis régionale. La presse nationale et internationale n’a réellement abordé le sujet qu’à reculons, très progressivement et en minimisant assez copieusement les chiffres et la situation. Il aura d’ailleurs fallu qu’un tweet d’Elon Musk évoque la question pour qu’enfin, certains titres apparaissent dans la presse étrangère :




Sans surprise, on appréciera la façon dont les événements sont présentés : minimisation des chiffres et de l’ampleur (on parlera de centaines de camions au lieu de dizaines de milliers), réduction de la participation à une « mince minorité » et ce alors même que des camionneurs vaccinés participent clairement à la démarche, tout y passe comme on pouvait s’y attendre, jusqu’aux formes subtiles de camouflage d’information : craignant de donner une image un peu trop exacte de l’ampleur du mouvement, les autorités canadiennes ont décidé de couper les flux internet des caméras de surveillance du trafic autoroutier. Après tout, si personne ne voit ni ne parle de ces convois, c’est qu’ils n’existent pas, n’est-ce pas ?

Quant à la présentation du mouvement comme essentiellement anti-vaccin, tactique maintenant éculée, elle n’a pas permis de modifier sa dynamique : la plupart des Canadiens savent que ces routiers sont bel et bien remontés contre l’obligation vaccinale, c’est-à-dire l’imposition faite à tous de s’injecter un produit expérimental, et non contre le vaccin lui-même qui reste un choix personnel… Et 28% les soutiennent directement.




Après avoir clairement fait savoir qu’il n’y aurait aucune tolérance ni marge de manœuvre pour les récalcitrants et sentant que la situation commençait à échapper quelque peu aux plans bien proprets qui avaient été établis dans lesquels la population se laisserait enfermer sans trop couiner dans un contrôle social de plus en plus ferme, le premier ministre canadien Justin Trudeau a donc rassemblé son courage et, prétextant être cas contact Covid, s’est rapidement isolé pour être ensuite vaillamment exfiltré dans un lieu tenu secret, probablement propice à entamer des négociations à distance et sous bonne garde.

Négociations qui promettent néanmoins d’être complexes et forcément intéressantes à suivre, tant les précédents ont montré le pouvoir réel dont disposent les camionneurs. On se rappellera à bon escient que la menace d’une grève en France avait rapidement fait plier le gouvernement en rase campagne avant même toute ouverture de négociation concernant la présence d’un pass sanitaire dans les restaurants routiers qui n’y sont donc pas soumis depuis lors. Trudeau et son courage millimétrique aura donc fort à faire s’il veut continuer sur la trajectoire officielle actuelle et la possibilité d’un volte-face brutal n’est pas à écarter.




À présent et si les Canadiens sont cohérents, il faudrait que ceux qui soutiennent les camionneurs passent à l’étape suivante de la résistance en arrêtant de porter le masque (parfaitement inutile notamment depuis l’arrivée d’omicron), qu’ils refusent toute obligation vaccinale et toute démarche de commerces et d’autorités visant à vérifier leur statut vaccinal pour quelque activité que ce soit.

À l’instar des camionneurs, tous les citoyens canadiens, favorables ou non au vaccin, ont un intérêt direct, vital, à refuser en bloc les obligations et les contraintes de plus en plus coercitives qui leurs sont imposées et qui ne font que présager d’un avenir abominable où chaque sous-citoyen n’est libre que dans l’étroit périmètre autorisé par l’État et les petits chefaillons autocratiques comme Trudeau. La liberté distribuée au compte-goutte par décret gouvernemental n’est pas la Liberté, c’est une récompense temporaire de prisonnier.

Espérons que cette démonstration de force des camionneurs permettra au reste des citoyens, canadiens d’abord et du reste du monde ensuite, de prendre conscience que les restrictions et les ségrégations iniques qui se mettent en place actuellement ne tiennent que parce que chacun d’entre eux accepte, sinon ouvertement, au moins tacitement, de les mettre en place et de les appliquer.

Il faut maintenant que, tous et chacun, nous laissions enfin tomber les masques inutiles, les distanciations socialistes ridicules, les gestes barricade absurdes et les passes vaccinaux iniques.
Il faut suivre les camionneurs canadiens
31 janvier 2022

Carte (incomplète) des meublés de tourisme à Colmar

⇒ https://www.airdna.co/vacation-rental-data/app/fr/grand-est/colmar/overview



1 février 2022

Le vaccin évite-t-il les morsures de licornes ?

Jean-François Huet
Médecin, réanimateur (à la retraite d'où sa liberté de parole !)

J'aime ce qui est clair et précis, c'est la raison pour laquelle j'en ai marre des cons malhonnêtes qui martèlent toute la journée que les vaccins anti-Covid évitent les formes graves de la maladie.
Cette phrase est INCOMPLÈTE et le plus souvent sciemment.
On ne peut pas justifier la vaccination massive et aveugle par ce biais en prétendant éviter chez tout le monde des formes graves qui ne concernent qu'une MINORITÉ ARCHI CONNUE D'AVANCE ET QUI N'A PAS VARIÉ DEPUIS LE DÉBUT DE L'ÉPIDÉMIE.
Par exemple : la vaccination anti-Covid n'évite pas les formes graves des gosses sans comorbidité CAR ELLES N'EXISTENT PAS.
Sinon on peut aussi dire que les vaccins évitent les morsures de licorne.
La bonne formulation est donc :
« La vaccination anti-Covid 19 évite les formes graves de cette maladie CHEZ CEUX QUI Y SONT EXPOSÉS en leur conférant une immunisation de 3 à 4 mois et sans empêcher la possibilité pour le sujet vacciné de transmettre le virus. »
Si on ne dit pas cette phrase ENTIÈRE, on ne fait que propager une FAUSSE INFORMATION.
De plus, l'honnêteté doit pousser à reconnaître que les formes déjà ultra minoritaires des formes graves en pleine épidémie, sont encore plus rares aujourd'hui. La mortalité constatée étant depuis longtemps en dessous des seuils épidémiques.
Tout ceci veut dire que les sujets "fragiles" doivent rester prudents et qu'il faut ARRÊTER D'EMMERDER TOUT LE MONDE AVEC CETTE ÉPIDÉMIE QUI N'EN EST PLUS UNE.

Notes :
1) les licornes n'existent pas.
2) la minorité archi connue d'avance et qui n'a pas varié depuis le début de l'épidémie et qui est "exposée", ce sont les personnes concernées par l'obésité ou le grand âge (principalement).

Phil

La Collectivité Européenne d’Alsace m’a demandé un dessin sur le thème « l’Alsace doit-elle sortir du Grand Est ? ». Je leur ai proposé cette vieille idée (réactualisée). « Mon dessin leur a pas plu, n’en parlons plus »…



« Les Fossoyeurs »

Eric Vial

La manière dont on s’occupe de nos anciens est un vrai sujet de société, les politiciens ne doivent plus fermer les yeux et nous non plus.
Il faut aider nos aînés et aider les familles qui sont confrontées à la dépendance de leurs parents ou au maintien de leur autonomie : c’est cela un vrai service public moderne.
La parution du livre « Les Fossoyeurs » a déclenché une onde de choc dans tout le secteur de la gérontologie. Des personnes âgées laissées sans soin durant plusieurs jours, de la nourriture rationnée, des couches insuffisantes... Le livre du journaliste Victor Castanet met au jour les pratiques accablantes courantes dans les Ehpad d'Orpéa, destinées à améliorer la rentabilité de ses maisons de retraite qui facturent pourtant les séjours de leurs résidents au prix fort.
Brigitte Bourguignon, la ministre déléguée chargée de l'Autonomie a annoncé l'ouverture d'une double enquête administrative de l'Inspection générale des affaires sociales (Igas) et d'une enquête financière de l'Inspection générale des finances (IGF) sur le groupe Orpea. Mais honnêtement, est-ce réellement une révélation ? Des plaignants, des soignants, et des familles ne tirent-ils pas la sonnette d’alarme depuis bien longtemps sur des pratiques honteuses ?
Derrière ce scandale, c’est bien la question du traitement de nos vieux qui est posée, d’une société qui va puiser jusque dans les dernières ressources de toute une vie de travail et de labeurs pour « offrir » un minimum de fin de vie décente.
Et encore pour ceux qui ont la chance de trouver une place quelque part ou qui en ont les moyens financiers.
Le capitalisme a cela de terrible : « Si tu ne peux pas travailler, tu n’es plus bon à rien. L’Homme doit contribuer à la richesse il ne doit rien coûter. »
Et si nous changions de logiciel pour être conforme à ce que nous avons franchement au fond de notre cœur ou tout simplement par respect de nos anciens ?
Le débat doit s’ouvrir car oui, la vieillesse et la dépendance sont des enjeux d’une société digne. C’est vers eux que notre solidarité doit aller.


31 janvier 2022

Meublés de tourisme à Colmar

Les nouvelles mesures adoptées lors du conseil municipal de ce jour (à partir de la 25ème minute)

⇒ https://www.facebook.com/villecolmar/videos/309438071141488



Marie-Gaëlle Moldo à la galerie Murmure

Chers amis et amateurs d’art,

Samedi 5 février, entre 15h et 18h

nous aurons le plaisir d’accueillir à la galerie Murmure l’artiste Marie-Gaëlle Moldo. La rencontrer permet d’ouvrir des fenêtres sur son œuvre. Les mots choisis, les intonations utilisées trahissent une sensibilité, un message, une émotion.

Dans ses œuvres, elle explore la couleur qu’elle associe à la ligne dans un jeu de juxtaposition et de superposition. La couleur devient une « surface enveloppante, charnelle » qui lui permet d’analyser sa pensée consciente et inconsciente.

« Dans la pratique de l'encre, les notions d'apparition ou de disparition sont essentielles : le papier absorbe l'encre, l'encre peut être absorbée par le papier. Avec elle, je mène un combat contre l'effacement, la possibilité que le trait ou la surface existe plus ou moins. Je fais vaciller la ligne avec des couleurs chatoyantes ou rafraîchissantes, tantôt discrètes ou imposantes. »
Marie-Gaëlle Moldo.

En découle une œuvre poétique et chamarrée, onirique et fantasmagorique.
Au plaisir de vous accueillir samedi avec Marie-Gaëlle Moldo !
Amicalement,
Audrey

Galerie Murmure
5 place de l’Ancienne Douane
68000 Colmar
www.galerie-murmure.com
contact@galerie-murmure.fr
03 89 41 49 25






Conseil municipal
Séance du 31 janvier 2022

https://www.facebook.com/villecolmar/videos/309438071141488



COVID – Le coin des libres-penseurs


⬦ Ceux qui s’obstinent dans le péché et refusent le vaccin doivent expier.


⬦ La quatrième dose ne procure d'effet bousseteure que si on l'administre nu au milieu d'un pentagramme à la pleine lune chez les natifs du concombre ascendant bigorneau.
Sinon il faut la 5ème et la 6ème en même temps par voie intrarectale.


⬦ Et c’est reparti pour un tour, ma parole, ils doivent avoir des stocks incalculables à épuiser.


⬦ D'ici à ce que Delfraissy nous sorte que c'est un vaccin homéopathique, pour justifier les doses suivantes...


⬦ Même en imaginant que ces dosettes magiques n'ont aucun effet sur l'organisme, le fait de devoir prendre rendez-vous, faire la queue, se faire tester régulièrement (la picouse n'empêchant pas la multiplication des explorations nasales amusantes) etc. pour avoir le droit de continuer à être libre d'être tracé par le gouvernement, tout ça, ça finit par encombrer un emploi du temps mine de rien.


⬦ Noël Omicron... Pâques au Macron...


⬦ Célafôtauzantivaxkikontaminlesvaxinés.


⬦ On a maintenant deux options :
1 : attraper omicron et subir un rhume
2 : se taper trois ou quatre doses, mettre un masque, s'isoler, attraper omicron et subir un rhume.


⬦ Tout est inversé. Il y a plus de vérité dans ce qui nous est présenté comme de la fiction ou de la science fiction que dans la réalité artificiellement créée par la propagande.


⬦ Moi personnellement je suis pour que l'on taxe les vaccinés, ils ont coûté un fric dingue à l'UE, des milliards, il faut bien qu'ils participent à renflouer les caisses, surtout que l'on ne sait pas le nombre de doses qu'ils doivent encore recevoir.


⬦ Quand 100 % seront vaccinés, ça changera quoi, concrètement ? L’immunité baissera, 3 mois plus tard il faudra un nouveau rappel, et ensuite ? Votre solution c’est de faire des rappels à vie ?


⬦ Ceux qui ne savent rien des effets indésirables ne portent pas le masque sur la bouche mais aussi sur les oreilles et les yeux.


⬦ Rien ne serait pire qu'une "dose de rappel d'Omacron" !


⬦ Quant à ceux qui continuent à nous bassiner avec la vaccination pour les autres et pour arrêter l'épidémie, ce sont soit des débiles soit des malhonnêtes, compte tenu de l'information dont on bénéficie aujourd'hui sur le sujet.


⬦ C'est l'hiver, c'est normal qu'ils soient givrés.
Le gros problème est qu'ils le sont aussi en été.


⬦ Omicron est grand et Macron est son prophète.


⬦ Le monde est devenu covido-dingo.


⬦ Un président doit absolument préserver l'unité nationale et ne pas diviser les Français.
Ce mec est un psychopathe avéré.


⬦ "Mais arrêtez donc d'emmerder les Français ! Laissez-les vivre un peu et vous verrez que tout ira mieux ! Foutez-leur la paix ! Il faut libérer ce pays !"
Georges Pompidou, 1966


⬦ Il y a quand même 80 % de vaccinés, alors qu'on arrête de faire chier les autres, surtout quand ils sont assez responsables pour se tenir à l'écart.


⬦ "Est fanatique celui qui est sûr de posséder la vérité. Il est définitivement enfermé dans cette certitude ; il ne peut donc plus participer aux échanges ; il perd l'essentiel de sa personne. Il n'est plus qu'un objet à être manipulé."
Albert Jacquard


⬦ Morale du jour :
La fonction créant l'organe, un emmerdeur est forcément un trou du cul.


⬦ Pfizer et ses alter ego souhaitent une bonne année 2022 à leurs abonnés.

Colmar : la ville veut donner un coup d'arrêt à la multiplication des locations Airbnb

Guillaume Chhum – France Bleu Alsace

La ville de Colmar veut contrer la prolifération des locations de type Airbnb dans le centre-ville. Ce lundi soir en conseil municipal, elle va prendre une délibération pour limiter le développement de ce type de logements qui deviennent envahissants. 1.200 existent à Colmar, un record !

Des locations en hausse de 30 % depuis 2020

Freiner la multiplication des locations

À Colmar, la mairie a fait le compte : il y a 1.200 logements consacrés à la location dans le centre-ville. Un record de France pour une ville de 70.000 habitants, alors que le nombre d'habitants a reculé de 18 lors du dernier recensement et qu'il y a 275 logements supplémentaires.

Comme cela se fait à Strasbourg, Riquewihr, Ribeauvillé ou encore Kaysersberg, Colmar va limiter la possibilité, pour les propriétaires, de multiplier les logements Airbnb.
 
Que des habitants puissent continuer à s'installer en centre-ville

« Ce ne sera désormais pas plus d'un logement Airbnb pour une personne physique et pas plus d'un aussi par personne morale. Ce sera aussi l'obligation de créer un logement traditionnel quand on crée un logement de tourisme » précise Eric Straumann, le maire de Colmar. « Les sanctions peuvent aller jusqu'à 50.000 euros, comme par exemple à Paris », poursuit Eric Straumann.

Récemment d'ailleurs, la mairie a fermé un immeuble qui a été totalement transformé en un lieu de location touristique. « C'est un investisseur qui a transformé 11 appartements en 11 appartements de tourisme, avec 33 couchages. Nous sommes dans la caricature de ce que peuvent représenter ces logements de tourisme. Ce sont des logements qui remplacent des logements dédiés à l'habitation et nous ne voulons plus cela » résume le maire de Colmar.


30 janvier 2022

Jean-Pierre Luminet

De passage à Nîmes où trône la splendide Maison Carrée, et passionné entre autres d’histoire romaine, je me faisais un plaisir de visiter demain le Musée de la Romanité et ses collections réputées. Mais je lis sur internet les règles de visite :

« Le Musée de la Romanité en toute sérénité !
 
Afin de vous assurer une visite optimale, le musée a repensé son circuit de visite et mis en place les meilleures conditions d’accueil et de protection possibles, tout en gardant son esprit ludique !
Le détail ci-dessous des mesures sanitaires mises en place au musée pour une visite sûre et sereine :
• Port du masque obligatoire pour tous les visiteurs dès 6 ans
• Mise à disposition de gel hydro-alcoolique utilisable avec une pédale pour limiter les contacts manuels
• Distanciation physique rappelée avec un marquage au sol (organisation des files d’attente, sens de circulation, signalement des passages étroits, etc.)
• Nettoyage régulier des surfaces et espaces partagés
• Organisation des flux repensée – le personnel de surveillance sera particulièrement mobilisé pour faciliter et fluidifier la visite

Nouvelle mesure à compter du 24 janvier 2022 : présentation d’un pass vaccinal à l’entrée du musée pour toute personne de plus de 16 ans.
Pour continuer de profiter du Musée de la Romanité et conformément aux dernières annonces gouvernementales, la présentation d’un pass vaccinal sera demandée aux personnes de plus de 16 ans (y compris pour les groupes).
Le « pass vaccinal » consiste en la présentation, numérique (via l’application TousAntiCovid) ou papier, d’une preuve sanitaire, en application des directives gouvernementales en cours.
 
Nous sommes donc plus que jamais en plein délire covido-hygiéniste. Toutes les institutions culturelles sont complices, et je pense que nous ne reviendrons JAMAIS à un retour à la santé mentale, même si le cartel de psychopathes au pouvoir est éjecté aux prochaines élections. Je ne mettrai plus jamais les pieds dans des lieux pareils.



Le pass vaccinal ou la déchéance de citoyenneté

Xavier Méra

Après les propos de Macron sur les non-vaccinés, doit-on comprendre qu’avec l’instauration du pass vaccinal, il s’agit de remettre en question le statut juridique de citoyen des personnes non-vaccinées ?

Si l’actuel président de la République française, chef des armées et grand maître de l’ordre national de la Légion d’honneur, a tenu des propos gravissimes dans Le Parisien, ce n’est pas parce qu’il a utilisé un gros mot à l’encontre des personnes non-vaccinées. En réglant immédiatement leur focale sur la forme de ses déclarations, les éditorialistes de la presse bien-comme-il-faut ont fait mine de ne pas entendre l’essentiel. Car, n’étant certainement pas totalement incompétents dans les fonctions qu’ils occupent, ni le chef de l’État ni les rédactions concernées ne peuvent ignorer ce que le mot « citoyen » signifie normalement dans la bouche d’un président.

Lorsqu’il explique que les « antivax » s’en prennent à la « solidité d’une nation », menacent la liberté d’autrui, sont ainsi irresponsables et qu’« un irresponsable n’est plus un citoyen », on est fondé à comprendre qu’avec l’instauration du pass vaccinal et au-delà, il s’agit de remettre en question le statut juridique de citoyen des personnes non-vaccinées contre la covid. On l’est d’autant plus qu’il parle de ce pass vaccinal comme d’une « nouvelle étape » dans une série de mesures prises depuis juillet dernier, laissant ainsi entendre que d’autres ne sont pas à exclure, dans sa volonté de leur mettre la pression « jusqu’au bout ».

Pass vaccinal : les non vaccinés sont-ils toujours des citoyens ?

Autrement dit, ce très officiel gardien – et donc interprète – de la Constitution, suggère que l’État n’est pas obligé de leur reconnaitre, entre autres, un droit d’être propriétaire, de se marier, et d’être soumis aux mêmes lois que les autres en matière d’accès aux emplois publics, de liberté de pensée, d’opinion et d’expression, de religion, de circulation, de réunion, d’association, de manifestation et de fiscalité. Il suggère que l’État peut licitement leur retirer le droit de travailler et d’obtenir un emploi, le droit de grève, le droit à l’éducation et à la sécurité sociale. Et alors que l’élection présidentielle approche à grands pas, il sous-entend que l’État n’est pas tenu de leur reconnaître le droit de voter et de se présenter à une élection.

De plus, on se rappellera que la définition du « schéma vaccinal complet », requis pour avoir un pass vaccinal valide, a déjà changé et est susceptible de changer à nouveau par simple décret du gouvernement, alors qu’on avait initialement fait miroiter aux personnes inoculées deux fois une vie normale en récompense de leur coopération. Le statut de citoyen pourrait alors être modifié sur cette base, les vaccinés d’aujourd’hui étant potentiellement les non-vaccinés et ex-citoyens de demain, s’ils ne se soumettent pas à de nouvelles mises en demeure. D’autant que, comme l’a expliqué le Premier ministre, la limitation dans le temps du dispositif, sur un critère sanitaire à déterminer, « n’est pas ce qui, à ce stade, est prévu ». (...) 

La question immédiate à laquelle chacun d’eux se sentirait obligé de répondre serait plutôt de savoir si les menaces du président sont compatibles avec son rôle de gardien de la Constitution et, si ce n’est pas le cas, de savoir ce qui peut et doit être fait pour en finir avec de tels comportements au sommet de l’État. De tels débats auraient certes plus de chances d’avoir lieu si les médias en question n’étaient pas largement sous tutelle étatique, ne bénéficiaient pas en permanence de subventions et autres exonérations, et que l’Élysée ne les avaient pas fait bénéficier en plus de rallonges covid.
Jean Quatremer

Gabriel Attal, dans Le Parisien, sur le projet du futur candidat Macron : « On veut aussi poursuivre la redéfinition de notre contrat social, avec des devoirs qui passent avant les droits, du respect de l'autorité aux prestations sociales. »



Phil

DNA Colmar : Valérie, Emmanuel, Éric et la sortie du Grand Est...



Méli-mélo




















28 janvier 2022

Un jour, on se souviendra...

Marie-Laure Ruiz-Maugis

Un jour, on se souviendra qu'en 2022, un non-vacciné ne pouvait pas entrer dans un café, un restaurant, un cinéma, un musée.
Alors même que le vaccin n'empêchait ni d'être contaminé, ni hospitalisé ni même de mourir du Covid.
Un jour on se souviendra qu'en 2022, on avait, comme dans toutes les noires périodes de l'Histoire, désigné un bouc-émissaire comme rempart à nos peurs.
Un jour, on se souviendra de la haine attisée par un gouvernement et surtout un Président qui disait : « Les non-vaccinés, j'ai bien envie de les emmerder jusqu'au bout », contrevenant ainsi à l'article 1 de la Constitution.
Un jour, on se souviendra qu'en 2022, le Conseil Constitutionnel ne semblait plus servir à grand chose.
Un jour, on se souviendra que Martin Hirsch, Directeur Général de l'Assistance publique-Hôpitaux de Paris, envisageait d'interrompre la gratuité des soins pour les non-vaccinés. Soit osait remettre en compte le fondement même de la Sécurité Sociale, pacte social justement, voulu par le Général de Gaulle après la guerre. Martin Hirsch qui avait un temps dirigé Emmaüs France. Martin Hirsch dont on se disait que lorsqu'il dirigeait Emmaüs France, il devait être dans le mensonge, tant il trahissait en 2022 la parole, l'action, l'engagement d'un homme admirable, voué corps et âme à la solidarité, et qui autrefois, dans un temps oublié, s'appelait l'abbé Pierre.
Un jour, on se souviendra de 2022, et j'espère qu'on aura honte.




Marie-Laure Ruiz-Maugis est historienne de l’art, diplômée des Études Supérieures de l’École du Louvre et conférencière des Musées Nationaux. Elle est également co-auteur, avec la réalisatrice Audrey Lasbleiz, de deux documentaires pour France Télévisions : « Peindre la Bible dans la Hollande du Siècle d’Or » (2013) et « L’Image du Christ à l’épreuve de la guerre » (2014). Elle a publié « Rembrandt et Bethsabée » aux éditions Macenta (2016), collabore à des revues poétiques et littéraires, en particulier « La vie multiple » et « Instant nomade ».

27 janvier 2022

Dire que ce monsieur était président d'Emmaüs...



Phil

DNA éco-consommation : SOLDES, l'injuste prix !



H16

Pécresse n’est pas un clone de Macron. Elle est bien pire.
21 janvier 2022

Décidément, la campagne électorale de Valérie Pécresse a bien du mal à décoller : le pachydermique parti « Les Républicains » semble être à la peine pour déclencher la moindre ferveur avec sa candidate. Il faut dire que ses prestations sont assez ternes et au contraire d’autres candidats comme Mélenchon ou Zemmour qui ont une certaine verve de tribuns, ses discours et ses blagounettes tombent plus souvent à plat qu’il ne le faudrait.

Oui, certes, tout est bien préparé mais tout cela sent le laborieux, aussi peu rigolo qu’une rédaction de Terminale littéraire sur un sujet rasoir. Pécresse reste heureusement plus crédible que les candidatures de Taubira ou, pire encore, Hidalgo qui n’a toujours pas renoncé à enfoncer son Titanic électoral aussi profondément que possible dans un iceberg aussi froid que ses militants. Cependant, ce n’est guère brillant et ça reste même suffisamment poussif pour que les sondages reflètent ce manque criant d’enthousiasme.

C’est probablement pour cela qu’afin de donner un peu de corps à une candidature cruellement dénuée de charisme et d’élan populaire, elle s’est prêté à un débat télévisé qui a péniblement attiré un peu plus de 600.000 téléspectateurs (quand celui de Zemmour en a, lui, attiré plus de 4 millions). C’est, bien sûr, un exercice imposé par la campagne présidentielle mais cette fois-ci, elle a fait face à un Jean-Jacques Bourdin qui n’a pas été tout à fait aussi mordant qu’à son accoutumée.

En effet, force est de constater que l’échange de questions-réponses n’a pas franchement brillé par sa vivacité… Il faut dire que la candidate Pécresse a choisi, en début d’émission, de faire disparaître tout le mordant du journaliste qui devait la titiller pendant sa prestation d’une saillie qui n’a pas manqué de jeter un froid sur le plateau, à tel degré que c’est le seul point vraiment saillant que les téléspectateurs et les chroniqueurs politiques auront retenu…

En substance, faisait officiellement passer un message féministo-compatible dans lequel elle tance vertement son interlocuteur d’être soupçonné d’agressions sexuelles, elle lui a aussi clairement faire comprendre que toute question trop piquante, toute attitude un peu trop agressive se paierait un jour ; l’attitude de Bourdin dans la suite l’a largement démontré : innocent ou coupable, il savait que sa prestation serait jugée non comme celle d’un journaliste face à une candidate, mais bien par une potentielle Présidente de la République. En journaliste servile, il a donc joué sa partition pianissimo.

La fadeur de l’exercice résultant ne doit donc pas tout à l’absence de charisme de Pécresse…

Pour le reste, on ne sera pas surpris par les propositions de la candidate, qui slalome mollement entre les bricolages habituels des énarques perdus dans des détails grotesques « à la portion près, les petits ajustements des millions de paramètres que les politiciens adorent tripoter en croyant avoir une influence notable sur l’ensemble macro-économique français (dans une sorte de « danse de la pluie »), et les éventuelles propositions vaguement compatibles avec la droite française. Celle-ci étant lourdement étatiste et gentiment sociale-démocrate, les petites améliorations de la prison fiscale et sociale française se jouent donc à la marge, la candidate ne voulant en aucune manière fricoter avec un libéralisme même pastel qu’elle s’empressera d’ailleurs de définir comme ultra dès qu’elle le peut.

Soyons clair : elle n’apporte absolument aucune espèce de libéralisme même hésitant, et ne proposera des marges de liberté que de façon extrêmement microdosée, pour les deux raisons qui animent la plupart des politiciens français de carrière : d’une part parce qu’ils n’y entendent absolument rien en matière de liberté, et d’autre part parce que leur cheptel électoral a été entraîné à consciencieusement associer « libéral » avec « caca », avec un succès maintenant pavlovien.

Énarque comme Macron, Young Leader (2002 pour Pécresse) comme Macron, impliquée comme Macron dans la vente précipitée d’Alstom aux Américains, elle aura pour elle d’être une femme, ce que la presse ne manquera pas de souligner lourdement lorsque le champ des possibles commencera à se réduire drastiquement à l’arrivée du premier tour (et surtout si Macron abandonne toute velléité de se représenter).

Comme Macron et comme elle l’a amplement montré ces précédentes années, elle cultivera l’art de l’adaptation du discours au gré des éléments, des mouvements d’humeurs et de la presse. N’ayant jamais réellement démontré qu’elle appartenait aux politiciens vertébrés, gageons qu’elle se passera très bien de toute colonne si cela s’avère nécessaire.




Du reste, ce n’est pas une pique gratuite : on voit fort bien la capacité liquide d’adaptation de la candidate à mesure que le discours hystéricovidiste se dégonfle (au Danemark, la presse explique avoir échoué à faire son travail, en Israël où le Pr. Qimron appelle les autorités à admettre l’échec de leur politique actuelle, en Espagne où ils abandonnent les traitements d’exception, en République Tchèque où l’obligation vaccinale est abandonnée, au Royaume-Uni qui lève ses restrictions sanitaires).

Alors qu’elle n’avait absolument pas hésité à déclarer vouloir enfermer les non-vaccinés en cas de besoin (ceux-là s’en souviendront probablement au moment de voter), ayant goulûment participé à la mise en place du pass sanitaire puis vaccinal en servant véritablement de relai publicitaire au gouvernement actuel, la voilà, quelques jours seulement après avoir poussé ses lieutenants à voter cette ségrégation française qui désavoue ce pass avec la même désinvolture.




Enfin, on pourra souligner à titre d’indicateur notoire le récent soutien d’Alain Minc à sa candidature, le même Minc qui s’était porté au secours de la victoire macronienne de 2017, et qui donne une assez bonne idée de l’éloignement politique de Pécresse avec l’actuel président…

Mais il faut se rendre à l’évidence : même si beaucoup d’éléments les rapprochent, Pécresse n’est pas un clone de Macron : à sa place, elle fera bien pire.

Bénéficiant d’un soutien qu’on devine déjà servile et obséquieux d’une presse qui a amplement démontré tout l’aplaventrisme dont elle était capable sous Macron, elle aura aussi l’immense avantage de bien mieux connaître les rouages politiciens et administratifs du pays pour les avoir longuement pratiqués (au contraire du blanc-bec qui guignolise à l’Élysée actuellement). N’ayant aucun frein ni à la Chambre basse, ni à la Chambre haute, les médias devenus inféodés lui mangeant dans la main, les administrations l’acceptant sans mal plutôt que tout autre candidat, elle aura un boulevard pour faire absolument n’importe quoi, le pire inclus.

Vous avez détesté Macron ? Si elle est élue, vous haïrez Pécresse.


[H16 signe des chroniques qui sont d’une telle lucidité anti-gouvernementale que leur auteur est haï par l’oligarchie qui, tirant les ficelles de ses pantins, se voit constamment démasquée dans ses turpitudes, d’où le pseudonyme H16, qui cache un haut fonctionnaire très au fait de ce qui se passe dans les officines de l’Élysée et de Bruxelles.]

La Farce Tranquille #37 : Darmanin ment, Zemmour rassemble, Taubira dynamite, Pécresse régale




Vont-ils entraîner la chute du président ? - ŒIL POUR ŒIL




Blouse grise ou blouse bleue ?

Pierre Duriot

Il est beaucoup question de blouse d’écolier, mais c’est bien d’un retour aux fondamentaux dont il est question. À savoir si l’école prend en charge l’éducation, ou l’instruction. Elle ne devrait prendre en charge, justement, que l’instruction, mais s’est arrogée, pour des motifs bassement électoraux, l’éducation, histoire de dire aux électeurs, n’en faites rien, l’école et l’État s’occupent de tout. Certains trouvent très bien que l’école s’occupe de tout et se plaignent quand ça ne leur convient pas et d’autres, au contraire, aimeraient assez que l’école ne vienne pas mettre son nez dans l’éducation dont ils ont la charge et préféreraient que l’école assure un peu mieux l’instruction. Ceux-là mettent d’ailleurs souvent leurs enfants dans le privé. Et il y a la réalité : l’instruction n’est pas vraiment assurée et l’éducation non plus. Les enquêtes internationales situent les élèves français dans un ventre mou du classement, avec des pays bien moins développés que la France. Et question éducation, le maintien de la discipline est devenu le problème majeur des enseignants et un motif récurrent d’abandon de la profession. Et on ne parle même pas des secteurs sensibles... Un problème que l’État connaît parfaitement pour proposer une prime aux enseignants qui resteraient dans le 93. À vouloir se charger du four et du moulin, on n’assure finalement, ni le four, ni le moulin. Et les heures d’apprentissages fondamentaux ont objectivement diminué. Elles sont remplacées par la nutrition, les questions sanitaires, la lutte contre l’homophobie, le tri sélectif des déchets, la prévention routière et bien d’autres choses encore. Toujours est-il que la matière grise et l’excellence se raréfient et que l’industrie s’en ressent, la recherche également et tout un tas d’autres secteurs, en panne de main-d’œuvre diplômée, ou titulaire de diplômes dévalorisés. Oui, derrière cette blouse symbolique, il va falloir remettre sur la table, la question du niveau scolaire, même si cela fait un peu vieux jeu.



26 janvier 2022

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